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Willow, soumise atypique

Chapitre 11

Une soirée plus soft...

Hétéro
Quelques jours ont passé depuis notre petite soirée coquine avec Patxi. Nous avons repris notre relation telle qu’elle était auparavant et nous n’avons parlé de ça à personne. Ça nous regarde après tout. Mais, je ne dirais pas non à une nouvelle "partie de ça va - ça vient" (vous avez la réf ?) avec ce petit cochon basque. Pour le moment, je dois surtout revoir Alex pour une nouvelle session mais un truc, au taf, vient remettre notre rendez-vous en question. Je l’appelle pour lui expliquer :
— J’ai un petit souci pour demain soir Alex. — Ah oui ?! Que se passe-t-il ? Rien de grave, j’espère ? — Non non, rien de grave. C’est juste qu’après-demain, j’ai la visite médicale annuelle et forcément je vais être à poil ou presque devant la doc de la base. Je ne peux donc pas me permettre d’avoir des marques partout, sinon ça va jaser et j’ai pas envie d’avoir à me justifier devant un médecin de l’armée. Surtout cette doc qui se prend pour une psy, elle ne pourrait pas s’empêcher de me faire toute une analyse alors que l’explication est toute simple : j’aime me faire bousculer dans la baise et être soumise. Bref, tu as compris quoi… Tu veux annuler ? — Ah mais non, pas du tout. On fera une séance plus soft si ça te va. J’ai deux trois trucs à tester si ça te dit. — Ça peut être sympa oui. Mais je t’avoue que j’espérais vraiment faire une séance plutôt extrême. — Alors voilà ce que je te propose : d’habitude on espace un peu les sessions mais là, vu que celle de demain sera plus soft, on peut tout à fait remettre ça après-demain soir, comme ça, ta visite chez le médecin sera passée. — Wouah ! Deux soirées en deux jours ! Y a moyen que ce soit deux très bonnes soirées. T’es pas en train de tomber amoureux de moi, dis donc ? — Ah ah, non non. Rassure-toi ! Je crois que toi et moi, nous ne pouvons pas être en couple. Nous sommes trop différents, pas compatibles pour former un vrai couple. Par contre, on forme un excellent duo pour nos petits jeux et je dois dire que je t’apprécie bien, amicalement parlant. — Je plaisantais. Mais je suis 100% d’accord avec tout ce que tu as dit. On a bien fait d’en parler, comme ça, c’est clair entre nous. Bon et je suis d’accord pour les deux soirées, bien entendu. À quelle heure demain soir ? — Viens dîner à la maison, ce sera plus sympa. — Ok. Pas de problème. Alors à tout à l’heure. — Je t’attends pour l’apéritif alors. Essaye de mettre de beaux sous-vêtements tiens. Surprends-moi. À tout’.
Ah ! Bon, alors je vais devoir repasser chez moi avant de le rejoindre parce que je suis habillée en mode détente aujourd’hui. Mais il a raison, je vais me faire plaisir aussi et essayer de trouver un ensemble (ou autre) qui soit super classe.
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J’ai trouvé ce que je pense être la tenue idéale pour ce soir. Je porte un sublime body noir fait de dentelle et d’endroits plus cachés, au niveau du pubis quoi, parce que pour être honnête, le tissu ne dissimule pas grand chose. Les bretelles sont fines et elles se nouent sur la nuque. Au niveau des seins et jusqu’à la taille, c’est de la dentelle. Pas de manches bien sûr et très échancré, laissant apparaître la peau entre les seins et descendant presque jusqu’au nombril et à la deuxième attache qui traverse le body, comme une ceinture intégrée qui se noue dans le bas du dos. De dos, justement, pas grand chose : les deux rubans qui maintiennent le devant et, au niveau du fessier, ça part en string. Je ne sais pas si vous visualisez mais je suis putain de canon avec cette pièce de lingerie. Rien qu’à me regarder dans le miroir, j’ai envie de me baiser ! L’effet sur Alex devrait donc être le même, j’espère en tout cas. Par dessus le sublime sous-vêtement, que porter ? Je me décide pour un pantalon de cuir noir moulant et un chemisier, léger mais opaque, beige pour le haut. Je porte en plus une jolie paire d’escarpins noirs et une veste en cuir. Me voilà toute apprêtée : à la fois rock, classe et sexy. Je m’en vais rejoindre mon domin-amant.
J’arrive chez lui vingt minutes plus tard. Je sonne pour la forme et énergiquement puis j’entre avant qu’il ne m’invite à le faire. J’aime jouer les sans-gêne. Quand j’arrive dans le salon, Alex se tient là, charmant et bien sapé, toujours ce style un peu bobo qui lui va si bien. Il s’approche de moi, je sens dans son regard que ma tenue lui plaît beaucoup. Il dépose un baiser sur ma joue et me murmure :
— Tu es canon, Willow. Si je m’écoutais, je te baiserais là, de suite. Et pas en douceur, tu peux me croire. Mais chaque chose en son temps et en plus je sais qu’il va falloir être plus soft ce soir. Mais tu ne perds rien pour attendre… Petite salope ! — Monsieur. Réponds-je seulement en lui lançant un regard de braise.

De temps en temps, j’aime à lui donner exactement ce qu’il demande ; il faut savoir souffler le chaud et le froid. Il me claque ensuite fortement la fesse puis il m’invite à m’asseoir sur le canapé qui, il y a peu, a été le témoin de mes frasques et de la punition qui en a découlé. Ce double souvenir me fait sourire pendant que je m’installe. Nous buvons un verre (sans alcool toujours pour moi) et nous discutons de choses et d’autres avant d’en venir au sujet principal qui nous lie : le sexe. Alex me parle d’une idée à laquelle il a pensé grâce à la soirée de punition suite au tag. Moi, soumise et offerte à cinq hommes, dont lui, dans sa salle secrète. Mais en plus de cela, cette fois, il y aurait un public derrière la vitre, entre cinq et huit personnes (triées par ses soins bien sûr). La séance serait forcément assez extrême et il me faudrait donc être en forme pour affronter cette soirée. L’idée me séduit dans la seconde ! Être baisée et malmenée par cinq mecs et être exhibée en même temps me fait même mouiller d’avance. Je lui donne donc mon accord préalable et enthousiaste. Alex est ravi et nous continuons à discuter de tout et de rien tout en préparant le repas et en dînant. Une fois encore la soirée est extrêmement agréable (et la bouffe excellente !) ; peu à peu, une vraie amitié est en train de naître entre nous. Il est cultivé, ouvert à la discussion et comme moi, il adore le débat. Alors parfois ça chauffe un peu parce que nous ne sommes pas toujours d’accord et qu’aucun de nous ne lâche le morceau. Mais ça finit toujours par des sourires et des chambrages. En plus de tout ça, on se confie aussi l’un à l’autre et on se parle de nos projets, envies etc. Bref on devient clairement amis et ça ne gâche pas nos séances de cul en plus. D’ailleurs en parlant de ça, il est temps pour nous de passer à la partie plus salace de la soirée. Il me tarde de voir le regard gourmand d’Alex quand il va me voir en body.
Alors que je veux m’avancer vers la salle secrète, Alex me retient par le bras et m’informe que ça ne se passera pas là-bas ce soir mais dans sa chambre. Il m’explique que puisque la séance doit être plus soft, je serai plus à l’aise dans la chambre et qu’il a préparé tout ce dont il a besoin. Il me met une tape sur les fesses et me commande :
— Allez, vilaine fille ! File dans MA chambre !
L’ordre me fait sourire et je joue le jeu en baissant la tête et en me faisant toute penaude, comme une petite fille qui aurait fait une bêtise. Il me fait entrer dans la pièce. Elle est tamisée et offre ainsi une luminosité joliment érotique.
— Déshabille-toi ! En douceur. Montre-moi ce que tu as choisi comme sous-vêtements et garde tes chaussures aussi, tiens.
Je m’exécute docilement. Je dégrafe mon chemisier bouton par bouton mais je me retourne avant de le retirer. Il ne voit que les deux nœuds de tissu dans mon dos. Lentement, je me retourne pour lui présenter le devant du body. Ses yeux pétillent d’excitation et d’admiration. J’enlève les chaussures le temps de retirer le pantalon en cuir puis je les repasse et je me tiens debout face à "Monsieur". Il est québlo le mec ! Subjugué par mon corps dans le sublime sous-vêtement. Mes seins et mon cul sont parfaitement mis en valeur (déjà qu’ils n’ont pas besoin de ça) et je tourne sur moi-même pour laisser à Alex l’opportunité de profiter pleinement du spectacle. Il reprend enfin ses esprits et attrape quelque chose sur la table de nuit. Il passe ensuite derrière moi, me demande de soulever mes cheveux puis il m’attache un collier de tissu relié à une laisse. Il en profite pour me murmurer :
— Tu as vraiment bien choisi ta tenue. Tu es une magnifique petite salope soumise comme ça. Allez, tsss, allonge-toi sur le lit. Sur le ventre.
J’obéis en silence et je m’installe conformément à sa demande. Il commence par m’attacher les poignets entre eux avec une corde douce, pour ne pas laisser de marques. Ensuite, il repart vers la table de nuit et en sort une petite cravache. Je m’en étonne, lui en fais part, mais il me répond qu’il a prévu le coup : que le bout de la cravache est étudié pour ne pas laisser de marques, ce sera plus une sensation d’humiliation que de réelles douleurs. Il ajoute tout de suite après que si je parle à nouveau sans autorisation, il sera obligé de me bâillonner. Je ne sais pas si c’est sérieux, je m’en tape d’ailleurs, mais ça me fait bien sourire. Pourquoi ? Parce que je sais qu’il n’en fera rien, il aime trop m’entendre gueuler pour vouloir m’en empêcher ! Il me donne ensuite un petit coup de cravache sur chacune de mes fesses dénudées puis, approchant l’objet de mon visage il ordonne :
— Tiens moi ça, j’ai à faire ! Et ne la fais surtout pas tomber ! Sinon…
Il me place alors la cravache dans la bouche et je la sers entre mes dents, comme une chienne tiendrait un bâton. Je sens qu’Alex retourne à la table de nuit avant de venir s’installer sur le lit, puis, il me demande d’écarter les jambes pour venir se positionner entre elles. Après quoi, il se met à masser mon cul et à le complimenter. À présent, il le malaxe avec force, pétrissant mes miches avec appétit tout en se demandant probablement les futurs sévices qu’il fera subir à mon petit trou serré ; j’en salive d’avance je vous le garantis. Ses mains douces et ses doigts fins et délicats connaissent bien mon corps et savent où appuyer pour me faire du bien. Soudain, plus rien, puis j’entends le "pop" caractéristique de l’ouverture d’un tube de lubrifiant. Il m’enlève la cravache de la bouche et dépose un plug (médium) dans mes mains attachées.
— Suce-le, lubrifie le bien ! Pendant ce temps, je m’occupe de préparer ton petit cul à le recevoir.
Ah ! Le début de la séance me plaît bien ! J’adore me sentir remplie à ce niveau-là, à tous les niveaux d’ailleurs, mais j’aime particulièrement qu’on s’occupe de mon petit fion. Je suce donc le jouet intime en alu afin de l’humidifier et de le réchauffer par la même occasion. Pendant ce temps, Alex prépare mon petit trou à recevoir son dû. Il masse mon anus, en surface, et, peu à peu, il y enfonce son doigt, puis un deuxième peu après ; il le travaille et me dilate un peu. J’ondule déjà du bassin tellement c’est bon. Il vient ensuite chercher le plug dans mes mains puis sans plus attendre, il me l’enfonce avec précaution. J’aime tant me sentir enculée, écartée, dilatée petit à petit, et il le sait bien. Une fois l’objet du délit en place dans mon cul, il est temps de passer à la suite ; je me demande ce qu’il a prévu. Un peu comme s’il avait lu dans mes pensées, il m’explique la suite du programme :
— Je vais te masser avec des gants spéciaux, à impulsions… Ça va t’envoyer des petites décharges, tu vas voir.
Je ne connais pas du tout ce truc mais je suis curieuse de voir ce que ça peut donner. Alex détache donc les deux nœuds qui tiennent le body à l’arrière et dégage les rubans sur les côtés, laissant mon dos nu. Il me surprend ensuite en se saisissant minutieusement de mes cheveux pour les attacher en une petite queue de cheval ; il veut avoir un accès totalement dégagé à ma peau. Il enfile les gants et ils posent ses mains sur moi : une sur la nuque et l’autre sur mon épaule gauche. Il laisse passer les premières décharges qui me surprennent et me picotent légèrement. Puis, il démarre un vrai massage sur tout mon dos, mes bras et ma nuque tout en distillant ses gestes de nouvelles petites impulsions. Ça commence à me donner chaud : le plug dans le cul, plus le massage me font de l’effet. Alex se décide à s’attaquer à des parties plus intimes de mon anatomie et ainsi, il s’affaire à présent sur mes fesses. Il en profite pour passer la vitesse supérieure sur les gants. Les décharges sont plus puissantes et le plaisir que je ressens également. Je mouille, je le sais et à ma façon de tortiller du cul, mon amant le sait aussi. Il s’en amuse beaucoup même puisqu’il me fait relever légèrement le bassin pour passer une main gantée sur ma chatte et rapprocher la deuxième toujours plus proche de mon anus occupé. Et justement, ça fait vibrer le plug et c’est vraiment trop trop bon. Je suis prise de chaque côté par des décharges électriques qui secouent mon corps et mes sens. Je gémis sans retenue tant j’apprécie le traitement. Je bouge de plus en plus vite et je m’écrase sur sa main pour bien sentir les vibrations traverser le tissu. Je suis toute proche de jouir quand Alex choisit volontairement de tout arrêter.
— Mmmh, je vais m’arrêter là, ironise-t-il, il est bien trop tôt pour que je te laisse jouir, ma petite soumise.
Oh le putain d’enfoiré !!! J’en ai presque les larmes aux yeux mais je dissimule mon avis de gueuler et de l’insulter qui lui feraient bien trop plaisir. Je reste même super zen, ce qui est très rare chez moi quand on connaît mon caractère. Il reste quelques secondes sans rien faire ni rien dire, attendant probablement ma réaction, mais je tiens bon. Je sens alors qu’Alex se relève et passe à nouveau par la case "table de nuit", mais cette fois, il ne se remet pas derrière moi. Il passe devant moi puis s’agenouille au bord du lit, pour caler son visage en face du mien. Il me montre alors l’objet qu’il compte utiliser pour la suite : c’est un sextoy, un stimulateur clitoridien pour être précis. Je suis plutôt sensible à ce niveau aussi et sur le coup je ne peux m’empêcher d’afficher un sourire coquin et satisfait.
— Tu vas adorer, je le sens, annonce-t-il en me rendant mon sourire. Mais je vais finir de t’enlever ton body déjà, ce sera plus facile ainsi.
Il se relève mais il prend le temps de se désaper avant de s’installer sur le lit, en boxer. Puis, comme prévu, il me retire la superbe pièce de lingerie choisie pour l’occasion. Il m’ordonne ensuite, à l’aide de deux nouveaux petits coups de cravache sur le cul, de me poser sur mes genoux, en levrette quoi. Il fait ensuite mine de sortir le plug de mon anus mais, à peine est-il à l’air libre qu’il le ré-enfonce en moi sans ménagement. Ça m’arrache un petit cri de surprise mêlé de douleur. Il m’aide ensuite à me redresser afin que je puisse me positionner à quatre pattes, enfin pas tout à fait puisque je suis en appui sur mes avant-bras et pas sur mes mains. Une fois bien positionnée, Alex se fait un plaisir de me faire remarquer que j’ai laissé son drap trempé par ma cyprine. Précision inutile parce que je m’étais parfaitement rendue compte que j’avais coulé à flots. Je ne réponds rien ; toute réponse lui ferait bien trop plaisir. Mais, je ne vous cache pas que dans ma tête je me dis : "Vas-y, fais le malin… je t’aurai plus tard. Tu verras !". En attendant, je le laisse continuer à s’occuper de moi et je prends sacrément mon pied. C’est quand même plus soft que d’hab mais ça ne m’empêche pas de m’y abandonner avec autant de plaisir que les autres fois. Je m’oublie un peu, c’est quelque chose de très apaisant pour un esprit aussi agité que le mien. Alex me tire de mes réflexions en apposant le jouer sur mon clito, puis, enclenche les vibrations. Il en profite pour ajouter quelques coups mesurés de cravache pour le simple plaisir de voir mon cul rebondi rougir légèrement. D’une manière générale, il est plus direct dans sa façon de faire. Alors que l’ensemble de la première partie a été lente et progressive, à présent, il cherche à m’amener rapidement au septième ciel. Ainsi, il joue sur mon clito pendant près de vingt minutes tout en me gratifiant de quelques insultes habituelles, légers coups de cravache ou mini fessées ainsi que de quelques tirages de cheveux plus ou moins prononcés (mon rendez-vous de demain me fait vraiment chier ; j’aurais aimé beaucoup plus). Il finit par jouer encore un peu avec le plug avant d’enfoncer deux doigts dans ma chatte brûlante et de m’assener de puissants va-et-vient. Une nouvelle vague de plaisir m’envahit, mes yeux se ferment, je commence à gémir, je suis prête à jouir… Et… tout s’arrête ! Le stimulateur n’est plus en contact avec mon clito, il cesse de fonctionner, puis Alex retire ses doigts brusquement. Je hurle de frustration et m’effondre sur le lit, j’essaye malgré tout de frotter ma chatte contre le matelas pour me finir, il s’en aperçoit et m’en empêche. Il retire également le plug, sans douceur. Je bouge encore un peu, mais plus par réflexe physique qu’autre chose, je sais que je ne pourrais pas jouir.
Peu à peu, mon corps se calme, j’en reprends le contrôle, tout comme je reprends mon souffle. J’ai envie de l’insulter, mais encore une fois, je ne craquerai pas. Je veux bien jouer la provocation quand c’est moi qui le décide, quand ça le surprend, mais là, je sais que c’est ce qu’il attend, donc c’est plus drôle pour moi de ne pas céder à mon côté provoc. Ma mission étant clairement, dans tous les cas, en plus de me faire du bien dans la soumission, de trouver le meilleur moyen pour le contrarier. En plus, il ne peut clairement pas se plaindre de ma non-réaction parce que ce serait admettre qu’il attend que je le provoque. Il fait donc lui aussi comme si de rien n’était.
Il me masse tranquillement le dos, pour bien me laisser le temps de redescendre. Puis il s’allonge sur moi et me dit :
— Ce n’est pas encore fini, rassure-toi.
Il se relève une nouvelle fois, descend du lit et vient se positionner debout, devant moi. Il m’aide à me remettre sur mes avant-bras, mon visage se retrouve juste en face de son boxer déformé par ce qui semble être une sacrée érection. Il baisse alors le sous-vêtement et me présente sa queue déjà bien bandée mais pas encore au max. Il s’approche encore un peu et saisit mes cheveux pour faire parcourir à ma tête les derniers centimètres qui séparent ma bouche de sa bite. Je sais ce qu’il veut, j’en ai envie également, alors je lèche son gland ainsi que son manche quelques secondes avant de le prendre en bouche. Je le suce donc sans me servir de mes mains, je sais que même si c’est un plus, je suis suffisamment experte avec ma bouche pour lui filer une trique d’enfer ; et ça ne tarde pas à se produire d’ailleurs. Mais Alex est joueur aujourd’hui et il a envie de s’amuser aussi alors il prend l’initiative : me serrant des deux mains par ma tignasse, il imprime lui-même le rythme et il me baise la bouche tout en vantant mes qualités de suceuse. Mais justement, je suis visiblement un peu trop douée parce qu’il s’arrête rapidement en grognant. Je sais alors qu’il a envie de décharger mais qu’il ne veut pas. Du coup c’est un peu à son tour de se retrouver frustré car il aimait vraiment ce que je faisais mais il ne peut continuer sous peine d’exploser en moi. Je ressens ce moment comme une petite revanche personnelle.
Pendant que je savoure ma petite victoire, Alex a enfilé une capote et s’est installé à genoux, derrière moi, après avoir écarté mes jambes. Il frotte son gland le long de ma fente, histoire de prendre un peu son temps, puis, il enfonce sa queue en moi. Je ressens une forme de soulagement à le sentir me remplir enfin. J’avais vraiment envie d’être baisée et les jeux précédents ont bien sûr fait monter encore plus cette envie. Lui aussi n’en pouvait plus visiblement parce qu’il me prend tout de suite avec une délicieuse sauvagerie : il agrippe ma tignasse et me baise puissamment. Quelques instants après, je le sens ralentir, sans comprendre pourquoi, mais j’ai vite ma réponse : je sens le jouet en alu pénétrer à nouveau mon petit trou. Désormais il joue régulièrement avec pendant qu’il continue à me fourrer. Je connais mon corps et les signaux qu’il envoie, je sais donc qu’avec ce traitement, je vais sûrement bientôt jouir mais je suis presque certaine qu’il a envie de m’enculer pour finir la soirée en beauté. En temps normal, je ne serais pas contre mais j’ai déjà dû refouler deux orgasmes et j’ai envie de me lâcher enfin. En plus, mon cul est déjà à la fête grâce au plug et ce qu’il me fait ressentir. Il me faut agir vite et ne pas lui laisser l’occasion de ruiner à nouveau ma jouissance.
Pour commencer je pousse des gémissements plus prononcés (je simule pas vraiment mais j’en rajoute un peu quoi, vous savez les filles, on fait toutes ça par moments), puis je lui balance quelques petits mots coquins pour l’exciter et je me mets à bouger un peu plus, l’incitant à y aller plus fort. Je sens que mon petit plan fonctionne parce que la respiration d’Alex se fait plus saccadée. Il est donc temps pour moi de lui porter le coup de grâce : je contracte mon vagin sur sa queue. Je sais qu’il y a des gars qui n’aiment pas ça mais y en a d’autres que ça rend dingue. Et par bonheur Alex fait partie de la deuxième catégorie ! Je sens tout de suite la différence parce que la pression des doigts d’Alex dans mes cheveux se fait plus forte. Je continue et accentue toutes mes techniques pour le faire venir. Il sent qu’il risque de gicler dans pas longtemps et il me demande d’arrêter, mais je m’en fous : c’est ma vengeance par rapport à son petit jeu de tout à l’heure. Je continue donc mes mouvements de vagin et je gémis un peu plus fort encore en l’appelant "Maître". Et bien entendu, il succombe ! Je suis une vraie tueuse, sexuellement aussi ! Il crie "putain" et il se vide dans la capote en grognant. Ça déclenche alors mon propre orgasme, et quelle foutue libération ! Je jouis longtemps et puissamment, et pour le coup, je reconnais que le plaisir est décuplé grâce aux orgasmes non-achevés.
Une fois que nous avons tous deux succombés aux délices de l’orgasme, nous nous affalons sur le lit. Après quelques instants de répit, pour retrouver nos esprits, je demande à Alex de me détacher les mains, parce qu’il faut absolument que j’aille pisser. Il retire la corde et m’informe qu’il file à la douche et que je peux le rejoindre après que je sois passée aux toilettes. Ça me va tout à fait mais il ne faudra pas que je m’y attarde trop non plus, la soirée a été longue au final et il faut quand même que je sois en forme pour la visite médicale de demain. Déjà, je n’ai aucune marque visible de la soirée, c’est déjà bien, surtout que la soirée a été super chaude au final. Mais bon, il me tarde quand même la prochaine vraie session de soumission. Ça tombe bien, c’est pour demain soir.
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