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Un weekend bien chargé à décharger...

Chapitre 8

Fin du premier acte, et entracte !

Trash
Je me suis approché d’elle. J’allais enfin avoir ce que je convoitais depuis une heure, me faire ramoner le cul par la sœur de mon ex. Sans hésiter, je me suis empalé sur son gode alors qu’elle avait placé ses fesses au bord de la chaise pour me faciliter la tâche. Je ne voulais pas l’écraser sous mon poids et j’ai gardé mon appui sur mes jambes de part et d’autre de la chaise avant d’entamer ma "gymnastique". La position n’était pas idéale mais je prenais mon pied avec cette grosse bitte dans mon fion. Belinda ne bougeait pas trop et je pouvais ajuster la vitesse et la profondeur à ma guise. Sur ce, Aanja est arrivée... Elle avait récupéré une belle quantité de son caca dans les mains et entrepris de me caresser et compoter les couilles et la bitte. Elle faisait ça avec beaucoup de passion et très vite mon service trois-pièces s’est retrouvé enrobé de ses excréments encore chauds. À ce moment, je me suis dit que les deux perverses étaient mûres pour recevoir un petit cadeau à ma façon...!
Cette scène me rappela furtivement un des premiers films pornos scato que j’ai visionné. C’était avec Veronica Moser, encore jeune et très mignonne, et je découvrais son univers scatophile. Elle était dans ma position, mais empalée sur un type bien plus vieux qu’elle et chaque fois qu’elle se relevait complètement, elle en profitait pour lui chier dessus. Ensuite, elle se remettait sur sa bite et écrasait sa merde avec son cul. Je trouvais cela fascinant et me branlais avec frénésie. Le sommet fut atteint lorsqu’elle commença à sucer sa queue merdeuse avec une passion non feinte. Le mec avait l’air d’apprécier, et moi, avec une belle quantité de foutre sur la poitrine, encore plus ! Je me suis donc relevé pour préparer mon cadeau. Mon rectum ayant déjà été copieusement matraqué pendant la journée, je n’ai eu aucun mal à faire jouer mes muscles pour faire descendre la merde vers mon trou de balle. J’ai fait ça deux, trois fois, pendant que Bé s’accrochait à mes fesses et qu’Aanja continuait de caresser mon entrejambe de ses mains merdeuses. Puis, ce fut le grand final ! Je me suis redressé une dernière fois et en même temps j’évacuais une belle quantité de caca bien gras et collant, directement sur le ventre et l’entrejambe de la black. Et hop, ma rondelle encore bien ouverte, je suis retombé sur le chibre en plastique, l’engloutissant d’un seul coup, écrasant la merde avec mes fesses. J’ai bougé mon bassin pour essayer d’en étaler un maximum. Belinda s’écria "Salaud ! Ma sœur avait raison, tu sais y faire pour chier sur les dames !" Je dois dire qu’à ce moment-là je me suis demandé où elle voyait des "dames", là où je ne trouvais que deux dépravées qui aimaient jouer avec du caca... Mais je me suis relevé complètement pour qu’elle puisse tartiner mes fesses avec ma chiasse bien chaude.
Devant, Aanja avait continué à m’astiquer les burnes et la bite de ses mains merdeuses et je commençais à sentir ma sève monter. Le coup de grâce fut porté par la belle ébène qui a réussi à me fourrer quasi toute sa main dans mon fion. Sur le coup, j’ai éjaculé mon foutre en plein sur les seins maculés de merde de l’autre débauchée, à genoux devant moi. Belinda a quitté sa chaise et le plug qu’elle avait gardé dans son oignon et est venue se placer à genoux également, à côté de sa complice. Elle lui a caressé les seins ; puis les deux m’ont regardée d’un air implorant. J’ai rapidement perçu l’objet de leur supplique. J’ai pris ma bite en main, caressé mon gland brunâtre, et j’ai ouvert mon robinet. Mon urine est sortie comme d’une lance d’incendie, directement sur les corps des deux salaces qui attendaient la bouche grande ouverte. Je les ai arrosées de haut en bas, mélangeant ma pisse à la merde qui les maculait. Elles semblaient aux anges en train de se frotter le corps pour tout étaler, mon foutre, ma pisse et le caca !!! Puis, j’ai pris les deux garces dans mes bras pour que l’on puisse se serrer, se peloter, les uns contre les autres après ce climax de pure débauche.
La tension est vite retombée et l’atterrissage fut un peu douloureux... Nous étions dans un état dégueulasse et la salle à manger ne valait guère mieux. De plus, l’odeur de pisse et de merde commençait à devenir prégnante... Il fallait s’activer avant que tout ne commence à sécher. J’ai ouvert grand les portes-fenêtres pour aérer et les deux filles sont allées chercher des sacs-poubelles en plastique. On n’a pas fait dans le détail et tout a filé illico sans rien trier, les restes du repas, les canettes, les vieux draps qui avaient servi de protection pour travaux de peinture mais maintenant imbibés de pisse et maculés de merde, les bouteilles (les éboueurs ne seraient pas contents, mais Belinda saurait comment se faire racheter)... Les sex-toys ont atterri dans le lave-vaisselle (!), avec la vaisselle et les couverts, programme maximum. J’imaginais la tête d’un.e invité.e ouvrant l’appareil...Puis, j’ai poussé les filles vers la salle de bain pour un décrassage façon Sarko, au Karcher !
Nous avons passé près d’une heure sous l’eau à se laver, se rincer, se laver à nouveau, se récurer sous les ongles, se laver les cheveux, la plante des pieds... Heureusement, on s’aidait mutuellement mais on a bien vidé deux flacons de gel douche, un demi-flacon de shampooing, et une demi-bouteille d’huile parfumée. La baise scato présente toujours une note salée si on ne prend pas un minimum de précautions et mieux vaut être un peu trop propre que pas assez ! Finalement, propres comme des sous presque neufs, nous nous sommes dirigés vers la chambre à coucher pour un repos durement mérité !
Une fois dans le lit, avec mon ex-belle-sœur sur ma gauche, côté porte, et Aanja sur ma droite, côté garde-robe, on s’est embrassés, souhaité bonne nuit et déjà les deux gonzesses piquaient du nez dans mes bras. Perso, je ne peux pas dormir sur le dos mais j’attendais qu’elles dorment profondément pour changer de position. En attendant, mon esprit se mit à divaguer. Toute cette journée me semblait totalement folle. Je ne pouvais plus me convaincre que seules l’improvisation et notre soif de baise étaient à l’origine de cette orgie uro-scato. Bon, mon ex avait parlé et bien parlé à sa sœur de nos perversions communes. Mais de là à ce que sa propre sœur et la collègue de sa sœur "comme par hasard" aient les mêmes déviances... c’était trop pour des coïncidences ! Non, il y avait sûrement un plan derrière tout ça... Mais lequel ?! Et cela me fit penser aux raisons de notre divorce, alors qu’on avait les mêmes passions scabreuses mon ex et moi.Un matin, elle me l’avait annoncé "Je vais te quitter !". Au début, j’avais pris ça à la rigolade mais clairement, elle ne rigolait pas et elle semblait sûre de son choix, même inflexible ! Les raisons : elle travaillait comme consultante et voulait gravir les échelons, devenir femme du Calife à la place de la femme du Calife, et avec un pervers comme moi, c’était trop risqué pour son image. Elle aurait peur d’inviter ses collègues à la maison, elle n’oserait plus aller dans les clubs échangistes que l’on fréquentait, elle ne serait plus à l’aise sur les plages privées naturistes libertines où l’on passait certaines de nos vacances quand ce n’était pas une "naked cruise" dans les Caraïbes, de crainte d’être reconnue. Ce qui bousillerait toutes ses ambitions professionnelles, surtout pour une jolie femme noire et jeune, à qui l’on ne ferait aucun cadeau ! J’ai tenté de négocier, de lui dire que j’essayerais d’être plus sérieux, plus respectable, que je pourrais bien faire cet effort pour elle.
Mais elle avait tenu bon, sachant que dans cette situation, j’allais très vite la tromper, ce qui serait encore pire. Avoir l’image d’une délurée pouvait attirer certains mâles, ou femelles, qui pourraient lui être utiles mais passer pour la cocue de service ! Quelques mois plus tard, en 10 minutes devant un juge, nous divorcions et nous nous disions adieu. Plus tard, j’ai vite appris qu’elle avait jeté son dévolu sur un type plutôt insignifiant, genre passe-partout, plus vieux qu’elle d’une vingtaine d’années mais qui avait un énorme carnet d’adresses et savait admirablement l’utiliser. J’ai abandonné là mes réflexions, me disant que j’allais, dès le lendemain, bien cuisiner mes deux complices de baise pour avoir le fin mot de cette histoire. Et là-dessus, voyant qu’elles dormaient paisiblement, je me suis retourné dans le lit pour aussitôt tomber dans les bras de Morphée.Fin de la première partie.
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