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Un weekend qui dérape

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Un week-end qui dérape
Chapitre 1
Ça fait 10 minutes que j’attends patiemment sur le quai de la gare. Le train ne devrait plus tarder. Pour un vendredi soir, la gare est déserte. Il y a bien quelques personnes qui font le pied de grue comme moi, mais on est éparpillé le long du quai. On est portant au début d’un long week-end, lundi c’est férié. Pour passer le temps, je fais les cent pas. En me retournant, je remarque que de gros nuages s’amassent dans le ciel. La météo avait annoncé une tempête, on ne devrait pas être déçu.
Enfin, je vois le train arriver. Il s’arrête le long du quai et ouvre ses portes. Le quai qui était vide il y a quelques secondes se remplit soudainement de personnes qui vont et crient dans tous les sens. Je jette des coups d’œil autour de moi, avec mon 1m80, je n’ai pas besoin de faire beaucoup d’efforts pour regarder par-dessus cette foule à la recherche Charlotte. Je cherche une petite brune de 1m50. Pas facile de la trouver à travers cette foule. Ah ! Enfin, je la vois ! Elle essaye de se frayer un chemin en traînant derrière elle une grosse valise. Elle est complètement encerclée par la foule.
Quand elle arrive à ma hauteur, je la prends dans mes bras. Je suis si content de la voir, que je prolonge un peu trop notre étreinte. Les gens autour de nous nous bousculent et nous font comprendre qu’on bloque le passage. Je la relâche à contrecœur, et lui demande si elle a fait un bon voyage. Elle me répond que oui. On se dirige alors vers ma voiture en continuant d’échanger des banalités sur son voyage.
Je suis tellement content de revoir Charlotte que je suis sur un petit nuage. Il faut dire que ça fait bien six mois qu’on s’est plus vu. On se connaît depuis les premiers jours du collège, et on a passé toute notre scolarité ensemble. J’ai toujours été fou amoureux d’elle, mais je n’ai jamais eu le courage de le lui avouer. Quand j’ai enfin trouvé le courage de le lui dire, on a été séparé par nos études. Après notre bac, elle est partie à Lyon pour ses études et moi dans le nord de la France. Je pense très souvent à tous les moments qu’on a loupés, car j’ai été trop timide. Dès qu’on rentre chez nos familles respectives, on essaye de passer un maximum de temps ensemble, mais ces journées passées ensemble deviennent de plus en plus rares. Nos études nous prennent beaucoup de temps. On a donc décidé de passer un week-end ensemble afin de rattraper le temps perdu.
Une fois installé dans la voiture, j’en profite pour la détailler. Malgré ses 22 ans, elle porte toujours les mêmes habits depuis que je la connais: un jean et des baskets. Son jean serré met en valeur ses fines cuisses sculptées par sa longue pratique de l’équitation. Quant au haut, elle porte un simple débardeur mauve avec un léger décolleté qui met en valeur sa poitrine généreuse. Ce look d’ado va très bien avec son regard pétillant et son grand sourire. De plus, sa petite taille la rend très mignonne à mes yeux. En la regardant ainsi, j’ai un millier de pensées. Les unes plus folles que les autres qui me traversent l’esprit. J’ai toujours fantasmé sur elle, mais la profonde et sincère amitié qu’il y a entre nous m’a toujours empêché de franchir le pas.
Je suis rapidement ramené à la réalité par sa voix qui me demande gentiment de me concentrer sur la route, je commençais à dévier sur la gauche.
Enfin on arrive dans mon appartement. Un simple logement étudiant de 20m2, rien d’exceptionnel, mais il a l’avantage d’être bien aménagé et une fois dedans, on n’a pas l’impression d’être oppressé par quatre murs.
On s’assoit sur mon lit et on commence à discuter. Il faut dire qu’on a beaucoup à se raconter. On discute ainsi pendant plusieurs heures. Vers une heure du matin, on décide d’aller se coucher. Je la laisse se changer dans la salle de bain pendant que je prépare le lit et que je me change à mon tour. J’ai la chance d’avoir un lit deux places chez moi, ce qui nous évite de nous encombrer avec un sac de couchage. Quand elle ressort de la salle de bain, elle ne porte plus qu’un minishort de nuit qui couvre à peine ses fesses rebondies et un simple t-shirt pour le haut. J’ai de nouveau un millier d’idées qui me passent par la tête avec cette fois, une chaleur dans le bas-ventre qui vient se rajouter. Je me détourne rapidement pour pas qu’elle remarque l’effet qu’elle me procure. Malgré tout, je crois qu’elle l’a remarqué, car elle me fait un léger clin d’œil, et adopte une démarche très sensuelle pour traverser mon appartement.
Avant d’aller se coucher, elle sort un sac de sa valise qu’elle pose au pied du lit. Je n’arrive pas à voir ce qu’il y a dedans. Je lui demande ce que c’est, elle me répond avec un autre clin d’œil. Je n’insiste pas. Au moment de nous coucher, un violent orage éclate dehors. J’avais donc raison, une tempête arrive. On entend la pluie taper violemment contre la fenêtre. Je sais qu’elle a toujours eu un peu peur des orages, je lui propose de la prendre dans mes bras pour l’aider à dormir. C’est un geste puéril et je pensais qu’elle allait refuser, mais à ma grande surprise, elle accepte. Je me couche donc sur le dos et elle pose sa tête sur ma poitrine. Au bout de quelques minutes à écouter l’orage, je sens une de ses mains qui me caresse la poitrine. Je retiens ma respiration et tourne discrètement la tête vers elle. Avec la faible lumière que mon réveil diffuse, je la vois parfaitement réveillée avec un regard lubrique. Pas besoin de mots, j’ai compris le message !
À mon tour, je pose ma main sur sa hanche et commence à la caresser. Tandis que ma main descend sur ses fesses, elle s’assoit à califourchon sur moi. Je suis totalement surpris. Je ne l’aurais jamais devinée aussi entreprenante. Elle passe ses mains sous mon t-shirt et décide de l’enlever. Elle se couche alors sur moi et m’embrasse. Elle met toute son énergie dans son baiser, ce qui me fait perdre complètement la tête. Au moment où je lui commence à lui enlever son T-shirt, elle me saisit les mains et me les met au-dessus de la tête. Je ne résiste pas, je suis complètement subjugué par son baiser. Je ne remarque pas qu’elle a profité de mon moment d’inattention, pour récupérer un objet dans le sac qu’elle a déposé au pied du lit. Après avoir fini de m’embrasser, elle me saisit les bras et me passe un objet froid autour de mes poignets. Je me rends compte qu’elle vient de me passer une paire de menottes en acier.
Alors que j’essaye de me relever, Charlotte appuie de tout son poids pour m’en empêcher. Elle a déjà en main un de ces bâillons à grosse boule rouge qu’elle essaye de me mettre. J’ai à peine le temps d’ouvrir la bouche pour protester, qu’elle me gifle violemment. Je reste sans voix. Elle me dit calmement :
— Si tu obéis, tout va bien se passer, lève la tête et ouvre la bouche. — Mais qu’est-ce qui te prend ? Pourquoi tu m’as frappé ?!
De sa main libre, elle me saisit les couilles et les sert violemment. Je ne peux m’empêcher de gémir. Depuis quand est-elle violente ? Je suis complètement perdu. Voyant que je ne bouge toujours pas, elle serre plus fort mes bijoux de famille. Je décide alors d’obtempérer. Elle me passe rapidement le bâillon autour de la tête. La boule est si grosse que je n’arrive plus à fermer correctement la bouche. Sans un mot, Charlotte descend du lit et se dirige vers sa valise afin de récupérer quelque chose. Je décide de ne pas bouger, je suis complètement perdu et légèrement effrayé. J’essaye de retrouver mes esprits. C’est peine perdue, je sens une douleur au niveau de mon ventre. Charlotte a récupéré une cravache d’équitation dans sa valise et vient de me frapper avec. Mon cri de douleur est étouffé par le bâillon. Elle me frappe une deuxième fois en m’ordonnant de me lever. Je m’exécute sans réfléchir.
— Mets-toi à genoux en bas du lit, plus vite petit chien !! Très bien, regarde-moi maintenant.
Une fois à genoux, je la regarde dans les yeux. Elle s’est assise sur le lit, les jambes croisées, la cravache en travers des genoux, un regard de conquérant dans les yeux.
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