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Yumiko, japonaise non censurée

Chapitre 2

La rencontre

Zoophilie
Pendant toute la journée, Jérôme et moi ne chômons pas. Nous décidons de voyager un peu, et pour ça, autant quitter notre pauvre studio de Paris pour la Provence. Prendre le soleil et être entourée de nature, d’insectes joyeux et d’envolées vertigineuses d’oiseaux est toujours un plus une fois que la partie boulot est terminée et que le farniente commence. Avec une piscine, bien évidemment, pour attirer les regards et essayer de faire bronzer ce corps assez blanc.
Quoi qu’il en soit, j’ai réussi à rallier Jérôme à ma cause, son excitation à un niveau qui me met en joie, et nous décidons de partir dès demain matin. Nous avons arpenté les pixels de Google mats pendant près de 3 heures, à la recherche de fermes, mais restons un peu frustrés qu’une seule personne ait daigné nous répondre au téléphone. Une femme, seule, ça nous paraît bien étrange, d’autant que l’exploitation, sur les images satellites, semble vaste.
Au téléphone, je me présente succinctement. La femme a une voix fatiguée, mais quand je lui explique qu’avec mon assistant nous serons demain dans la région, et que nous souhaiterions la rencontrer pour un tournage, sa voix reprend des couleurs. Ce mot-là a un effet magique sur les gens. Forcément, ça la sort de son quotidien. Elle nous attend le lendemain pour le café, vers 14-15h, ce qui est parfait. Mais tout de même, on trouve cela étrange. Enfin, plutôt inhabituel, du peu que l’on sait de ce monde-là.
Quoi qu’il en soit, Jérôme m’abandonne, car le dimanche soir, il a son petit rituel, il dîne avec ses vieux parents, me laissant seule avec mes 9 millions de putain de vues ! L’excitation me gagne en lisant un commentaire particulièrement salace, d’un homme visiblement, son image d’avatar étant tout naturellement son sexe en érection - mais quel sexe ! Son commentaire est tout frais, et je tente ma chance, lui envoyant un message privé, auquel par chance il répond. Il est terriblement surpris, presque sous le choc, que je lui écrive. Je le remercie pour son commentaire, et lui demande si c’est vrai. Par chance, il me dit qu’il a pris une photo, tant l’évènement était rarissime. Il me l’envoie et je me mords les lèvres en ouvrant le fichier...
Ce mec a joui trois fois d’affilée en matant ma vidéo. Son sexe, encore tendu, est littéralement couvert de sperme mousseux sur la hampe et encore bien gras et globuleux sur le gland. Je le félicite pour la prouesse, lui propose, s’il a encore un peu de force, de passer me prendre en voiture pour que je nettoie comme il faut son gros joujou, mais le type me plante.
Déconnecté. Surprise, je patiente, le temps est infiniment leeeeeeent, bordel. Mais il ne revient pas.
Connecté il y a 14 minutes. Quel enfoiré ! Je ferme mon ordi en claquant l’écran, et allume la télé pour reprendre ma série. Mais je n’arrive pas à me concentrer, trop excitée pour ignorer l’appel de ma chatte...Alors je me lève pour récupérer mon nouveau jouet, mon cher étalon vert-violet, et trouve dans le carton d’emballage des recharges de faux-sperme. De nouveau toute pétillante à l’idée du chouette moment qui m’attend, j’ouvre mon ordinateur et allume la caméra. On verra bien si ce qu’il en sort est exploitable ou non. Une fois la recharge vidée dans les bourses externes, je commence à frotter la longue et dure hampe contre mon tanga tout moite...
L’effet est immédiat, et ma main saute sur mon sein gauche, se crispe dessus, mes ongles tentant de forcer la barrière de mon épiderme, glissant sur le tissu pour ne bientôt pincer que mes larges tétines, sensibles à l’extrême par le besoin de sexe. Ma tétine droite enfle simultanément - ce sera clairement visible sur la vidéo et terriblement excitant, ce téton envoûtant pointant sous mon trop petit t-shirt blanc. Ma main folle semble autonome, et malaxe sauvagement mon lourd sein gauche, m’arrachant des gémissements forts, que je viens faire taire en engloutissant ma queue-de-cheval. Oooooooooowh oui. Mon plaisir passe à un cran supérieur. J’aime qu’on me mette un gland dans la bouche, surtout de force, surtout quand je ne m’y attends pas. Et là je me suis moi-même surprise. Je ne contrôle plus rien, mon corps a botté le cul à mon esprit et s’amuse tout seul, pour mon plus grand bien.
Sur la vidéo, qui ne durera que 3 petites minutes, on pourra me voir devenir totalement folle, arrachant mon t-shirt au niveau du cou, le tissu libérant mes énormes mamelles entre lesquelles le gode étalon viendra jouir après quelques va-et-vient très appuyés, le gland apparaissant puis disparaissant entre eux. Et moi, encore une fois, saisie d’un orgasme paralysant, qui me fera m’écrouler sur le sol, glissant sur canapé de façon assez ridicule. Autant garder ça pour moi, ou pour plus tard.
Quoi qu’il en soit, mon excitation est contrôlée, apaisée, et je peux me concentrer sur ma série chérie, devant laquelle, en fin de compte, je me suis rapidement endormie.
***
7h20, à la gare Montparnasse. Jérôme a une mine ravissante, et pour la première fois, je me dis que c’est un assez bel homme. Je dois être en train de le regarder étrangement, car il me sourit en me lançant "Quoi ?". Vraiment ravissant cet homme.
— Rien, rien. C’est juste que je te trouve lumineux ce matin. Près pour le grand voyage ?— Un peu !

Et je lui passe mon bras autour du sien pour l’emmener gaiement vers notre quai.Après seulement quelques pas sur le quai, je m’arrête.
— Qu’est-ce que tu fais ? me demande Jérôme.— Eh bien je t’attends pour monter, grand malin.— Mais ce sont les pre... Tu nous as pris des premières classes ?— Qu’est-ce que tu crois bébé, tu voyages avec une star maintenant !— Naaaaaaaaaa, comment t’assures Yumi !— Eh ouais je sais. Allez viens, on va se boire du champ’ *rire* Et pas de commentaires, le champagne au réveil c’est fortement recommandé par l’OMS.— Hm... J’ai des doutes mais, nique l’OMS. Allez !
Le voyage se passe à merveille. Pendant une heure d’euphorie totale, Jérôme et moi buvons coupe sur coupe, rions, partageons des moments de belle et rare complicité, avant de nous effondrer, rattrapés par l’alcool et le réveil bien trop matinal.
Sur les coups de midi, nous sommes réveillés par une agente très sympathique. Jérôme et moi nous regardons, tout sourire encore dans les vapes, mais résolument contents de ce petit-déjeuner au champagne. Au sortir de la gare, le taxi que j’avais réservé est déjà là, et 40 minutes plus tard, un peu en avance, nous voilà arrivés devant la porte de... attendez...
— Ah voilà, c’est Madame Girard. Pas joli comme nom.— On fait quoi, on frappe ou on attend ?— On va pas poireauter pendant une heure. Non vas-y, frappe.— Pourquoi moi ?— Parce que c’est une femme, t’es un homme, et t’es particulièrement séduisant aujourd’hui.— Je... Quoi ? Merci.— toc toc toc*— Mais qu’est-ce que tu fous, je suis pas prêt.— Oh allez tu vas assurer mon grand.
La porte s’ouvre.Et comme dans un conte de fées, Yumiko le voit de suite, Mme Girard, la cinquantaine approchant, au moment où elle croise le regard de Jérôme, a un putain de coup de foudre.
Alors je me dis que c’est gagné. Que c’est le destin. Que la vie est bien foutue quand même.
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