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Zlatan

Chapitre 1

Zoophilie
Zlatan

Je m’appelle Zlatan, j’ai un an et je vis depuis deux mois dans un chenil de la SPA, mes anciens maitres sont partis et m’ont abandonné ici. Je suis un dog allemand de quatre-vingt centimètres de haut et soixante-dix-huit kilos. J’attends dans ce chenil quelqu’un qui veille bien m’adopter. Beaucoup de personnes défilent devant moi, s’arrêtent un instant, me regardent mais repartent, je dois faire peur avec mon gabarit, beaucoup de mes compagnons d’infortune sont déjà partis, mais ils étaient beaucoup plus petit que moi.

C’est un jour comme les autres, nous sommes en début d’après-midi, nous avons vu du monde, mais personne ne s’est arrêté devant moi. Je joue encore un peu avec mes compagnons, nous sommes heureux malgré tout, nous sommes bien soignés, et surtout aimé par nos maitres, ce sont des employés, mais ils aiment ce qu’ils font, ils nous traitent comme leurs enfants. Soudain, une jeune femme d’une vingtaine d’années s’arrête devant moi et me regarde, j’ai l’impression que je lui plais, je viens vers elle en sautillant. Une autre femme, plus âgée, la rejoint.

–Regarde maman, il est magnifique, il a l’air très vif.
–Tu as raison ma chérie, il est magnifique.
–C’est dommage, je nous n’ayons qu’un appartement, très grand certes, mais ce genre de chien doit demander beaucoup d’espace et à vivre dehors.
–Détrompe toi ma chérie, ce genre de chien est très heureux dans un grand appartement comme le nôtre, ils aiment surtout la chaleur et ne demandent que très peu d’exercices, d’autant que nous avons un parc juste à côté de chez nous, on pourra le promener tous les jours si on veut. En plus ils sont doux, affectueux, adorent leurs maîtres, sa famille et sont très protecteurs avec les enfants.
–Tu sais très bien que ce n’est pas pour protéger des enfants que je n’ai pas que nous voulons un chien.
– Je sais pourquoi on veut un chien, en plus, ils sont intelligents et comprennent très bien ce qu’on attend d’eux, ils se dressent avec douceur, il ne faut pas élever la voie avec eux, ils ne demandent qu’à faire plaisir à leurs maîtres.
–Tu crois ?
–Oui, j’en suis sûre.
–Et que va dire papa, tu ne penses pas qu’il est trop gros.
–Non, pas du tout, il lui plaira, et regarde sous son ventre, ça ne t’intéresse pas ?
–Bien sûr que ça m’intéresse, nous sommes là pour ça.
–Bon et bien ou est le problème ?
–Tu es sûre qu’il peut vivre chez nous dans l’appartement sans problèmes ?
–J’en suis sûre, mais si tu veux, on peut demander au responsable.
–Ok, allons-y.

Les deux femmes s’en vont, pour une fois, elles sont restées plus longtemps que les autres personnes. J’ai compris qu’elles se parlaient, certainement de moi, mais je ne sais pas ce qu’elles se sont dit, je ne comprends rien au charabia de ces bipèdes habillés, sauf quand ils m’appellent. Je remarque seulement qu’une fois de plus je reste ici, un peu triste que, comme d’habitude, personne ne m’ai adopté. Pourtant la plus jeune avait l’air d’être intéressée par moi. Je me couche dans un coin du box, un compagnon d’infortune vient me voir, mais je n’ai pas envie de sa compassion, je veux rester seul. Un petit moment plus tard, j’entends la voix du soigneur.

–Zlatan, c’est pour toi, tu nous quitte, cette ravissante demoiselle veut t’adopter.

Que me veut-il ? je le vois revenir vers moi, j’ai reconnu mon nom, mais je ne sais pas pourquoi il m’a appelé. Les deux femmes l’accompagnent, la plus jeune a un splendide sourire, elle me regarde, semblant heureuse. Je me lève et vient vers le bord du box en sautillant, il faut que je semble heureux, j’ai bien envie qu’elle m’emmène avec elle, je suis prêt à tout pour sortir de cet endroit. Je suis bien traité, mais j’ai envie de plus de liberté. Le soigneur fait approcher la demoiselle et lui fait signe de me toucher. Je me laisse faire avec délice, je sens que je vais bientôt sortir d’ici et partir avec elle. Sa main sur ma tête est douce, je donne un petit coup vers le haut pour qu’elle comprenne que j’aime.

–Ok, je crois qu’il vous aime bien, il est à vous.
–Oh, merci monsieur.

Le soigneur ouvre la porte et me fait sortir. Je viens vers la demoiselle et me frotte contre ses jambes, elle pose sa main sur mon dos et me caresse, j’aime. Le soigneur attache une laisse à mon collier et la donne à la demoiselle qui m’entraine dehors. Je me colle à elle, je ne veux pas qu’elle change d’avis, je veux me montrer doux et câlin.

–Ne vous en faites pas mademoiselle, il est très doux et bien dressé, il vous suffira de lui montrer ou il doit dormir et ou il ne doit pas aller, il est très intelligent.

La demoiselle achète ce qu’il faut pour moi sur les conseils du soigneur. Nous nous dirigeons vers une voiture, elle me fait monter derrière, descend un peu la vitre de la porte, la ferme doucement et s’installe devant avec son amie.

–Je crois que tu as fait le bon choix ma chérie, ce Zlatan a l’air très doux, et j’ai l’impression qu’il t’a déjà adopté.
–Moi aussi maman, j’espère qu’il comprendra vite ce qu’on attend de lui.
–Le soigneur a dit qu’il était intelligent, ça ne devrait pas poser de problème.
–Que dieu t’entende.
–Ne mêlons pas dieu à nos turpitudes.

Une fois dans la voiture, je décide d’appeler la jeune femme « maman » car c’est elle qui va me nourrir maintenant, c’est donc ma nouvelle mère. Nous roulons pendant un long moment pour nous arrêter au pied d’un immeuble. Maman me fait descendre et m’emmène avec elle dans l’immeuble. Nous montons tous les trois dans un ascenseur pour arriver à son étage. C’est assez long, mais je suis contre maman, elle porte une jupe courte et mon nez perçois des effluves agréables venant de sous sa jupe, je veux avancer mon nez, mais l’ascenseur arrive à l’étage. Quand j’entre dans l’appartement, je suis agréablement surpris, il y a beaucoup de place, il fait bon, je me sens tout de suite très bien. Maman installe une couverture pliée en quatre dans un coin de la pièce. Elle m’appelle.

–Zlatan, vient voir si ça te va.

Je viens vers elle, elle tapote sur la couverture et je me couche dessus, c’est très confortable, je me sens très bien. Elle s’agenouille à côté de moi et me caresse, sa tête vient contre la mienne.

–Je crois qu’on va bien s’entendre mon petit Zlatan, je t’aime déjà, si tu savais l’effet que tu me fais ?
–Moi aussi, je sens que tu vas bien t’entendre avec lui, et moi aussi ma culotte s’humidifie.
–Sauf que moi, je n’ai pas de culotte.
–En tout cas, j’espère qu’il va vite comprendre ce qu’on attend de lui.
–Ne t’en fais pas maman.

Je ne sais pas ce qu’elles se disent, mais je sens que c’est gentil pour moi, je bats de la queue. Maman est à genou devant moi, elle dégage cette odeur très agréable que j’ai senti dans l’ascenseur qui vient titiller mes narines, j’ai une drôle de sensation, mon sexe sort un peu de sa gaine. Maman se lève et va rejoindre son amie qui s’est déshabillée et s’est allongée sur le dos sur le divan.

–Viens ma chérie, je t’attends.

Maman se déshabille elle aussi et vient s’allonger sur son amie, mais dans l’autre sens, en posant sa bouche en haut de ses jambes. Son amie lui en fait autant, je les vois bouger leurs têtes pendant un certain temps jusqu’à ce que l’amie de maman crie assez fort.

–Oh oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Au bout d’un petit moment, maman lève la tête et à son tour se met à crier.

–AAAAAAAAAAHHHHHHHHHH, oui, AAAAAAAAAHHHHHHHHH.

Maman se redresse, son amie aussi, elles s’installent sur un divan et parlent en me regardant. Je ne comprends rien de ce qu’elles disent, mais je comprends qu’elles discutent de moi et certainement de ce qu’elles vont faire avec moi, je les voie bouger beaucoup et faire de grands gestes. Je n’ai pas le flair d’un chien de chasse, mais je sens de nouveau cette odeur douce et entêtante qui me fait réagir, ma bite sort un peu de sa gaine.

–Tu as vu, sa bite commençait à sortir de sa gaine quand j’étais devant lui, regarde, elle est toujours un peu sortie, ça m’excite de plus en plus, je dégouline de cyprine.
–Oui, j’ai vu, c’est surement l’odeur de notre cyprine qui l’excite un peu.
–Et si j’essayais de voir ce qu’il fait si je me mets devant lui les cuisses bien ouvertes ?
–Allez, vas-y, essaye.

Maman se lève et vient vers moi pour s’agenouiller devant ma figure. Je redresse la tête, mais mon odorat est attiré par la délicieuse odeur, je regarde plus bas et voie une tâche rose brillante en haut de ses jambes d’où semble venir cette odeur, c’est là que son amie avait posé ses lèvres. J’approche ma truffe pour sentir et être sûr, c’est bien ça, et ça semble délicieux, j’approche un peu plus et donne un coup de langue pour goûter.

–Oh la vache, quelle langue, elle est immense.

C’est délicieux, une sorte de liquide sort de cette tâche rose, j’adore et donne d’autre coups de langue pour bien nettoyer l’endroit. Plus je nettoie, et plus maman se cabre en arrière en faisant remonter la tâche rose et en ouvrant de plus en plus la tâche. Je sens quelque chose de plus dur en haut de la tâche, et à chaque fois que je donne un coup de langue dessus, maman a comme un soubresaut.

–Oh oui, oui, il va me faire jouir avec sa langue, oui, oui, vas-y mon Zlatan, vas-y, fais-moi jouir.

Je continu de la lécher, j’essaye même de glisser ma langue dans une sorte de trou d’où sort ce merveilleux liquide, maman bouge de plus en plus.

–Il essaye de me baiser avec sa langue, oui, oui, je vais jouir, ça y est, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.

Maman se cabre encore plus, elle devient raide, elle tremble, et me donne des coups dans la truffe. Je recule et voie la tâche rose redescendre sur le sol. Maman se redresse et pose sa main sur ma tête.

–Oh lala mon Zlatan ta douce langue m’a fait monter au ciel, maintenant je sais que tu seras un merveilleux amant.
–Et moi, je peux essayer.
–Bien sûr, si Zlatan le veut bien.

Son amie vient se mettre comme maman, elle aussi a une tâche rose, très brillante au même endroit d’où s’échappe une délicieuse odeur. Je suppose qu’elle aussi veut que je la nettoie, j’avance ma tête vers sa tâche et donne un coup de langue, elle a à peu près le même goût que maman et j’aime.

–Oui, oui, vas-y mon Zlatan.

Je donne encore des coups de langue, comme avec maman, la tâche monte doucement, elle bouge de plus en plus. Comme avec maman, je sens quelque chose de plus dur en haut de la tâche et y passe ma langue. La tâche bouge de plus en plus jusqu’à ce que l’amie de maman crie.

–AAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHH, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiii

Tout de suite après, la tâche rose redescend au sol. Je tente de la suivre, j’aime trop ce qui en sort, mais l’amie de maman se lève, et la tâche disparait. Elles vont s’assoir sur le divan, j’ai l’impression qu’elles sont fatiguées. Mais moi, je suis dans un drôle d’état, ma bite est sortie, une goutte perle au bout, je ne comprends pas très bien pourquoi.

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