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Xavier, mon oncle au grand cœur

Chapitre 5

Enfin nous assumons

Inceste
Xavier a tenu parole : pendant tout le week-end, il ne m’envoie pas un seul message pour ne pas me mettre de pression alors que, j’en suis persuadé, il en aurait bien besoin durant ces deux jours un peu stressant pour lui. Je passe donc mon samedi et dimanche à jardiner et à me balader en ville avec mes parents, ce qui me fait énormément de bien. Heureusement pour moi, étant donné que Xavier et moi avons toujours été très proche, ils ne se posent aucune question sur le fait que nous nous voyons tous les jours quand ils sont au travail. Vu comment je suis perturbée pendant ces deux jours, j’aurais eu beaucoup de mal à leur mentir.
Finalement, comme nous en avons pris l’habitude, Xavier m’envoie un message le dimanche soir, juste avant d’aller me coucher.
— Je viens juste de rentrer chez moi. Ton week-end s’est bien passé ?— Oui, nous avons bien profité de la ville avec les parents. Et toi, ça n’a pas été trop chiant ?— Si, mais il le fallait bien. Maintenant, tout est définitivement terminé, je ne risque plus de la revoir.— Tant mieux, enfin, tu vas pouvoir tourner la page et profiter de ta vie.— J’en profite déjà à fond depuis deux semaines.
Je souris en lisant ce message, mais une légère angoisse fait également son apparition. Durant ces deux jours, j’ai énormément réfléchi à la proposition de Xavier, et une option m’est venue en tête. Une option qui, quand j’y pense, fait disparaître mon anxiété et me paraît être un bon compromis.
— On se verra demain ? Me demande-t-il après quelques minutes sans réponse de ma part.— Oui, bien sûr. Et il faudra que l’on parle concernant ta demande.— Tu as fait ton choix ? Quel qu’il soit, je le respecterais.— Je le sais, mais je préfère t’en faire part de vive voix.— D’accord. Demain à la même heure du coup.— Oui.
Nous nous souhaitons donc bonne nuit et je sombre, tant bien que mal, dans le sommeil. Le lendemain, mes parents partent au travail et, comme toujours depuis deux semaines, Xavier arrive trente minutes plus tard pour venir me chercher. Mais cette fois-ci, le trajet me paraît beaucoup plus long, une certaine tension se fait ressentir dans la voiture. Je sens que Xavier a envie de parler, ou même de me toucher un peu ; je vois très bien qu’il veut réellement que nous nous lâchions, que nous ne nous voilions plus la face sur le côté incestueux. Mais je sens également qu’il se retient, il ne veut pas me brusquer et cela doit certainement le frustrer.
Nous arrivons finalement chez lui, mais contrairement à nos habitudes, nous ne commençons pas à nous déshabiller tout de suite, il fallait d’abord que nous parlions. Nous nous installons dans le canapé, et je commence à lui prendre les mains, les miennes sont légèrement tremblantes.
— Ça va bien Tania ? Demande Xavier d’une voix douce.— Oui, ça va bien. J’ai juste bien réfléchi à ce que tu m’as demandé vendredi.
— Si ma demande t’a choquée, j’en suis sincèrement désolé. Oublie ce que j’ai dit, c’était irréfléchi et…— Je suis d’accord.
Xavier s’immobilise immédiatement, ses mains se referment sur les miennes et son regard ne quittent pas mes yeux. Il semble surpris, je pense qu’il s’étendait vraiment à ce que je refuse, et quoi de plus normale, en relisant mes messages du vendredi soir, j’ai vraiment eu l’impression de lui avoir répondu froidement.
— Je veux moi aussi que nous tenions compte de notre lien de famille. Nous ne faisons rien de mal, nous sommes tous les deux consentants et nous ne faisons que nous amuser.— Je t’avoue que c’est assez inattendu, je pensais vraiment que…— Mais j’y pose une condition. Une condition non négociable.— Laquelle ?
Avant de répondre à sa question, mes mains viennent serrer les siennes plus fort que tout à l’heure, et je dépose un baiser doux, mais sensuel, sur ses lèvres.
— Je ne veux plus de capote. Si nous devons assumer, je veux que ce soit jusqu’au bout. Je veux te sentir intégralement, plus d’artifice. Si nous devons assumer notre relation, je souhaite que nous soyons cent pour cent au naturel.— Mais, ce n’est pas très prudent, non ? Tu as plusieurs partenaires non ?— Oui, mais nous faisons régulièrement des dépistages, et le dernier en date pour moi était une semaine avant de venir ici. Donc aucun risque pour moi, et toi ?— Moi non plus aucun risque, j’ai fait des tests après que mon divorce a été prononcé, et rien à signaler.— Tu vois ? Et je prends la pilule, je n’ai jamais manqué un seul jour. Donc…— Alors, il n’y a vraiment aucun risque ?— Non aucun. Est-ce que tu acceptes ma condition ?— Je l’accepte avec plaisir.— Parfait… Tonton.
Nous commençons à nous embrasser, et je viens coucher mon oncle sur le dos pour me mettre sur lui. Une nouvelle tension grimpe immédiatement, beaucoup plus agréable que celle de la voiture, nous sommes immédiatement excités. L’érection de Xavier… De mon oncle se cogne presque contre mon entre-jambe déjà bien humide, je me charge d’immédiatement le libérer de son jean et de son caleçon. Je n’arrête pas mes baisers, nos langues s’entre-mêlent pendant que ma main le branle.
Tonton n’est pas en reste, il me défait rapidement de mon haut et de mon soutien-gorge pour venir malaxer mes seins sensuellement. Mais sa prise sur ma poitrine est également ferme, il me fait clairement comprendre que, quand je suis ici, mon corps est à lui, surtout que maintenant, nous nous lâchons totalement. C’est vraiment à cet instant précis que je sens que les dernières barrières se sont brisées, plus rien ne nous retient.
J’enjambe mon oncle et je me positionne en soixante-neuf, aussitôt, ma culotte se fait écarter et une langue avide, affamée, me lèche de haut en bas, allant même jusqu’à me lécher le cul au passage. Ma mouille n’a même pas le temps de couler, dès qu’une goutte commence à perler sur mon intimité, mon oncle vient la récupérer. Je fais la même chose avec son engin dans ma bouche, ma langue récupère chaque millilitre de son liquide séminal, pendant que ma bouche fait des allers-retours sur sa queue. Je m’amuse parfois à sortir son membre viril pour le frotter sur la pointe durcie de mes tétons, il adore mes seins, mais rarement sa bite est venue dessus, je compte bien corriger cela à l’avenir. Je dis bien à l’avenir parce que, à ce moment-là, nous voulons tout autre chose…
Sans un mot, tonton me retourne pour que nous soyons face à face, et je sens sa bite chaude et dure frottée contre ma chatte. Je fais glisser son sexe sur le mien, profitant de ce premier contact sans latex pour sentir toute sa chaleur, c’est terriblement excitant ! Mais c’est moi qui craque la première et vient mettre sa queue en moi de tout son long. Putain ! que c’est bon ! J’ai des partenaires avec lesquels je couche sans capote, mais là, c’est différent : c’est la bite de mon tonton, c’est mon oncle au grand cœur qui est en moi sans capote, et cela me met dans tous mes états !
— Hum, baise-moi tonton. Dis-je en le regardant sensuellement dans les yeux tout en ondulant du bassin. Viens baiser la chatte de ta nièce.— Cela me fait tellement plaisir ma chérie, et je vais exaucer ton souhait : je vais te baiser.— Fais-toi plaisir, je suis toute à toi !
Il se redresse pour venir m’embrasser, pour rapidement se détourner de ma bouche et aller embrasser mes seins. Ses hanches commencent à bouger, ses coups de reins sont portés avec autant de force que sa position le permet. Quel bonheur ! Je sens la chaleur et la raideur de sa queue, je sens sa chair en moi, et je la sens légèrement convulsée à chacun de ses allers-retours. Grâce à notre position, je peux pleinement le sentir, à la fois sur moi et en moi !

À chacun de ses va-et-vient, ma respiration, déjà saccadée, se fait de plus en plus irrégulière, brisée par des gémissements de plus en fort qui se transforment rapidement en petits cris de plaisir. L’étreinte de mon oncle autour de mon corps de fait de plus en plus forte, il se retient de jouir, je le sens. Sa bite également fait tout ce qu’elle peut pour tenir, mais ma chatte se resserrant toujours plus ne l’aide pas beaucoup.
Je le couche à nouveau sur le dos, puis accélère mes ondulations. De plus, je m’empale sur lui dans de frénétiques allers-retours pour le faire jouir. Je veux le sentir pleinement en moi… Je veux TOUT sentir de lui en moi !
— Je vais jouir ma chérie, ralentis.— Non, lui dis-je entre deux baisers torrides. Jouis en moi maintenant ! Remplis-moi, marque-moi ! Montre-moi que je ne suis qu’à toi !— Je vais te donner ce que tu veux, tout ce que tu désires ma chérie !
Et là, c’est le feu d’artifice dans mon corps ! Il accélère la cadence pour ses derniers coups de reins, faisant claquer nos hanches les unes contre les autres. Puis, il vient saisir mon cul pour s’enfoncer le plus loin possible avant de jouir en moi en une succession de jet de sperme. Je m’effondre sur lui, son foutre commence déjà à couler le long de sa bite, nous sommes épuisés, mais je suis aux anges. Ce n’est certes pas la partie de jambe en l’air la plus longue que nous ayons eu jusqu’à là, mais c’est clairement la plus torride et la plus débridée que nous ayons eu !
Après un bon instant câlin, je me lave un coup sous la douche, puis retrouve mon oncle toujours assit sur le canapé. Je me mets à califourchon sur lui, mais pas pour recommencer, plutôt le questionner.
— Depuis quand voulais-tu le faire ?— Jouir en toi ? Cela ne m’est pas vraiment venu à l’esprit avant que tu ne le proposes.— Je ne parle pas de ça, plutôt du fait que tu voulais le faire avec ta nièce, et non « juste » Tania ?— Tu es décidément pleine de surprises ma chérie, dit-il en ne réussissant pas à cacher sa surprise dans son regard. Cela fait quelque temps.— Depuis quand, dis-moi s’il te plaît.— Tu te souviens de la fête du village l’année dernière ? Tu étais vêtue d’une magnifique robe noire qui t’allait si bien, et nous avons dansés ensemble.— Oui, je m’en souviens parfaitement, c’était un beau moment avant que je ne parte à la fac. Tu avais un peu de tristesse dans le regard.— C’est vrai, mais également beaucoup de fierté et d’admiration pour la jeune femme que tu es devenue. Fière, libre et qui reste elle-même, couplé à ta magnifique robe, je ne t’ai pas vu comme ma nièce à ce moment-là, mais comme une belle jeune femme désirable.
Détournant le regard, je sens qu’il a du mal à continuer, il a surement peur de me choquer. Je passe alors ma main sur son visage pour lui faire comprendre de continuer.
— Et cette image n’est jamais vraiment sortie de ma tête, je dois te l’avouer. L’année qui vient de s’écouler, les nombreuses difficultés que j’ai dû surmonter… Cela aurait été difficile sans toi.
Je ne le laisse pas continuer et je viens l’embrasser délicatement. Tout ce qu’il vient de me dire me touche profondément, et je suis aussi fière de l’avoir pour oncle.
— Il ne te reste que cette semaine de congé, c’est cela ?— Oui, après, il faudra bien que je reprenne le travail.— Faisons en sorte que tu n’es rien à regretter alors.
Après un petit café bien mérité, nous reprenons nos câlins et ne nous lâchons plus jusqu’à ce que doive rentrer chez mes parents. Au total, je sens mon oncle adoré jouir trois fois en moi ce jour-là.
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