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Willow, soumise atypique

Chapitre 6

Pause, bowling et anniversaire

SM / Fétichisme
Quelques heures après ma "prise en main" matinale, nous mangeons ensemble Alexandre et moi. J’ai cru l’espace d’un instant qu’il voudrait tout arrêter. Mais, que voulez-vous, je suis irrésistible ! Plus sérieusement je crois surtout qu’il a compris que mon taf importe peu au final et que ça ne change rien à notre relation. Passé la surprise il s’est rendu compte que ça n’avait pas vraiment d’importance. Enfin, passons, c’est oublié. Par contre ce repas est aussi l’occasion de pouvoir échanger sur la relation en cours : faire le point sur ce qui est déjà arrivé et discuter de l’avenir. Ainsi, Alexandre me donne un double des clés de sa maison. L’idée étant que je puisse partir quand je veux quand je dors chez lui, si jamais il s’en va plus tôt que moi. L’autre truc, c’est que ça permet de aussi que je puisse l’attendre chez lui, en position, en tenue… Etc. C’est plutôt une bonne idée je trouve donc j’accepte avec plaisir. Et je profite de l’occasion pour le prévenir :
— Par contre tu as pu déjà le voir mais j’aime énormément te provoquer. Je me connais, je sais que ça peut aller loin du coup. Alors ne sois pas surpris. Bien sûr je prendrai la punition sans rechigner derrière… — Oui j’ai vu ça. C’est à la fois contrariant et excitant parce que je sais que je vais te le faire payer ensuite. Mais… mais par contre si tu vas plus loin dans la provoc, si tu dépasses ton statut de soumise donc, alors moi je dois pouvoir aller plus loin dans ma sanction aussi. Sinon, ce n’est pas juste. — Ben en fait si je déconne, tu me punis. Je vois pas le truc là. — Oui mais tu déconnes exprès, tu sors de ta posture de soumise en faisant ça et tu me demandes de rester moi dans ce qu’on avait convenu… Je trouve que ce n’est pas très équitable. Et ça fait de toi la décideuse, or je suis censé être le dominant.
Son argumentaire se tient et son regard est toujours aussi perturbant. Mais je sais pas, j’ai l’impression qu’il cherche à me baiser (enfin à m’arnaquer parce que me baiser, ça il le fait déjà). Bon je vais essayer d’en savoir un peu plus quand même parce que vous, vous n’allez pas m’aider bien sûr.
— Je comprends le principe général mais tu veux dire quoi exactement par "aller plus loin dans la punition"? — Ah mais, tu es bien curieuse sourit-il. Je ne te demande pas les provocations que tu vas faire moi. Mais bon ne t’en fais pas trop non plus, si je dois aller un peu plus loin, ce ne sera pas dans des trucs crados et que tu ne voudrais pas faire du tout. Genre uro, scato tout ça. Ce sera juste à la hauteur de ce que tu fais toi quoi : tu débordes alors je déborde aussi. — Mouais… Je vois, on va dire que je te donne un accord de principe mais bon, si jamais ça va trop loin, je te rentrerai quand même dedans. — Non ! En général c’est plutôt moi qui rentre en toi ! — T’es con !
Et on se marre un bon coup, comme pour entériner cet avenant au contrat oral qu’on avait passé au tout début. Toutefois, tout en riant, chacun observe l’autre en se demandant ce qu’il va bien pouvoir lui faire à l’avenir. On se sépare après le repas en se disant qu’on va espacer un peu la prochaine rencontre. Déjà parce qu’il faut que mon corps se repose, ensuite parce qu’il va devoir refaire un tour sur Bordeaux et enfin parce que je vais aussi sûrement voir un peu les copains une dernière fois avant la reprise du taf, dans un contexte plus ludique quoi. En plus, on fête l’anniv d’Arthur dans trois jours.
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Et cet anniversaire c’est au bowling que nous devons le fêter. C’est toujours sympa les soirées au bowling. On sera huit en tout et on va bien se marrer, c’est sûr. Alors… Oh ! Attendez on m’appelle. Je finis la présentation après du coup. Et quelle surprise ! C’est Loïc ! Ah mais vous ne savez pas qui est Loïc je crois. Je vous ai parlé de lui déjà mais sans préciser son nom. Et bien vous savez mon histoire de plug pendant un rencard pour me faire payer Disneyland ? Ben il faisait partie de la bande. C’est même celui qui a retiré le plug de mon cul quand je suis rentrée du rendez-vous. Bizarrement on a jamais baisé lui et moi, même pas ce jour-là ; il a juste profité du moment et pris plus de temps que nécessaire pour retirer le jouet anal.
— Alors Willette ! Ça roule ? — Oh putain, ça fait longtemps qu’on m’a pas appelée comme ça ! Ça va et toi Lolo ? — Oh ben ça va moi. Tu donnes plus de nouvelles alors je te téléphone ! Pour être sûr que tu es encore en vie quoi. — Hé mais tu te calmes, gros ! Je reviens de mission et là je suis en perm’. Donc bon, je profite un peu quoi.
— Ah ! Tu as dû faire quelques chanceux alors ! — Pfff t’es nase ! Bon et à part prendre des nouvelles et me chercher des noises, tu voulais quelque chose de particulier. — Et bien oui à vrai dire. Je vais être en vacances dans quelques semaines et je pensais descendre te voir à Bayonne pendant quelques jours. Pas toutes les vacances parce qu’en plus tu travailles toi mais genre quatre jours tu vois, avec un week-end dans les quatre jours, histoire qu’on se voit quand même. — Ah ben ouais ! Carrément ! Ça me ferait super plaisir. Je me plais bien ici mais vous me manquez vachement quand même. On formait une sacrée bande ! — Bon ben c’est trop cool. En plus je connais pas du tout le coin moi. Par contre je serai seul, y aura pas les autres. Pas trop déçue ? — Tu vas voir c’est hyper beau ici. Et si un peu mais bon je me contenterai de toi du coup… Pas le choix ! — Salope ! — Oh ça, t’as pas idée ! Mais peut-être que je montrerai ça quand tu viendras !
À ce moment là, y a eu un petit blanc dans la discussion, je crois qu’il a hésité, qu’il s’est demandé si j’étais sérieuse ou pas… Finalement, il a préféré continué sur le ton de la rigolade. Et on a enchaîné comme ça. Puis il m’a dit qu’il me tenait au courant des dates dans quelques jours. Il me tarde de le voir et de le recevoir en tout cas et il est fort possible que moi, je ne déconnais pas quand je lui parlais de lui montrer mon côté coquine !
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On se retrouve tous devant l’entrée du Bowling. Les huit donc et cette fois je vous les précise : Il y a Arthur et ses trois colocataires : Julien, un collègue. Patxi, un collègue et vous l’aurez compris un mec du coin. Et Charles, qui pour le coup ne bosse pas dans l’armée ; il travaille dans un garage, comme mécano. Ensuite il y a Camille, la copine de Julien, une adorable institutrice. Nathan, un pote barman qui travaille dans un bar qu’on a beaucoup fréquenté et donc on a créé des liens. Manon, la collègue homo avec laquelle je me suis chauffée lors de la dernière soirée. Et…. Et ben moi évidemment. Ça devrait être une super soirée vu les invités, le lieu et la raison qui nous réunit. Comme nous sommes nombreux, on nous attribue deux pistes différentes. On se décide donc à faire deux demi-finales. Les quatre meilleurs s’affronteront dans une finale et les quatre autres dans une sorte de consolante. On nous donne deux pistes voisines. Je me retrouve dans une demi-finale avec Nathan Julien et Camille. L’autre est donc constituée de Manon, Charles, Patxi et Arthur. Je ne vais pas vous faire le détail des parties mais tout de passe bien et ça rigole pas mal. Dans les moments tranquilles, je vais régulièrement vers Arthur pour lui faire un câlin, m’asseoir sur ses genoux etc Mais comme frère et sœur, rien de plus. Toutefois, il se passe deux évènements notables au cours des demis.
Nous voyant si proches Arthur et moi, Camille, un peu éméchée, s’en étonne et demande innocemment :
— Mais vous êtes super proches tous les deux ! Vous êtes ex ou copains de baise ou quoi ? — Ah ah non, réponds-je, un peu surprise par sa question directe, elle qui est si timide d’habitude. Rien de tout ça, on est juste deux collègues et amis très proches ; on passe beaucoup de temps ensemble au taf. — Ah oui ? Juste ça ? Mais vous êtes spécialisés en quoi déjà ? Je crois que je ne sais même pas.
Cette fois, on se retrouve un peu comme des cons lui et moi. On ne s’attendait pas à cette question à ce moment-là… On hésite, on se regarde avec un peu de panique dans les yeux, genre "qu’est-ce qu’on va dire ?". Ça dure une poignée de secondes mais ça nous semble une éternité. Finalement c’est Julien qui intervient à point nommé.
— Mais enfin ma puce ! Je te l’ai déjà dit 50 fois au moins, ils sont paras comme nous quoi ! — Ça c’est vrai, je suis témoin, il te l’a déjà dit, insiste Manon, et s’ils sont si proches c’est parce qu’Arthur a pris Willow sous son aile quand elle est arrivée à la base.
Moi je veux bien qu’on fasse des myhtos pour pas trop parler de ce qu’on fait mais là ça va trop loin. Je m’impose en pouffant de rire :
— Oui enfin, ça c’est ce qu’il s’amuse à raconter en tout cas ! Mais la vérité, c’est que c’est moi qui l’ai protégé dès que je suis arrivée ! Avant moi il se faisait bizuter de partout ah ah…
Arthur qui s’est levé pendant mon petit discours. Il s’approche de moi et me balance un taquet dans l’épaule me faisant presque valser sur la piste glissante. Je me retiens de justesse à Manon qui en profite pour me mettre les mains au cul et me tirer un smack ! Je me retourne et nous explosons tous de rire. Et zou, c’est passé comme une lettre à la poste.
Le deuxième événement me concerne aussi : un peu plus tard, je m’avance pour jeter ma boule puis la jette et au moment où je reviens vers les copains, je ne me rends pas compte que mon t-shirt est un peu relevé. C’est Nathan qui remarque quelque chose (habitué qu’il est à me mater). Ce sont bien évidemment les stigmates de ma dernière soirée avec Alexandre. Il s’exclame bruyamment pour me le signifier. Mais putain, quelle grande gueule celui-là ! Tout le monde me regarde alors que j’ai tout juste le temps de me couvrir. Je réponds avec le plus d’aplomb possible en le regardant droit dans les yeux :
— Ça va, calme moi choupinet ! Je me suis pétée la gueule dans les ronces en allant courir en montagne l’autre jour. Mais je vois que tu es toujours en train de me mater espèce d’obsédé ! Je vais te dénoncer sur les réseaux sociaux sociaux, harceleur !! — Mais t’es vraiment con ma pauvre ! Se marre-t-il à moitié. Imagine qu’on t’entende ! En plus c’est toi qui me harcèles pour coucher avec moi ! — Dans tes rêves oui !!
Une fois encore ça passe grâce à la rigolade. Enfin, revenons à la compet’ : vu que Camille et Julien passent leur temps à se bécoter, ils ne sont pas du tout dans la partie, ce qui me permet (parce que moi je suis à fond !) de finir deuxième derrière Nathan et d’accéder à la finale. De l’autre côté, c’est Patxi (mais il joue à domicile, c’est normal) et Arthur (selon Manon elle l’a laissé gagner pour son anniv) qui passent. La finale se déroule dans une super ambiance ; la consolante aussi d’ailleurs. Certains picolent un peu et on finit la soirée en offrant ses cadeaux à Arthur. (bon si je n’ai pas parlé du classement final, c’est parce que j’ai pas fait première ! Alors n’en parlons pas plus parce que ça va me gonfler sinon)
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Comme c’est l’anniversaire de mon meilleur pote, que je suis crevée et que je n’ai absolument pas envie de dormir seule chez moi je vais aller coucher chez lui. Après les quelques nuits paisibles consécutives à mes moments de folie sexuelle avec Alex, je flippe de ne plus arriver à bien dormir à nouveau et du coup, je dors effectivement mal. Là, en rentrant chez Arthur et les colocs, je sais que je serai à peu près apaisée. En plus demain on pourra bouger avec Arthur et se faire un petit moment sympa.
Nous rentrons tous ensemble et je lui demande de me filer un de ses grands t-shirt, ce qu’il fait avec plaisir. Je prétexte un petit passage à la salle de bain pour me changer et ne pas prendre le risque qu’il voit mes marques. En passant la main dessus, doucement, nue devant le miroir, je me dis qu’Alexandre me manque. Pas nécessairement la personne, même s’il est super ; ce qui me manque vraiment c’est le Maître qu’il est, ce sont les situations dans lesquelles je me retrouve. Bon allez, n’y pensons pas trop, ça ne sert à rien. Je ne tarderai pas à le revoir de toute façon. En enfilant le vêtement d’Arthur, dans lequel je nage, je me rends compte que je ne vous l’ai même pas décrit. Alors mesdames, ça risque de vous intéresser, mais on fait de mal à mon frèrot par contre ! Alors : Arthur est un grand gaillard de 31 ans, il est fait 1m85 pour 75 kg. Un corps musclé de partout avec un buste taillé en V. Il a une coupe militaire très classique, aux cheveux bruns très courts. De beaux yeux marrons et un visage à la fois anguleux et sympathique. Pas mal les filles hein ? Mais bon, allez, je regagne la chambre. Un fois arrivée, il me demande si je suis trop crevée pour discuter un peu. Je suis fatiguée mais ça peut aller alors j’accepte. Ah ! Faut que je lui dise :
— Hé je t’ai pas dit : Loïc, un des potes de Lille, va descendre bientôt. Il va passer quelques jours ici. — Cool ! Tu l’aimes bien lui si je me rappelle bien. — Ouais c’est un bon déconneur et il est plutôt beau garçon… Y aura ptet moyen. — Tu es impressionnante ! Tu n’arrêtes jamais toi ! Sourit-il. Mais et ce mec du train finalement ? — Alexandre ?! Bah il est cool mais il se passe rien pour le moment. On va ptet se voir mais il a pas mal de boulot et pas toujours dans le coin en plus. — C’est tout ? — Quoi, c’est tout ? — Ben tu ne ressens rien pour lui ? — Euh… On se connaît pas vraiment et puis c’est pas ce que je cherche.
Arthur semble réfléchir et a l’air de ne pas oser parler. Étrange parce qu’on parle toujours de tout sans problème et sans gêne. Surtout moi. Je vais l’aider un peu, le pousser.
— Tu sais que tu peux tout me demander hein, je suis pas toujours fine mais ça va quand même, on peut discuter avec moi. Allez, dis moi. — Ben, on parle de tout, tout le temps mais assez peu de l’avenir au final. Qu’est ce que tu veux pour le futur ? Je parle de personnel… — Genre couple, mariage, enfants, maison etc etc ? — Oui voilà. — Couple, oui je crois mais pas sûre que je puisse ni ai envie de vivre toute ma vie avec un seul mec donc à voir. Mariage ? Aucune idée, je ne sais pas du tout franchement. Les enfants oui mais je sais pas quand. Enfin oui, un en tout cas. Peut-être deux mais pas plus. Après, la baraque, difficile à dire mais dans l’idée, retaper un truc ça peut être sympa. À voir. Mais pourquoi toutes ces questions ? — Et bien on parle jamais de ça d’habitude et honnêtement je ne savais pas du tout ce tu envisageais pour l’avenir. Mais tu n’as pas l’air pressé que ça se fasse tout ça ? — Je sais pas, j’ai pas de date limite tu vois, et puis ça dépend de plein de trucs. Faut trouver le mec, que ça matche et tout quoi. Et avec ce taf déjà, c’est pas évident. Mais et toi alors ? — Ah moi. J’aime bien l’idée de couple exclusif et de vie à deux. J’ai bien envie de me marier. Je veux des enfants, sans nombre déterminé. Et acheter une maison ; d’ailleurs j’ai déjà commencé à me renseigner pour d’éventuels crédits. Je cherche une vraie histoire, un truc sérieux, le plus tôt sera le mieux même. — Toujours aussi carré toi, je vois ha ha ! C’est plus clair chez toi… Mais je ne suis pas surprise. Je te souhaite d’y arriver au plus vite alors frérot ! Tu un mec bien et tu le mérites sincèrement. Si je tombe sur la meuf idéale, promis je te la mets de côté. — C’est gentil et pareil pour moi avec toi. — Et ben, bon courage alors ! Tu veux faire quoi demain pour finir de fêter ton anniversaire ? — Je sais pas, j’avais pensé faire un tour à la Rhune par exemple. — Ah ben j’y suis allée y a même pas une semaine moi et tu peux me croire, ça m’a épuisé ! — Ah oui ? Bon ben on verra demain. Y a le choix ici de toute façon.
Après cette discussion étonnamment sérieuse nous éteignons les lumières pour enfin dormir. Avoir évoquer une de mes sessions avec Alex me perturbe à nouveau : d’abord parce que ça m’excite et que je ne vais pas me toucher à côté de mon meilleur pote. Et ensuite parce que vu ce qui s’est passé avec Alex pendant mon sommeil, j’ai un peur que ça m’arrive ici et de raconter mes séances SM. On verra bien mais en tout cas, une chose est certaine : je suis avide de participer à la prochaine séance avec Alexandre et j’avoue avoir très envie d’aller plus loin encore, d’être plus punie et maltraitée encore… Demain matin, j’envoie un message à Alex !
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