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Yaelle, apprentie esthéticienne

Chapitre 2

Zoophilie
La nuit fut douce, je me réveille vers 7h du matin. Je me lève et vois Raymond dormir et ronfler fort. Je sors discrètement de la chambre et file prendre une bonne douche. Mon anus me fait mal, cette première sodomie m’a écarté les chairs. Ma douche finie, je retourne dans ma chambre pour m’habiller. Raymond dort toujours. Je choisis une petite jupe, des bas autofixants, des escarpins vernis noirs, un petit chemisier blanc. Dessous, j’opte pour un ensemble string-soutif en dentelle blanc.
Je sors de ma chambre et vais prendre mon petit-déjeuner. Je retourne dans la salle de bain pour finir ma toilette. Une fois maquillée et coiffée, je suis prête pour le travail. Je vais voir Raymond et ne le réveille pas. Je l’embrasse. Il me sent et se met sur le dos et entraîne la couette sur le côté. Il est là, devant moi, nu, les jambes écartées, son petit sexe mou qui repose sur sa cuisse. Sans réfléchir, j’avance vers son jouet et l’embouche. Je lui prodigue une pipe éclair dont j’ai le secret. En deux temps, il bande bien. Je m’active à le faire venir dans ma bouche, ce qui ne tarde pas. J’avale tout son sperme bien chaud.
— Bonjour, ma petite salope, tu avais faim ? — Bonjour, maître, oui, je ne voulais pas partir le ventre vide. — Tu pars ? — Oui, je travaille aujourd’hui. — OK, tu rentres ce midi, ou que ce soir ? — Je rentre que ce soir, je serai là vers 18h30. — OK, alors tu vas me donner le code d’entrée et une clef de ton appart, je ne supporte pas de rester renfermé toute une journée. — Bien sûr.
Je fouille dans ma table de nuit et lui donne une clef. Je lui indique où sont rangés les serviettes de toilette, les placards de nourritures... Il me demande de l’argent pour qu’il puisse faire quelques courses. N’ayant pas d’espèces, je lui donne ma carte bancaire et le code. Il est mon maître après tout.
Je retourne dans la salle de bain pour vérifier si je suis toujours présentable après ma pipe éclair. Raymond arrive dans la salle de bain. Je suis face au miroir. Il vient derrière moi et soulève ma jupe.
— Tu n’as pas besoin de ça ! Dorénavant, tu ne porteras plus de culotte.
Et il me descend mon string.
— Tu es quand même beaucoup mieux comme ça ! Tu vas aussi retirer ton soutif !
Je m’exécute et retire mon soutif, je suis donc nue sous ma jupe et mon chemisier. Je l’embrasse tendrement et sors de la salle de bain. Je prends mon manteau et salue mon maître.
— A ce soir, ma belle. Tâche de ne pas être en retard ; je te prépare une belle surprise !
Je sors de mon appartement. Dans l’ascenseur, je me perds dans mes pensées. Que va-t-il bien pouvoir me préparer comme surprise ? Je sors de mon immeuble. Il fait super beau, un beau ciel bleu et pas de vent. Juste la température fraîche me rappelle que nous sommes en hiver. Je pars à mon travail, l’esprit tranquille et décontracté.
La journée se passe bien, entre épilation et séance de massage. Je reçois beaucoup de femmes de tous âges. La fin de la journée arrive lentement ; je pense à Raymond, à ce qu’il a bien pu faire de sa journée, à ma surprise...
18h30, enfin, j’ai fini ma journée. Je salue ma patronne et lui souhaite un bon week-end. Nous sommes samedi soir et je reprends mon travail mardi. Deux jours à profiter de mon chéri. Oui chéri ; le mot était lancé dans ma tête. Il faut bien que je me l’avoue, Raymond m’a rendue folle de lui. Son autorité, son physique disgracieux, son absence d’hygiène... tout me rendait dingue. Moi, la petite esthéticienne qui adore prendre soin d’elle et des autres, je me rends compte que l’opposé de tout cela m’excite terriblement.
Je pars pour mon appartement. Sur le chemin, toujours les mêmes zonards qui me sifflent et essayent d’attirer mon regard, ces insultes, ces invitations à venir les sucer...
J’arrive à mon immeuble et monte à mon étage. J’ouvre ma porte d’entrée. Mon sang est en ébullition, que vais-je trouver comme surprise ? Je rentre dans mon appartement. Je dépose mon manteau dans l’entrée et j’entends des voix venir de mon salon. Mi-déçue de ne pas avoir mon homme à moi toute seule, mi-curieuse de voir qui est avec lui, je me dirige vers mon salon. En faisant mon entrée dans le salon, Raymond et son invité se turent.
— Waww ! Tu ne m’as pas menti, Raymond, cette nana est tout simplement sublime. — Merci Robert, et tu vas voir, elle est toute douce. Yaelle, je te présente mon ami d’infortune, Robert. Va lui dire bonjour.
Je compris tout de suite que ce Robert était lui aussi un clochard du coin. Je m’approche de lui pour lui faire la bise. Robert ne se leva pas de son fauteuil, et je dus me pencher vers lui, lui offrant donc une vue imprenable sur mon décolleté que proposait mon chemisier. Je lui fis la bise. La même odeur que Raymond dégageait la veille, une hygiène tout aussi désastreuse. Son physique était différent de celui de Raymond. Il était grand, environ 1m80, maigre, très dégarni sur le haut du crane, mais avec des cheveux sur les côtés, la coupe de moine en quelque sorte. Une fois que je lui ai fait la bise, je partis vers mon Raymond pour l’embrasser à pleine bouche. Je m’assis à ces côtés.
— Va nous chercher des bières que j’ai mises dans le frigo.
Je me lève et obéis à Raymond et vais donc chercher la boisson. Je reviens et les dépose sur la table basse du salon. Raymond m’explique ce qu’il a fait de sa journée.
— Ce matin, quand tu es partie pour ton travail, j’ai mangé un bout et je suis sorti. J’ai croisé ta voisine qui partait faire des courses, elle aussi. Dans l’ascenseur, j’ai bien vu que mon odeur la gênait. Je me suis permis de lui dire que cela ne te gênait pas à toi, bien au contraire. Elle était interloquée. Je lui ai dit que j’étais son nouveau voisin.
Il continua son récit pendant un petit moment, qu’il avait acheté de l’alcool, de quoi manger...
— Quand je suis rentrée, j’ai vu mon copain Robert qui était dans le parc avec son chien. Je suis allé lui parler et lui ai raconté mon aventure d’hier soir. Bien sûr, il ne voulait pas me croire, mais quand je lui ai montré tes clefs d’appart et ta carte bleue, il a changé d’avis. Je lui ai proposé de venir profiter de ton hospitalité pour cette nuit. Ca ne te dérange pas ? — Non, pas du tout, comme tu veux. — Tu vois Robert, qu’est-ce que je t’avais dit. Elle m’obéit. — Ben merde alors, et ce que tu lui as fait hier soir, c’est donc vrai ? — Bien sûr que c’est vrai, hein, ma chérie ? — Que lui as-tu raconté ? — Tout.
Et je vis un sourire se dessiner sur son visage et celui de son ami. Je compris tout de suite que Raymond lui avait raconté notre partie de baise et ma soumission.
— Donc Raymond me disait que tu obéissais à tout ce qu’il te demandait ? — Oui. — Eh ben mon pot, tu as décroché le gros lot, là. — T’inquiete pas, je ne suis pas égoïste. Je sais que tu as la dalle aussi. Bon Yaelle, maintenant que tu as compris que Robert est au courant, tu vas reprendre à m’appeler maître. C’est compris ? — Oui maître. — C’est bien, va nous faire à manger, et n’oublie pas de faire à manger aussi pour son chien.
Je regarde dans le salon et aperçois un chien dans le coin de la pièce. Je ne l’avais pas remarqué, car il dormait. Ce chien était de taille moyenne, il avait l’air vieux et pas en pleine forme. Je pris congé de mes invités et partis dans la cuisine pour faire à manger.
N’étant pas bonne cuisinière, je refis cuire des pâtes que j’agrémentais de sauce tomates. Je fais 4 assiettes et les apporte dans le salon. Je donne une assiette aux deux hommes, et en dépose une, devant le chien. Dès que j’eus posé l’assiette devant le chien, il se réveilla et mangea sa portion.
— Donne la 4e assiette à mon chien, il mange beaucoup. — Oui et de toute façon tu n’en as pas besoin toi, reprit Raymond.
Les deux hommes mangèrent leurs pâtes. Je vais m’asseoir à côté de Raymond et ne dis rien attendant que Raymond finisse de manger.
Robert fut le premier à avoir fini et posa son assiette, sur la table basse. Je l’ai prise, et l’ai emmenée dans l’évier de la cuisine. En revenant dans le salon, Raymond m’interpella.
— Tu veux prendre ton dîner toi ! — Oui maître ! — Mets-toi à genoux et va boire à la source de mon ami.
Je compris tout de suite ce qu’il voulait que je fasse. Je me suis mise à quatre pattes et me suis dirigée vers Robert. Robert écarta les jambes pour m’accueillir. Il me laissa faire. Je déboutonnai son pantalon et le tirai à ces chevilles. Il retira ces godasses et je pus lui enlever son vieux pantalon. Il n’avait pas de slip et je me retrouvai directement face à son sexe mou qui était très impressionnant. Il était long, environ 18 centimètres, et très large.
— Vas-y, ma chienne, ton maître m’a vanté tes qualités de suceuse.
Je ne dis rien et attrape son sexe, que je branle légèrement pour le rendre un peu plus dur. Je m’approche de son sexe et ouvre la bouche. Robert posa sa main sur ma tête et m’enfonça sa queue en bouche sans que j’eusse le temps de comprendre. Il me lâcha la tête pour me laisser faire. Son sexe était long et très large, au fur et à mesure que je le suçais, son sexe grossissait et prenait des proportions vraiment énormes. Raymond, lui, finissait de manger et alluma la télé sans intervenir ni me regarder.
Robert dégrafa ma jupe et la fit tomber au sol. Il attrapa mon chemisier et me le déchira. Je me laissais faire, il est l’ami de mon maître, donc je lui dois obéissance également.
— Lâche mon sexe, petite salope, et redresse -toi, que j’admire ces seins que mon pote m’a décrits.
Je m’exécute et me redresse pour faire ressortir mes seins. Robert les prit en main et me les malaxa brutalement, me pinça les tétons.
— Mmmm, ce sont de beaux gros seins de chienne ça, j’adore. Vas-y, reprends-moi en bouche.
Je repris donc son sexe en bouche et lui prodigue une superbe fellation pour qu’il vienne rapidement et que je retrouve mon Raymond. Au bout de 5 min, Robert ne semblait pas au bord de la jouissance. Je levai les yeux vers lui et vis qu’il regardait la télé en même temps que je le suçais. Je stoppe cette pipe et me redresse.
— Qui t’a dit d’arrêter, petite conne ? Suce-moi.
Le ton de sa voix était très autoritaire et je repris donc son sexe. Robert m’attrapa les poignets.
— Comme ça, tu ne pourras pas partir. Tu me suces et tu te laisses faire. Raymond pousse cette table basse pour que son cul soit accessible.
Raymond se leva et tira la table basse. Je ne comprenais pas pourquoi il voulait que mon cul soit accessible. Raymond retourne sur son fauteuil pour regarder la télé et Robert se faisait sucer. Je m’appliquais le mieux possible pour sucer cette queue. Elle était bien grosse, un bon gros gland. Tout en le suçant, je le regardais dans les yeux. Il aimait cela.
— Raymond, mon ami, cette petite chienne est comme tu me l’as décrite, un corps de fou, une suceuse hors pair, et d’une totale soumission. Est-ce que je peux en profiter comme je veux ? — Bien sûr, amuse-toi avec elle. Fais-lui ce que tu veux. — Très bien. Oman mon chien, viens par là.
Je vois aussitôt son chien se lever et venir à côté de lui. Robert le caressa un peu, lui flatte le flan et lui dit :
— T’es un bon chien toi, toi aussi tu aimerais avoir une bonne chienne ?
Je ne voyais pas où Robert voulait en venir. Il se pencha vers moi et passa une main dans ma raie. Il aventura son majeur vers ma moule qui commençait à s’humidifier. Il m’enfonça un doigt et fit de lents va-et-vient pour me faire mouiller. Une fois bien humide, il sortit son doigt et le fit sentir à Oman. Son chien le lécha. Robert tapota mes fesses. Oman partit vers mes fesses.
Son museau se planta directement dans ma raie. Il sortit sa langue et commença à me lécher le sillon. Sa langue s’attarda de plus en plus sur ma minette qui mouilla de plus en plus. Robert me tenait toujours les poignets, et m’empêchait de fuir ce cunni bestial. La langue d’Oman était très agile, longue et râpeuse, ce qui me donnait des sensations indescriptibles de plaisirs. Je sentais ma cyprine couler abondamment. Le chien n’en perdait pas une goutte.
— Alors ma petite chienne, cette langue te plaît ? Tu vas aimer son nœud ma belle.
Robert me lâcha les poignets et appela Oman. Le chien leva la tête vers son maître. Il l’attrapa par le collier et le tira vers lui, ce qui le fit monter sur mon dos. Je compris immédiatement ce que Robert voulait faire. Soumise, je ne bronchai pas.
Robert lâcha le chien et me dit d’arrêter de le sucer, mais de garder cette position. Il se leva et passa derrière le chien. Il le souleva pour que son sexe soit à la hauteur du mien. Aussitôt, le chien entreprit des mouvements de pénétrations, mais sans atteindre sa cible. Robert le comprit et prit le sexe du chien en main et le guida vers son objectif. Une fois, à l’entrée de ma chatte, le sexe du chien s’engouffra dans mon vagin, m’arrachant un cri de douleur dû à la brutalité de cette pénétration.
Le sexe du chien était énorme et avait à sa base une grosseur. Le chien s’activait sur moi, me griffant au passage les côtés du dos. Le chien allait de plus en plus vite.
— Tu vois ma belle, mon chien va te verrouiller pour faire de toi sa femelle.
Je ne compris pas tout de suite ce que cela voulait dire. Le chien ne donnait plus de coups en aller-retour, mais forçait vers l’intérieur. Là, je compris ce que Robert voulait dire par : verrouiller. Le chien essayait de me rentrer sa boule. Mes chairs s’écartaient lentement. Ca me faisait mal. Petit à petit, Oman arrivait à me rentrer son nœud. Un dernier coup de reins et me voilà verrouillée à cette queue canine. Robert vit son chien arrêter de bouger et en déduisit qu’il était bien planté en moi.
— Voilà, mon chien te possède. Maintenant que tu es verrouillée, tu vas recevoir son sperme. Raymond, regarde, comme c’est beau, ces deux chiens accouplés !— Ah oui magnifique. Moi, j’aimerais bien les voir cul à cul. — T’as raison.
Aussitôt, Robert prit les pattes avant d’Oman et le fit glisser sur le côté. Le chien émit quelques petits cris plaintifs. Moi, de mon côté, je souffrais le martyre. Son nœud m’écartelait, mais en plus, le fait de le faire passer sur le côté amplifiait la douleur.
Robert prit le chien et réussit à le retourner pour que l’on soit cul à cul. Cette position ultra-humiliante faisait bien rire Raymond et Robert. Je sentais que le chien déversait son sperme à gros flots. Robert reprit sa place sur son fauteuil devant moi. Il prit ma tête et m’enfonça sa queue en bouche.
— Vas-y, sale chienne, tu vas pouvoir manger ton repas. Tu m’excites à fond comme ça. Je m’habituais à la présence de ce sexe canin et repris ma fellation. Robert grognait de plaisir. — Oh putain, je viens là, vas-y, avale tout, sale chienne.
Robert explosa dans ma bouche. Il me bloqua le crâne sur son pieu. Je ne pouvais pas bouger et dus avaler tout son sperme. Oman, lui, avait également fini de se vider en moi, mais était toujours planté dans ma chatte. Je sentais que son sexe diminuait de volume. Le chien essayait d’avancer pour se dégager, mais n’y parvenait pas. Son nœud diminuait petit à petit. Au bout de 15 min, le chien réussit à se dégager de moi, et un flot de sperme s’échappa et tomba à terre.
— Tu vas lécher cette flaque de sperme canin. Ça te ferra ton dessert.
Je me suis retournée et me suis penchée vers cette flaque blanchâtre. Le chien, lui, repartit se coucher dans le coin de la pièce. Dans cette position, j’offrais une vue immanquable de mon anus. — Repose-toi bien sale chienne, car demain Oman s’occupera de ton petit œillet.
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