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Zoé cherche un canapé

Chapitre 1

Hétéro
Paris, début d’été 2016.
De retour après une année passée à l’étranger, je me dis que je pourrais profiter de ce moment entre deux emplois pour rencontrer de nouvelles personnes.Je repense à ce site de « partage de canapé » que j’avais utilisé en Allemagne lors de l’Oktoberfest afin de dormir chez l’habitant gratuitement. Je me dis que ça pourrait être sympa de renvoyer l’ascenseur en proposant un hébergement à des touristes en visite dans notre belle capitale.Aussitôt dit, aussitôt fait, je regarde les annonces postées par ces voyageurs à la recherche d’un toit et de contact avec des locaux. Le site en regorge. Seconde ville la plus visitée au monde n’est-ce pas...
Des hommes, des femmes, des groupes de potes, de copines, des couples, des familles, des jeunes, des moins jeunes. Tous viennent des quatre coins de la planète.Leur fiche et leur annonce sont plus ou moins bien détaillées. Chacun se vend comme il peut pour obtenir le Graal : un toit pour la nuit.
Après une étude rapide des profils en fonction des dates qui me conviennent je contacte plusieurs d’entre eux. A ma grande surprise, tous répondent. Certains ont déjà trouvé chaussure à leur pied mais beaucoup sont toujours en quête d’hospitalité.
Après quelques messages échangés pour faire connaissance, je sélectionne mon invité : Zoé. Rendez-vous est pris le surlendemain à la station de métro en bas de chez moi. Elle me prévient par message qu’elle est arrivée. Je descends la chercher. Très souriante, elle ne paraît pas impressionnée du tout par le fait de rencontrer un total étranger et le suivre jusque chez lui. Je l’accueille dans mon T2 avec terrasse et lui fais un tour du propriétaire. Elle dormira dans le salon sur mon clic-clac.
Je la laisse prendre ses marques et se poser après son long voyage en avion. Je lui explique tout de même que j’ai prévu de passer l’après-midi avec mon meilleur ami mais que je serais ravi d’être là avec elle pour l’apéro et pourquoi pas dîner ensuite.Elle comprend et accepte que l’on se retrouve plus tard, elle aussi va démarrer tout de suite sa découverte de Paris. Nous partons chacun de notre côté.
Je passe l’après-midi avec mon meilleur ami à boire des bières. Il fait chaud en cette fin juin. L’alcool me monte à la tête et je me souviens subitement que je dois rentrer pour ouvrir la porte à ma convive. Elle m’attend depuis quelques minutes et en a profité pour faire quelques courses pour ce soir. Nous montons à l’appartement.
L’apéro est servi et nous entamons la conversation sur ma terrasse. Nous échangeons en anglais puisqu’elle ne parle pas un mot de français. J’apprends donc que Zoé, n’est qu’un pseudonyme utilisé pendant ses voyages en Occident. Originaire de Chine, elle me dit qu’elle s’appelle en fait Zou et encore, c’est également un diminutif de son véritable prénom. Elle a voyagé dans de nombreux pays à travers l’Asie et c’est sa première fois en Europe. Elle ne travaille pas vraiment et souhaite un jour devenir coach de vie. Elle a un petit ami allemand et ils se retrouveront à Marseille dans quelques jours. Au fil de nos échanges et après plusieurs verres de vin, Zoé m’avoue qu’elle ne boit généralement jamais d’alcool et qu’elle commence à être pompette. Je lui suggère alors d’aller prendre une douche pendant que je débarrasse. Malgré une légère moue elle termine son verre et se rend dans la salle de bain en traversant ma chambre. Plusieurs minutes après l’extinction de l’eau et sans autre bruit, je me permets d’approcher de la porte.
« Tout va bien ? » dis-je.« Oui, oui sauf que j’ai oublié de prendre ma serviette » répond-elle.« Je peux t’en prêter une, mais je dois rentrer car elles sont à l’intérieur » rétorqué-je.

A cet instant, je n’ai aucune idée derrière la tête, je veux juste aider. C’est en ouvrant la porte qui n’était pas verrouillée que je me rends compte que la situation est en train de déraper. Trop tard, je suis rentré.
Zoé est sur ma gauche, dans la baignoire (qui ne possède pas de rideau de douche), complètement nue, qui me tourne le dos et semble très gênée. Je ne la regarde pas, et file sur ma droite pour trouver une serviette dans le meuble. J’en sors une, me retourne et cette fois je pose mon regard sur elle. Elle s’est mise de trois quarts et cache ses parties intimes hautes et basses à l’aide de ses mains. Elle me regarde.
Ses deux billes noires me donnent un regard à la fois honteux mais aussi teinté d’une légère satisfaction. Ses cheveux d’un noir de jais sont trempés, plaqués en arrière et s’arrêtent au début de sa nuque. Malgré ses mains je distingue bien la forme et la taille de ses seins et sa toison pubienne d’un noir intense. Elle s’excuse de m’imposer ce service. C’est plutôt moi qui devrais m’excuser d’être rentré même si elle ne m’en a pas défendu.Après un pas vers elle mon cerveau disjoncte. Je pose la serviette sur le bord du lavabo et continue mon chemin vers ce corps qui m’attire comme un aimant. Je lui saisis le visage et je l’embrasse sans retenue. Elle ne s’y oppose pas, au contraire, toute cette tension accumulée depuis 30 secondes se transforme en une étourdissante excitation.
J’agrippe ses fesses fermes et je la soulève d’un trait pour venir plaquer son corps ruisselant d’eau contre moi. Ses jambes s’enroulent autour de ma taille et nous continuons à nous embrasser avec passion.
Mes mains sont positionnées sous sa croupe et mes doigts peuvent facilement sentir la douceur de sa fente très humide. Je la porte jusqu’à mon lit et l’y dépose délicatement. Je la caresse et introduis rapidement un premier doigt en elle. Elle gémit.
Sa main cherche à tâtons à ouvrir mon pantalon tout en caressant mon entrejambe à travers le textile.
J’insère déjà un deuxième doigt. Elle se tortille et geint à chaque passage sur une zone sensible que j’ai détecté. Elle arrive à extraire mon sexe et commencer à le branler avec vigueur.
Tout à coup je réalise que je suis en train de tromper ma copine rester à l’étranger. Je décide de couper net nos ébats.
« Désolé, je m’excuse, j’aurais pas dû rentrer dans la salle de bain » dis-je.« It’s OK » répond-elle simplement.
Je me lève et remets mon pantalon. Je lui tends la serviette. Elle s’enveloppe dedans et quitte ma chambre pour le salon où son lit l’attend déjà. Je reprends mes esprits et m’assieds sur mon lit avec mon ordinateur. A peine 3 minutes se sont écoulées qu’on frappe timidement à ma porte.
« Entre » intimé-je gentiment.
Pas un mouvement. Pas un bruit. Je me lève et ouvre la porte. Zoé se tient juste devant moi, portant un t-shirt blanc qui s’arrête au-dessus de ses hanches et rien d’autre.
« I want it » dit-elle.
Ce à quoi je ne peux résister. Je la saisis par les épaules, la fais reculer de trois pas jusqu’au canapé où elle s’assied. Ni une, ni deux, je sors ma queue et la glisse sans ménagement dans sa petite bouche.
Je positionne mes mains sur sa tête et donne le rythme. Elle doit être vraiment surprise car ses mains ne décollent pas du bord du canapé. Je ne la laisserai pas me toucher de toute façon. J’ai envie d’utiliser sa bouche à ma guise. De toute façon je vais venir.
3, 2, 1...
Je retire mon dard de son goulot et déverse à distance mon jus. Je suis tellement excité que les premiers jets partent comme des éclairs et viennent s’échouer dans ce trou resté docilement ouvert et tout autour. Elle ne bronche pas.
Je la bascule alors sur le clic-clac. J’écarte ses fines cuisses et approche ma langue de son entrejambe. Elle mouille terriblement à tel point que les draps sous elle sont déjà trempés. Sa chatte est douce et ses lèvres outrageusement agréables à lécher. Je plonge un doigt en même temps. Je la sens qui se cambre.
Ma main droite se balade sur son ventre et remonte vers ses seins, la respiration de Zoé s’accélère. Je sens mon membre qui se durcit à nouveau. Je suis furieusement excité par cette fille totalement inconnue il y a encore quelques heures. Son corps tremblait et ne demandait qu’à être dévoré.Je sens ses cuisses se resserrer sur mes tempes. Lorsque ma langue passe finement sur son clitoris elle se contracte une nouvelle fois et je l’entends pousser un cri libérateur. Zoé vient de jouir à son tour.
Je remonte vers son visage et plonge ma langue dans sa bouche. Sa main chope mon engin dur comme du granit et le place directement à l’orée de son vagin. Me laissant ainsi le premier coup de reins pour me retrouver à l’intérieur d’elle.
Malgré l’humidité de son antre, ma queue s’engouffre centimètre par centimètre et la pression des parois de sa chatte est écrasante. Je souffre mais c’est trop bon ! J’enfonce les derniers centimètres d’un coup sec au plus profond de ses entrailles. Son gémissement ne laisse guère de doute sur le fait qu’elle encaisse ma verge avec délectation.
Ma main parcourt son dos, ses fesses, ses cuisses. Je remonte ses jambes et commence à la limer. A chaque coup je tente d’aller encore plus loin en elle. Ma bite me fait mal tellement elle est dure. Les gémissements de Zoé se transforment en cris sous mes coups de boutoir.
Parfois j’extrais mon pénis et l’introduis à nouveau sans modération. J’adore prendre en main ma queue luisante de cyprine et la voir disparaître soudainement dans ce petit corps.
Sa bouche qui s’ouvre et se ferme pour ne laisser échapper que des cris ou gémissement me galvanise. Je veux la souiller.Je relâche ses jambes, saisi son bassin et la fais pivoter sur le côté. Elle comprend instantanément et se place à quatre pattes. J’appuie sur sa tête pour qu’elle se cambre au maximum. J’insère mon outil en elle et recommence à la besogner. Ces coups-ci ses cris sont teintés de douleur.
Je la défonce !
Mon bassin claque sur ses fesses et je dois la retenir par les hanches pour que sa tête n’aille pas s’écraser contre le mur.
Je profite de cette position pour insérer un doigt dans son anus. Aucune réaction.
« Prends-le » dit-elle.
Je n’hésite pas un seul instant. Je sors de sa chatte et positionne mon gland devant son petit trou. J’appuie doucement pour le faire rentrer. Je n’en reviens pas de la facilité. Elle souffle fortement mais encaisse.Ma poutre s’enfonce jusqu’aux couilles. Mon amante agite son cul et mène la danse. Malgré cette position ultra-dominée, c’est elle qui gère le rythme.
Les va-et-vient se font de plus en plus rapides. Ma queue agit comme un véritable piston. Zoé est un véritable animal assoiffé de sexe.Elle a bien caché son jeu jusque-là. Cette garce infidèle se lâche comme elle ne l’avait probablement jamais fait.
Je n’en peux plus, je sens la sève qui monte le long de mon tronc. Dans un dernier geste je saisis ses fesses que j’écarte au maximum et enfonce ma queue profondément avant de décharger mon sperme.
Elle paraît déçue de ce dénouement, peut être trop rapide à son goût. Je la quitte et retourne dans ma chambre. Zoé a plié bagage le lendemain pour éviter un nouvel écart de conduite. Elle a retrouvé son copain à Marseille quelques jours plus tard. Lui avouant son infidélité. Elle fut pardonnée.
Zoé m’a recontacté plusieurs fois dans les semaines et mois qui suivirent, me reparlant sans cesse de cette nuit-là. Je suis plus que le bienvenu à Shanghai apparemment.
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