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Yumiko, japonaise non censurée

Chapitre 3

Mme Girard

Lesbienne
L’intense regard que Mme Girard pose sur mon Jérôme semble sans fin, et voir la libido de cette femme sûrement très seule se réveiller d’un coup, émerger comme une éruption volcanique est vraiment magnifique. Un spectacle que je n’oublierai jamais. Je jette un coup d’œil à Jérôme, qui lui semble juste un tout petit moins envoûté par cette charmante quinquagénaire. Normal après tout, après nos accolades rapprochées de ce matin, le moment très sympa partagé dans le train, je suis sûre qu’une partie de son cerveau et de sa bite ne peut pas s’empêcher de se dire que PEUT-ÊTRE il y aura une ouverture avec Yumiko. Mais non Jérôme, malgré tout l’amour et l’affection que je te porte, il n’en sera jamais ainsi. Alors il va falloir que je te pousse dans les bras de cette tendre Mme Girard pour faciliter notre job.
Je prends les devants, poussant tendrement Jérôme vers notre hôte d’une main dans le dos, l’invitant à s’approcher d’elle pour l’embrasser, elle en meurt d’envie :
— Madame Girard ! Quel bonheur d’être ici. Merci pour votre invitation. Voici mon collègue Jérôme - aller avance Jérôme, ne gâche pas tout !
Mme Girard rougit en disant :
— Monsieur Jérôme, je suis très enchantée.
Elle tend la main, timide, alors que Jérôme se penche pour lui faire la bise, et dans leur imbroglio, les lèvres se frôlent, ajoutant encore plus de pression sur la jeune amoureuse qui est maintenant écarlate. Pour leur venir en aide, je pince le flanc de Jérôme et prends Mme Girard dans mes bras, lui offrant un câlin sincère et réconfortant.
— Madame Girard, je suis Yumiko, et vraiment ravie de vous rencontrer.— Enchantée également. Je ne pensais pas accueillir deux si belles personnes, vous rayonnez... Je me sens toute moche à côté de vous.— Vous êtes ravissante Mme Girard, vous plaisantez !— Appelez-moi Odette. Venez, le café est prêt.
Odette n’en peut plus de dévorer Jérôme des yeux. Elle tarde à entrer dans la maison et semble vraiment hypnotisée par notre grande asperge. Ca me fait rire intérieurement et j’embarque Odette par le bras pour rentrer dans son immense maison.
Alors que nous arrivons à peine dans la salle à manger, Jérôme demande où sont les toilettes. Je crois que lui aussi n’a pas été aussi ouvertement désiré depuis un moment, et je le vois, il ne sait pas où se mettre ni comment gérer la situation, alors il fuit. Et dès qu’il n’est plus dans nos pattes, Odette attaque :
— C’est votre fiancé ?— Jérôme ?! Non ! Juste mon collègue.— Hm.— Odette, je vois bien que vous avez eu un gros coup de cœur pour lui... C’est tellement touchant. Et il est tout aussi libre que le vent, alors on va le faire craquer pour vous. On va prétendre devoir partir en ville et je vais vous dégoter une garde-robe de haute voltige, il ne pourra pas vous échapper. Qu’en dites-vous ?
— Yumiko, êtes-vous extra-lucide ou est-ce mon visage qui me trahit à ce point ?— Aaaah ma chère Odette, je connais bien le genre humain. Alors c’est oui ?— Si vous pensez que j’ai mes chances, alors oui. Avec plaisir.— Vous êtes entre de bonnes mains.
Comme par accord, Jérôme revient, s’excusant, visiblement gêné de son mensonge, et prétend être fatigué du trajet. Odette ne s’offusque pas et voit là notre chance de filer en douce facilement. Elle nous fait un rapide tour du propriétaire - la maison est vaaaaaste - avant de conduire Jérôme dans sa chambre, et de l’y laisser.
Dans la voiture, je me dis que c’est une opportunité inespérée de vendre mon projet à Odette. C’est sûr qu’elle va flipper quand je vais lui dire que notre tournage, c’est un porno intime et crade entre l’un de ses chevaux et moi... Mais si j’arrive à la pousser dans les bras de Jérôme, elle n’en fera pas tout un plat. J’espère que Jérôme coopérera. Odette n’est pas un canon, ni de toute fraîcheur, mais elle a des atouts, c’est sûr. Une poitrine opulente et un joli minois. Un peu petite, avec des rondeurs sûrement moins sexy que les miennes, mais l’âge joue forcément. Mais si Odette s’avère être une jolie petite nympho endormie, ou une belle soumise, alors Jérôme craquera, je le sais. Je suis sûre que je peux l’aguicher dans les cabines pour réveiller son appétit. Cet après-midi s’annonce très sympa. Odette se retourne vers moi, me voit la dévisageant, sourire aux lèvres.
— Quoi ?— Rien Odette, pardon, je vous fixais, c’est terriblement mal élevé. Mais je vous trouve rayonnante et je suis certain que ce soir, Jérôme dormira tout contre vous. Mais ne rougissez pas, ça va être très chouette.— Je ne sais pas... Ça fait des siècles que mon lit est vide.— Faites-moi confiance. Emmenez-nous dans le centre-ville et je m’occupe de tout. Shopping entre coquines.
Odette échappe un petit rire d’oiseau, enfin elle se détend.
Vu sa carrure et sa corpulence, j’ai opté pour une combinaison simple, kaki, ample mais bien cintrée, pour lui faire une taille fine. Tout est dans l’art subtil de susciter des images torrides à Jérôme, de lui laisser la chance de se dire "Oh, mais elle est foutrement bien gaulée la Odette !". Alors le tissu ample de la combinaison va permettre d’accentuer l’effet de la lingerie que nous sommes en train de choisir. Ce qu’il faut, c’est un soutien-orge avec une armature solide, et juste un peu plus petit que son 100E, afin de bien compresser des seins, maintenir sa poitrine haute, lui donner un arrondi terriblement sexy, sur lequel le tissu de la combi va venir se poser, épousant parfaitement ces formes rondes et généreuses. Pour la taille, un corset ventral lui permettra de maintenir son abdomen bien gainé, lui donnant une silhouette de guêpe, une guêpe de plus en plus sexy.
Pour le bas, je lui propose un tanga encore une fois un tout petit peu plus petit, pour faire ressortir un joli bourrelet fessier, qui plaira à Jérôme, j’en suis persuadée. Odette n’a pas des hanches très prononcées, aussi nous trouvons un tanga qui remonte haut et accentue ainsi l’illusion de hanches évasées. Enfin, une paire de collants couture noirs, classiques, efficaces.
Heureusement, la responsable du magasin est occupée par une jeune cliente extrêmement demandeuse d’attention - je l’ai croisée dans la rue et lui ai filé dix balles pour jouer ce rôle, pour avoir un moment intime avec Odette. Moment que je ne regrette pas, car elle me fait saliver la coquine. Alors qu’elle retire sa combinaison, le tissu se prenant sous ses gros seins, les faisant faire un immense bond quand le tissu finit par passer, je m’approche d’elle avec mon regard de prédatrice. Et en posant mes deux mains sur le haut de sa poitrine si effrontément bombée, je lui dis qu’elle peut m’avoir dans son lit également. Odette ne sait pas quoi faire, ça se voit qu’elle n’a jamais embrassé ni touché une autre femme qu’elle. Mais mon approche franche, mes mains qui caressent et flattent son bonnet ne lui laissent pas vraiment le choix, et elle se laisse embrasser à pleine bouche. Odette est tellement désemparée que son corps devient flasque comme une méduse, et ça n’a rien de bien excitant.
Aussi je décide de m’en tenir à ce baiser torride et improvisé, qui je sais, fera son bout de chemin dans son esprit, et lui donnera plus d’ardeur et de courage face à Jérôme.
— Je crois qu’on a bien bossé Odette. Tellement bien bossé que c’est Jérôme que tu vas faire "bosser" si tu vois ce que je veux dire...
Je crois que mon humour ne fait rire que moi. Bref, passons. Passons en caisse et rentrons à la ferme.
J’hésite à parler du projet à Odette sur le chemin du retour. Vaut mieux la laisser venir, pour le moment elle n’a que Jérôme en tête.

Mon téléphone vibre. Super, la jeune femme que j’ai soudoyée a assuré. Elle vient de m’envoyer quelques photos qu’elle a réussi à prendre d’Odette et moi en train de s’embrasser. On voit bien l’arrondi et la puissance de sa poitrine, l’image est torride de ouf ! Discrètement, j’envoie un SMS à Jérôme, avec la photo bien évidemment. Avec juste ces quelques mots : "Fais-toi beau, parce que j’ai là une tigresse prête à te bouffer tout cru ! Et elle a bon goût ;)".
Je sais que Jérôme, dans moins de dix secondes, aura une trique pas possible. Et je m’en délecte intérieurement !
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