Après m’être fait baiser par les deux hommes et le cheval, ils me ramenèrent à la maison et m’amenèrent faire la sieste. Nous nous allongeâmes à trois dans un grand lit. Le sperme continuait de couler de ma fente. Je m’endormis heureuse entre les deux hommes. En nous réveillant, ils m’amenèrent à la douche. Nous étions toujours nus. Du coup, nous ne mîmes pas longtemps pour passer sous l’eau. La douche était assez grande pour que nous puissions y tenir à trois. Ils me lavèrent soigneusement pour notre grande soirée. Marcel, le père de mon beau-père n’avait pas baisé depuis longtemps avant que j’arrive le matin. Il voulait donc profiter de moi au maximum pour son anniversaire. Ils passèrent leurs mains entre mes cuisses pour me savonner. Ils me doigtèrent avec le savon pour s’assurer que je serai propre en profondeur. Je ne savais pas ce qu’ils avaient prévu. A mon tour, je les nettoyais caressant leur queue avec envie. Cependant, ils voulaient réserver leur sperme pour plus tard. Une fois séchés, nous regardâmes la télévision. Je restais enroulée dans ma mini serviette, qui arriva au bord de ma chatte propre.Arrivé le grand soir, ils m’amenèrent dans la chambre de Marcel qui sortit de la lingerie noire du placard. Ils me laissèrent l’enfiler en souriant. J’enfilais une culotte en dentelle fendue, laissant voir ma chatte et mon trou du cul. Je mis un bustier bien moulant, qui ne cachait pas mes seins mais les maintenait bien en hauteur, une paire de bas. J’attachais mes cheveux pour être libre de mes mouvements. J’enfilais des escarpins sexy et sortis de mon sac un peu de miel. J’enduisis ma fente pour les surprendre avec ce gout sucré. Lorsque j’entrais dans le salon, ils étaient nus sur le canapé. Ils me regardèrent rentrer, la queue commençant à durcir. Voir une queue durcir grâce à moi, ça m’excitait beaucoup. J’eus tout de suite envie de les prendre en bouche et de gémir. — Assis toi sur la table basse, et caresse toi !! m’ordonna Marcel Je m’installai langoureusement face à eux sur la table. J’avais gardé mon collier pour chien noir autour du cou. Je caressais mes seins doucement en les regardant, puis je glissais mes deux doigts dans ma bouche en les suçant, en sortant la langue. Mes doigts glissèrent jusqu’à ma fente, laissant apparaitre la bite épilée au-dessus de ma chatte. Je commençais à devenir humide et impatiente de me faire sauter comme une chienne. Mon beau-père Jean m’avait appris dès le début qu’il fallait satisfaire chaque besoin d’un mâle, et bien le nettoyer avec ma langue chaude. Je caressais ma fente en gémissant, heureuse de les voir me mater. Jean vint se mettre devant moi et me lécha la chatte, passant son doigt dans ma fente humide et chaude. Il aima le gout de miel. Je l’encourageais et il colla bien sa bouche jouant avec mon clitoris, un délice !! Marcel m’embrassa à pleine bouche forçant mes lèvres à s’ouvrir avec sa langue. Je me mis à le caresser du bout des doigts. Sa queue durcit vite et ses couilles étaient déjà pleines. Puis, Marcel voulu me lécher. Il m’installa à 4 pattes et Jean se mit devant moi. Il posa ses mains sur ma tête et me guida pour que je suce à la perfection sa bite. J’enroulais ma langue autour du gland, je branlais et il imposait le rythme. Marcel me léchait ma chatte dégoulinante. Il insérait parfois sa langue chaude dans ma fente. Alors que je léchais avec soin la queue de Jean. Marcel écarta mes fesses et se mit à me lubrifier l’anus de sa langue. Je m’arrêtais et poussais un cri de surprise. — Continue de sucer ma chienne chérie, ordonna Jean Je me remis à sucer Jean un peu déstabilisée. Marcel commença à me doigter avec du lubrifiant. Il alla chercher des plugs petits et gros, mon anus commença à se dilater. Je gémissais parfois excitée et troublée. Jean s’assit sur le canapé et je le suivis. J’écartais les jambes au-dessus de sa bite dure. Avec mes doigts, j’écartais les lèvres de ma chatte et caressais mon clitoris avec son gland. J’étais tellement dégoulinante qu’il glissait parfaitement dessus. N’ayant plus envie d’attendre, Jean s’inséra brusquement et je criais de surprise. Je mangeais sa queue avec ma chatte. Marcel se mit derrière et le sexe tendu d’excitation il me pénétra par l’anus. Je n’arrêtais pas de gémir. C’était délicieux cette double pénétration. — Vas-y gémis cochonne !! dit Marcel, j’aime te foutre !!— Tu as vu c’est une bonne chienne !! dit Jean Je me mis à les encourager de plaisir. Marcel écartait mon anus. Je le sentais glisser profondément et Jean me remplissait la chatte. Ils se retirèrent et je me mis à genoux. Je pris les deux en bouche. Jouant avec leur gland, ils gémissaient. Je branlais chaque bitte, je léchais les couilles et parfois j’en prenais une en bouche. Ils me caressaient les seins. Ils finirent par me remettre à 4 pattes. Marcel passa un bras sous mon ventre et remonta mon bassin. Mes fesses se trouvaient ainsi bien écartées. Il me refourra sa bite dans le cul et poussa plus fort, plus vite en me claquant parfois une fesse. — Baise-moi, saute-moi !!! lui demandais-je et il allait plus vite Je sentis son sperme éclater et couler lorsqu’il jouit bruyamment. Mon beau-père vint m’enfiler son membre dur dans l’anus et jouit rapidement. Je me retrouvais vite pleine de sperme frais et chaud. Je pris soin de nettoyer chaque bite, de chaque côté, avec ma langue. Ils ne m’avaient pas laissé le temps de jouir. Marcel alla chercher une laisse et l’attacha à mon collier en cuir. — Mets-toi à 4 pattes !! Je m’exécutais et il m’amena voir les deux chiens dans un coin. Ils n’avaient rien loupé de nos ébats et avaient déjà la queue raide. Il fallait que je les soulage. J’eus moins peur que la première fois. Marcel me positionna à 4 pattes face à la truffe d’un chien. Le sperme coulait. Je sentis la truffe fraîche me sentir et passer un coup de langue sur ma chatte gonflée. J’aimais cette sensation et je lui tendis un peu plus ma chatte. J’écartais les jambes. J’étais une chienne en chaleur et j’étais prête à me laisser monter. Pendant, que Max me léchait en gémissant l’autre chien, Maestro, me tournait autour. Je mis ma main sur sa queue et je le caressais sous l’œil des deux hommes, qui me regardaient avec lubricité. Mon beau-père aimait me regarder me faire prendre. Maestro se coucha devant moi et je me penchais. Je pris sa bite rose et lubrifiée en bouche. Je la léchais. Le goût fort envahit ma bouche mais je la trouvais douce et excitante. Très bestiale. En me penchant, je remontais mes fesses et Max en profita pour essayer de me grimper. Je sentis sa queue dure, taper contre ma chatte gonflée. D’une main je plaquais la bite contre ma vulve et je me caressais la chatte avec sa bite. C’était bon !!! J’ouvris un peu plus mes cuisses et appuyais la queue animale contre mon clitoris. Je sentais des élancements de plaisir et Max me laissait faire. Je continuais de sucer Maestro, heureux de se laisser faire. Il commençait à faire sortir du sperme au bout de sa bite et je nettoyais tout. Tout à coup, Max m’échappa et avant que je puisse réagir il me fourra le cul. Sa queue grossit encore et je me retrouvais bloquée, obligée de le satisfaire. Je gémis fort, de plaisir. Max haletait dans mon dos. Il me donnait des coups bestiaux, me défonçant mon petit cul. Maestro avait profité de ma surprise pour se redresser. Il voulait me monter. Max grogna pour qu’il recule et montra ses crocs. J’étais sa femelle. Il avait un droit de me saillir en priorité. Maestro revint devant moi et se mit sur ses deux pattes arrière. Je me retrouvais avec sa queue au niveau de ma bouche. Mon beau-père attrapa la laisse et me dit d’ouvrir la bouche, ce que je fis. Jean et Marcel m’encourageaient en me tenant. Je commençais à sentir monter la jouissance. Avoir une bite à sucer et une qui me fourrait, quel délice !! Maestro poussait sa bite dans ma bouche et je sentais la base de sa queue grossir effrontément. Je léchais avec application. Mais, Max m’excitait encore plus. Etre prise comme une chienne, ça me plaisait !! Je sentis monter l’orgasme. Ne pouvant parler, je gémissais de plus en plus fort, relevant mes fesses bien lubrifiées, je jouis en même temps que Max. Sa bite était dure et longue. Il éjacula longuement et me remplis de sperme. Maestro en profita aussi, et j’avalais peu à peu son sperme au goût sauvage. Mon beau-père et Marcel me caressèrent l’anus, recueillant le sperme sur leurs doigts. Je léchais le sperme de Max à plusieurs reprises. Les deux chiens s’allongèrent dans un coin épuisés. Je me dirigeais vers eux et délicatement je léchais le sperme restant sur leur bite rose. Les deux hommes heureux m’entrainèrent dans la chambre. Je m’endormis entre eux, mes fesses collées contre le sexe de mon beau-père.
