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Yves.

Chapitre 1

Un viel ami de famille.

Hétéro
Mon époux, en déplacement toute la semaine, j’étais toute heureuse de le retrouver ce samedi matin. J’avais quelque peu abusé dans la semaine et je reprenais là ma vie de couple. Nous étions invités chez des amis, un jeune couple qui fêtait ses deux ans de vie commune. Pour l’occasion, je me faisais bien désirable, et ce, même en dessous de ma tenue au cas où Monsieur aurait des idées coquines ! Dix jours loin l’un de l’autre pouvaient ranimer la flamme, du moins je l’espérais sans doute.
C’est donc dans une petite robe bien seyante mettant mes formes en valeur et des dessous de soie que je me suis parée pour cette petite fête. Quelle surprise en arrivant chez nos amis. Nous étions une quarantaine, deux grands chapiteaux étaient installés sur la pelouse, pas l’idéal pour mes talons, mais je ne savais pas. Visiblement, je n’étais pas la seule à être surprise, deux filles portaient également des talons. La seconde surprise fut de taille puisqu’en saluant les invités, nous avons aperçut Yves, le grand copain de mon mari avec qui, je dois le dire, j’ai eu une aventure il y a près de dix ans déjà ! Mon mari évidemment était très heureux de retrouver son vieux copain ! Moi, un peu moins. Pour la petite histoire, je n’appréciais pas trop ce type. Pourtant, à une époque, j’avais cédé à ses avances. Dragueur devant l’éternel, il se vantait tellement de ses prouesses sexuelles que malgré un physique peu séduisant, j’avais voulu tester par moi-même ses soi-disant qualités d’étalon ! Forcée d’admettre à l’époque que le vice dans le regard qu’il portait n’était pas usurpé ! J’avais passé de très bons moments avec lui, je dois bien l’avouer. Vicieux à souhait, il savait s’y prendre pour donner du plaisir. J’avais coupé court à l’époque, estimant que nous prenions trop de risques vis-à-vis de nos conjoints. Les petits coups vite faits, au risque d’être surprise, cela peut être très excitant, mais à y réfléchir, le jeu en valait-il la chandelle ? Heureusement, il était accompagné de son épouse et son gamin, ce qui devait le canaliser quelque peu.
Une fois les salutations faites, les deux compères tout heureux de se retrouver ont pris l’apéritif ensemble. Comme souvent, un attroupement de mecs au bar pendant que les filles, elles, sirotent une coupe de champagne, bavardant de choses et d’autres.
Tout se passait à merveille, l’ambiance était chaleureuse, mais mon mari s’est dit fatigué par son déplacement et a préféré rentrer plus tôt. Tous étaient compréhensifs, dix jours à l’étranger, rentré le matin même. Dans le même temps, les copines insistaient pour que je reste, disant que quelqu’un me ramènerait plus tard. J’étais sur le point de décliner l’invitation lorsque mon mari m’a incité à rester et à profiter de la soirée. Voilà comment j’ai poursuivi ma soirée, laissant mon mari rentrer seul. La route ne le gênait pas, nous étions à dix minutes à peine de la maison et mon époux n’avait heureusement pas exagéré sur l’alcool, je le voyais à son comportement et cela me rassurait.
La soirée a poursuivi son cours et évidemment je voyais d’un mauvais œil mon retour, persuadée qu’Yves allait se proposer pour me ramener à la maison. Seule la présence de sa femme et son fils jouait en ma faveur, ce qui pour le coup pourrait me sauver la mise. Hélas, un manipulateur reste un manipulateur, et ce, en toutes circonstances ! Lorsque j’ai émis l’envie de rentrer, Yves s’est tout de suite proposé pour me raccompagner ! Quant à la présence de sa famille, il balaya cela en un coup de vent, disant à son épouse de prendre son temps, qu’il me déposait et revenait directement. La pauvre n’a pas eu de droit de réponse puisqu’il a saisi sa veste et m’a rejoint à l’entrée du chapiteau. Une terrible angoisse m’est montée à la gorge, je ne pouvais que saluer les gens de la main, un joli sourire aux lèvres. Partagée entre l’envie de lui céder et celle d’être intransigeante dans mon refus, je savais, pour connaître l’énergumène, qu’il tenterait quelque chose ! Yves avait été blessé lors de notre rupture, en témoignaient les nombreuses relances durant les mois qui ont suivi. À peine avions-nous démarré que mes doutes devenaient réalités ! Tout juste avait-il passé la troisième vitesse que sa main s’égarait sur ma jambe, que dis-je, s’égarait, elle plongeait entre mes jambes ! Je les serrai du plus fort que je le pouvais, tentant même de retirer la main intrusive, mais rien n’y à fit ! Il grognait que je lui avais beaucoup manqué, que j’étais encore plus bandante que par le passé, il me suppliait de me laisser faire. J’avais beau lui répondre qu’il ne fallait pas, il était comme fou et sa main malgré mes retenues gagnait du terrain. Après quelques minutes d’échanges pour le moins virulents, j’ai cessé de repousser sa main et l’ai même laissé faire. J’oserais dire que limite, il me faisait peur. Inutile de me ruiner les doigts sur ses énormes paluches puis de vous à moi, il connaissait mon entrecuisse ! À peine la pression lâchée sur cette main qu’il prenait davantage confiance et en quelques secondes, il glissait un doigt dans l’échancrure de mon string et me massait la vulve ! J’avoue, je suis une faible femme ! J’ai fermé les yeux et écarté les cuisses le laissant agir à sa guise. Ses propos ne faisaient que m’enflammer. Il me disait que ma petite chatte luisante de mouille lui avait manqué, qu’il en avait encore le goût en bouche, et qu’il attendait ce moment depuis tout ce temps. Mes jolis dessous de salope que j’avais mis pour lui selon lui ! Mon petit air de sainte-nitouche qui l’excitait à mourir. J’en passe et des meilleures ! J’avais inconsciemment ouvert les cuisses et ma main posée sur la sienne, je le laissais me fouiller le minou, levant même les fesses pour lui permettre de me doigter. Ses doigts épais et longs ne rencontraient aucune difficulté à rentrer dans ma chatte tellement je mouillais d’excitation. Ses allers et venues entre mes lèvres me rendaient folle, il titillait mon clito et le pinçait pour me faire gémir.
Tant bien que mal et en roulant au pas, il s’est dégrafé le pantalon, extirpant sa queue toute droite et terriblement tendue, me disant de regarder dans quel état je le mettais. Je perdais pied, regardant cette bite gonflée qui m’avait donné tant de plaisir par le passé ! Lorsqu’il s’est penché vers moi, je me demandais ce qu’il voulait attraper ? Il m’a alors saisi la nuque violemment et m’a attirée vers lui et plus précisément sur sa queue en me disant, en m’ordonnant, de le sucer ! Quelque peu choquée par cette violence, mais atrocement excitée, je n’avais d’autre choix que de m’exécuter. Je me mettais à laper cette queue tendue avant qu’il ne me l’enfourne dans la bouche avec autorité en me serrant la nuque. Une fois de plus et malgré moi. Tout cela, au fond, m’excitait à mourir ! Je me mis à lui sucer la queue avec gourmandise, pire, j’y prenais plaisir et levai les fesses de mon siège pour lui permettre de glisser la main dans le bas de mes reins. Je lui suçai la queue tandis que ses doigts me parcouraient la raie et venaient titiller mon petit trou. Durant quelques instants, je ne me souciais plus de la route, mais uniquement de lui pomper le dard tendu qui me remplissait la bouche.
C’est lorsque la voiture a stoppé que je me suis redressée. Yves avait emprunté un petit chemin de traverse, le temps de chercher et de reconnaître l’endroit qui en fait était à quelques centaines de mètres de la maison, Yves est sorti de la voiture et a ouvert ma porte m’invitant à descendre. Aucune fioritures, je retrouvais bien là mon vicieux de quelques années en arrière ! Je me suis vite retrouvée les fesses sur le capot et les jambes en l’air ! Il répétait sans cesse que je le faisais bander et guidant sa queue entre mes lèvres, il m’a possédée d’un grand coup de rein se ruant en moi comme un sauvage ! Je n’ai pu contenir mes cris sous cette puissance qui dans les premiers instants me déchirait le ventre ! Maintenue les jambes en l’air, écartées, j’ai saisi le rebord du capot sous le pare-brise et je me suis laissée empaler de la plus belle des manières. Yves s’est littéralement déchaîné sur moi, extirpant mes seins de mon décolleté puis me maintenant les jambes par les chevilles bien écartées. Ses coups de queue me faisaient monter et descendre sur la tôle chaude et mes gémissements, mes cris ne le freinaient en rien ! Je dirais même que cela le rendait encore plus sauvage, il grognait que j’étais une belle salope, que mon cul lui avait bien manqué et qu’il allait me remplir comme au bon vieux temps ! Doucement, le déchirement du début laissait place au plaisir et bientôt, je lâchai le capot pour me laisser coulisser sur sa queue au rythme de ses coups de reins. Pire puisque du bout des doigts, je m’écartais les fesses pour mieux apprécier ses ruées en moi. Je peux dire en avoir pris ! Jamais Yves ne s’est soucié de mon bien-être ! Écartelée, il m’a possédé, il m’a fourrée, m’a baisée avec rage ! Son bas-ventre claquait sur mes fesses me faisant remonter sur le capot rugissant de plaisir, en quelques minutes notre plaisir a explosé ! Yves s’est crispé, ses coups de reins ont ralenti, voire quasiment cessés. Il sortait la queue de mon antre puis y retournait au plus profond en un coup surpuissant ! Des spasmes me faisaient bondir. Les yeux clos, je me délectais de cette jouissance lente et puissante, je priais le ciel qu’il poursuive ainsi. Le : ho oui ! Ma chérie, je viens en toi m’a comblée de bonheur, nos deux corps bondissant ensemble dans un élan de jouissance, nous ne faisions plus qu’un ! Une vague de sperme m’envahissait le vagin tandis que mon ventre sursautait, transpercé par de petits, mais violents spasmes que je ne contrôlais pas le moins du monde.
Yves lâchait prise ! Mes jambes lourdes tombaient sur la calandre et mes fesses glissaient jusqu’à poser pieds au sol. Je me suis redressée après quelques secondes, la tête dans les nuages, les jambes flasques qui peinaient à me porter. De la paume de la main, j’essuyais une trace de mouille sur le bord du capot tandis qu’Yves remontait son pantalon, disant qu’il ne fallait pas traîner. Deux petites minutes plus tard, je rentrai à la maison, quittant Yves sans trop parler, pressée de rejoindre au plus vite les miens. Monsieur dormait à poing fermé, je passai par la salle de bain me démaquiller et m’éponger le minou dégoulinant de nos plaisirs communs, à l’image dans mon grand miroir, heureusement que mon époux dormait ! Complètement ébouriffée et le maquillage en vrac, je ressemblais au mieux à une fille qui rentrait d’un moment très sexué …. N’est-ce pas une simple vérité !
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