Prologue aux trois chapitres précédents: C’était l’été, les vacances, la chaleur faisait chauffer les corps et croitre les envies. Si Xavier, n’avait pas besoin de chaleur pour être créatif sur le plan sexuel (au moins dans les idées), il s’était un peu endormi question pratique ! Est-ce son minois de jeune demoiselle innocente ou son discours de mère d’adolescentes qu’elle voulait s’appliquer qui concourait à l’idée qu’Isabelle était plutôt pudique voire prude, enfin réticente à la « créativité » de Xavier !Il aurait aimé qu’elle lui dise : "Xavier, prends-moi là, fais-moi jouir à perdre la tête, baise moi comme une chienne, je suis ta chose, je t’appartiens et tu peux me demander ce que tu veux j’obéirai docilement à quatre pattes s’il le faut..."! Un doux rêve tellement qu’il avait eu du mal à lui faire dire le mot "bite". Cet été, alors qu’elle était en vacances de son côté, Xavier portait son étendard en berne, mais l’intellect reprit le dessus pour écrire ces histoires et les poster sur Xstory : histoires sorties de son imaginaire, on peut le dire maintenant, mais qui étaient de vraies prières pour qu’elles se réalisent !De retour de vacances, Isabelle était belle à croquer et Xavier avait sa libido maintenant au summum : l’été sera débridé sexuellement pensait-il. — Dis-moi Isabelle et si maintenant tu m’appelais mon amour le temps des vacances ? Ça serait bien. Ceci n’était pas une question, Isabelle l’avait compris et cela l’excitait quelque part. — Oui mon amour, comme tu veux... tes demandes sont des ordres, mon amour et je m’y soumets volontiers.— J’aimerais aussi que tu me dises trois choses que tu n’aimerais pas faire sexuellement, même avec ton amoureux. S’il n’y en a que deux ou une, c’est pas grave...— Mon amour avec toi je veux bien tout faire... Enfin non je ne veux pas me retrouver sur Internet. Pour le reste je connais tes limites et je te fais confiance.— C’est gentil de me faire confiance. Tu as raison, ce qui se passe ici reste ici !— Tu sais mon amour ô combien tu me rends heureuse car pour moi tout n’est pas facile mais tes gentilles provocations me font rire. — Et femme qui rit... (une phrase rituelle dans la bouche de Xavier). Tu sais c’est réciproque, ta gentillesse me touche et j’aime te faire plaisir. Dans sa légèreté légendaire Xavier vint se mettre derrière elle et posa les mains sur ses seins. Elle ferma les yeux et se laissa aller. Appuyée sur la table, après avoir fait apparaître son corps, ses petites fesses, ses petits seins, il introduisit son sexe de mâle dans ce sexe de femelle en chaleur... Les va-et-vient ne tardèrent pas à faire jouir les deux amants. — Merci Isabelle pour ce moment... Demain nous partons en vacance, fais ta valise et ne la remplis que de vêtements qui te mettent en valeur, qui te rendent désirable pour ceux qui te regardent : la transparence te va si bien. Moi je sais ô combien tu es désirable mais j’aime voir le regard envieux des autres ! Nous allons quelque part ou personne ne nous connaît alors pas de crainte.— Oui mais à condition qu’il fasse chaud, tu sais que le froid refroidit toutes mes bonnes volontés.— En ce moment 38°C, alors tout va bien se passer.— Je te fais confiance mon amour, mais je redoute ce que tu vas me faire faire... Tu es incorrigible mon amour !
Le lendemain ils prirent l’avion pour Rome, la ville éternelle et bien sûr la première visite à la fontaine de Trevi ! Il n’avait pas menti il y avait 38°C mais pas uniquement dans l’air. — À nous la dolce vita ! As-tu fait ton vœu ? — Ouiii mais je ne peux pas te le dire sinon il ne va pas se réaliser ?— Dis-le moi à l’oreille tout doucement. Ici les anges n’ont pas d’oreilles mais un sexe. C’est unique dans le monde !— Ah bon... Être ta petite chose, dit-elle toute confuse. Être ta petite chatte pour recevoir tes caresses et ronronner de plaisir, te montrer que tu es le maître de mes plaisirs !— Oh ma bellissima, tu ne sais pas comment tu peux me faire plaisir. Ton maître est chanceux de t’avoir, regarde tous ces envieux autour de nous. En effet, sa tenue était un peu légère sur le haut : un chemisier transparent qui laissait clairement apparaître de la dentelle mettant en valeur ses deux beaux petits seins plein de vigueur. À cette remarque, la gêne de la "petite chatte" n’était pas feinte ; c’était la première fois qu’elle se permettait une telle tenue ! Certes si gène il y avait, sa libido n’était pas en manque.Main dans la main, ils parcoururent les rues de Rome pour arriver à la villa Borghese. Dans le parc ils s’assirent un peu à l’écart, lui sur un banc, elle à ses pieds : Xavier, en fut surpris et ne dit rien mais la bosse au niveau de son entrejambe parlait pour lui. La main d’Isabelle remonta jusqu’à ce sexe tendu. — Hummmm mon amour a une petite envie de faire ronronner sa petite chatte ?— Oh là là, j’aime ça quand tu me touches comme ça ! Il va falloir que tu ailles jusqu’au bout, petite coquine.— Ne t’inquiète pas mon amour, ta petite chatte à soif. Ce dialogue n’exista pas, Isabelle n’était toujours pas prolixe. Cela aurait pu car la suite est quant à elle bien réelle : après avoir longuement joué avec le sexe de son maître en passant par la jambière du short, un coup d’œil à droite, un coup d’œil à gauche, elle déboutonna le short. Le sexe de Xavier s’offrait alors à elle et disparut aussitôt dans cette bouche chaude !Le contexte de cette fellation était sans conteste jubilatoire, Rome, villa Borghèse et de nombreux touristes. Quel souvenir cela sera mais avant tout un plaisir incommensurable pour les deux partenaires : Xavier éjacula dans cette bouche et la petite chatte montra ce lait du bonheur comme le matou de la maison aurait pu montrer à son maître fièrement la souris qu’il venait d’attraper.Xavier caressa les cheveux sa petite chatte pour récompense. Celle-ci avait subrepticement glissé sa main sous sa jupe et entama une masturbation imprévue jusqu’à la jouissance : Xavier immortalisa cet instant sur fond de palais.Cette première journée commençait bien et Xavier pensait qu’il fallait donner à sa belle une preuve d’amour : que pouvait-il lui donner ce soir comme affection pour lui faire savoir que le maître mot est bien partage ?! Il faut dire qu’Isabelle ne se répandait pas trop, voire même pas du tout sur ces envies tant sexuelles que autres. Était-elle heureuse auprès de cet homme, il semblait que oui. Cette petite vie lui allait visiblement, bien que Xavier pensait que derrière sa timidité, sa difficulté à demander plus, il y avait au fond d’elle une partie "prête à plus".Alors voilà pourquoi ces histoires, ces idées d’aller plus loin, de forcer un peu le destin. Pour ce soir, le destin était de lui offrir un limoncello sur le petit balcon de la chambre d’hôtel. La nuit était tombée et les lumières de la ville donnaient un caractère romantique à cette vue. Lumière de chambre éteinte, ils étaient seuls au monde et le limoncello faisait monter en Isabelle une certaine insouciance. Xavier se rapprocha alors d’Isabelle qui lui tendit ses lèvres et un long baiser retourna un peu plus les sens des deux amants. La main de Xavier s’aventura sous cette jupe et découvrit un sexe humide et libre de toute dentelle, libre tout simplement. Il glissa sous la table et vint lui lécher son intimité. Le désir devint plaisir et se révéla un peu plus à chaque coup de langue ! Y-avait-il des oreilles, des yeux au loin qui comprenait ce qui se passait ? Isabelle jouit sans se retenir, à croire que cet exhibitionnisme supposé avait été bienfaiteur ! — Mon amour dit-elle tout doucement en fermant les yeux, tu me rends heureuse ! Xavier la serra très fort dans ses bras comme signe d’une profonde admiration, la soumission avait en quelque sorte changée de camp durant ces instants. Journée forte en émotion, et les hypothétiques exhibitions de la journée et de la soirée avaient permis de comprendre qu’Isabelle cherchait à se sortir du carcan de mère, carcan quelque peu inhibiteur des plaisirs de la chair ! C’était peut-être l’heure du "démon de midi" qui avait sonné !
L'auteur a prévu une suite à ce chapitre. Ajoutez cette histoire à vos favoris et soyez alerté de la sortie du prochain chapitre !