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Willow, soumise atypique

Chapitre 13

La grande soirée, le moment de vérité

SM / Fétichisme
Dès le lendemain, Loïc me rappelle pour décaler de quelques jours, ce débile ne sait même pas lire un calendrier ah ah. Cela dit, ça m’arrange parce que lorsque j’envoie un message à Alex pour le prévenir que je ne serai pas disponible pendant la présence de Loïc chez moi, il me répond presque tout de suite pour me dire que justement il comptait m’appeler ; ce qu’il fait juste après, du coup. À peine ai-je décroché qu’il me propose une soirée, ou plutôt, LA soirée, dans cinq jours, vendredi soir quoi. Il me demande aussi si j’aurais l’après-midi de libre, pour ma "préparation". Bon, ça tombe pas mal parce que je ne travaille pas vendredi après-midi mais qu’entend-il par là ??
— Me préparer ? C’est à dire, demandé-je, intriguée. — Oui, pour deux raisons : d’abord parce que ça donnera une image encore plus forte si tu es apprêtée spécialement pour l’occasion et ensuite parce que ça permet de préserver ton anonymat, au cas où. — Je vois oui, mais concrètement, il va se passer quoi ? — Couleur de cheveux, provisoire rassure-toi. On va te les faire lisser aussi et pourquoi pas des rajouts. Puis on va te mettre de faux tatouages sur le corps, te trouver un joli masque à porter, et des sous-vêtements sexy, même si tu ne les garderas pas très longtemps. — Ah oui ?! Tout ça. Mais quand tu dis "on", tu veux dire que tu seras avec moi ? — Non, pas moi. Alice ! — Aah, cool ! Je suis contente de la revoir. Et la soirée alors ? — Y aura toi au centre, et quatre mecs juste pour toi plus Alice qui sera là plus pour t’épauler, même si elle pourra aussi te gratifier de quelques sévices. Mathieu, David et un autre ami à nous, William Chassand. Il y aura aussi un public derrière la vitre cette fois, huit personnes je pense. Le tout bien sûr avec toi en totale soumise ! Ça te va ? — Ça met un peu la pression tout ça, mais oui, ça me va.
Il y a un truc qui me paraît étrange dans tout ça, vous voyez quoi ? Il n’a pas du tout évoqué une punition et agit comme si de rien n’était, il est même étrangement prévenant… Je ne sais pas quoi en penser pour le moment, ptet que c’est rien du tout mais je me méfie d’Alex et de son esprit tordu. Délicieusement tordu, mais tordu quand même. Et j’ai du mal à penser qu’il passe l’éponge sur les derniers événements. On verra bien. En tout cas, tout est prévu et ce sera sans aucun doute une soirée mémorable. Vu que Loïc arrive le mercredi d’après, ça me laissera cinq jours pour me remettre de la séance.
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Après cette journée en enfer (même si soyons honnêtes, j’ai connu pire et vous le savez) la semaine qui a suivi s’est avérée bien plus calme et positive. D’abord les bonnes nouvelles venues de Loïc puis d’Alex et la semaine au taf a été vraiment tranquille, on a même bu un coup avec les collègues. Anaïs était encore là, elle a vraiment l’air cool cette fille et un peu dévergondée, ça va faire du bien à Arthur ça un peu ! Mais voilà, on est déjà vendredi, il est 14h et j’attends que Maîtresse… enfin non, juste Alice, passe me prendre. Quand elle arrive et que je sors la rejoindre, je ne peux m’empêcher de me dire qu’elle a une classe folle, même habillée en tenue de tous les jours. On se tape la bise comme deux bonnes copines alors que cette garce (c’est affectueux) me filait des coups de cravache et compagnie la dernière fois que nous nous sommes vues. Je ne lui en veux pas du tout, ça faisait partie du jeu mais n’empêche que ça me fait bizarre qu’on se comporte comme des potes quoi.
Allez, zou, c’est parti. Premier arrêt dans une boutique, très classe, de sous-vêtements. Il se trouve qu’Alex a déjà fait une sélection d’ensembles pour moi, donc mon choix reste limité. Mais bon, je ne vais pas me plaindre, toutes les pièces que j’ai sous les yeux sont superbes, et il me laisse toujours garder ce qu’il achète pour moi. Mon œil est tout de suite attiré par un ensemble rouge. Il est magnifique, avec une coupe très originale en plus et un rouge vif, très femme fatale. Le soutif est top avec des bretelles doublées et de la dentelle sur les balconnets. Le string est assorti et il est tout aussi beau. Alors que je m’en approche, Alice sourit :
— Alex m’avait prévenue que tu flasherais sur celui-là et, il l’adore.
À ces mots, j’hésite à le prendre, histoire de faire chier Alex mais bon, je serais conne, il me plaît, pas besoin de réfléchir plus que ça. Et puis on a pas que ça à faire en plus. Bon, c’est décidé, je l’essaye et si il me va, je le prends. Je vais accélérer un peu le rythme parce qu’à ce train là, je ne vais jamais en arriver à vous raconter la soirée. Alors : on prend cet ensemble (qui me va super bien), on paye, enfin Alice paye avec une carte d’Alex. Ensuite, on file directement chez un tatoueur qui fait aussi des tatouages provisoires ; il me fait un dessin magnifique, un décor végétal, comme du lierre en fait. Le tatoo part de ma cheville et il remonte tout le long de ma jambe en faisant le tour. Arrivé au niveau de la taille le branchage passe sur tout mon ventre, juste en dessous du nombril, et passe sur le côté. Je ne sais pas si c’est volontaire mais une des feuilles dessinées masque joliment ma cicatrice. Enfin, le dessin remonte le long de ma colonne puis repasse à l’avant, monte entre mes seins et vient de terminer dans mon cou. Ça fait un peu mystique, c’est sublime.
Dès que c’est fait, Alice m’emmène chez le coiffeur. Quelle après-midi ! Mais il faut ce qui faut comme on dit. Avec Alice, on décide que le mieux c’est quand même de prendre une couleur pas trop abusé, même si c’est une couleur provisoire, je ne vais pas aller au taf avec les cheveux bleus ou verts quoi ! On part donc sur un noir très profond, très prononcé et brillant, l’idée étant de renforcer encore le côté femme fatale. Ça va me faire tout drôle de ne plus me voir rouquine mais ça me changera. Couleur posée, cheveux ultra-lissés, j’ai même du mal à me reconnaître. Pas de rajouts finalement, c’est inutile vu que déjà, j’ai l’air d’être une autre femme et qu’en plus je porterai un masque. Ce noir de jais avec mes yeux bleus/gris très clairs ça donne un résultat hyper impressionnant et très sexuel. J’adore. Alice aussi d’ailleurs ; avant de remonter en voiture, elle m’attire à elle et m’embrasse à pleine bouche. Je vous assure, elle embrasse super bien, la coquine !
Bon, plus que le masque à trouver et ce sera terminé, enfin. Mais là, pour le coup, pas besoin d’aller en boutique parce qu’Alice dans ses affaires de Maîtresse en a de toutes sortes. Nous décidons de nous poser chez moi, ensemble, pour qu’elle me montre tout ce qu’elle a. J’en trouve un qui me paraît pas mal avec une attache élastique (plus facile à gérer sur une soirée de ce genre). Je l’ai choisi noir et rouge, pour le côté fatal et érotique et parce que ça rappelle les couleurs de mes cheveux et des sous-vêtements. Il couvre suffisamment mon visage mais ne m’empêchera aucunement d’utiliser ma bouche, c’est parfait. Je me regarde dans ma psyché ; je suis canon, même ainsi, trop vêtue. Soudain, je vois dans le reflet que ça bouge derrière moi. Je n’ai pas le temps de me retourner que déjà, les mains de la belle Alice se posent sur moi, une sur mon ventre, l’autre sur le flanc. Elle les déplace et vient les poser sur ma poitrine afin de s’emparer de mes seins. Elle m’embrasse langoureusement dans le cou et elle me susurre :
— Tu es vraiment une femme sublime, tu sais. J’aimerais que tu sois mienne. Ma petite soumise à moi, ma salope…
Après quoi, elle me mord et serre fort mes seins. Je ne suis pas forcément branchée femme mais je dois dire qu’elle me rend folle, je suis toute trempée. Je me retourne et nous nous embrassons sauvagement. Elle me frappe les fesses avec force, me faisant un lâcher un gémissement, suivi, dans un souffle, d’un :
— Oooh… Maîtresse…
Mais Alice se décolle de moi et me repousse gentiment. Elle m’explique qu’on ne peut pas faire ça, pas maintenant, parce que je dois me réserver pour la grande soirée de toute à l’heure. Elle a raison, je le sais. Je le savais même avant de l’embrasser d’ailleurs mais je voulais lui offrir ce petit plaisir, lui faire cadeau de ma bouche pendant un instant. Je retire le masque et chacune de nous reprend sa place afin de reprendre notre discussion. Elle me donne des conseils pour ce soir : manger sain, et léger mais quelque chose qui donne de l’énergie, il ne faudrait pas que j’ai une fringale en plein acte. Je dois boire modérément également pour limiter les envies de pipi car la séance pourrait durer. Je me doucherai et m’habillerai chez Alex, c’est le plus simple. Tout est tellement prévu et carré, c’est à la fois perturbant et rassurant. Je me sens guidée, prise en charge, choyée en prévision d’être châtiée. Délices et sévices m’attendent, j’ai hâte. Alice me laisse en me disant :
— Tu seras super ce soir, n’en doutes pas. À tout à l’heure, beauté. — Merci pour tout Alice, à tout à l’heure.
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Ça y est : je suis sortie de la douche et je suis habillée pour la soirée, enfin habillée… enfin, pas trop quand même. Alice et Alex avaient d’abord pensé à me mettre en robe, avec des bas et des talons etc. Mais ils ont finalement décidé, en accord avec moi, de rester simple et épuré, de mettre tout de suite l’audience et mes partenaires en appétit. Je ne porte donc que cet ensemble rouge et mon masque. Cheveux noirs et tatouage provisoire : je suis méconnaissable. Je ne suis pas super confiante, j’ai un peu le trac à vrai dire. Est-ce que je vais assurer ? Est-ce que tout va bien se passer ? Je prends une grande inspiration et souffle doucement. Restons zen ! La soumission est mon yoga ! Oooommm… Au moins, ça me fait marrer et ça me détend. À ce moment-là, on frappe à la porte de la salle de bains.
— Oui, fais-je d’une voix que je veux assurée. — C’est Alice, j’entre.
Elle ouvre la porte et entre donc dans la pièce. Elle est superbe et porte la même tenue que la dernière fois. Elle me regarde avec envie :
— Wouahou ! Willow ! Tu es tellement belle et désirable. Ça va être génial ! Tu vas les rendre dingues ! Prête ? — Merci. Tu es très belle toi aussi. Oui, je suis prête, un peu stressée mais ça va. Quelles sont les consignes ? — À partir du moment où on rentre, tu ne peux plus parler, sauf si on te le demande clairement. Tu as le droit de gémir et de jouir autant que tu le souhaites par contre. S’il y a le moindre problème, tu m’appelles Maîtresse et je viendrai voir ce qui se passe. Tu seras en sécurité, ne t’en fais pas. Je connais tous les garçons de ce soir, ils savent ce qu’ils font. Ah et si ça peut te rassurer, le public te verra mais tu ne le verras pas, Alex a fait poser un miroir sans tain, histoire que tu ne sois pas gênée par les regards des spectateurs. Ça te va ? — C’est nickel. Je suis contente de voir que tout est bien organisé. Et je suis contente de savoir que tu seras là. — Allez, on y va. Fais pas la starlette ! — Oui… Maîtresse.
Nous nous sourions et nous sortons de la salle de bains. Nous marchons dans le couloir et nous arrivons devant le mur qui est en fait une porte. Alice me met alors un collier équipé d’une laisse. Elle sort ensuite son téléphone et déverrouille le mécanisme. Nous pénétrons dans la pièce secrète.
J’avance derrière elle, un peu plus loin, près du tapis de sol, trois hommes attendent, en boxer, les mains dans le dos. Le quatrième, Alex, vient à notre rencontre. Alice lui tend la laisse, et à peine Alex l’a-t-il qu’il tire fortement dessus pour m’attirer à lui.
— Tu es superbe comme ça ! Tu vas être une bonne petite salope soumise et obéissante ce soir ! Ne me déçois pas ! — …
Je ne réponds rien, comme convenu (je me demande même si cet empafé n’a pas fait exprès de me parler pour voir si j’allais répondre). Je le regarde avec intensité, pas par provocation mais pour lui faire comprendre que ce soir, j’ai juste envie de me prêter au jeu. Ce regard, il veut dire "Oui mais parce que MOI, je le veux !". Je sais qu’il a compris, et maintenant que le message est passé, je baisse les yeux et la tête pour jouer le jeu de la soumission. Il sourit et m’entraîne avec lui vers le tapis de jeux. En m’approchant, je m’aperçois (j’avais pas fait gaffe sur le moment) que le lieu a été customisé pour l’occasion : le tapis est recouvert de coussins (pour que je sois à l’aise ?) et des chaînes sont reliées aux crochets fixés au sol (les coussins, c’est sûrement pour eux, faut croire). Et puis, sur le côté une petite table a été installée, elle est recouverte d’objets divers, de jouets pour adultes, d’ustensiles SM etc. Vous voyez le genre quoi. Les gars sont masqués aussi, seuls Alice et Alex n’en portent pas. David me fait un clin d’œil et un sourire ; j’en ferai bien autant mais ça ne collerait pas à mon rôle, du coup je me contente de baisser à nouveau la tête. Alice prend une cravache et en donne une à Alex. Ce dernier me tire par la laisse pour m’amener devant le miroir.
— Salue ton public, soumise ! Ordonne-t-il à haute voix.
Bien sûr pour accompagner sa phrase d’une ponctuation, plus physique, il me file un bon coup de cravache derrière les cuisses. Je me penche en avant, comme une actrice de théâtre (interdit aux moins de 18 ans ici) le ferait, puis je tourne sur moi-même pour que le public puisse apprécier mon corps tatoué et vêtue de ce bel ensemble, que je ne garderai pas très longtemps. Alex redonne la laisse à Alice qui me place au milieu du tapis et me fait mettre à genoux. Que le spectacle commence ! Les quatre mecs viennent m’entourer et Alice exige :
— Allez, salope, ils ne vont pas se désaper tout seuls.
Et tchak ! Un coup de plus pour le plaisir de me faire mal (et du bien en même temps). J’obéis et je retire un premier boxer puis les autres suivent rapidement, je me retrouve donc avec quatre belles queues semi-bandées sous les yeux. J’en attrape deux, au hasard et je commence à les branler, Alex me prend par les cheveux et frotte son chibre sur mon visage, insistant sur mes lèvres. J’ouvre la bouche et je commence à le sucer. Des mains de posent sur mon dos, c’est Alice, elle est en train de défaire mon soutien-gorge. Mes seins, superbes, sont libérés du tissu et dès qu’ils le sont, le dernier homme, Mathieu je pense, s’accroupit derrière moi et les prend en main, sans tendresse. Il les malaxe, les pince et les gifle. Le manège dure quelques minutes, j’attrape chaque queue de Mickey, l’une après l’autre, avec mes mains et avec ma bouche tandis que mon corps est toujours palpé et malmené par un d’entre eux. Et puis, ils se reculent tous, manège terminé, signe que je vais être à mon tour, niquée.
— Allez chienne, à quatre pattes ! Ordonne la voix perverse d’Alex.
Je me positionne en bon toutou à son Maître (je me sens bestiale) et j’attends, tête baissée. Alice retire mon string, déjà humide et vient s’agenouiller devant moi, elle pose alors ses doigts sur mon menton et le tire vers le bas pour me faire ouvrir la bouche. Elle y glisse alors mon string qu’elle a pris soin de mettre en boule. Elle m’assène une petite claque humiliante sur la joue avant de se relever. Alex tire alors sur la laisse en expliquant qu’il doit promener sa chienne. Il me fait faire un petit tour de tapis puis m’arrête près des chaînes. Alice m’attache les poignets et les chevilles. La chaîne a un peu de mou, histoire que je puisse bouger un peu mais mes mouvements sont clairement entravés. Alice décale ensuite mes cheveux (raides et noirs pour l’occasion) sur un côté, je me demande quelle va être la suite du programme.
— Tu dois rester dans cette position, tu n’as pas le droit de t’allonger ni même de poser ta tête au sol.Tu ne bouges pas. Tu as juste le droit de gémir, si besoin. Avertit Alex.
Et bien, ça veut dire que je vais avoir mal, ça. Mon esprit se scinde en deux, une partie appréhende tandis que l’autre s’impatiente. Ma chatte, quant à elle, liquéfiée, a choisi son camp. Je prends deux coups de cravaches simultanés, un sur chaque fesse, et pas en flemme. Ça claque bien et je pousse un petit cri que j’essaye de contenir. David s’agenouille alors face à moi, me demande de cracher mon string dans sa main puis me présente sa queue à la place, je l’embouche sans demander mon reste. Mais derrière moi, mes bourreaux n’en ont pas fini avec moi. Je sens soudain un liquide brûlant couler sur mon dos. La cire putain ! Je pousse un grognement, ma bouche étant squatter, je ne peux vraiment gémir. David en profite pour saisir mes cheveux et enfoncer son sexe tout entier dans ma bouche. Les deux actions combinées entraînent mes premières larmes. J’arrive à sortir le manche de chair de ma bouche, je reprends mon souffle mais le répit est bien court. Alex s’est armé du martinet et il me fouette le bas du dos et le cul. Les autres garçons me tripotent en prenant garde de ne pas se prendre un coup de martinet. Mes seins et ma chatte sont particulièrement prisés mais le reste de mon corps y passe aussi, je prends quelques claques par-ci, par-là et je reprends ma pipe. Ma peau rougit au fur et à mesure que tous les participants s’en régalent. Mais Alex sonne la fin de la récré. Tout le monde se dégage alors de moi.
La suite ne tarde pas à arriver : cette fois, je sens un liquide froid me couler sur le corps, le long de ma raie pour être précise, un peu de lubrifiant… Je sens qu’on va bientôt m’insérer un truc dans le cul ! Et ce qui devait arriver, arrive : Alice me fait sucer un plug de gros calibre puis le passe à Alex qui, toujours aussi brutal, me l’enfonce dans le fion sans sommation et sans douceur. Putain, je déguste, mais j’adore ça ! J’aime vraiment me faire dilater alors, j’ai beau avoir mal, je prends mon pied. Les mecs me détachent puis ils m’allongent sur le dos et replacent les attaches ferreuses. Je suis couchée, bras et jambes tendues et écartées. Ils ont pris soin de réduire le mou de la chaîne et je suis clairement immobilisée cette fois. Je suis livrée à mes amants et en même temps, d’une certaine manière, je me sens totalement délivrée. Je reconnais que ça m’excite de me savoir regardée en plus. Ils doivent bien se rincer d’ailleurs, mes spectateurs. Les mecs autour de moi se paluchent en me matant, histoire de ne pas ramollir. Alice revient, équipée de la bougie puis elle s’accroupit au-dessus de moi. Avec ses hauts talons et sa tenue sexy, l’image doit être magnifiquement salace. Elle laisse couler de la cire sur mon cou ; la chaleur du liquide me fait gémir dans un souffle. Ensuite, elle en déverse sur mon ventre, autour de mon nombril, puis, pour finir en beauté, elle en fait couler sur ma poitrine. J’essaye de bouger mais c’est évidemment impossible, je suis aussi brûlante que la flamme de la bougie et de moi, s’écoule aussi un liquide chaud et parfumé. Ce que j’aime avoir mal ! J’en veux encore !
Mon vœu est rapidement exaucé… J’entends des cliquetis métalliques au-dessus de moi. Alex tend les pinces à Alice et elle lui donne la bougie en échange. La jolie Maîtresse me regarde intensément, elle gifle mes seins et pince mes tétons pour les préparer. Alex, lui, est agenouillé à côté de moi, il tire mes cheveux pour soulever ma tête et place un coussin en dessous. Vous pensez qu’il fait un geste sympa ? Naïfs ! Il fait ça pour que le public me voit mieux et pour me mettre à bonne hauteur. Il me demande alors d’ouvrir la bouche et je m’exécute. Il positionne mon visage juste au-dessus du mien puis il me crache alors dans la bouche, imité peu de temps après par Alice. Il me traite de salope de soumise et invite ses copains à venir se faire goûter par ma bouche de chienne. William et David se mettent de part et d’autre de ma tête, à genoux. Je me retrouve avec ces belles queues toutes proches de moi, je les lèche et je les suce alternativement tandis qu’Alice se remet à maltraiter les pointes dardées de mes seins. Ça y est, elle approche la pince de mon sein et… Aïe ! Voilà mon téton pris, serré dans cette pince. Le deuxième y passe juste après. J’ai chaud et j’ai mal mais ce n’est que le début.
Alice a d’autres pinces en main et la voilà qui les fait glisser le long de mon ventre, tout en se reculant. J’ai les jambes bien écartées donc ma minette lui est totalement offerte. Encore une fois, Alex la rejoint, il enfonce deux doigts en moi et s’aperçoit que je dégouline de mouille. Il sourit, fait quelques aller-retours dans ma chatte puis retire ses doigts. Il les lève alors afin de bien montrer au public qu’ils sont trempés, leur soulignant par la même occasion à quel point ça me fait mouiller et combien ça m’excite. Alice donne de petites tapes sur mon sexe, joue avec mes lèvres et serre mon clito entre ses doigts. Le moment tant redouté mais espéré arrive enfin : la Maîtresse accroche une pince sur chacune de mes grandes lèvres. Je crie cette fois. La douleur se propage dans tout mon corps, je frotte mon petit cul sur le tapis, humide, ce qui a pour effet de faire bouger le plug qui squatte mon anus et me refait gémir de souffrance et de plaisir. Alice applique la dernière pince sur mon clito : je pleure, je geins mais je ne parle toujours pas. Je panique un peu tant la douleur est forte, les douleurs mêlées. Ma maîtresse fait preuve de mansuétude et la retire rapidement, le soulagement ressenti à cet instant m’arrache un grognement de satisfaction. Alice se relève et se retire sur le côté.
Alex s’installe à sa place tandis que Mathieu prend la place de William pour profiter aussi de mes talents de suceuse. Alex reprend son doigtage mais avec les pinces sur mes lèvres, c’est encore plus fort. Deux doigts puis trois puis quatre… Oui, vous avez bien compris et moi aussi : je vais me faire fister. Ce n’est pas la première fois, heureusement, et donc rapidement le poing de mon Maître investit ma chatte. Je me sens ainsi comme une marionnette lubrique avec laquelle il s’amuse, et qu’il prête à ses copains en plus. Je lèche et suce les bites de Mathieu et David (qui s’amusent également à me bifler) ; Alex fouille ma chatte ; William, le petit nouveau, me caresse et joue avec les pinces sur mes nichons. Alex me connaît bien, il sait donc que je vais bientôt jouir. (quelle frustration de ne pas pouvoir bouger). Il retire sa main de ma chatte bouillante puis il y reglisse trois doigts et entame de puissants va-et-vient. William, des doigts de sa main libre, s’active, quant à lui, sur mon clitoris. Dans l’action, sauvage, les pinces sur mes lèvres sautent carrément. Mon esprit se perd entre souffrance et volupté : le plug, les doigts, les pinces, les queues, mes seins, mon cul, ma bouche, le public, mes amants, Alice etc. Tout ça se bouscule dans ma tête. Je jouis. Je jouis et je crie ma jouissance sans la moindre retenue, sans la moindre décence. Je squirte sur le bras d’Alex et arrose le tapis. Quelle jouissance ! Quel putain de pied !
Je suis là, à moitié dans les vapes, quand j’entends :
— Détachez-la !
Aussitôt, je suis libérée de mes chaînes, je resserre mes jambes et colle mes bras à mon corps mais je reste allongée, attendant les consignes. Après m’avoir asséné un coup de cravache sur le puis, Alex me demande de me remettre en position de chienne. Alice retire les pinces de mes tétons mais laisse le plug en place puis je m’installe donc à quatre pattes. Alex se saisit de la laisse et me fait avancer un tout petit peu, une fois le visage positionné au-dessus de la flaque que j’ai laissé en squirtant, mon amant me demande d’agir en chienne et de lécher le liquide directement au sol. J’ai un vrai moment d’hésitation. Un moment de trop, je reçois un bon coup de cravache sur le cul. Je grimace et ne peux retenir un cri puis je me penche en avant, tire la langue et commence à laper mes sécrétions à même le sol du tapis. Alex ne cherche qu’à montrer que je suis vraiment soumise, rien de plus, donc il tire très rapidement sur la laisse pour me faire arrêter. Après quoi, il m’ordonne de de me remettre à genoux. J’obéis et je regarde les mecs qui m’entourent. Je me fais une petite réflexion : quand on voit comment ils me regardent, les yeux brillants d’envie et de désir, quand je sais que je vais jouir plus qu’eux au final, et bien, je me dis qu’ils sont bien plus soumis que moi. Ce sont mes désirs qui sont exaucés ici. Quand je contemple ces quatre queues au garde-à-vous pour moi, j’ai l’impression de monter en grade. C’est bien moi la générale de ces soldats forts et lubriques aux casques violets. Alex me sort de mes pensées en annonçant :
— On va s’occuper de toi tous ensemble mais juste avant pour avoir joui sans autorisation, tu vas subir, une petite séance de cravachage par Alice.
Quel enfoiré ! Il a tout fait pour me faire jouir et fait genre de me le reprocher à présent. Bon après, ça m’arrange d’un côté parce que j’aime quand Alice s’occupe de moi. Je me lève et je prends sans broncher la volée de coups de Maîtresse Alice. Nous nous regardons dans les yeux à chaque fois qu’elle passe devant moi. À voir les étoiles dans nos yeux, on se demande laquelle prend le plus de plaisir ici. Je dois prendre une vingtaine de coups en tout, plus ou moins prononcés, à différents endroits de mon corps : dos, cul, cuisses (devant et derrière), seins et ventre… Après ce petit intermède nettement SM, la fête à Willow peut reprendre.
David s’allonge sur le sol et enfile une capote, Alice, travaille mon anus avec le plug et, constatant que je suis bien ouverte, retire mon plug et m’invite à m’empaler sur la bite de David en reverse cowgirl, dos à lui quoi. Je m’accroupis au-dessus de cette queue, et j’aide à la faire pénétrer dans mon petit trou en la dirigeant avec ma main. Je m’enfonce petit à petit sur ce pieu de chair. Vu que je porte toujours mon masque comme unique vêtement, je me retrouve, en quelque sorte, au pal masqué (ohé ohé). Nous avons trouvé notre rythme, Mathieu se ramène alors et s’amuse à me tripoter le clito de ses doigts. Alex me fait pencher un peu en arrière et dans une drôle de position (genre que vous voyez dans les pornos) Mathieu parvient à s’accroupir devant moi sans écraser David, et après qu’il ait enfilé un préso aussi et avoir frotté son gland contre l’entrée de ma chatte, il me pénètre enfin. Une bonne double péné se met en route, bientôt une triple parce que William vient me présenter son sexe. Je m’en saisis et je le prends en bouche. Il est chaud le William et il baise violemment ma bouche. Trois queues me remplissent, c’est trop bon ! Alex me tourne autour, vient parfois malaxer ou pincer mes seins tout en m’insultant. Un seul problème, je ne suis pas du tout à l’aise dans cette position. Je sens mal la bite dans ma chatte et les gars ont du mal à bouger en harmonie. Je me refuse à craquer maintenant et à parler, alors je cherche le regard d’Alice. Quand elle comprend, dans mes yeux, que la position m’est inconfortable, elle va en toucher un mot à Alex, discrètement. Aussitôt, celui-ci propose qu’on change de position.
Du coup les acteurs changent aussi : Mathieu s’allonge et je grimpe sur lui, à califourchon. Sa bite s’enfonce dans ma chatte et je me penche en avant. Je suis mieux installée : les genoux au sol, les mains en appui sur le tapis, le cul bien cambré pour recevoir un nouveau chibre dans mon cul. C’est Alex qui se décide à venir m’enculer et c’est parfait parce que je sais qu’il sait y faire. Devant moi David est à genoux et je lui procure une pipe du tonnerre. Pour ajouter à cela, de temps en temps, Alice vient frapper mon dos à coups de martinet. Elle se penche pour me murmurer :
— Les mecs vont te baiser ainsi en changeant de place si besoin jusqu’à ce que tu jouisses et ensuite, ils t’offriront leurs spermes.
C’est exactement ce qu’il se passe : dans les minutes qui suivent les gars échangent leurs positions chaque fois qu’un d’entre eux est proche de jouir, avec toujours des mecs qui restent au repos. Mais la partie de chienne musicale ne dure pas longtemps parce que malmenée de la sorte, je ne tarde pas à exploser dans un nouvel orgasme fulgurant. Je gueule encore plus fort que tout à l’heure, je ne suis plus qu’une bête qui hurle sauvagement sa jouissance. Et puis, tout se calme : les mouvements s’arrêtent et celui qui me sodomise se retire. Je reste un peu la tête contre la poitrine de Mathieu qui avait pris la place de dessous. Mais le repos est de courte durée.
Alice me fait lever et toujours en me tirant par la laisse, elle m’emmène face au miroir sans tain et me fait allonger sur le dos. Jambes écartées pour que les spectateurs aient une vue imprenable sur ma chatte trempée. Elle place ensuite un coussin sous ma tête. David et William se mettent à genoux de chaque côté de mon corps et je commence à les branler. Mathieu se cale du même côté que William et se (et me) touche en attendant son tour. Enfin, Alex, lui, en bon Maître de cérémonie, vient offrir sa queue à ma bouche.
— Eux, ils vont arroser ton corps mais moi, je vais te gicler dans la bouche et tu vas avaler mon sperme. Explique-t-il tranquillement.
Les garçons ne tardent pas à jouir, David, William et Mathieu lâchent leurs spermes partout sur mes seins et mon ventre, j’aime cette sensation de la semence chaude qui me recouvre. Alex a su se retenir pour venir en dernier et c’est dans un gémissement bestial qu’il se répand finalement dans ma bouche. Je me suis appliquée à bien le pomper et je suis ravie de voir que ça lui fait autant d’effet. Son éjac est abondante et son sperme chaud et épais s’écoule dans ma gorge. J’avale jusqu’à la dernière goutte de son jus. Ça y est, c’est fini, les mecs s’écartent et me laissent ainsi reprendre mon souffle.
Le corps plein de sperme et la bouche qui en a encore le goût, j’attends sagement la suite. Alice m’aide à me relever. Le corps souillé, blessé, heurté, des douleurs dans les muscles, j’ai du mal à me redresser toute seule, donc son aide est la bienvenue. Alex nous rejoint et m’accompagne jusqu’à la douche à l’autre bout de la pièce. Exceptionnellement, les parois sont recouvertes d’un film noir opaque, afin que je puisse bénéficier d’un peu d’intimité pour ce moment de répit. Sur le chemin, il m’autorise à parler à nouveau (mais je l’aurais fait de toute façon) il me félicite et me précise que j’ai été, je cite, grandiose et magnifique. Il ajoute qu’il est fier de moi et franchement, je le suis aussi. Après quoi il m’explique comment la soirée va continuer : pendant que je vais me doucher il va faire partir tout le monde et il viendra ensuite me chercher ici afin de me présenter à deux des spectateurs de la soirée, une amie à lui et son mec. Alice va rester aussi. Il a préparé des vêtements pour moi qu’il a laissés sur l’étagère de la cabine prévue à cet effet. Il se retire tandis que je rentre dans la douche. Je n’ai rien dit parce que j’étais pressée de me laver mais deux choses me turlupinent :
1/ Pourquoi est-ce qu’il doit venir me chercher ici ? Je ne peux pas les rejoindre moi-même ? 2/ La soirée a été exceptionnelle, délicieuse mais Alex ne m’a toujours pas punie pour mon attitude de la dernière fois… Étrange. Mais ptet qu’il garde ça pour une fois où nous ne serons que tous les deux.
On verra bien. En attendant, je mets l’eau à couler et croyez-moi, je vais prendre la douche la plus chaude de ma vie. J’entends les invités et les spectateurs discuter en passant près de la cabine mais avec le bruit de l’eau, je ne distingue pas les conversations. Et je m’en tape pour être honnête. Je reste un bon moment sous l’eau bouillante puis je me sèche et commence à m’habiller quand Alex vient me retrouver.
— Ça va ? Demande-t-il. — Je suis crevée mais la douche m’a fait du bien. J’ai mal un peu partout aussi mais bon. J’espère que ça ne va pas durer trois heures avec tes amis, là ? — Ah ah, je retrouve ton caractère ! Non mais t’inquiète, on a déjà partagé un verre de champagne. C’est juste pour te les présenter vite fait. Ça sera vite fini, sans aucun doute. Ah et au fait, tu as fait un tabac ! Les spectateurs étaient aussi impressionnés qu’excités à ce qu’ils m’ont dit. Et les gars étaient ravis. Ils t’embrassent. — Cool pour le public, en même temps, ça valait le coup d’œil je pense. Et j’espère bien que les mecs étaient ravis, avec ce qu’ils m’ont mis ! Et sache que "faire un tabac" c’est une expression de vieux !! C’est bon, je suis prête. Allez.
Il me prend par la main (si si, je vous jure !) et il m’entraîne avec lui vers la salle qui se trouve de l’autre côté du miroir sans tain. On arrive tout proche de l’entrée de la mini pièce et là tout s’accélère. Au moment où on passe le seuil Alex me sourit et prend la parole :
— Hello, Anaïs, Arthur, je vous présente Willow, la reine du spectacle. Willow, voici Anaïs, une amie et Arthur son petit copain.
NON ! C’est pas possible !! Mes yeux se portent alors sur les deux spectateurs et… si, c’est bien ça ! Alex a osé !! Arthur semble douter l’espace d’un instant mais il me reconnaît rapidement. Un silence s’installe pendant deux petites secondes. Arthur me dévisage, et d’un air ahuri, il passe à un air nettement énervé. Il échappe sa flûte, qui explose au sol et, le visage livide, il se dirige vers la sortie d’un pas pressé, visiblement en colère. Je tente de l’arrêter mais il me bouscule et sort. Je regarde Anaïs, qui visiblement ne comprend pas ce qui se passe, tout comme Alice. Enfin, je regarde Alex qui me dit simplement :
— Punition ! Avec un large sourire.
Mon sang ne fait qu’un tour, je n’hésite pas une seconde et je lui balance une formidable claque en pleine gueule.
— Salaud !
Je file ensuite à la poursuite d’Arthur. Je le rattrape dans le couloir et le prends par le bras.
— Arthur, attends, laisse-moi t’expliquer ! — Y a rien à expliquer, rétorque-t-il froidement. Je me casse. — Oh mais tu fais quoi là ? Je fais bien ce que je veux de mon cul, non ? Je m’épanouis en étant soumise comme ça. Vraiment. — Mais, je m’en fous de ça ! Ne me raconte surtout pas les détails ! Si tu aimes te faire traiter comme un vulgaire objet sexuel, ça te regarde mais tu aurais pu m’en parler, me dire que tu voyais quelqu’un etc. Tu m’as menti et tu ne m’as pas fait confiance. — Et, mais je te signale que tu es venu ici voir une soirée SM ! Ça devait pas te choquer tant que ça ! Et à voir ta réaction à la con, j’ai bien fait de ne pas t’en parler ! Tu devrais être content pour moi. Je me sens bien. — Alors déjà, je ne savais où j’allais ce soir, Anaïs m’a fait la surprise. Et tu te fais bien manipuler par ce type oui !! — Tu me crois suffisamment conne pour me faire mener à la baguette sans rien comprendre ? Et, tu le connais pas en plus. — T’as raison ! C’est un mec en or ! Y a qu’à voir ce qu’il a fait ce soir ! T’es aveugle ma pauvre fille, ou amoureuse. — Et mais tu racontes n’importe quoi ! Pour ce soir, il vient de prendre la baffe du siècle et je vais aller l’enguirlander encore là ! Mais tu ne connais pas le reste de notre histoire alors ne parle pas de ça. — Oui voilà, je vais me taire, allez, salut ! Je me casse ! Discussion terminée. — C’est ça ! Va prendre un lexomyl et va faire dodo ! Bonne nuit… mon super pote !
Il tourne les talons et il se barre. Quel con ! C’est pas possible de ne même pas chercher à m’écouter ! Je ne sais pas comment ça va se régler cette histoire mais j’ai autre chose à faire pour le moment. Je dois retourner voir Alex pour finir de le pourrir. J’ai les boules contre Arthur mais ce n’est rien à côté de la colère que je ressens contre mon amant. Je me dirige vers la pièce secrète dans une colère noire… bien décidée à régler mes comptes.
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