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Youssouf

Chapitre 1

par pitié

Avec plusieurs hommes
Nous habitons une ville au bord de l’océan, où nous passons la plupart de nos loisirs. En cette période de grand froid, nous en profitons pour faire de belles ballades dès que le soleil parait ; pour nous la mer est un vrai moment de détente. Lors de ces promenades, nous avions pu constater que depuis quelque temps, des hommes se protégeaient du froid en se terrant dans les bosquets ; jamais une agression, non, ils essayaient de se faire oublier de peur d’être ramassés par la police.Plusieurs fois, nous avions remarqué un jeune noir, la peau très foncée, toujours propre sur lui, mais manifestement tremblant de froid ; pour une fois, il était seul, assis sur un banc, enveloppé d’une couverture, mais manifestement gelé ; il faut dire que même au bord de l’eau, il faisait -5 la nuit et pas plus de 2 degrés le jour. Nous avons eu pitié de lui et gentiment mon mari lui proposa de venir prendre une boisson chaude à la maison à 5mn de là. C’est d’accord un refus, puis sur notre insistance, il accepta timidement, nous demandant seulement de ne pas le dénoncer aux autorités.Petit à petit, la confiance s’installa et c’est ainsi que nous avons appris qu’il était sénégalais, arrivé depuis 13 jours et qu’il se rendait parfois à une association, pour avoir un repas et se laver, mais qu’il n’arrivait pas à avoir un lit pour dormir au chaud. Blotti dans un fauteuil, il paraissait un enfant perdu, malgré son mètre quatre-vingts et ses 20 ans et je dois dire qu’au fur et à mesure de ses révélations, nous avons pris pitié pour lui et c’est jean qui le premier lui a proposé de manger avec nous et de passer la nuit au chaud en attendant de voir pour le lendemain ; il a mis un long moment avant d‘accepter et de venir nous serrer la main en nous remerciant de notre bonté ;certes, il y avait un risque, mais parfois il faut savoir être généreux. Mais nous ne l’avons jamais regretté, bien au contraire.Une bonne partie de la soirée, il nous a parlé de son pays (que nous connaissons bien), de sa jeunesse dans une famille très pauvre et de son envie de vivre autrement. Et c’est fort tard qu’il a regagné la chambre que nous lui avions réservée. Le lendemain, de bonne heure, Jean est parti au marché et comme d’habitude, je me suis levée simplement vêtue d’une robe de chambre pour déjeuner. La présence de Youssouf m’est alors revenue et je me suis dirigée vers sa chambre pour l’inviter à se restaurer ; et surprise en rentrant, il avait posé le matelas par terre pour dormir et deuxième surprise, il avait dormi nu ; à mon arrivée, il s’est vite recouvert de sa couverture, mais j’avais pu découvrir un corps musclé et surtout un membre de belle facture ; après lui avoir dit que le café était chaud, je ne suis vite retirée, gardant en mémoire ce que je venais de découvrir. Jean est arrivé à ce moment et c’est ensemble que nous avons pris le café ; je sentais sur moi le regard de ce jeune, et dans ma tête je revoyais son corps qui maintenant me donnait chaud ; le reste de la matinée s’est passée de façon habituelle, Youssouf s’étant réfugié dans la chambre ; quand il en est sorti, Jean lui a alors proposé qu’il reste chez nous en attendant qu’il lui trouve un hébergement, ce qu’il a accepté avec empressement. Pour moi, sa présence était une source d’envie ; Jean s’en est vite aperçu et le soir me besognant avec fougue, il m’a demandé si j’avais envie de lui ; je lui dis alors ce que j’avais vu le matin et avant de se répandre en moi, il m’a dit « essaye, mais à voir son regard sur ton décolleté ce matin, découvrant parfois tes seins, je pense que ce ne sera pas difficile et connaissant ton désir vis-à-vis des noirs, je pense qu’il sera bientôt dans ton lit » ma jouissance a alors éclaté, oubliant que nous avions un hôte juste à côté.
Le lendemain, nous ne voyons Youssouf que dans la soirée ; après le repas nous regardons la télé, jean et moi sur le canapé, Youssouf, lui a préféré se mettre à terre, légèrement en biais de nous. Volontairement je croise et je décroise mes jambes, ce qui comme je l’espérais, fait remonter ma petite jupe, découvrant une bonne partie de mes cuisses ; jean lui m’entoure les épaules et sa main parfois me caresse un sein, très visible sous mon corsage transparent ; sous ses caresses, mes pointes se tendent et saillissent sous le fin voile, ce qui accentue mes envies. Il doit en être de même pour Youssouf car son survêtement est très tendu, même s’il fait son possible pour rester discret. Me livrant aux caresses de jean, j’écarte mes jambes, découvrant pour lui sans aucun doute la vue sur mon pubis ; il faut dire que j’ai « omis « de mettre un slip et je pense, à la vue de son regard fixé sur mon bas ventre qu’il doit entrevoir ma chatte ; finalement en bafouillant un bonsoir, il nous quitte rapidement.
Même si je sais qu’il est très excité, je regrette ce départ car je commençais à mouiller et pour contenir ma frustration, Jean me prend comme un sauvage, me percutant bruyamment et m’amenant rapidement à la jouissance, jouissance très certainement perçue dans la pièce voisine. Il a dû se branler en y pensant.Le lendemain, en tenue légère (nuisette et shorty) je déjeune quand il sort de sa chambre ; ses yeux brillants traduisent sa surprise, mais il ne bronche pas et s’installe dans un coin pour son café. Je suis décidée et m’approchant de lui, je demande si nous n’avons pas fait trop de bruit après son départ ; son visage rosit et il répond par la négative mais ses yeux restent fixés sur moi et afin de le provoquer, je lui demande « tu avais une femme à Dakar ? » sa réponse est négative, mais je continue « et tu as déjà fait l’amour ? » ; nouvelle négation ; à priori il est encore puceau ce qui est fréquent pour les jeunes garçons dans son pays. « Tu as déjà vu une femme nue ? » Il baisse la tête et me dit non ; tu aimerais me voir nue ? » Cette fois c’est la surprise sur son visage, il ne répond pas, mais son bas ventre est tendu ; « dis-le-moi, moi cela me ferait plaisir pour toi ; il est incrédule cette fois il me répond « oui madame, tu es belle »Lentement j’écarte les bretelles de la nuisette et je découvre ma poitrine et lui prenant la main, je la pose sur un sein ; une décharge électrique doit lui traverser le corps car sa main se referme brusquement et m’écrase la mamelle. Il a compris que je m’offre à lui, cette fois ce sont ses deux mains qui me brutalisent un peu ; je le calme en lui disant d’être plus doux et j’en profite pour descendre mon shorty ; cette fois je suis nue et totalement offerte à ses envies, même si pour l’instant, il ne sait pas comment faire. C’est moi qui reprends l’initiative et descendant son survêtement, je découvre un gros sexe, bien tendu ; les Sénégalais ont la réputation d’être bien membrés et je dois reconnaitre que le sien dépasse les 20 cm (26 je le verrai plus tard), très gros, avec un très gros gland déjà décalotté.Je ne peux résister et me mettant à genoux, je dépose mes lèvres sur sa tige, avant de la gober partiellement tellement il me remplit. Lui agrippant les couilles, je commence une sucette, comme je l’aime et très vite ses gémissements me traduisent son plaisir ; je sais qu’il va jouir rapidement, mais je continue ma sucette, l’amenant jusqu’à une éjaculation, aussi puissante que prolifique ; je ne peux tout avaler et sa jute s’écoule autour de mes lèvres ; épaisse, légèrement amère, je me délecte continuant à le sucer ; il ne débande pas et j’en profite ; m’allongeant sur le tapis, je l’attire à moi et prenant son sexe à pleine main, je le présente à l’entrée de ma grotte ; même s’il est puceau, il a vite compris et d’une poussée, il me transperce ; malgré mon excitation, ma chatte encaisse difficilement le chibre, d’autant plus que ces coups de butoir sont violents ; je viens de lui prendre son pucelage et lui vient de découvrir une petite salope qui aime se faire défoncer, se laissant aller à la jouissance, d’autant plus qu’à nouveau, il jute, me fécondant ; les cuisses écartelées, je m’offre le plus possible, son gland venant à chaque poussée me défoncer la matrice quand il se retire, un floc accompagne le sexe, sa semence s’écoulant sur mes cuisses ; c’est alors qu’il découvre que jean nous observe, la queue à la main, lui aussi venant de jouir.
Surpris, sans doute inquiet d’avoir été surpris il s’enfuit.
Afin de le rassurer, je le rejoins dans sa chambre ; il est tassé dans un coin, manifestement inquiet. J’essaye de lui expliquer que pour nous c’est un choix et que c’est mon homme qui a eu envie que je lui appartienne ; un peu crédule, il se déride un peu et je constate que son sexe frémit à nouveau. Il est vrai que je suis toujours nue, et continuant à lui expliquer nos envies sexuelles, je commence à ressentir une douce chaleur dans mon ventre encore plein de son sperme. Pour lui cette fois, c’est une verge maintenant bien tendue qui s’offre à mon regard. Il a repris non seulement confiance, mais aussi de l’initiative, car cette fois c’est lui qui timidement s’approche de moi et me plaquant à plat ventre sur le rebord du lit, il me pénètre, sa tige me dilatant les parois ; une seule poussée et il et au fond de moi : c’est lui qui dirige et il me prend bestialement, sans douceur, s’enfonçant à grands coups de mandrin, me perforant, butant à chaque poussée sur le fond de ma matrice. Il ne me fait pas l’amour, il me baise, sûr de lui et de son pouvoir et rapidement mes cris emplissent la pièce.
Je jouis, comblée par une queue démesurée ; j’aime les gros sexes et celui-là en est un. Et même s’il était puceau, il a vite compris comment s’y prendre ; c’est un véritable taureau qui me défonce, me faisant jouir plusieurs fois. Mes cris ont vite excité mon homme, car je vois la porte s’entrouvrir. Youssouf aussi l’aperçoit, mais il ne bronche pas mais il ne bronche pas en voyant jean, bien au contraire, il se déchaine sans doute excité de posséder sa femme et de la faire jouir devant lui.Pour me faire jouir, il me sait me faire jouir ; il semble infatigable et devant mon homme qui se masturbe, il redouble de fougue ; pilonnée, enfoncée au plus profond de moi, je te regarde mon homme « regarde jean comme sa queue me défonce ; il me distend, me percute. J’aime sa queue et j’ai envie qu’il me féconde puissamment » ....... je ne peux en dire plus car il vient de se cambré et accroché à mon bassin, il se déverse à nouveau en moi, alors que jean vient juter sur mon visage. Couverte et pleine de sperme, j’explose, anéantie par la puissance de mon plaisir. Quand à Youssouf, il se retire, la tige engluée de nos sécrétions et fièrement s’assoie sur le lit.Finalement Youssouf va rester plus longtemps que prévu. Il faut bien que nous découvrions les multiples facettes de nos relations libertines
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