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Zoé, ma belle salope

Chapitre 1

Lesbienne
Je m’appelle Charlotte. J’avais presque 18 ans, et l’habitude de sortir, de draguer, de me laisser draguer, de goûter aux plaisirs de la vie sous toutes ses formes. J’aime les hommes, mais je préfère les filles. Depuis toujours, mes premières pensées, mes premiers plaisirs solitaires, j’imaginais de belles poitrines et des courbes féminines, jusqu’à pouvoir y goûter réellement et confirmer mes passions lesbiennes.L’histoire date donc de la fin de ma 17è année. Une soirée alcoolisée m’avait amenée à rencontrer Zoé, et à échanger nos numéros. Elle m’écrivait le lendemain, sans trop se souvenir de moi mais souhaitant me revoir. Un premier rendez-vous se mit en place. Nous irions manger, puis boire un coup. J’attendais impatiemment, bien que les quelques images que j’avais d’elle restaient floues.Je me préparais, un ensemble vert orné de dentelles se laissait entrevoir dans mon décolleté. Je n’avais pas couvert mon cou, malgré le froid, pour dégager la vue de ma poitrine. Mes intentions quant à cette soirée étaient claires, peu importe si ma compagne n’était pas aussi bandante que dans ma mémoire.
J’arrivais au point de rendez-vous, la nuit commençait à tomber, et je l’ai vue. Parfaite. Petite à croquer, une peau café au lait qui me fit frissonner. De longs cheveux chocolats ondulaient fièrement autour d’un visage magnifique, d’une bouche pulpeuse qui ne demandait qu’à être embrassée. Je ne pouvais deviner les formes de ses seins mais son jean moulait de petites fesses bien fermes et bien rondes. Je me voyais déjà, m’approchant, l’enlaçant dans mes bras...Elle plongeait ses yeux de braise dans les miens, et la passion prenait le dessus. Je l’embrassais, mordais ses lèvres, sa langue, tout en serrant son corps contre le mien. Au beau milieu de la rue j’ouvrais son manteau noir et glissais mes mains dans son dos, appuyant nos poitrines par instants. Sa façon de se laisser faire, son assurance lorsqu’elle tournait sa langue dans ma bouche, c’était une vraie petite salope comme je les aime. Elle m’énervait, j’aimais jouer le rôle de la soumise, et elle me l’avait pris. Je voulais lui rendre la pareille, lui montrer ce que ça allait lui coûter que de m’avoir agacée. J’agrippais ses fesses de toutes mes forces, ça lui plaisait. La garce elle en voulait elle aussi. En baissant mes yeux j’ai réalisé la vue que j’avais sur ses petits seins pointus et je me suis sentie envahie d’une vague de chaleur et d’excitation. J’ai pris sa main et l’ai entraînée jusqu’au tram. L’ayant raccompagnée chez elle le soir de notre rencontre, je savais où était son appartement et décidais de nous y conduire. Je crois que plusieurs hommes nous ont lancé des remarques salaces pendant que je profitais d’elle, mais nous n’y prêtions pas attention. Je sentais les frissons sur sa peau, et ses tétons qui se dressaient tout contre les miens. En un rien de temps nous étions chez elle, et dans le calme de l’ascenseur je glissais ma main dans son jean. Elle était trempée, alors j’alternais entre sa bouche et son shorty, pour lui faire goûter sa cyprine. J’y goûtais aussi, elle était délicieuse, avec un petit goût sucré. Je claquais la porte de son appartement et nos ébats reprirent.Je la plaquais contre le mur, prenais ses seins dans ma bouche et glissais un doigt dans sa petite chatte, puis deux, et enfin un troisième. Elle haletait, je sentais ses tétons se dresser entre mes lèvres. Je me retirais d’un coup."Fais-moi un strip-tease." lui demandais-je, froidement."Je ne sais pas si elle était perturbée par mon ton ou par son excitation, mais elle se déshabilla sans attendre. Elle jeta son manteau dans l’entrée. De dos, elle remuait ses jambes tout en baissant son jean, jusqu’à l’enlever complètement, et dévoilait un petit cul parfait habillé d’une fine dentelle. Elle s’approcha et se mit à califourchon sur moi, me laissant accès à ses jolies fesses. Je m’empressais de les prendre dans mes mains et je retirais son débardeur. Cochonne comme tout, elle ne portait pas de soutien-gorge. En caressant ses jambes je sentais le désir me gagner comme jamais... je la portais jusque dans la chambre, l’allongeais sur le lit. Alors que je retirais à mon tour mes vêtements, dévoilant une généreuse poitrine et mon sexe tout lisse, elle me désigna la porte de son placard.J’y trouvais un gode et l’instrument qu’il me fallait, des menottes. J’accrochais cette petite vicieuse aux barreaux de son lit, comme une vulgaire poupée, jambes et bras écartés. Je glissais ma tête sur son ventre jusqu’à atteindre son intimité et là, tenant ses cuisses pour mieux la dominer, je la léchais à n’en plus pouvoir. Ma langue allait et venait sans cesse, et sa respiration me parvenait saccadée. Je joignais quelques doigts, et je m’apprêtais à prendre ma revanche sur cette soumise. Je saisis le gode et le passais contre sa chatte, l’imprégnant de mouille. Elle s’attendait certainement à ce que je la pénètre avec, pour lâcher son excitation et sa jouissance, enfin. Mais elle éclata dans ma bouche, à la surprise du jouet dans son petit trou, sans préparation. Ce n’était pas un coup d’essai mais toutes mes caresses l’avaient menée au bord de l’explosion, et cette pénétration soudaine avait eu raison d’elle. Je sentais son corps trembler sous mes derniers coups de langue. Ma fin à moi était proche elle aussi ; je m’asseyais sur son doux visage, sans la détacher. Elle compris et malgré la fatigue elle me prodigua un court cunnilingus qui me fit à mon tour jouir comme jamais. Je l’embrassais langoureusement, goûtant ma passion, avant de la libérer.
Mais le froid extérieur me fit revenir à la réalité, j’étais là plantée devant elle et ne savais que faire. Elle avait un petit cul tellement parfait et un sourire tellement excitant que je lui aurais sauté dessus si ses yeux ne m’avaient pas appelée à l’aide. Le désir était devenu timidité, c’était foutu... enfin, pour l’instant !
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