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un weekend inoubliable

Chapitre 1

Hétéro
Tout a commencé ce vendredi 28 Juillet 2017. Le ciel était lourd, gris et pluvieux. Seuls les orages provoquaient, de temps à autre, des éclairs qui illuminaient le ciel.
J’étais coincé chez moi, seul devant la télévision à attendre un miracle qui pourrait me sortir de cette lassitude qui s’était emparée de moi. Je faisais défiler les chaînes sans m’y attarder plus que nécessaire, juste pour faire passer le temps. Après une énième tentative pour trouver un film intéressant, je suis tombé sur le journal de 13 heures. La commentatrice annonçait des orages pour tout le week-end, suivis de lourdes rafales. Dépité par ces nouvelles, je décidai de me lever et d’aller me préparer à manger.
J’ouvris le frigo, et devant le vide qui s’offrait à mes yeux je décidai de me réchauffer une pizza au four à micro-ondes. Douze minutes d’attente. Lassé par cette journée qui n’avançait pas, je m’allumai une cigarette et en tirai une bouffée qui s’échappa de ma bouche telle une balle tirée à bout portant. La deuxième bouffée fut plus calme. Les suivantes aussi. Quel temps de merde ! La pluie n’en finissait plus de tomber et avait, à force, formé des flaques d’eau qui se mélangeaient les unes aux autres pour former un ruisseau.
Tout d’un coup, un cauchemar remplit mon esprit. Je me dépêchai d’aller à la cave en dévalant les marches d’un vieil escalier en chêne. Arrivé en bas, que vis-je ? Le sol était recouvert de cinq centimètres d’eau sur toute sa surface. J’ouvris vite la porte de la cave et allumai la lumière. Mes machines de la veille étaient restées branchées aux prises de courant. Je les retirai aussi vite que je pouvais le faire et les rangeai dans leurs boîtes respectives. J’espérais sincèrement que ma dernière réalisation en bois n’avait pas pris l’eau. Non, heureusement, elle était posée sur mon établi. Ni une, ni deux, j’appelai les pompiers pour leur demander de venir poser des sacs de sable devant mon allée pour empêcher l’eau d’entrer dans mon jardin et de finir par inonder mon sous-sol. Ces derniers m’ont répondu qu’ils étaient débordés et qu’ils ne pouvaient venir avant trois heures.
Rageant, je raccrochai mon combiné et sortis dehors armé d’une pelle et d’une pioche. Arrivé devant mon allée, je commençai sans plus tarder à creuser une tranchée d’une bonne dizaine de centimètres pour permettre à l’eau de s’écouler le long du jardin et de finir dans le champ adjacent plutôt que dans ma cave. Mais ce travail m’avait épuisé, et de plus, étant sorti de chez moi sans veste, l’eau qui ricochait sous mes coups de pioche finissait sur moi, ce qui m’avait rendu tout crasseux.
Je rentrai chez moi. J’entendis alors le four à micro-ondes qui sonnait une dernière fois. « Merde, ma pizza ! Tant pis, je la mangerai froide. » Pensai-je. J’enlevai mes bottes et montai prendre une douche avant de redescendre pour manger cette pizza toute froide.
Cette journée m’avait rendu désagréable, énervé et grincheux. Je descendis à la cave pour essayer de remplir des seaux d’eau et de les vider dans le jardin. Une fois ce travail terminé, je remontai dans le salon, fatigué, pour m’écrouler sur le canapé.
La sonnerie de mon portable me réveilla brutalement, et tandis que je le cherchais dans la poche gauche de mon pantalon, je regardai par la fenêtre et me rendis compte qu’il faisait déjà nuit. Il s’agissait de ma meilleure amie, Clara, qui habitait dans le centre-ville de Namur. De mon côté, je logeais dans une maison à la périphérie de Wépion, un village réputé pour ses fraises d’une excellente qualité.
— Allô, Florent ?— Bonjour, Clara ; que puis-je pour toi, ma belle ?— Comment vas-tu ? Ça fait des heures que j’essaye de te joindre… Où es-tu ?— Bah, ici, chez moi, avachi sur mon canapé. Tout va bien ? Ta voix m’inquiète, que se passe-t-il ?— Ne tourne pas autour du pot, espèce d’imbécile ; tu ne pouvais pas me répondre ? Je t’ai appelé une vingtaine de fois ces deux dernières heures ; je me fais un sang d’encre pour toi. Allume vite la télévision et regarde les infos.
Je ne me le fis pas dire deux fois. Au son de sa voix, je compris que quelque chose de grave était arrivé. Dès que l’écran s’illumina, je découvris avec horreur les dégâts causés par les orages et la pluie. Toute la ville de Namur était bloquée ; la Meuse et la Sambre avaient débordé des canaux, et l’eau commençait à pénétrer dans la ville. Ce fut à mon tour de m’inquiéter.
— Clara, où-es-tu ? Tout va bien ? Tu es toujours à Namur ? Parle-moi !
— J’aimerais bien, mais tu ne m’en laisses pas l’opportunité. Je suis sortie de chez moi avec un maximum de vêtements et je roule à cet instant vers chez toi ; je serai là d’ici cinq petites minutes. Je suis désolée de m’incruster chez toi, mais tu es la seule personne capable de m’héberger. Je dormirai sur le canapé dans le salon s’il le faut, mais je ne resterai pas une minute de plus chez moi. J’ai peur, Florent.
J’acceptai sans discuter et me précipitai devant ma porte, attendant sa venue avec impatience. Cinq minutes plus tard, sa voiture arriva. Je la vis en sortir et courir vers moi à toute vitesse. J’ouvris la porte, et elle bondit littéralement à l’intérieur. Nous nous fîmes la bise puis elle retira ses chaussures trempées et s’installa dans le salon pendant que je refermais derrière elle.
Je nous servis deux verres de whisky et vins m’installer à ses côtés pour la prendre dans mes bras et la rassurer. Elle fondit en larmes ; je lui offris mon mouchoir pour les essuyer. Je finis par la regarder enfin et ne pus que manifester mon trouble lorsque je vis apparaître deux très beaux seins, pas trop gros ni trop petits – du 85 B j’aurais dit – ainsi que des cuisses bien fermes. Ce corps magnifique s’offrait à mes yeux grâce à cette fichue pluie qui avait mouillé sa robe blanche, assez légère et très courte. Remarquant mon trouble, elle ne mit pas longtemps pour se rendre compte de l’état de sa tenue. Elle rougit à son tour et tenta tant bien que mal de cacher ses seins avec ses bras.
— Florent ! Ne reste pas là à te rincer l’œil ! cria-t-elle. Apporte-moi une serviette.
Je me dépêchai de rejoindre la salle de bain afin de lui procurer ce qu’elle demandait. C’est alors que je me rendis compte qu’une bosse déformait dans mon pantalon ; mon trouble grandit de plus belle. Fraîchement séparé de ma copine depuis quelques mois, je n’avais pas réussi à retrouver une compagne et n’avais pu me consoler de ce manque d’un corps féminin qu’avec l’aide de ma main.
Je ne suis pas spécialement moche. J’ai des cheveux marron mi-longs, des yeux bleu clair et un nez assez gros, héritage familial si je peux dire. Pour mon corps, il est musclé juste ce qu’il faut pour mon mètre quatre-vingt-cinq. Je plais à la gent féminine, mais ce qui m’empêche de conclure, c’est ma timidité. Mes amis ont bien essayé de me décoincer un peu, mais rien à faire : les mots me manquent lorsque je suis face à une fille qui m’attire.
Quant à Clara, elle est sublime. Plus petite que moi mais pas trop, blonde aux yeux bleus, avec de très beaux seins, si j’en crois mon souvenir de tout à l’heure ; des fesses bien rondes qui lui donnent un sex-appeal du tonnerre. Elle n’a pas son pareil pour allumer les hommes avec son corps. Cependant, je ne l’ai jamais vue avec un homme pendant plus de deux mois.
Je suis le romantique coincé, et elle l’impudique célibataire. Nos amis communs ont souvent plaisanté sur notre relation très complice, en nous demandant pourquoi nous ne sommes jamais sortis ensemble. À cela, elle répondait que je suis comme son petit-frère (alors que j’ai trois ans de plus qu’elle), ce qui avait pour effet de calmer les projets de chacun quant à une possibilité de couple entre elle et moi. Allez comprendre les femmes…
Dès que je mis la main sur une serviette de bain, je me retournai pour la rejoindre mais la trouvai devant moi. Elle me demanda si je voulais bien lui défaire la fermeture de sa robe. Quand elle me tourna le dos, je ne pus qu’admirer ses sublimes courbes, mais d’une autre position ; je remarquai qu’elle portait un string en dentelle beige. Je commençai à la dézipper ; elle en profita pour faire descendre la robe jusqu’à ses cuisses avant de se retourner face à moi, les seins à l’air.
— Je me suis dit que puisque tu en as profité pour les observer tout à l’heure, il ne sert plus à rien de te les cacher !
Je restai scotché devant elle, la bouche grande ouverte, ne sachant que dire. Je lui tendis la serviette et partis me réfugier dans le salon où je bus d’un trait mon verre de whisky et j’allumai vite une cigarette pour faire retomber la pression et essayer tant bien que mal de calmer mon sexe qui avait atteint son amplitude maximale.
— Florent, peux-tu m’apporter mes affaires dans la salle de bain, s’il te plaît ? J’aimerais prendre une douche et je ne veux pas m’habiller devant toi dans le salon. Merci !
J’obéis sans réfléchir. Je toquai à la porte de la salle de bain en entendant l’eau couler et j’entendis sa voix mielleuse m’autoriser à entrer, ce que je fis doucement, en essayant d’être le plus discret possible, mais elle m’empoigna par la chemise et je me retrouvai directement en contact visuel avec sa nudité la plus totale.
— Mais… Enfin… Que fais-tu ?— Oh, ça va ! Ne fais pas le pudique. Tu en as bien profité pour te rincer l’œil depuis tout à l’heure ; alors maintenant c’est à mon tour. Déshabille-toi, et plus vite que ça !— Mais enfin, on est amis…— Et alors ? — Non, rien…
J’obéis une nouvelle fois. Sauf que cette fois-ci j’étais de plus en plus excité. Diverses images de nos corps nus, enlacés, s’entremêlaient dans mon esprit à mesure que je retirais ma chemise. À la vue de mon torse, elle se mordit la lèvre inférieure. Vint ensuite le tour de mon pantalon. Lorsqu’il fut à mes pieds, elle remarqua immédiatement mon érection à travers mon boxer ; ses yeux scintillèrent de convoitise.
— Tu me rejoins dans la douche ? me dit-elle d’une voix faussement innocente.
Elle disparut derrière le rideau. Je retirai mon boxer, laissant apparaître un sexe d’une quinzaine de centimètres mais assez gros, environ six centimètres de diamètre. Lorsque je fus nu comme un ver, je pénétrai à mon tour dans la cabine de douche.
Dès que je la rejoignis, Clara m’empoigna par la nuque et m’embrassa à pleine bouche. Je sentis sa langue se frayer un passage dans ma bouche afin de venir caresser la mienne, puis je sentis ses seins contre mon torse et sa main droite caresser frénétiquement mon engin. Ces contacts physiques m’électrisèrent à tel point que je l’empoignai à mon tour et la collai contre le mur. Mes mains se posèrent respectivement sur son sein gauche et sa fesse droite que je malaxai avec une envie qui m’étonna. Soudain, elle mit fin à notre baiser et s’agenouilla devant moi, me branlant lentement…
— Charlotte a dit vrai : elle est vraiment très grosse ! Je n’ai qu’une envie, la mettre en bouche.
Charlotte est le prénom de mon ex, qui est aussi l’amie d’enfance de Clara. C’est cette dernière qui nous avait présentés l’un à l’autre lors d’une sortie entre amis. Ce soir-là, j’avais bu plusieurs verres, ce qui m’avait permis de me défaire de cette timidité maladive avec les filles qui était devenue mon quotidien.
Clara léchait le bout de mon gland pendant que ses mains coulissaient sur la hampe et que son regard était fixé au mien. Soudain, elle ouvrit sa bouche et avala littéralement ma queue au fin fond de sa gorge. C’était ma première gorge profonde, et cette sensation me fit un bien fou. Après cela, Clara me prodigua la meilleure fellation de ma vie. Je remarquai, à ma plus agréable surprise, qu’elle n’en était pas à son coup d’essai avec ce genre de calibre. Dès qu’elle y prit suffisamment goût, elle s’arrêta et se releva pour m’embrasser avec encore plus de passion que lors de notre premier baiser.
Ce fut à mon tour de m’agenouiller devant elle et de humer le doux parfum émanant de sa vulve. J’y insérai un doigt et commençai de légers va-et-vient, ce qui eut pour effet de la faire gémir. J’accentuai alors la pression de mes lèvres sur son clitoris tout en l’aspirant et en le mordillant puis le léchant tout en continuant à la branler avec maintenant deux doigts. Clara prenait beaucoup de plaisir et gémissait de plus en plus bruyamment. En réalité, elle haletait, sentant la jouissance approcher.
Soudain, elle cria sous un orgasme très fort qui lui brûla les entrailles, et elle s’effondra devant moi, épuisée. Nous nous embrassâmes de plus belle et elle s’assit sur moi, en coulissant lentement sur mon manche qui la pénétrait doucement et lui arrachait des gémissements à chaque instant. Lorsque je fus entièrement en elle, elle commença à me chevaucher avec une telle hargne que nos cris résonnèrent dans toute la maison. Avec un tel traitement, je n’allais pas tarder à venir ; je le lui fis savoir.
— Jouis en moi, Florent.— Tu es sûre ?— Ouiiiii !
Son cri produisit une décharge dans mon bas-ventre qui envoya toute la sauce en elle. Nous avons joui quasiment instantanément. Je l’embrassai alors tendrement tout en lui caressant les cheveux, et nous nous dîmes un « merci » à l’unisson, ce qui nous fit rire. Puis nous prîmes une douche, et direction ma chambre.
En nous y rendant, je ne pouvais détacher mes yeux de son incroyable fessier qui se dandinait devant moi. Comme elle savait que je l’observais, elle bougeait de manière on ne peut plus provocante. Arrivés à l’étage, elle ouvrit la porte en me faisant face ; ses seins bien ronds m’encouragèrent à les caresser. Ses tétons pointaient déjà, preuve de son excitation. Elle entra dans la chambre et se dirigea vers le lit qu’elle enjamba tel un félin. La voir à quatre pattes nue et sur mon lit me fit perdre les pédales et je vins lover ma tête entre ses fesses que je pétrissais déjà.
Elle trembla lorsque ma langue vint lécher sa vulve et que mon majeur la pénétra sans attendre son aval. Elle fléchit davantage les genoux afin de diriger mon regard vers son petit trou ; le message était limpide ! Je commençai à lui lécher sa rosette tout en continuant à doigter sa vulve. Soudain, je la pris en double pénétration avec mes doigts, et tel un forcené je la pénétrai avec une force qui me surprit moi-même, lui arrachant des gémissements aigus. Elle finit par tellement aimer cette pratique qu’elle bougeait de son propre chef en faisant coulisser tout son bassin vers mes doigts. Son orgasme ne tarda pas à venir, et elle en profita pour se caresser le clitoris afin que sa jouissance la foudroie sur place.
Complètement épuisée, elle se coucha sur mon lit, les jambes écartées. Sur le moment, il ne s’agissait pas d’une invitation, mais la voir dans cet état me donna une confiance qui m’était inconnue jusque là et je vins entre ses cuisses récolter son doux nectar de ma langue. Elle gémit encore plus, se dandinant sur place, sa main droite sur ma tête. Mais ce fut cette même main qui me souleva la tête pour me demander d’arrêter car elle n’en pouvait plus. Elle m’embrassa fougueusement pour me remercier de lui avoir procuré autant de plaisir et nous nous couchâmes dans le lit, entièrement nus, un léger drap nous recouvrant à moitié.
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