Le jet s’est graduellement tari et la fière black m’a ordonné "viens brouter ma chatte". Je ne pouvais qu’obtempérer à un tel ordre et, sur les genoux, j’ai agrippé ses fesses et collé ma bouche sur son minou déplumé. Sa liqueur intime commençait à se mélanger à son urine. Cela donnait un cocktail détonnant et très excitant. Très vite, elle a commencé à onduler du bassin pour mieux coller son sexe sur ma bouche. Elle mouillait abondamment et j’aspirais le nectar avec passion. Ma langue tournait dans sa chatte, s’attardait sur son clito, rentrait entre ses lèvres. Ses deux mains plaquaient mon visage entre ses cuisses, poussaient fort pour que mon nez et ma langue la pénètrent. J’avais senti qu’Aanja se déplaçait derrière Belinda et en jetant un coup d’œil vers le haut, j’ai vu qu’elle s’était placée derrière elle. Elle enlaçait sa belle poitrine, pelotant ses seins et pinçant ses tétons durcis. Son corps pâle était collé contre la peau d’ébène, montait et descendait pour le caresser. J’en ai profité pour écarter les fesses de mon ex-belle-sœur et pointé un doigt vers son anus. Au premier contact, il a commencé à s’ouvrir et se fermer, comme s’il voulait aspirer mon index. J’ai très vite compris le message et pénétré sa rondelle. Mon doigt est entré jusqu’à la garde d’un seul coup, la belle salope n’était pas vierge du cul non plus, il s’en fallait de beaucoup. Un deuxième est allé rejoindre le premier. La belle black gémissait de plus en plus. Aanja s’est déplacée pour frotter son sexe lisse contre ma main libre. Etait-ce un signal ? Sans hésiter, je lui ai planté deux doigts dans la moule. Vu son roucoulement, j’avais vu et visé juste ! Consciente du manège derrière son cul, Belinda a lâché mon crâne d’une main pour aller rejoindre la mienne qui s’activait dans le con d’Aanja. Nous avons passé quelques minutes ainsi, léchant, branlant, caressant, pinçant... La position n’était pas des plus confortables mais Bélinda a rapidement joui sous ce double traitement, poussant un hurlement sauvage dans la salle de bain. Aanja a vite suivi en poussant des petits gémissements saccadés. La belle ébène s’est détendue, une main sur ma bite et une autre sur la chatte de sa collègue mais elle était encore chaude comme une baraque à frites. Elle s’est agenouillée entre nous deux et a soufflé "Maintenant, pissez-moi dessus, partout, je veux nager dans votre pisse, je veux la boire...!". Quelques secondes plus tard, Aanja et moi exaucions son vœu avec entrain et cette fois-ci je mélangeais mon Viognier à son Chablis !!! Comme je bandais toujours, j’en ai profité pour arroser la blonde également, en dosant bien la force de mon jet. Elle, du coup, ne se privait pas pour bien tirer en arrière sur ses lèvres et diriger son jet directement dans la bouche de son amie black. Quand ce fut fini, nous avons encore passé quelques minutes à nous caresser, embrasser, sucer, peloter, tous les trois couverts de pisse des pieds à la tête. Belinda a voulu sonner la fin de la récréation : "Douche pour tout le monde avant de passer au salon !!!" mais elle n’avait pas remarqué que sa copine avait commencé à me pomper avec talent tout en massant mes couilles avec doigté.
Son traitement fut court et efficace et j’ai explosé en lâchant "300 gr" de foutre bien crémeux sur son joli minois, après le vin blanc, place à la béchamel ! Voyant cela Belinda s’est empressée de nettoyer ma bite, avalant avec fougue la sauce enrobant mon gland. Elles se sont ensuite embrassées avidement, suçant, léchant, lapant mon sperme chaud comme de vraies catins. C’était un spectacle assez inouï qu’elles m’offraient. Je n’étais pas certain qu’elles en faisaient leur quotidien, mais ce n’était certainement pas la première fois qu’elles prenaient leur pied ensemble.
Tous propres, tous frais, nous nous sommes installés dans le salon. J’ai servi un verre de "vrai" vin blanc à chacun. Les deux filles se sont affalées dans le divan et j’ai repris place sur ma vieille chaise en bois. Elles ont allumé deux cigarettes et ont fumé, l’une contre l’autre, se caressant doucement. J’avais arrêté de fumer et l’odeur de tabac me dérangeait un peu mais le spectacle de ces deux nanas à poil en train de fumer et de siroter leur vin blanc, tout en se doigtant la chatte, suffisait à me faire oublier la fumée. Si bien en fait que j’ai moi-même commencé à me tripoter les couilles et la queue qui du coup retrouvait une belle vigueur. Aanja a éteint sa cigarette puis a versé un peu de blanc sur les tétons de sa complice, avant de les prendre entre ses lèvres, puis de les mordiller. Belinda s’est cabrée sur le divan en poussant un long soupir. Aanja l’a suivie dans son mouvement, et elle s’est un peu plus inclinée en arrière. Elle a ensuite fait couler un peu de vin sur son bas-ventre et sur sa chatte.
Aanja ne s’est pas fait prier pour aller laper le liquide entre ses cuisses, provoquant encore plus de frissons chez sa comparse noire qui fut rapidement agitée par un nouvel orgasme. La coquine en profita pour envoyer un petit jet de pipi qui fit une petite parabole avant de retomber dans la bouche de la Batave assoiffée. Pendant qu’elle savourait le précieux liquide, Belinda lui fit remarquer "Le vin est un peu chaud, non ?!". L’autre nana a approuvé avec un grand sourire et ses lèvres entrouvertes ont laissé couler quelques gouttes d’urine sur les seins de la black. Celle-ci s’est redressée vivement et s’est levée. Elle m’a jeté un coup d’œil alors que j’étais encore en train de m’astiquer et m’a lancé "continuez sans moi, je vais chercher du vin et un seau à glace". Aanja semblait un peu penaude ; puis elle m’a souri, comme un renard peut sourire à une poule, et m’a fait signe du doigt de la rejoindre en écartant bien les cuisses. De mon côté, le show terminé, j’avais abandonné mon service trois-pièces et l’idée de butiner son entrejambe me plaisait assez ! Pendant que je m’approchais d’elle, elle s’est assise sur le dossier du sofa, les jambes grand ouvertes. J’ai mis les genoux sur le fauteuil, j’ai saisi ses fines cuisses et j’ai plongé mon visage sur son délicieux minou glabre. Son sexe sentait bon le savon mélangé à son odeur intime. Le cocktail était assez enivrant ; elle mouillait abondamment. Ma langue s’attardait sur son clito ou tentait de la pénétrer ; j’aspirais son bouton rose me régalant de sa cyprine. Je m’attendais à ce qu’elle se laisse aller sur mon visage mais elle semblait concentrée sur son plaisir. J’ai donc décidé de changer un peu nos positions. Je lui ai demandé de se retourner et de s’appuyer sur le dossier. Elle m’a demandé si j’en avais à sa rondelle mais je lui ai répondu que cela serait pour plus tard. Ensuite, j’ai glissé mes bras sous ses cuisses et je l’ai soulevée ; elle était légère comme une plume. Elle a fait un grand "wo-o-hooo" et puis s’est retrouvée à califourchon sur mes épaules, la tête en bas. J’avais sa vulve sous les yeux, le nez, la bouche et j’ai repris mon cunni. Par contre, sa bouche se trouvait à la même hauteur que ma queue fièrement dressée. Elle s’est accrochée à mes fesses et a commencé à pomper mon dard. C’est à ce moment que Belinda est revenue avec une nouvelle bouteille de vin blanc et un seau à glace.
Le spectacle du 69 vertical l’a quand même un peu surprise !
