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Xstory bascule vers le réel

Chapitre 1

Hétéro
Je suis Anaïs, une femme de 45 ans, mariée depuis quinze ans à Romain, avec qui j’ai eu deux beaux enfants. Notre vie n’est pas différente de la vie de milliers d’autres couples, je pense. Une vie que rien ne vient faire sortir de la routine écrasante à laquelle je me plie maintenant depuis quelque temps.
Les enfants grandissent, maintenant adolescents, ils restent le plus souvent dans leurs chambres, enfermés, et je passe mes soirées avec Romain dans le canapé à regarder des âneries à la télé qui ne font que peser encore plus sur mon existence.
Sexuellement, ce n’est pas mieux, il n’y a presque plus rien entre mon mari et moi, le désir a disparu, d’abord chez lui, je l’ai ressenti il y a longtemps déjà, et de fait, il a fini par disparaître de mon côté également. Le peu de fois où nous nous retrouvons pour une relation charnelle, c’est par la nécessité, souvent pour lui, de répondre à un besoin primaire d’atteinte de l’orgasme et d’éjaculation, plus parce qu’il n’a que moi sous la main que par réelle envie.
Malgré mes deux grossesses, je suis pourtant bien conservée, grande, cheveux châtains et ondulés tombant sur mes épaules, les yeux verts, qui ne pétillent plus comme à mes vingt ans, mais qui regardent encore le monde avec espoir parfois... deux seins encore fermes qui ont toujours fait ma fierté par leur taille et leur forme honorable, ils ont toujours beaucoup plu aux hommes si je me remémore mes aventures passées et la forte érection que provoquait leur vue. La course à pied que je pratique deux fois par semaine a su préserver mes cuisses et mes mollets des effets de l’âge. Et je pense globalement que je plais aux hommes.
Pourtant cela fait maintenant plusieurs mois que j’active ma libido en me rendant sur Xstory et en lisant régulièrement des histoires, la plupart du temps, je finis ma séance de lecture les doigts entre mes cuisses, m’activant minablement sur mon petit bouton jusqu’à la jouissance alors que j’imagine prendre la place de l’une ou l’autre des femmes héroïnes de ces histoires.
Ce jour j’ai de nouveau recours à une séquence de lecture pour assouvir mes besoins de femme, et alors que je me laisse aller, l’index sur mon clito et l’autre main sur ma poitrine jusqu’à un orgasme puissant, un déclic se produit. L’excitation dans mon bas-ventre persiste et je prends la décision, sous l’effet du désir que vient de me procurer la lecture de l’histoire, de contacter son auteur. Je vois qu’il s’agit d’un homme de 40 ans, vivant dans la même région que moi, son pseudo est assez simpliste, ALEXDREAM.

— Bonjour ALEXDREAM, je viens de lire une de vos histoires qui m’a beaucoup plu et je tiens par ce message à vous faire savoir que j’ai ressenti beaucoup de plaisir à sa lecture. J’avoue même avoir atteint l’orgasme assez rapidement. Merci de réveiller avec style la femme sexuée qui est en moi et des plaisirs depuis trop longtemps oubliés.
Sans me relire, j’envoie le message, le regrettant presque immédiatement. Qu’est-ce que j’en attends ? Rien ma pauvre fille...
Pourtant le lendemain, je reçois une réponse :
— Merci pour ce gentil message, voici mon numéro si vous souhaitez échanger avec moi et me dire ce qui vous plaît dans mes écrits.

Je reste bête quelques instants, ne sachant pas quelle attitude adopter, mais je finis rapidement par lui envoyer un nouveau message.

— Bonjour, c’est votre fan de Xstory. Pour répondre à votre question, j’aime beaucoup les tournures de vos phrases, la façon dont le plaisir est amené, aussi bien pour l’homme que la femme, c’est un échange réciproque, tantôt doux, tantôt bestial, mais qui conduit inévitablement à une montée intense du désir chez les protagonistes. Je me projette en eux et m’imagine une vie que je n’ai plus.
La réponse ne tarde pas :
— Merci pour ces compliments, pourquoi n’avez-vous plus cette vie-là?
— Mon mari ne me touche plus.
— Mariés depuis longtemps ?
— quinze ans.
— Le temps produit souvent des effets néfastes sur le désir, à vous de le réactiver, avec lui ou un autre.
— Je n’imagine pas tromper mon mari.
— Vous le faites déjà quelque part avec vos lectures ;-), non pas que ça me déplaise.

S’en suit une conversation assez longue, sur notre vie, nos désirs, lui-même est en couple, non marié, et il s’évade de temps à autre au gré des histoires qu’il rédige ou des aventures réelles qu’il vit, son opinion est qu’un couple peut difficilement s’épanouir sexuellement sur le long terme, la nouveauté restant le meilleur principe d’éveil du désir.
— Et si on se rencontrait ? lance-t-il soudain.
Je ne sais quoi répondre, je suis certes mise en confiance par nos messages, il parait rassurant, éduqué. Mais je ne le connais pas. Je décide sur le moment de ne rien répondre.
Il se passe quelques jours sans que je réponde ni qu’il me relance. Mais le week-end suivant, je me caresse à nouveau devant mon écran pendant que Romain est à un match de foot de notre fils, et je prends soudain mon téléphone pour rédiger ce message :
— D’accord pour une rencontre, en tout bien tout honneur, mais dans un lieu public et un peu à l’écart de Rennes.
Sa réponse arrive quelques minutes après et rendez-vous est pris dans un bar le lendemain midi, lundi, je ne travaille pas ce jour-là et lui peut se libérer assez facilement quand il le désire.

On est lundi, le moment arrive, je suis stressée, et je suis surtout en avance, il est 11h50, je piétine sur place devant le bar, je sais vaguement à quoi il ressemble, car on s’est décrit physiquement lors de nos échanges.
Soudain, une main se pose sur mon épaule, par derrière.
— Bonjour Anaïs.
Je me retourne, il est assez fidèle à ce que j’imaginais, grand, brun, yeux marron, grand sourire dévoilant de belles dents blanches, plutôt mince, il a l’air gentil, comme dans ses messages, et je me sens rassurée.
Nous prenons place au bar et commandons une bière que nous dégustons en discutant, la relation s’établit, dans la continuité de nos échanges téléphoniques. Je le trouve beau, il plisse souvent des yeux comme pour mieux me percer à jour, je vois ses yeux dévier parfois vers mon décolleté, cherchant certainement à satisfaire son imagination. Plus à l’aise, nos jambes se touchent parfois et nous devenons plus tactiles, nos mains se rencontrent au gré de nos paroles. Je frissonne, une douce chaleur envahit mon corps.
L’heure arrive de nous quitter, il me raccompagne à ma voiture que j’ai garée dans un coin discret, un peu à l’écart, craignant qu’on ne la reconnaisse.
Arrivés à la voiture, je ne sais pas quoi faire, un peu gênée.
— Et maintenant ? lui dis-je.
— Maintenant ça, répond t-il en approchant sa bouche de moi.
Je réponds à son appel et nous nous embrassons passionnément. Ses mains viennent caresser mes cheveux, mon cou. Je me colle à lui, je ressens son désir, équivalent au mien, ma main se place timidement sur son pantalon. Il bande, je le sens clairement. De son côté, il commence à descendre ses mains sur mes seins. J’ai la tête en ébullition, une explosion d’hormones sature mon cerveau, et mon corps entier se met à vibrer. Je sens que je mouille abondamment. Je dévoile ma poitrine, révélant à son regard l’objet tant attendu de son désir, il descend sa langue vers mes tétons, roses et dressés, il les titille avec envie, ça provoque en moi de puissantes décharges électriques.
La machine s’active en moi, n’y tenant plus, je me mets à genoux, nous sommes cachés par ma voiture et une autre garée juste à côté, mais de toute façon, toute notion de risque a quitté mon esprit, seule l’envie de voir sa queue et de la mettre dans ma bouche persiste à cet instant. Je défais sa braguette puis baisse son pantalon et son boxer, son bâton apparaît, fièrement dressé devant mon visage, son gland me paraît énorme, placé comme il est devant mes yeux. Je passe ma langue sur ses testicules que je prends également en main, je m’applique à les lécher lentement avant de remonter le long de sa tige, je lui suçote le frein, il gémit, j’enfouis alors son gland au fond de ma bouche, salivant au maximum pour enrober sa queue d’une chaude humidité. Je descends et remonte mes lèvres tout en serrant la base de sa queue avec ma main droite. Il prend ma tête dans sa main pour donner la cadence. Je sens son plaisir monter, je veux le sentir exploser dans ma bouche.
— Je viens.
Je sens alors sa queue sursauter dans ma main et ma bouche et son gland libérer sa semence chaude au fond de ma gorge. Il jouit abondamment dans en grognant. J’adore ça. Cela fait tellement longtemps que je n’ai pas provoqué un tel désir chez un homme. Je m’applique à lécher sa bite qui ramollit progressivement sur ma langue. Elle pend désormais entre ses cuisses, vidée de son essence divine.
Il se rhabille et me redresse, il soulève ma robe, baisse ma culotte trempée, glisse un doigt le long de ma fente puis se baisse à son tour, sa bouche se plaque contre mon sexe, il fouille mes lèvres avec sa langue et son nez, je le regarde entre mes cuisses le visage maculé de mouille, ça m’excite comme jamais, sa langue trouve mon clito, il le tapote légèrement avant de le faire rouler par d’habiles mouvements de bouche. Son doigt vient fouiller mon vagin à la recherche d’un plaisir depuis trop longtemps enfoui. Je le sens, il arrive, il est violent, dévastateur, l’orgasme me paralyse littéralement, aucun son ne sort de ma bouche, je lève les yeux au ciel, je plaque sa tête contre ma chatte dans un réflexe musculaire, je jouis comme jamais, sentant ma cyprine inonder son visage. Des spasmes parcourent mon vagin, remontant le long de mon ventre et explosant dans mon cerveau en milliers d’étincelles. Je pousse enfin un long gémissement de bonheur. Je suis heureuse, les larmes me montent aux yeux.
Il se relève et m’embrasse. Nous promettons de nous revoir bientôt.
Le soir, Romain ressent le besoin de se décharger lui aussi. Il me monte en missionnaire, je sens sa queue investir ma chatte qui quelques heures plus tôt s’offrait à un autre. Je ferme les yeux et imagine Alex me besognant, je revois sa queue dans ma bouche et je repense au plaisir donné. Romain souffle bruyamment, il va jouir, je pense à Alex d’autant plus fort et pendant que Romain me remplit de sa semence, je jouis moi aussi, le vagin contracté autour de sa queue.

Vivement que je retrouve l’auteur de mes fantasmes...
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