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Un weekend bien chargé à décharger...

Chapitre 10

C'est le tout de mon cru !

Hétéro
Je l’ai suivie comme les mouettes suivent le chalutier, pas trop loin, mais pas trop près pour mieux profiter. Elle n’était pas très grande, mais elle avait eu le temps de glisser ses pieds dans des hauts talons, qui propulsent ses fesses de 10 centimètres vers le haut. Elle marchait ainsi devant moi, très droite, les globes fessiers arrogants, surmontés de sa taille assez fine et plus haut, de ses seins plus lourds que ceux de sa sœur et qui dépassaient légèrement sur les côtés. Comment aurais-je pu lui résister ? Elle s’est retournée :
— Tu mates, vieux vicelard ?! Il t’a manqué mon cul, non ?
Je devais ressembler au loup de Tex Avery car je suis parvenu seulement à faire "Rhââââ" en ouvrant la bouche et en tirant la langue. Je me suis arrêté à cinq centimètres d’elle et elle m’a pris les couilles et la bite, et planté ses yeux noirs dans les miens.
— Alors, il faudra être à la hauteur car d’ici ce soir tu vas me faire jouir par tous les trous !— T’inquiète, lui ai-je répondu, et avec Belinda et Aanja, on va te faire ta fête de jolie salope assoiffée de sexe. Je te le promets...!
Alors suis-moi, car tu es aussi assoiffé que moi, mais pour mon nectar personnel.La maison était étrangement calme après notre orgie de la veille et, heureusement, bien aérée. Ottavia a poussé la porte de la salle de bain et m’a fait signe de l’y suivre en se retournant vers moi, exposant sa plantureuse poitrine. Elle a pris mon menton d’une main.Assieds-toi dans la baignoire mon cochon, ton jardinier va bientôt venir t’arroser...Je suis rentré dans la baignoire et me suis quasi couché contre la partie inclinée. Ce n’était pas la première fois et mon ex et moi étions bien rodés pour ce genre d’exercice.
— Ouvre la bouche bien grande, je n’ai pas eu l’occasion de beaucoup m’entraîner ces derniers mois, alors si tu veux pas gaspiller...
Je ne voulais surtout pas gaspiller son "Muscadet", comme elle appelait son urine, et j’ai donc ouvert "grand" comme chez ma dentiste, tout en jouant avec ma bite et mes couilles pour qu’elle n’oublie pas cette partie de mon corps. Elle s’est plantée au-dessus de moi, les jambes bien écartées ; ensuite, elle s’est mis deux doigts dans la moule et s’est doigtée quelques secondes, et soudain elle a ouvert les vannes. Quelle cascade ! Quasi instinctivement, comme propulsé par un ressort, je me suis redressé pour happer sa pisse qui jaillissait comme d’une source. Elle jouait avec sa fente et ses lèvres pour diriger le jet vers ma bouche et pour ajuster son intensité.
— Bois bien tout, ne recrache rien surtout, c’est mon cadeau pour nos retrouvailles. Elle est bien chaude ma pisse, non ?! Comme tu l’aimes, hein gros pervers...— Ne sois pas avare, gloup, j’peux tout descendre, gloups, ton muscadet va toujours, gloup, aussi bien avec ta moule ! Re-gloups !
J’essayais de ne rien rater, comme hypnotisé par ce jet chaud et enivrant. Elle jouait aussi des genoux pour qu’aucune partie de mon corps n’échappe à son torrent, du sommet de mon crâne à mon entrejambe, tout y passait. On avait eu des entraînements quasi hebdomadaires avant notre divorce, elle faisait donneuse universelle et moi receveur, on savait y faire elle et moi, dans ces deux rôles et inversement. Mais moi, j’en étais vraiment dingue de sa pisse, j’étais vraiment dedans, comme un malade...La source une fois tarie, Otavia a caressé mon ventre à hauteur de ma vessie de son pied gauche.
— Tu penses que tu as aussi quelque chose pour moi ici ?

Je me suis un peu plus allongé et elle a peloté mes couilles et ma bite, toujours du pied. Ensuite, pour s’assurer que je rebandais, elle a glissé son pied, gros orteil en tête, sous mes fesses vers mon anus.
— Et ici, tout va bien ? Tu penses que ton cul va mouiller ? Tu te souviens que je peux y mettre tous mes orteils quand tu transpires bien du fion ?— Pour le moment, oui, il est trempé de toute ta pisse... ça doit bien glisser...
En se tenant au crochet de la douche, du pied droit, elle est revenue sur ma vessie en appuyant plus fortement cette fois. Je n’avais pas encore pissé depuis le réveil et la pression devenait trop forte. J’ai vite lâché prise et j’ai entamé ma propre douche dorée. Après nos agapes de la veille, mon urine était fort odorante, très chargée, plus comme une bière ambrée qu’un muscadet... Ottavia s’est accroupie dans la baignoire pour prendre ma queue en main et diriger le jet vers sa poitrine et son ventre.
— Humm, elle est bonne, elle est chaude... Si tu savais ce que nos séances dorées m’ont manqué, me dit-elle, tout en se caressant la poitrine qui dégoulinait de ma pisse. Mon mari n’est même pas foutu de me brouter la chatte, ajouta-t-elle, tu imagines !
J’imaginais en effet sa traversée du désert depuis son mariage et me promis d’y remédier de toutes mes forces d’ici la fin du week-end.
— La seule chose qu’il lèche, ça doit être ses doigts pour tourner les pages de son carnet d’adresses, dis-je un peu perfidement. Je parie qu’il ne s’est jamais foutu un doigt dans le trou de balle...— Ni dans le mien, je peux te l’assurer...— Je vais soigner ton état de manque ma salope !
Je lui ai donc suggéré de se mettre à quatre pattes, son joli cul dans ma direction. Ce qu’elle fit sans se faire prier, sachant mon attachement profond à son trou de balle et à ma capacité à l’utiliser de toutes les façons possibles. Je me suis agenouillé et penché vers ses belles joues fessières que j’ai écartées des deux mains afin d’avoir une belle vue directe sur son œillet et m’en faciliter l’accès. Il me sembla un peu moins souple qu’au temps de nos agapes, ce que je mis sur le compte de son régime cul forcé, la pauvre n’ayant pas dû avoir souvent eu l’occasion de se faire ramoner le tuyau de poêle. Je me suis donc d’autant plus appliqué pour le préparer en le léchant et en tirant dessus avec douceur. J’ai joué de la langue pour essayer de l’introduire aussi loin que possible et lubrifier son rectum, puis j’ai pris le flacon de Nivea derrière moi. J’en ai mis sur sa rosette et sur les doigts, avant d’en pousser un à l’intérieur de son canal. Mais elle me lança immédiatement un réprobateur...
— Hééé qu’est-ce que tu fous ? Un doigt ?! Tu n’as rien de mieux qu’UN doigt ?!!— Je voulais y aller en douceur, en six mois ton cul n’a pas dû voir beaucoup de monde passer, alors il est sûrement un peu rigide, non ?— Ecoute, en six mois il n’a pas vu passer une seule bite, mais j’ai toujours mes 10 doigts... et les godes, c’est pas fait pour les caniches...!
Effectivement, je voyais mal un caniche avec un de ses gros vibros dans le cul... par contre sa chatte ou son trou de balle...!
— T’inquiète, je vais mettre le paquet, je vais te faire brailler comme une truie en rut !
Là-dessus, je lui ai mis trois doigts dans la soupape, bien profond. Et j’ai cru entendre un soupir de... soulagement, comme si, son Carême terminé, elle reprenait goût à la vie ! Avec un quatrième doigt, j’ai eu droit aux compliments du jury...
— C’est bon là, tu y es bien, bourre mon cul, sois pas timoré...— J’y vais à fond, j’espère que t’es propre sinon ça va gicler grave et j’veux faire attention aux murs...— J’ai chié un bon coup avant de venir, mon salaud, tu peux m’éclater la rondelle...
De mon autre main je lui malaxais ses grosses loches et elle s’activait dans sa chatte, probablement quasi avec toute sa main car comme elle aimait le dire "un poing dans la chatte, un poing dans le fion, et je passe le mur du son". Effectivement, elle commençait à beugler et à trembler, je la voyais grimper vers son paradis à elle, et il fallait passer à autre chose avant que le soufflé ne retombe. J’ai sorti ma main de son cul et ramener l’autre sur ses fesses pour bien tout écarter. Je me suis redressé un peu.
— Ma fusée va se prendre ta lune, je passe en approche à vue...— Base anale prête pour l’entrée...— Pénétration, dose maximum...— Putain...! Elle est toujours aussi bonne ta bite...— Insertion maximum, je...— Merde, ta gueule, je sais où elle est ta bite ! Vas-y, percute-moi, fore-moi, encuuuule-moi !
Et c’est ce que j’ai fait, comme au "bon vieux temps", ma queue coulissait à merveille dans ses entrailles. Je pilonnais son anus comme un régiment d’artillerie, soufflant et crachant comme une locomotive lancée à pleine vitesse. De son côté, les beuglements étaient devenus des braillements sonores et rauques qui emplissaient la salle de bain.
— Pousse, vas-y pousse, encore, défonce-moi le cul...— Je vais venir, tu vas prendre ma purée... je le sens bien...— Attends, pas là... ici ! Me dit-elle en m’éjectant de son fion et en se retournant la bouche grande ouverte...
Je lui ai planté ma bite dans sa bouche béante, qui s’est refermée quasi sur mes couilles. Deux petits coups et je la ressors pour répandre mon foutre à la régalade. Elle prend tout, sur sa bouche, son nez, son menton, et elle passe sur son visage avec ses doigts pour ne rien perdre et tout ramener dans sa bouche. Elle passe sa langue sur ses lèvres, suce ses doigts et me dit enfin...
— Viens m’embrasser ! Viens partager ton foutre avec moi.
Je colle mes lèvres aux siennes et on se roule un patin monstrueux, de salive, de foutre et d’un reste de pisse...
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