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Willow, soumise atypique

Chapitre 4

Promenons nous dans les bois...

SM / Fétichisme
Après une nuit sans heurts et une soirée qui, elle, m’en a offert quelques uns, je me réveille en douceur. Seule, dans le lit de mon amant/maître. Je m’interroge de suite sur ces nouveaux plaisirs auxquels je m’adonne, de plein gré bien sûr mais toujours guidée par l’autorité naturelle qu’Alexandre exerce sur moi. Après tout, si j’aime ça autant y aller à fond et de surcroît, je suis surprise d’avoir aussi bien dormi. Cela dit, nous ne sommes pas en couple alors je n’aurais sûrement pas dû dormir chez lui… Oh ! Merde ! Trop de questions ! Je me retourne dans le lit au moment où Alexandre arrive dans la chambre et me demande :
— Bonjour, alors ça va ? — Bonjour, ça va oui. Tranquille tu vois, je me réveille juste. Et toi ? — Oh moi, très bien. Je te demande ça parce que tu as été agitée cette nuit. Tu as bougé et parlé mais je n’ai pas compris ce que tu racontais. — Ah ouais ? Je ne me suis rendu compte de rien… J’ai dormi comme un bébé pour moi. Mais dis-moi, je ne t’ai pas cogné quand même ? — Ah ah, non rassure-toi, tout va bien. Mais ça m’intrigue quand même… Ça te le fait souvent ? — Oui… Non… J’en sais rien. (il me gonfle avec ces questions, et ma gêne se voit en plus ! Son foutu regard là aussi ! Attends, tu vas voir…) Pourquoi tu fais psy spécialiste en rêve en plus d’architecte maintenant ?!— Oh la ! Madame n’est pas du matin apparemment ! Faut pas s’énerver comme ça… Je fais juste la conversation. — Mouais… — Allez, oublions cela et viens prendre ton petit déjeuner, Soumise ! Dit-il en souriant malicieusement. — Oui Maître Connard ! Réponds-je en lui rendant la pareille.
Je ne change pas vous voyez. Le petit déjeuner se passe dans une ambiance plutôt détendue même s’il se rend compte que je ne serai définitivement pas une soumise du quotidien. Je lui ai dit mais en plus ça se sent dans mon attitude. Il peut me faire presque tout ce qu’il veut quand il me baise ou en tout cas quand il s’agit de sexe mais avant et après, c’est mort, je ne suis pas une espèce d’esclave. Je comprends que ça puisse plaire après mais c’est pas mon truc. Bref, on se sépare une heure plus tard en se donnant rendez-vous, ici même dans deux jours. Chacun de nous a des choses à faire. D’un côté c’est bien parce que je vais pouvoir faire le point un peu mais d’un autre côté, j’ai très envie de continuer rapidement ma découverte de la soumission. En même temps deux jours, c’est pas grand chose.
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Le lendemain, et après que j’ai passé la nuit seule et qu’elle n’a pas été facile du tout cette fois. Ce soir, je vais à une soirée organisée par des amis de la base. Ça me changera ptet les idées. Arthur doit venir me chercher bientôt donc je dois me préparer. Voyons voir… Restons simple et féminine à la fois tout en restant pratique, si on doit bouger un peu. Donc je me décide pour un jean moulant bien mes belles fesses musclées et un t-shirt blanc, moulant aussi. Un ensemble rose pour les sous-vêtements et de simples chaussures plates. Voilà. C’est parfait ! Pas vraiment de maquillage, juste un peu de ricil. Et mes cheveux roux/rouges tirés en arrière et noués en une queue de cheval. Je me regarde, on dirait une pub américaine pour du Pepsi. Et vous, vous me trouvez comment ? J’ai à peine fini de me préparer qu’un coup de klaxon m’avertit de l’arrivée de mon binôme et meilleur ami. Je descends les escaliers quatre à quatre ; je monte dans son 4x4. Et zou, c’est parti pour la soirée chez Adrien. On a une petite demi heure de route et on parle donc de tout et de rien pendant le trajet. Alors que nous sommes presque arrivés, je reçois un SMS d’Alexandre. Un message très court et très directif : "Demain. Rdv à 14h à Sare. Un peu d’exercice en plein air te fera du bien. Texte-moi dès que tu seras garée. Ps : dress-code : Chaussures de rando. Jupe ou robe assez courte mais pas trop. Aucun sous-vêtement." Et bien, au moins c’est clair. Je réponds par un simple : "Bien Monsieur, c’est noté. J’y serai." Le "Monsieur" va le faire bander, j’en suis certaine ! Je souris doublement : déjà parce que je sens que ça va être fort demain et ensuite parce que suis contente de ma petite réponse. Arthur observe mon attitude et curieux :
— Et bien, ce n’est pas du démarchage ce texto que tu as reçu, à voir ton sourire. — Non non, en effet. Une rencontre dans le train. — Ah bon ? Mais tu ne m’en as pas parlé… C’est un homme ? — Oui c’est un mec et non je ne t’en ai pas parlé mais tu ne vas m’en faire le reproche avec tout ce que tu m’as dit la dernière fois que j’ai voulu aborder ce genre de sujets avec toi ! Moi aussi je garde les trucs pour moi du coup. — Euh… Mais… Tu l’as mal pris la dernière fois ? Désolé. Mais quand même cette attitude ne te ressemble pas… Tu es amoureuse ?
J’explose d’un rire aussi sincère que sonore avant de préciser :
— Ah mais alors, pas du tout ! Pourquoi pas fiancée aussi ? Ah ah ! Et ça va t’excuse pas, je te chambre un peu quoi. Ah ben tiens, regarde ! On est les derniers apparemment ! Gare-toi à l’ombre, par là-bas.
Je ne tiens pas à continuer cette discussion plus avant. Je ne suis pas sûr qu’il comprendrait ce vers quoi je vais. J’ai essayé de changer de sujet un peu maladroitement du coup mais bon nous n’avons pas l’occasion de continuer de toute manière parce qu’Adrien est déjà contre la voiture en train de se foutre de nous pour notre retard. Il nous sort un truc du genre que si un jour on doit arriver à l’heure pour sauver le monde alors on serait bien dans la merde ! Ce à quoi je réponds que je ne voudrais pas sauver sa tête de con en tout cas ! Après quoi, je lui balance un coup de poing amical dans l’épaule. Ça permet de couper court à l’échange que j’avais avec Arthur. Mais je vois bien qu’il est intrigué et même contrarié, lui qui est habitué à ce que je raconte toujours ma vie sexuelle avec facilité. Espérons que la soirée lui fera oublier tout ça.
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Quelques heures plus tard, la soirée est déjà bien avancée… beaucoup de mecs sont alcoolisés et ont tendance à devenir lourds. Seulement, moi j’ai les idées claires et je ne picole pas alors dès que ça dépasse les bornes je mets les points sur les i et parfois même les poings dans les gueules, histoire de calmer les ardeurs des bourrins. Je suis joueuse et coquine mais je ne me laisse pas forcer la main. Surtout pas par un mec bourré qui sera infoutu de me baiser correctement par la suite. La soirée reste sympa et plutôt réussie cela dit. Ça danse, ça fait les cons, ça rigole, ça se chauffe même un peu… Mais moi ce soir je préfère la jouer soft, demain j’ai une grosse journée qui m’attend à mon avis alors pas de folies de mon corps ce soir. Quelques danses lascives pour faire baver les mecs et pour les embêter encore un peu plus. Puis aussi et surtout, je m’offre une danse avec Manon, une fille canon qui bosse aux transmissions. On se roule des pelles super sensuelles, on se caresse, on se frotte, et on se dévore du regard. Je vois certains collègues baver devant le spectacle. Nul doute qu’ils s’imaginent avec l’une ou l’autre, peut-être même avec nous deux. Mais ils rêvent ! Ça n’arrivera pas : moi je ne veux pas et Manon la blondinette est exclusivement homo. Dommage les mecs, ça sent la branlette ! Tout se passe bien jusqu’à ce qu’Arthur qui a un peu bu revienne me prendre la tête sur cette histoire de texto. Je la joue moins sur la défensive cette fois parce que sinon ça sera pire et il va se douter qu’il y a un truc spécial. Au contraire, je désamorce avec humour et en racontant une demi-vérité.
— Et mais je déconnais tout à l’heure, dans la voiture hein ! En fait c’est bien une sorte de démarchage mais par un mec quoi. Je te l’ai dit, j’ai rencontré ce type dans le train en revenant de chez mes parents. On a échangé nos numéros et depuis on discute un peu mais on ne s’est pas encore vu. Et c’est tout. Son message de tout à l’heure m’a fait sourire parce qu’il a pas mal d’humour juste. Allez, décoince-toi un peu frérot ! Tout va très bien ! Je voulais juste te taquiner un peu par rapport à la dernière fois.
L’explication semble suffire cette fois. Je l’adore mon binôme mais parfois sa présence fraternelle est un peu pressante même si c’est par bienveillance et par amitié. La soirée se termine tranquillement et nous ne rentrons pas trop tard ; je vais essayer de me reposer un peu pour demain. Mais bon, à nouveau les nuits sont un peu plus difficiles…
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Le lendemain, juste après le déjeuner, je me prépare avant de rejoindre Alexandre. Les chaussures de rando ok ; pas de sous-vêtements ok, forcément. Bon alors : jupe et petit haut ou robe ? Ce sera robe ! J’ai une jolie robe blanche à motifs de roses rouges, sans manches, avec des bretelles pas trop larges. La robe comporte un léger décolleté et elle descend à peu près jusqu’au dessus des genoux. Avec les chaussures de rando (heureusement pas montantes) ça fait quand même un look un peu à part mais bon je pense que ça fait partie du jeu d’Alex. Je décide, afin d’être plus à l’aise, de me refaire la même queue de cheval qu’hier soir. Vu le lieu du rendez-vous et la tenue demandée, je suis presque certaine que nous allons marcher sur les flancs de la Rhune (montagne Basque). Je prends la voiture et je rejoins mon amant à Sare.
Une fois garée, comme convenu, je lui téléphone. Il décroche.
— Oui. — Je suis arrivée. — Tu vois le petit bar près de là où part le petit train ? — Oui. — Rejoins moi là-bas, je suis à la terrasse. Je te verrai arriver.
Je m’approche peu à peu du café et de loin, j’aperçois Alexandre debout, en train de parler avec tout un groupe de jeunes gens (cinq mecs et une fille). Dès qu’il me voit, il quitte la bande de jeunes pour venir à ma rencontre.
— C’est bien. Tu es à l’heure et tu as respecté le dress-code. Tu vois les jeunes avec qui je parlais ? Ce sont des étudiants qui sont en vacances après leurs examens. Ils devaient prendre le petit train pour monter à la Rhune mais je les ai convaincus de plutôt nous suivre et de faire la monter à pieds. Ils resteront derrière nous et assisteront à notre promenade et… au reste. Évidemment, tu as intérêt à être bien docile. — Ouep ! — Ça part mal ! Ton "ouep" te coûtera une punition ! Tu dois me donner du "oui Monsieur" ou du "oui Maître".
Je le regarde avec défi puis je souris et je réponds :
— Ouep gros ! On est parti ?
Je le sens hésiter entre colère et sourire. Au fond de lui ça le gonfle vraiment, mais il sait qu’une fois dans le vrai jeu, je lui serai totalement soumise et qu’il pourra me malmener autant qu’il le souhaite. Il ne dit rien et commence à marcher en m’invitant à évoluer à ses côtés. En passant devant le bar, il fait signe au groupe de jeunes qui se lèvent et nous emboîte le pas. Nous ne prenons pas le sentier le plus fréquenté tandis que les jeunes nous suivent à seulement quelques mètres. Tout paraît totalement banal (en dehors de ma robe peu adaptée pour faire de la randonnée) mais c’est normal, nous croisons un peu trop de gens. À un moment, personne devant, personne derrière (enfin sauf les jeunes) alors Alex en profite pour m’ordonner de relever ma jupe et de montrer mon cul aux étudiants. Je m’exécute sans mot dire. Il les laisse admirer la paire de fesses musclées qui m’équipe pendant quelques secondes, puis il ne tarde pas à me claquer la fesse avec force, me faisant partir en avant. Je ne proteste pas, je ne crie pas, je garde ma jupe relevée et je marche encore. Paf, voici la deuxième, plus forte encore mais cette fois, comme j’étais vigilante, je n’ai pas trébuché. J’entends que ça commence à chuchoter derrière moi. Mais Alexandre a remarqué des gens donc il me demande de baisser ma robe de nouveau. Nous reprenons la marche et quelques fois, il renouvelle rapidement l’opération.
Après que nous avons progressé encore un peu, ça doit faire environ une heure qu’on a commencé à marcher. Alexandre décide de s’arrêter, il scrute les alentours et semble convaincu. Il fait un signe de tête rapide aux étudiants puis il me prend par le bras et m’entraîne hors du sentier. On progresse avec précaution pour s’éloigner du chemin de rando : nous passons quelques arbres puis on s’engage dans un passage plus boisé encore. Enfin, nous contournons quelques rochers empilés et nous nous arrêtons. Nous sommes invisibles et certainement inaudibles (et il vaut mieux) depuis le sentier et au cas où, Alexandre demande à nos suiveurs de vérifier de temps en temps que personne n’approche. Je me retourne et je me retrouve face aux jeunes, c’est la première fois que je les regarde en détails. Quatre garçons et une femme fille donc : tous habillés en tenue de rando : shorts et t-shirts de sports + chaussures adaptées et sac à dos. Ils doivent avoir entre 20 et 22 ans guère plus. Le premier mec, légèrement en retrait, qui ne me regarde pas vraiment semble timide mais il est plutôt mignon, brun et assez grand. Le deuxième paraît nettement plus intéressé, il me dévisage, enfin ce n’est pas tant mon visage qu’il mate (il me dé-corps-tique pourrais-je dire). C’est un type plutôt banal, sans plus. Le troisième est vraiment beau garçon par contre, sec et de taille moyenne, un vrai beau regard, très intense et charmeur. Je lui souris pour le coup et il me rend la pareille. Puis arrive le couple, car oui, il sont ensemble. La fille est dans les bras du mec : elle est brune, pas très grande, plutôt mince et bien proportionnée. Elle a un beau visage et on sent qu’elle n’est pas du tout gênée d’être là, elle a même l’air tout à fait satisfaite. Et puis, son mec donc : un peu dans le genre du beau gosse précédent en un poil plus grand et avec la même lueur que sa meuf dans les yeux.
Je sais que je vais me retrouver à poil devant eux, que je vais être malmenée et sûrement baisée mais ça me dérange pas. Je vous l’ai dit déjà je n’ai pas de problème avec la nudité, j’ai déjà été en club, déjà baisé devant d’autres personnes et j’assume mon corps et mes désirs. Alors, même si là c’est forcément différent, je suis un peu stressée bien sûr mais pas du tout paniquée (je vais même plutôt être niquée à dire vrai). Près de moi, Alexandre semble chercher quelque chose. Et je comprends ce que c’est quand je le vois tâter des bouts de bois plus ou moins verts. Il trouve finalement son bonheur (et le mien) dans un tige de bois d’une belle longueur, plutôt souple et donc pas trop épaisse. Il fouette l’air avec, faisant siffler le bois et paraît tout à fait satisfait.
— C’est pour te faire renouer le contact avec la nature ironise-t-il faisant sourire les jeunes qui semblent un peu gênés. Puis, tout proche de moi, il me murmure à l’oreille : Tu vas payer ton insolence… — Fais-toi plaisir lui réponds-je dans un soupir érotique. — Ok, les jeunes, vous allez voir ce que c’est qu’une bonne soumise, en vrai. Pas comme dans les bouquins à la noix. Ne vous inquiétez pas pour elle, elle est tout à fait consentante et demandeuse même. Pas vrai ? me demande-t-il
En réponse je baisse les yeux en signe de confirmation.
— Baisse donc tes bretelles pour montrer tes seins à nos spectateurs !
Aussitôt dit, aussitôt fait, je descends mon haut juste en dessous de ma poitrine. Il s’approche et commence à me peloter avec force puis à pincer et à tordre mes tétons. J’essaye de ne pas gémir mais c’est compliqué. Je sens mon excitation poindre le bout de son nez. Il se recule et il regarde les jeunes ; ils ont tous l’air très intéressé. Alexandre se déplace encore un peu et il caresse mes seins avec le bout de la verge de bois.
— Lève le bas de ta robe qu’ils admirent le devant après avoir vu l’arrière.
J’obéis sans broncher et tout juste au moment où j’offre aux regards étudiants le spectacle de ma chatte toute lisse, Alexandre, d’un geste vif, me balance un bon coup de baguette sur les seins, cette fois-ci, je ne peux retenir un cri, suivi de celui de la jeune fille en face de moi qui a été surprise (mais pas choquée), les mecs ont sursauté aussi d’ailleurs. Une marque rouge s’étend sur ma poitrine, sur ma peau si blanche. Putain ! Je vous jure, ça réveille ! J’ai serré ma robe de toute mes forces au moment du coup. Mais Alexandre ne veut pas me laisser trop de répit et il m’ordonne de retirer ma robe, ce sera plus facile ainsi. Il part ouvrir son sac à dos et en sort de la corde (il a tout prévu ce malin petit pervers). Il frappe doucement les fesses avec la tige et me demande de m’approcher de l’arbre tout proche sous une grosse branche qui a l’air bien robuste. Il part attacher la corde autour du tronc puis il passe au dessus de la branche et m’attache les mains dans un nœud complexe. Il me sourit et me fait lever les bras en l’air. Il repart près de l’arbre et tire sur la corde afin que je sois suspendue… Je suis pratiquement sur la pointe des pieds quand il estime avoir suffisamment étiré mon corps. Il fixe la corde et revient vers moi. Il s’adresse aux étudiants :
— Alors les jeunes, c’est pas une belle salope ça ? — Qu’est ce qu’elle est bien foutue en plus. Elle a un putain de corps.
C’est la jeune fille qui a parlé. Je la regarde dans les yeux et je sens qu’elle est excitée par la situation. Je n’ai pas le temps de réfléchir à la question plus longtemps parce que je prends un coup de verge sur les cuisses. Je tourne ma tête vers Alex et tchak ! Un deuxième coup dans le dos cette fois. Je pousse mes deux petits gémissements et me croirez-vous, j’aime ça, je mouille même. Alexandre me dit :
— Ça c’est pour ne pas remercier la jeune fille polie qui te fait des compliments. — Merci mademoiselle, dis-je dans un souffle, c’est très gentil de votre part. — Mais de rien, c’est vrai que tu es sacrément bien gaulée.
Elle a vraiment un regard pervers celle-ci, et ça me fait mouiller encore plus. Alexandre s’approche, soulève une de mes jambes et leur montre mon entrejambe déjà humide et chaude. Il joue avec ses doigts sur mon clito et à l’entrée de ma chatte, glissant un doigt ou deux rapidement. Il est tout fier de leur dire que je suis déjà trempée. Il laisse alors retomber ma jambe au sol et me susurre :
— Maintenant, je vais aller chercher ta punition pour m’avoir appelé comme tu l’as fait tout à l’heure. J’étais pas sûr de me servir de ça aujourd’hui mais tu l’as cherché !
Ah ben voilà, ça devait arriver, je savais que je l’avais vexé tout à l’heure… Qu’est ce qu’il me prépare ? Devant moi, tous me regardent avec curiosité et envie, d’ailleurs la jeune fille est en train de caresser l’entrejambe de son homme. Ce regard qu’elle me lance ne souffre d’aucun malentendu : la situation l’excite clairement. Mais déjà Alex revient, il joue avec une chaîne d’une quarantaine de centimètres dont je pense déjà savoir ce qui se trouve à chaque extrémité… Vous aussi j’imagine. Et nous avons tous raison. Des pinces à tétons. Aïe. J’ai jamais testé ça moi. À ce moment précis, je suis partagée entre appréhension et excitation ; j’aime cette sentation. Il approche encore et sourit, prenant manifestement beaucoup de plaisir. Il me regarde dans les yeux et me fait un signe presque imperceptible de la tête pour me rassurer. Sa main avance vers mon sein, comme au ralenti. Il ouvre la pince et place les deux barrettes de chaque côté de mon téton érigé. Et lentement toujours, il desserre la pression de ses doigts tandis que celle de la morsure de la pince s’intensifie sur ma pointe de chair. Putain, putain… Ça fait foutrement mal même si je me retiens de gueuler. Je sens une larme perler dans le coin de mon œil et une autre glisser le long de ma cuisse. Parce que oui j’aime ça, j’aime cette douleur sans m’expliquer vraiment pourquoi. Mais que c’est bon de s’abandonner à ne plus rien maîtriser, à n’être que l’objet d’un désir plus grand et plus sale que le mien. Alex, sentant bien que ma douleur se mêle de plaisir se fait beaucoup moins attentionné pour la deuxième pince et il attache rapidement mon deuxième téton à l’autre bout de la chaîne. Il se recule un peu et reprend la tige de bois afin de m’asséner un nouveau coup sur les fesses puis sur le ventre. Le coup sur le cul est plus puissant mais celui sur le ventre fait vibrer la chaîne qui pendouille et m’arrache un cri dû à l’addition des souffrances. Ah tiens, ça bouge du côté des étudiants.
Alex se retourne et aperçoit le plus timide en train de s’en aller suivi par celui qui était tout proche de lui. Celui qui est en couple leur demande de ne pas trop s’éloigner afin qu’ils puissent prévenir si quelqu’un arrive, ainsi ils feront le guet. Me laissant un peu de répit Alexandre part voir le groupe restant et étonnamment ils se mettent en cercle et chuchotent des phrases que je ne peux percevoir. Après deux minutes environ, Alex revient vers moi pour m’annoncer :
— Bon les deux autres sont partis. Trop gênés. Le mec tout seul là, celui qui range un truc dans sa poche de chemise là, il veut rester et mater juste. Et le couple est chaud pour participer à la séance. Ça te dit ? — Oh… Euh… Oui
Là, Alexandre saisit la chaîne et la tire vers l’avant, étirant mes tétons et allongeant ma poitrine par la même occasion. Je gémis encore…
— Oui qui ? Dit-il en en surjouant la colère. — Oui Monsieur. — C’est bien ! Je préfère ! Termine-t-il avant de me murmurer : je crois que la jeune fille est très chaude et qu’elle est motivée… Par contre si ça va trop loin pour toi, tu me regardes de façon significative et j’interviens. Ok ?
Cette simple petite phrase me fait beaucoup de bien. Il faut une dose d’inconscience pour se laisser attacher à un arbre en plein forêt par un mec rencontré il y a quelques jours et devant des jeunes dont j’ignore tout. Alex est un pro, il sait qu’il doit aussi me protéger, s’assurer que tout ce qui se passe soit un plaisir partagé entre nous. Il sait que j’aime me soumettre donc il y va fort, comme vous avez pu voir mais ça reste contrôlé, calculé et réfléchi. Bon, c’est pas tout, vous attendez la suite et moi aussi d’ailleurs.
Pour le moment les trois jeunes se sont juste approchés de moi, il observent de plus près. Alexandre me doigte à nouveau et se sert de ma mouille pour lubrifier mon anus… Il a une idée derrière la tête ou plutôt, il a une idée pour mon derrière. En effet, il ne tarde pas à insérer deux doigts dans mon cul pour le travailler un peu. Je suis encore un peu serrée mais ça va il sait y faire pour me dilater sans me faire mal. Une fois qu’il me pense prête, il part quelques secondes puis revient et me présente un objet devant le visage. Un plug anal de taille médium en métal avec une très artistique rose noire sculptée au bout de la partie émergée de l’objet. Il me demande de le sucer un peu pour l’humidifier encore. Pendant que je suce le jouet qui va bientôt investir mon cul, je vois que le jeune homme a sortie sa queue et que sa copine le branle en douceur en me regardant sucer. Alexandre me tire par la queue de cheval pour me faire arrêter puis il passe derrière moi, me fait bomber les fesses et il passe sa langue sur mon petit trou. Enfin, il appuie le plug contre mon anus et il pousse pour le faire rentrer tout entier. Je supporte bien l’insertion même si ça force un peu. Me voilà suspendue à une branche d’arbre, un plug fichée dans le cul, des pinces accrochées aux seins, devant mon nouvel amant, un jeune homme qui mate avec attention, un autre qui a sorti sa bite et maintenant enlevé son t-shirt et enfin une belle jeune fille qui vient de lâcher le sexe bandé de son mec et qui demande à Alexandre si elle peut avoir la tige de bois.
Il lui tend avec un sourire poli comme s’il lui tendait une salière pendant un repas. Sauf que c’est moi qui vais servir de plat de résistance apparemment. Alexandre tombe le haut et il vient ensuite soulever mes jambes pour les placer autour de sa taille, il me regarde dans les yeux encore une fois et, après avoir enfilé un préservatif, il enfonce sa queue bien raide dans ma chatte impatiente. Quel bonheur de le sentir en moi. La jeune fille se met en sous-vêtements puis armée de la verge boisée, elle vient se positionner toute proche.
— Je suis une coquine, annonce-t-elle, mais toi tu es vraiment une salope. Une petite soumise qui a envie de se faire malmener. Hein, ma salope ? — Oui Mademoiselle, c’est ce que je suis ! Soufflé-je docilement. — Et quel corps tu as…
Elle ne va pas plus loin et me balance un coup de baguette de bois dans le dos. Je gémis tout en m’appuyant contre Alex. Elle enchaîne avec un deuxième coup à peu près sur la même zone puis un troisième sur mes fesses qui me donne particulièrement de plaisir. Le simple voyeur lui me tourne autour en faisant quelques pauses, sûrement pour observer ce qui se passe. Ma jeune Maîtresse occasionnelle se cale derrière moi et saisissant le plug du bout de ses doigts fins elle fait des allers retours dans mon fondement avec le jouet. En plus de ça, elle passe une main devant entre le corps d’Alex et le mien pour s’emparer de la pince qui serre mon téton et jouer avec. Je suis dans un autre monde, ma mouille dégouline sur mes cuisses. Alexandre me baise en profondeur et avec force et la miss me fouille le cul et me triture le sein. J’ai mal mais cette douleur décuple mon plaisir. Et finalement les yeux dans ceux du jeune homme qui me regarde en se masturbant, je jouis : j’essaye de retenir mes cris mais c’est très compliqué tellement mon orgasme est puissant. Je suis frustrée de ne pas pouvoir me servir de mes bras alors je serre la corde dans mes mains et la taille de mon amant entre mes cuisses. Mon corps se relâche et je laisse retomber mes jambes. Je rouvre les yeux et je vois que le mec que je regarde toujours a failli gicler juste en me matant. Mais, un puissant coup boisé sur mes fesses me fait retrouver durement la réalité et m’arrache nouveau un gémissement.
— Mais elle a joui sans demander l’autorisation cette garce !! S’insurge l’étudiante, plus amusée qu’en colère. Vous allez laisser passer ça ? — Ah ! Ça, c’est une petite insolente ! Toujours à désobéir ! Réponds Alexandre, en tirant sur la chaîne qui pend et dont chaque extrémité est serrée sur la pointe de mes seins. Puis il ajoute : Excuse-toi auprès de nous et vite, petite salope ! — Aïe… je… Je suis… Sincèrement désolée d’avoir joui dans autorisation. Je m’excuse auprès de chacun d’entre vous. — Mouais… ça manque de conviction, conclut Alex. Je crois que tu vas quand même subir une punition ! Bien méritée. Mais cette fois…
Et cette fois, il part près du tronc d’arbre afin de donner du mou à la corde et c’est un vrai soulagement pour moi et pour mes bras que je peux enfin baisser même s’ils restent liés l’un à l’autre. Pas pour longtemps d’ailleurs puisqu’à l’Alex me libére finalement totalement avant de prendre une grande serviette roulée dans son sac et de la poser au sol. Ma petite jeune lui tend la tige afin qu’il reprenne la main sur la situation. J’ai toujours la chaîne qui pend sur mes tétons douloureux et le plug dans l’anus. Je prends un nouveau coup sur le cul et Alex m’ordonne :
— À genoux !
Je m’exécute sans broncher et me voilà à genoux sur la serviette. Le jeune homme et Alex s’approchent de moi, debouts tandis que la jeune maîtresse s’agenouille derrière moi. Le troisième étudiant continue à tourner autour de nous sans participer. Alors voyant deux queues tendues arriver près de mon visage je sais ce qu’il me reste à faire : je saisis les deux bites, une dans chaque main et je commence à les branler. Alex m’attrape par la queue de cheval et il me fait avancer le visage vers son sexe. Je le prends en bouche direct. Le mec avec qui il me partage aujourd’hui s’en équipe aussi d’un préso et se masturbe en me regardant. Le voyant fin prêt, Alex m’ordonne de changer de bite. Alors je suce le jeune homme qui est plutôt pas mal monté lui aussi. Sa meuf me vire le plug du cul pour le remplacer par ses doigts. Je passe d’un sexe à l’autre avec ma bouche mais sans jamais négliger l’autre grâce à mes mains. Je reçois encore quelques insultes et tirages de cheveux de chacun des participants. J’enchaîne les gorges profondes et les léchages de glands et de couilles. Les mecs sont aux anges ! Puis Alex me commande de me mettre en position de levrette et bien sûr j’obéis dans la seconde.
Une fois installée je demande si on peut me retirer mes pinces à seins ; j’ai extrêmement mal aux tétons. Alors oui je sais ce que vous allez penser, que j’aime ça… et c’est vrai mais à un moment la douleur finit par masquer le plaisir. D’autant que je ne suis pas encore très habituée. Mais bon revenons à nos cochons. La jeune étudiante se propose de passer sous mon buste pour cajoler mes seins souffreteux sans oublier de retirer son propre soutif, histoire que je puisse lui en fasse autant. C’est son chéri qui s’agenouille derrière moi et qui entre en moi direct pour me baiser sans ménagement, encouragé par sa copine. Les jambes écartées de part et d’autre de la jeune perverse, Alexandre me présente à nouveau sa queue. Je le suce donc de nouveau en même temps qu’il joue sur mon dos avec la baguette, me caressant et me frappant en alternance. Juste en dessous je sens les mains et la langue de l’étudiante sur mes seins. Derrière moi, le mec se déchaîne dans ma chatte. Tant et si bien qu’après une poignée de minutes, il pousse un grognement et se met à remplir le préservatif de son sperme. Il jouit fort en me serrant les fesses. Je suis proche de jouir moi même quand il calme le jeu et se retire finalement. Ah, le spectateur a quand même finit par sortir son engin lui aussi… Mais il reste habillé malgré tout.
— J’ai l’impression que cette petite soumise t’a bien excité mon salaud lui dit sa copine, après s’être sortie de sous mon corps et en caressant ma croupe. Faut dire qu’elle est trop bonne dans cette position. Mais du coup, c’est son Maître qui va venir s’occuper de sa rondelle maintenant, non ? — Et comment, s’exclame ce dernier en s’adressant à moi, je vais t’enculer à fond ma belle salope !
Je suis totalement dans mon rôle de soumise en ce moment, plus de place pour la provocation : j’ai quand même mal aux seins ; mal dans le dos et sur les fesses, où j’ai été fouettée (j’ai d’ailleurs de belles marques à n’en pas douter) ; mal aux poignets à cause de la corde et de comment j’ai tiré dessus tout à l’heure. Bref, tout ça fait que je n’ai pas la force de faire la maline. Donc ma réponse se fait assez simple :
— Monsieur…
Il passe derrière moi, il veut se positionner mais la jeune tient à lécher un peu mon petit trou avant qu’il se mette à s’occuper de moi. Cette langue qui fouille mon cul, c’est bon et apaisant. Mais ça ne dure pas longtemps. Elle s’installe tout près de moi, m’oblige à tourner la tête et elle me crache dans la bouche avant de venir m’embrasser fougueusement. Alexandre, lui, est en position : il place son gland à l’entrée de mon anus et il se met à pousser pour faire rentrer son pieu dans mon cul. Il y arrive assez facilement parce que j’ai été plutôt bien préparée et dilatée. En quelques secondes il est complètement en moi, et il peut se mettre à coulisser dans mon fondement. Ça coince un peu quand même, je reste un peu serrée malgré tout. Mais que c’est bon encore de se sentir remplie comme ça. Alex s’accroche encore à ma queue de cheval et il baise mon cul avec force et application. Et bien sûr, la jeune femme ne reste pas sans rien faire, elle se met à me pincer le clito (qui avait été épargné jusque là) histoire de continuer à me donner un peu de douleur. Elle caresse mes seins en même temps et elle continue à m’insulter et à encourager mon amant à bien me prendre. Son homme, quant à lui vient s’allonger devant en moi à la perpendiculaire par rapport à moi.
— Ah je crois que mon mec a envie que tu t’occupes de lui redonner la forme !
Je ne me fais pas prier et je prends son chibre demi bandé en main pour lui redonner de la vigueur en le branlant. Le peu de fois où Alexandre me lâche les cheveux je m’autorise même à venir lui lécher un peu les couilles pour l’aider à durcir un peu plus vite. Pendant ce temps Alex me sodomise presque sauvagement sans le moindre répit et l’étudiante a lâché mon clito préférant baiser mon minou avec ses doigts, et elle aussi, elle n’y va pas de main morte (c’est le cas de le dire). Je gémis de plus en plus bruyamment et elle prévient Alexandre qu’elle sent que je ne suis pas pas loin de l’explosion. Mais lui-même ne tarde pas à me devancer de quelques secondes et il jouit tout en faisant coulisser sa queue hyper dure dans mon cul. Les coups sont moins rapides mais plus puissants, me faisant crier, cette fois sans retenue. Je sens qu’il se vide abondamment dans la capote et ça entraîne mon orgasme. L’étudiante, maline, sait habilement jouer de ses doigts et au moment où elle dégage sa main de ma chatte, je lâche de sacrés jets de cyprine… Elle s’en amuse et remet ses doigts, rejoue à l’intérieur et ressort, ce qui a pour conséquence d’expulser de nouvelles gerbes de mouille.
Et puis, les cris et les gémissements s’arrêtent, tous les mouvements sont au ralenti : Alexandre sort son sexe de mon anus, l’étudiante s’écarte un peu de moi, son mec bande comme un malade à nouveau, le troisième larron a arrêté son manège et il a même commencé à se branler. Mes cuisses sont dégoulinantes de mouille, la serviette est trempée, la main de la fille poisseuse et on entend que le bruit de nos souffles… Dans un dernier élan de domination, Alex me donne sa queue libérée du latex à nettoyer et peu après la fille me fait lécher ses doigts et sa main pour me faire goûter ma cyprine. Elle et Alex me caressent la tête en me complimentant :
— Tu as été bien obéissante. C’est bien. — Tu as sacrément squirté dis donc ! — Tu as bien encaissé ! — Tu as de jolies marques ma salope. — Je suis fier de toi.
Alexandre m’aide à me relever et il m’emmène près de son sac à dos dans lequel il a quelques lingettes nettoyantes (décidément il a tout prévu). Il m’aide à me laver rapidement et à prendre soin des marques qu’ils ont laissées un peu partout. De son côté le jeune couple s’est positionné en 69 et ils se dévorent l’un l’autre. Leur pote a enfin retiré sa chemise et les regarde en se masturbant. Une fois que les deux conjoints ont joui, ils se regardent d’un air entendu et la fille appelle leur ami afin qu’il se finisse dans sa bouche lui aussi. Elle est sacrément coquine aussi quand même, elle vient de s’avaler deux bonnes rations de sperme. Nous les regardons en finissant de nous nettoyer et de nous rhabiller et une fois encore Alex prévoyant a amené des fringues plus adaptées à la randonnée pour moi ainsi que des sous-vêtements. À les voir, ils me donneraient presque envie de recommencer mais je ne peux plus. Une fois toute le monde rhabillé, nous buvons tous pour nous rafraîchir et après avoir vérifié qu’on oublie rien, on rejoint les deux autres et on reprend tranquillement la rando pour monter au sommet de la Rhune.
Une fois là-haut, les jeunes insistent pour nous payer un verre et une crêpe au bar/resto qui se trouve au sommet. S’en suit une discussion tout à fait banale et très sympathique où les étudiants se rendent compte que mon caractère est tout autre dans la vie quotidienne. Ils me voient comme je suis en temps normal : chieuse, raleuse, amusante, piquante, n’ayant pas la langue dans sa poche et entraînante. Et encore, je suis claquée et je souffre toujours un peu des délicieux sévices que j’ai reçu. Nous les quittons poliment mais avant cela Alexandre prend quand même le numéro de téléphone et le mail d’un des mecs du groupe, "le voyeur". Nous partons et je demande à Alex que nous redescendions par le petit train. J’ai pas envie de me retaper tout le chemin à pied. Étonnant pour une militaire pensez-vous… Et ben je vous emmerde ! Déjà j’ai pris cher et j’ai dû faire la montée quand même et en plus là je ne suis pas au boulot justement alors je vais profiter du petit train de la Rhune pour me poser.
Pendant le trajet, Alex me propose de venir me doucher chez lui avant que nous sortions manger un bout quelque part. Il m’invite même. J’accepte volontiers. Ainsi nous parlerons et bookerons sûrement la prochaine séance.
J’ai hâte…
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