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Zoé, la femme de mon nouvel ami

Chapitre 1

Hétéro
Je m’appelle Mathieu, j’ai 29 ans et suis célibataire. J’ai aménagé dans une petite maison il y a peu, après avoir décroché un poste dans une ville à une centaine de kilomètres de mes racines. Rapidement, je suis devenu ami avec un couple habitant quelques maisons plus loin. C’est un couple charmant, Paul et Zoé, environ 25 ans tous les deux, qui viennent de devenir parents d’une petite fille. Je m’entends très bien avec Paul avec qui je bois une bière de temps en temps devant un match, ou que j’aide quand il s’agit de bricoler. Mes relations avec Zoé ont été un peu froides au début. Elle est craintive et mal à l’aise en présence de gens qu’elle ne connaît pas, mais maintenant nous entretenons de bonnes relations.
L’autre jour, je reçois un SMS de Zoé qui me raconte son mal-être actuel. Elle ne se sent plus désirée par Paul et comme rétrogradée au simple rôle de mère. Je lui réponds le plus sincèrement possible pour la rassurer, en lui expliquant que ça va revenir et que je trouve qu’elle est encore une jolie jeune femme. Elle me remercie et la discussion s’arrête là.
Deux jours après ce bref échange de textos, vers 17h30, j’entends sonner à la porte. J’ouvre et découvre Zoé. Elle se précipite à l’intérieur, un peu affolée, je ferme et me tourne vers elle :
— Ça va ? Tu n’as pas l’air... ai-je à peine le temps d’articuler. Elle me plaque alors contre le mur et m’attrape l’entrejambe sans me laisser finir. — J’ai repensé à ce que tu m’as dit, je veux redevenir femme. Paul est au boulot jusqu’à 21h, je veux en profiter, dit-elle d’un trait.
J’essaie de la repousser et de la raisonner, mais impossible de me défaire de son étreinte, c’est-à-dire qu’elle a une silhouette sportive, façonnée par les heures de natation dans sa jeunesse.
— J’ai envie de toi, me dit-elle, tu as su me parler.
J’essaie toujours tant bien que mal de la repousser tout en étant doux, mais sans succès. Maintenant, elle tente de m’embrasser, la situation commence légèrement à m’exciter, mais je dois le cacher. Au bout de dix minutes, mes tentatives de négociation restent vaines et mon excitation est de plus en plus difficile à cacher, surtout qu’elle a les mains baladeuses la bougresse.
— C’est que la situation n’a pas l’air de te déplaire, petit coquin ! me lance-t-elle, en s’arrêtant sur la bosse qui se forme dans mon jean.— Je ne peux pas le nier, mais cela n’empêche que ce n’est pas bien.— Je m’en fous, j’ai envie de toi depuis ton SMS, je rêve de toi la nuit, vas-y prends moi !
Je ne l’ai jamais entendue parler comme ça, c’est une autre femme que j’ai devant moi. Comprenant que je me montre plus ouvert à cette relation, elle relâche son étreinte et nous nous embrassons. J’arrive à tourner, c’est maintenant elle qui est contre le mur. Mes mains commencent à se balader, et à profiter de ce corps qui s’offre à moi. Tous les tabous viennent de sauter en éclats, nous nous caressons sans limites, son chemisier vole, mon tee-shirt aussi, je lui attrape les seins, fais glisser mes lèvres de sa nuque à son nombril, ses ongles commencent à griffer mon dos.
Je l’invite à me suivre dans la chambre, arguant que nous serons mieux. Elle répond d’un simple sourire évocateur et m’agrippe par-derrière en me suivant. Arrivés face au lit, je la fais pivoter face à moi et l’embrasse langoureusement avant de la repousser. Elle se laisse tomber sur le lit, pas de doute, elle a le scénario bien en tête. Je m’agenouille face à elle, lui retire le reste de ses vêtements, puis hume son joli string qui me fait comprendre que tout ceci est prémédité. Je la vois se relâcher, s’abandonner au plaisir du moment.
Je n’ai qu’une envie et lui dis:

— J’espère que tu aimes ça, parce que je vais te bouffer ta jolie petite chatte jusqu’à ce que tu n’aies plus faim.— Vas-y ! me répond-elle sur un air de défi. Je commence du bout de la langue, du milieu de ses cuisses en remontant vers ce trésor délaissé, imberbe. Mes mains glissent doucement jusqu’à son 95C. Je ne me soucie plus de la situation, je suis comme un chien en rut. Ma bouche se colle à son con humide, ma langue fouille chaque repli, je vais et viens, aspirant par moments son bouton si précieux, goûtant son jus, jusqu’à ce moment où je la sens se crisper. Ma tête se retrouve écrasée entre ses cuisses, puis c’est la libération, son long râle presque inaudible s’arrête net, elle vient de jouir.
Elle me regarde presque abasourdie lorsque je m’approche de son visage.
— Chacun son tour, fais-moi du bien. — J’ai pas trop l’habitude, me dit-elle, en me regardant comme si c’était une faute. Néanmoins, elle prend mon sexe à pleine main et commence à le caresser doucement.— Vas-y, y a rien de compliqué.
Puis elle présente ses lèvres sur mon gland, qu’elle absorbe d’une bouchée. Elle commence à faire de petits va-et-vient qu’elle accompagne d’une bonne masturbation. Le plaisir est au rendez-vous, j’apprécie le moment à fond, mais je ne veux pas jouir trop vite. Je commence à parcourir sa chatte de mes doigts, jouant avec son clitoris. Si j’arrive à être meilleur qu’elle, elle jouira avant moi. Il ne faut pas bien longtemps pour qu’un deuxième orgasme l’emporte ! Je suis sauf, mon énergie est encore là, je vais pouvoir apprécier la suite !
"Putain que c’est bon ! T’arrête pas, j’en veux encore ! me dit-elle.
Je m’approche de la table de chevet où j’ai toujours quelques capotes en réserve, pour en sortir une et l’enfiler devant elle.
— Maintenant, c’est bon ! Baise-moi ! m’ordonne-t-elle. — Je vais me gêner !"
Je me faufile entre ses cuisses, le sexe bandé au maximum et pose délicatement mon gland contre ses petites lèvres. Je la fais languir, elle émet des petits sons d’excitation, je la sens comme sur un nuage, dans un monde où son mari n’existe plus. Elle tend les bras pour m’attraper les hanches quand je la pénètre. Nos corps sont collés, tendrement, j’entame des va-et-vient doux et lents que j’accélère jusqu’à entendre mes couilles taper sur ses fesses. Ses jambes m’enlacent, j’essaie de tenir le plus longtemps possible, mais son vagin est tellement agréable que je finis par exploser en plein effort. Mon corps se contracte puis se cabre, elle le sent et jouit dans la foulée. Je m’affale sur elle, mon sexe encore dans le sien, la sueur coule sur nos poitrines, nous restons là, muets, pendant de longues minutes, avant de retrouver la réalité.
"Il ne faut pas que ça se reproduise, lui dis-je.
— Mais je ne l’aime plus, et puis c’était tellement bien...— Oui c’était bien, mais ce n’est pas correct. Tu es mariée, tu as une fille avec lui, tu ne peux pas faire ça.— Tu as sans doute raison.
Elle se lève, me regarde en récupérant ses affaires et ajoute :
— En tout cas, je ne pourrai pas oublier."
Je la regarde se rhabiller, sans bouger. J’essaie de comprendre ce qui vient de se passer. Comment en sommes-nous arrivés là? Puis elle part, me jetant un dernier coup d’œil avant de franchir le seuil de la porte.
Cette expérience se reproduisit plusieurs fois, allant toujours plus loin, jusqu’à ce que je décide de déménager dans une autre ville. Peut-être vous les conterai je...
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