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Yaelle, apprentie esthéticienne

Chapitre 1

Ma rencontre avec Raymond

Trash
Bonjour à tous, Pour commencer, permettez-moi de me présenter. Je m’appelle Yaelle, je viens d’avoir 18 ans et je suis apprentie dans un salon d’esthétique, je suis d’un naturel plutôt jovial, douce, sincère et suis plutôt ouverte d’esprit. Pour mon physique, je suis une jolie brunette aux cheveux longs et lisses, j’ai des yeux verts, je mesure 1m76 pour 54 kilos, j’ai, au dire des garçons, un joli petit fessier bien ferme dû à mes séances de natation et course à pied. Ah oui, j’oubliais, je suis très fière de ma poitrine que j’ai héritée de ma mère, un joli 85C bien ferme et en forme de pomme. Voilà pour ma présentation. Je vis dans un petit appartement que je loue dans une petite ville de Vendée.
Nous sommes début février, ce soir-là, je sortais de mon travail après une longue journée à épiler, faire des soins du corps. Je saluais ma patronne et lui dit "A demain". Je sortais donc de l’institut, vêtue d’un jean slim, de baskets, d’un petit débardeur très moulant avec un joli décolleté, d’un petit pull léger et d’un manteau long. Dessous ça, je portais uniquement un string ficelle. Je suis dehors et me rends compte que je suis partie ce matin trop peu vêtue et le froid hivernal me glace les os. Sous mon débardeur, je sens mes tétons se durcir.
— Quelle idiote je suis d’être sortie aussi peu vêtue.
Je pars en direction de mon appartement en pressant le pas. Il n’y a que 10 minuntes de marche, mais sous ce froid, elles me paraissent interminables. Les rues sont éclairées par des lampadaires hors d’âge, avec une faible luminosité. Je quitte le quartier commerciale et me retrouve dans ma cité HLM. Avant d’arriver à mon immeuble, je passe devant pas mal de jeunes qui traînent à fumer des joints et à boire des bières bon marché. J’entends souvent des sifflets et des commentaires obscènes lors de mon passage. Mi-flattée, mi-agacée, je ne réponds pas et fais semblant de ne pas avoir entendu.
J’arrive enfin à ma porte d’immeuble. À côté de là se trouve un banc toujours occupé par un clochard, les soixante printemps bien sonnés. Raymond est répugnant, un vieux jean déchiré, un pull dont on ne distingue plus trop les couleurs d’origines, des godasses en cuir d’un autre temps et un manteau long qui ne ferme plus. Pour son aspect physique, difficile à identifier, des cheveux longs, bouclés et GRAS. Toujours une cigarette à la bouche, il ne manque pas de me sourire quand je passe et me faire admirer son sourire édenté. Étant bien élevée, je réponds toujours par un sourire discret et rapide avant de rentrer dans le hall de l’immeuble. Je tape le code d’entrée quand j’entends Raymond.
— T’aurais pas une petite pièce, ma jolie ? — Heu, non, désolée, je n’ai rien sur moi. — Comment ça, tu n’as rien sur toi ? — Oui, je n’ai pas d’argent, j’ai oublié mon sac ce matin en partant à mon travail. — Ben, tu pourrais aller me chercher une petite pièce, je n’ai plus rien à boire ?
Je réfléchis à un moyen de stopper cette conversation, mais Raymond reprend :
— Si tu veux, je monte avec toi, j’attendrai sur le palier de ta porte, ça t’évitera de redescendre, et en plus, ça me permettra de me réchauffer un peu. — Non, c’est pas possible ça, je suis désolée. — Allez, s’il te plaît, je ne vais pas te manger et en plus, il fait vraiment froid ce soir, j’ai peur de ne pas réussir à passer la nuit sous ces températures.
Dans ma tête se mêlent beaucoup de contradictions, accepter au risque de ne pas réussir à le faire sortir de chez moi, refuser et le laisser dans ce froid au risque d’y passer...
— S’il te plaît, je suis si fatigué et j’ai si froid.
Je vois Raymond se lever péniblement. Je me dis qu’il n’est pas très vaillant et accepte finalement de le faire rentrer. Je tape le code d’entrée et la porte se déverrouille. Je l’ouvre et invite Raymond à rentrer.
— Je suis d’accord pour que vous montiez avec moi, mais vous attendez sur le palier de ma porte et vous partez aussitôt que je vous ai donné une pièce ? — C’est promis Mademoiselle.— Bon, OK, suivez-moi alors.— Merci, Mademoiselle, au fait, comment vous appelez vous ? — Yaelle et vous ? — Raymond.
Nous rentrons dans le hall et j’appelle l’ascenseur. Raymond se tient là, à côté de moi, un peu voûté. Son état physique me fait de la peine. Debout devant moi, je peux voir sa taille, il est petit environ 1m70, il a du ventre et surtout, il émane de lui une odeur abominable, mélange de cigarette, de transpiration, d’urine..., bref, ignoble. L’ascenseur arrive et s’ouvre. Nous montons et j’appuie sur le cinq. Les portes se referment et aussitôt, l’odeur envahit la cabine. Dans ce petit espace, l’odeur semble encore plus forte. Le temps me paraît une éternité.
Enfin, nous arrivons à mon étage, je sors à la hâte de la cabine pour reprendre une bouffée d’aire fraîche. En sortant, je ne remarque pas ma voisine de palier qui attendait l’ascenseur. Colette 65ans est surprise de voir Raymond me suivre dans le couloir. Quand je remarque ma voisine, je lui fais un petit signe de la main.
— Bonsoir Yaelle, tu vas bien ?— Oui, bonsoir Colette, je ne vous avais pas vue. Tout va bien merci, Monsieur a froid, je lui donne juste une petite pièce pour pouvoir se restaurer ce soir. — Oui, c’est très gentil de ta part. — Merci, Colette, bonne soirée.
Colette monte dans l’ascenseur et disparaît. De mon côté, je prends mes clefs et ouvre ma porte.
— Vous m’attendez ici, je vais voir ce que j’ai et je reviens. — D’accord Yaelle, je vous attends.
Je rentre dans mon appartement, laissant Raymond sur le palier de ma porte. Je vais dans ma chambre et prends mon porte-monnaie. Je constate que je n’ai pas grand-chose et retourne voir Raymond.
— Je suis désolée Monsieur, mais je n’ai pas grand-chose. Et je lui tends une pièce de 1euro. — C’est sûr que je n’irai pas très loin avec ça. Tu pourrais m’offrir de quoi me restaurer ? — On avait dit que vous resteriez en dehors de mon appartement ! — Oui c’est vrai, mais là, je n’ai pas de quoi boire ou manger quelque chose. — Bon, c’est d’accord, je vous fais à manger et après, vous partez. — Promis.
Raymond rentre dans mon appartement. Je referme la porte derrière lui. Il se dirige vers mon salon. Je le sens beaucoup plus alerte dans ses mouvements et me dit qu’il a joué la comédie en se levant du banc pour que je m’apitoie sur son sort. Il retire son manteau et le laisse tomber par terre et s’affale sur mon canapé. Il pose ces godasses sur ma table basse.
— Tu as quelque chose à boire ? — J’ai du coca ou du jus de fruits... — T’as pas une bière ? — Je crois qu’il me reste une ou deux dans mon frigo. — Va me les chercher.
Je sens que son ton a changé, mais bizarrement, je ne m’en offusque pas. Je vais dans la cuisine, dépose mon manteau et reviens avec les deux bières que je lui tends. En me voyant, il remarque que mon débardeur est très moulant, avec un joli décolleté. Je suis face à lui et me penche légèrement vers lui pour qu’il attrape ses bières.
— Eh bien, dis donc, je vois que vous êtes très très belle !
Sans le vouloir, je rougis, mais ne dit rien.
— Dis donc, tu as l’air d’avoir de sacrés beaux seins ma mignonne. Y a bien longtemps que je n’en ai pas vu en vrai.
Je me redresse vite pour qu’il ne puisse plus voir mon décolleté.
— Je peux vous faire des pâtes ? Ça vous ira ? — Oui, très bien, va faire ça.
Je retourne à la cuisine pour faire cuire des pâtes. Je l’entends allumer la télévision et zapper. Je prépare à manger et retourne au salon. En arrivant dans le salon, je vois qu’il a retiré ces chaussures et son pantalon. Je pose son assiette sur la table basse en faisant attention de ne pas lui remontrer mon décolleté. L’odeur qu’il dégage est horrible.
— Ça ne te gêne pas si je me suis mis à l’aise ?
Non pas de souci, vous voulez que je vous lave vos vêtements ?
— Oui, c’est une bonne idée ça.
Il se lève et me tend son pantalon. Il retire son pull et son tee-shirt. Effrayée, je me rends compte de ce que je viens de lui proposer. Ses vêtements ne seront jamais secs pour qu’il parte ce soir. Perdue dans mes pensées, je ne vois pas qu’il a également retiré son slip. Il est nu comme un vers. Il jette ces vêtements vers moi.
— Va me laver ça ma jolie.
Je prends les vêtements et les mets dans ma machine. Je l’entends qui se rassoit et recommence à zapper. Je reviens dans le salon et lui tends une serviette pour qu’il se cache le corps.
— Tenez, vous devez avoir froid comme ça.
Il me regarde et éclate de rire.
— Tu rigoles ou quoi ? Il fait chaud chez toi par rapport à dehors.
Il jette la serviette dans un coin du salon et reste nu sur mon canapé. Dans cette tenue, je constate qu’il n’est pas gros, mais carrément obèse, au moins 100 kilos, des poils gris sur tout le corps, des jambes et des bras gras. Assis, ou plutôt affalé sur mon canapé, je le vois qui pose ces pieds sur ma table basse, écarte les jambes et pose son assiette sur son ventre. Dans cette position, je peux voir son petit sexe mou noyé dans une forêt de poils bouclés.
— Tu vas rester debout comme ça ? Allez, viens t’asseoir à côté de moi pour me tenir compagnie. Tu sais, j’ai pas souvent la chance d’avoir une aussi belle compagnie !
Joignant le geste à la parole, il m’attrape par le bras et m’attire vers lui, me faisant tomber sur lui. L’assiette de pâtes se renverse sur moi. Je suis à moitié couchée sur lui, les pâtes sur mon débardeur.
— Désolée ma mignonne, je t’ai salie. Tu vas pas rester comme ça toute sale, retire-le donc ?
Il attrape mon débardeur et commence à le soulever. J’essaye de le repousser, mais il est beaucoup plus fort que moi.
— Allez, retire ton petit haut, tu m’as demandé de retirer mes vêtements pour les laver, tu vas bien en faire autant ?
Voyant que je résiste, il se met debout et me pousse. Son regard a changé. Ses yeux sont devenus noirs, il a un regard méchant et je me sens prise au piège.
— Écoute-moi bien petite salope, tu vas faire tout ce que je te dis sinon, tu vas déguster. Ta voisine est sortie, elle ne peut donc pas t’entendre. Donc, tu as intérêt à m’obéir.
Et là, il me balance une gifle monumentale en plein visage. Ma joue est toute rouge, je sens le feu de cette claque. Je comprends qu’il est inutile de lui résister sous peine d’en prendre une autre.
— Donc je répète pour la dernière fois, tu vas retirer tes fringues, et tu vas m’obéir. Tu as compris ?
Je fais un signe de la tête pour lui faire comprendre que je suis d’accord.
— Bien, maintenant, tu vas te mettre debout devant moi, et tu vas te déshabiller lentement.
Ne perdant pas de temps il m’attrape le bras et me remet sur mes pieds. Lui, retourne s’affaler sur le canapé. Résignée, je prends mon débardeur et commence à le soulever lentement. Il n’en perd pas une miette. Mon débardeur arrive à la naissance de mes seins. Il constate que je ne porte pas de soutien-gorge et m’insulte de salope.
— Tu vois que t’es une salope, tu ne portes pas de soutif, c’est que t’es une chienne.
Mes seins lui apparaissent. Je retire mon débardeur et le laisse tomber à mes pieds. Je dégrafe mon jean et l’ouvre complètement, il peut ainsi admirer mon string. Je retire mes baskets. Je fais descendre mon jean et le retire une jambe après l’autre. Je me retrouve en string devant lui.
— Reste comme ça, tu es magnifique. Tourne sur toi-même. Lentement.
Je commence à me retourner. Je suis dos à lui quand je sens une main se poser sur ma fesse droite. Il la tâte et passe à l’autre. Il me caresse les fesses. Son autre main vient sur mes fesses et me pelote. Ses mains vont sur mes hanches et attrapent la ficelle de mon string. Il tire dessus et me le déchire, m’arrachant un cri de douleur.
— Avoir ça ou rien, c’est pareil. Allez, continue de bouger ton petit cul devant moi, ma salope.
Il retire ses mains. Je reprends mon tour sur moi-même et lui fais face. Je le vois assis, les jambes écartées, les pieds posés sur ma table en train de se masturber. Son sexe prend une proportion plus importante que je ne l’aurai imaginé. Je reste là sans bouger, à attendre qu’il me dise quoi faire.
— Tu vas te mettre à genoux ma mignonne, et tu vas me sucer ! — Non, je vous en prie, pas ça. — Tu veux que je te corrige une seconde fois ? En plus, je vois que ma bite te fait de l’effet. Je vois que tu es toute rouge. — C’est la gifle, ça. — Non, c’est que ma bite t’excite, alors, comme elle t’excite, tu vas lui faire l’honneur de ta bouche. Fais ce que je te dis sinon.
Je vois dans son regard la même noirceur que tout à l’heure. Résignée, je m’agenouille entre ses jambes. Lui ne bouge pas et me regarde faire. J’approche mon buste de son entrejambe. Je prends son sexe en main et commence à le branler lentement. L’odeur est indescriptible. Il s’en amuse.
— Ben oui ma salope, on ne prend pas de bain tous les jours. Allez, pompe-moi salope.
Je le regarde dans les yeux comme pour le supplier de tout arrêter, mais aucun mot de sa part. Résignée, je commence à descendre vers ce sexe. Mes seins frôlent ses cuisses, je descends encore. Ma bouche arrive à la hauteur de son sexe, ma main le branle encore. Je sors ma langue et avance timidement. Ma langue touche son gland. Ce premier contact m’écœure. Il pose sa main sur ma tête. Je comprends que je n’ai pas d’autre choix. J’ouvre ma bouche et m’enfonce lentement ce sexe. Je salive beaucoup pour le laver. Raymond râle de plaisir, lui le SDF se fait pomper par une jeunette tout juste majeure.
Je m’habitue à son goût. Il me lâche la tête et constate que je le suce docilement. Bizarrement, je commence à ressentir une certaine excitation à cette situation. Raymond reprend sa bière et contemple la fellation que je lui prodigue. Je continue à m’appliquer le plus possible pour le faire jouir rapidement et ainsi arrêter mon calvaire. Je reprends son sexe en main à sa base pour la presser légèrement, ma bouche continue d’aller et venir sur son sexe qui a pris une taille respectable. Ma langue joue avec son gland et son urètre. Je retire son sexe de ma bouche et le branle. J’approche ma poitrine de son manche et me frappe les seins avec.
— MMMMMMMMMMM oui ma salope, tu vois que tu aimes ma queue. Vas-y ma puce, fais-toi plaisir.
Je ma frappe toujours les seins avec son sexe, je viens titiller mes tétons avec son gland. Je la place entre mes seins et resserre mes seins dessus et le branle lentement. Je le regarde dans les yeux. Je le branle un peu plus vite.
— Oh, ma petite salope, tu aimes ma queue toi ? Approche.
Il m’attrape par le bras et me tire à lui. Nos bouches se collent. Il m’enfonce sa langue dans ma bouche. Il a une haleine de chiotte, mais trop excitée, je réponds à ce baiser. Il lâche ma bouche et me prend par la taille. Il me soulève et me retourne comme une galette, pour que je me retrouve la tête en bas. Il est toujours assis sur mon canapé. Dans cette position, il m’écarte les cuisses et me fourre sa langue dans ma chatte. J’ai son sexe à portée de mes lèvres. Il me fait mouiller. Je reprends sa queue en bouche et reprends ma fellation. Notre 69 dure un petit moment. Je prends un pied d’enfer. Il me relâche et je tombe au sol. Il se met debout.
— Reste à quatre pattes comme ça, et suis-moi comme une chienne.
Je ne réponds pas et me contente de le suivre comme il me l’a ordonné. Il se dirige vers ma chambre à coucher et entre. Il voit mon lit.
— Enfin, un vrai lit, je vais bien dormir. Mais avant, on va s’amuser un peu.
Il s’allonge sur le dos sur mon lit, les jambes écartées, son sexe dressé.
— Monte sur moi salope et enfonce-toi ma queue.
Je m’exécute et monte sur lui. Je suis assise sur le haut de ses cuisses, mes jambes sont pliées le long de son corps. Il m’attrape les seins et me pelote avec force, me tirant les tétons, me les pinçant. Je prends son sexe en main et le branle rapidement. Je me redresse un peu et approche mon sexe du sien. Il me lâche les seins pour me prendre par les hanches et ainsi me faire descendre le long de sa colonne de chair. Son gland passe. Il s’enfonce petit à petit en moi. Je me mords la lèvre inférieure. Il le remarque et me sourit, je ferme les yeux. Il me lâche et me laisse faire. Il passe ses mains derrière sa tête pour me regarder prendre mon pied et ainsi me montrer qu’il me possède.
J’arrive à la base de son sexe. Il me remplit complètement. Je pose mes mains sur son ventre pour m’aider à me soulever. Je commence à faire de lents des va-et-vient sur son sexe dur. J’entrouvre les yeux et le vois qui me regarde. Il a un sourire de satisfaction.
— Tu vois, c’est pas la peine de faire ta sainte-nitouche. Tu l’aimes ma queue ? — Oui. — Oui qui petite salope ? — Oui Monsieur. — C’est bien, à partir de maintenant, tu vas être mon objet, tu feras tout ce que je te dirai, compris ? — Oui maître. — Tu fais quoi comme travail ? — Je suis élève esthéticienne Monsieur. — OK, maintenant ferme ta gueule et continue à me faire du bien. — Oui Monsieur.
Et je reprends mon chevauchement en accélérant. Je pose mes mains sur ses genoux, ce qui fait ressortir mes seins. Je prends mon pied, ma respiration s’accélère, je suis prête à jouir. Il s’en aperçoit.
— Arrête ça.
Il me pousse, je tombe au sol. Il descend du lit.
— Mets-toi à quatre pattes sur ton lit, je vais te prendre en levrette.
J’obéis docilement et me mets à quatre pattes, les fesses dans sa direction. Il se positionne derrière moi. J’attends qu’il reprenne sa place dans ma chatte. Mais je sens une main se poser sur mes fesses. Ses doigts s’aventurent dans ma moule tout ouverte et humide. J’imagine qu’il veut me branler avant de me reprendre avec son sexe.
— T’es toute mouillée petite salope. Tu aimes ce que je te fais ? — Oui maître. — Tu t’es déjà fait enculer ? — Non jamais. — Tu veux que je t’encule ? — Tout ce que vous voudrez maître. — C’est la réponse que j’attendais.
Il remonte ses doigts pleins de cyprine et m’enduit la rondelle et commence à me titiller l’anus. Il m’enfonce une première phalange et tourne son doigt dans mon rectum. Cette sensation m’électrise et je dois dire, m’excite.
— Pose ta tête sur le matelas et cambre-toi à fond.
Je m’exécute et lui offre mon cul. En faisant ça, c’est tout mon corps que je lui donne. Il continue à jouer avec mon anus et me prépare à m’enfiler son sexe. Il enfonce un peu plus son doigt et pousse encore. Il insère un deuxième doigt et fait de lents va-et-vient. Il m’introduit une troisième, ce qui m’arrache un petit cri de douleur. Il n’en a cure et continue sa manœuvre. Il les ressort et regarde mon anus dilaté par ce traitement.
— Voilà qui est joli, ton cul est prêt à me recevoir.
Sans attendre, il présente son sexe et s’enfonce d’un coup sec au fond de mon rectum. Je pousse un cri sourd dans mon matelas. Lui, commence à donner des coups. Il accélère et m’encule à fond. Il m’attrape par les hanches pour donner plus de force a ses coups. Il m’encule avec force. La douleur laisse place au plaisir. Je tourne la tête et émets quelques gémissements de plaisir. Raymond se fige en moi et reste immobile. Je me redresse et le regarde dans les yeux. Je le vois souffler. Il est tout dégoulinant de sueur. Je décide de m’enfoncer sa queue sans son aide. Il me voit faire et me sourit.
— Tu aimes la sodo, ma chérie ?
Son ton est beaucoup plus doux, je lui souris.
— Oui, beaucoup maître, j’aime votre sexe en moi. Je suis prête à tout pour vous satisfaire. — Vraiment tout ? — Oui maître.
Il me sourit et reprend à me pilonner le fion. Au bout de cinq minutes à me sodomiser comme ça, il se retire et me dit de rester à quatre pattes comme ça. Il fait le tour de moi et présente son sexe à ma bouche. Je comprends ce qu’il veut et ouvre ma bouche. Il prend son sexe en main et se branle énergiquement. Je sors ma langue et donne des coups sur son gland. Je vois son gland gonfler et des giclées de spermes jaillissent de son sexe. J’en reçois partout sur le visage, dans ma bouche, sur mon nez, dans les yeux...
— Ha, voilà qui fait du bien de se vider les couilles dans une bonne petite salope. On ne va plus se quitter maintenant, tu sais ? — Oui maître, comme vous voulez.
Il m’a souri et s’est allongé sur mon lit. Je suis allée dans la salle de bain me laver le visage. Quand je suis revenue, il dormait. Je me suis allongée à ses côtés et me suis endormie avec son sexe dans ma main. Fin de cette première partie.
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