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Zoé et son élève

Chapitre 1

Un premier contact enivrant

Hétéro
Je me tiens là, assise sur mon bureau devant une classe remplie d’élèves dont les hormones sont en ébullitions, en particulier un, William. Un beau brun, aux yeux ténébreux, une barbe bien dessinée et un torse à en faire craquer plus d’une. Je ne devrais pas dire ça parce que malgré ses vingt-deux ans il reste mon élève mais mama mia, ses épaules imposantes et ses bras puissants m’excite au plus haut point. Dès que mon regard se pose sur ses mains, je l’imagine m’agripper par la taille, me poser sur le bureau de l’amphithéâtre et m’embrasser fougueusement.
Pendant toute la durée de mon cours, nos regards se croisent et la température grimpe déjà, je plonge dans ses yeux et m’y noie de désir. J’y vois le feu et la passion, je vois qu’il brûle lui aussi de désir, qu’il a qu’une envie, c’est de m’enlever ma robe. La fin du cours arrive, tous les élèves sortent, Will prend tout son temps pour ranger ses affaires afin de se retrouver seul avec moi. Et cette idée me plaît et me chatouille le bas du ventre. Je me suis imaginée plusieurs fois ce scénario dans ma tête, en me caressant le soir dans mon lit. L’idée qu’on partage une nuit ensemble, me transporte.
Il s’approche de moi, se stoppe à 2cm de mon visage et me chuchote "Je peux ?". Je sais exactement ce qu’il a l’intention de faire et j’acquiesce d’un signe de tête, la bouche envieuse et entrouverte. Il pose ses douces lèvres sur les miennes, son baiser est passionné et humide. Nos langues se touchent, se rencontrent, nos bassins se rapprochent dangereusement et je m’imagine ce qu’il menace d’arriver. Je suis debout devant mon bureau, il me fait reculer jusqu’à mon bureau, je me retrouve bloqué entre Will et le bureau mais ça ne fait que monter le désir en moi. Mes fesses sont comprimées contre le meuble. Il me demande si je suis toujours ok et encore une fois je consens. Il m’agrippe par les hanches et me pose assise sur le bureau, comme je me le suis imaginé tant de fois.
Après un baiser endiablé, il se place derrière, m’entoure de ses bras en attrapant le plus possible de parties de mon corps, m’embrasse et me mord l’oreille comme s’il avait attendu de le faire toute la journée, il se défoule puis il descend sur ma nuque, je sens son souffle, tout son être a envie de moi et réciproquement. Dès qu’il m’embrasse tendrement le cou je m’embrase. Son regard désireux se pose sur ma poitrine. Ses doigts délicats la libèrent de mon vêtement. Il les fait courir sur l’entièreté de mon corps et effleure ma peau, ce qui me provoque un frisson indescriptible. Ça fait un bien fou. Mes tétons se retrouvent à l’air libre et pointent. Je sens l’air sur ma peau. J’approche le bout de ses doigts jusqu’à ma bouche et embrasse l’extrémité de ceux-ci entre mes lèvres, afin de les humidifier. Puis les passe délicatement sur mes tétons, fiouuf j’en peux déjà plus, mon clito est si gonflé que j’en ai mal. Et ma culotte est trempée.
Je sens que c’est humide entre mes cuisses, à la limite de couler le long de ma cuisse. Mais je ne veux pas qu’il le voit, pas tout de suite. Je veux qu’il me touche, qu’il descende jusqu’à mon intimité et me donne du plaisir à m’en cambrer et m’en monter les larmes aux yeux, de plaisir.
Alors, j’approche mes lèvres de son oreille et lui dis "caresse-moi".
Il s’exécute. Il me dit qu’il sent la chaleur du bout de ses doigts. Il fait rouler vers le haut ma jupe courte et moulante, je sens l’air frais effleurer la peau de mes fesses. C’est agréable. Puisqu’il est derrière moi, il se rapproche jusqu’à se coller à moi. Je sens alors son pénis gonfler, s’ériger, plaqué contre mon fessier, c’est viril et excitant. Il fait alors de légers mouvements de hauts en bas, un peu comme une branlette espagnole mais avec mes fesses. Il y prend du plaisir le cochon. Hmm ça m’allume encore plus, le sentir, l’entendre prendre du plaisir en laissant échapper du bout des lèvres de doux gémissements hmm que c’est bon.
Après ça il repasse devant moi, m’allonge sur mon bureau et sort une merveille de son sac. Un aspirateur à clito, un bijou absolu. Je sens déjà la chaleur monter, mes joues rougissent d’envie. Il met délicatement du lubrifiant sur mon clito, il est froid et cela me fait un petit quelque chose. Il en applique généreusement. Alors que c’était déjà bien humide dans cette zone. Il pose ensuite, de façon toute aussi attentionnée, le sex-toy sur mon bouton du plaisir. Il grandit, je sens qu’il vient, mon orgasme. C’est une explosion de sensations dans ma tête. C’est comme flotter dans l’eau. J’en deviens bruyante. C’était tout simplement divin.
J’embrasse Will puis je rentre chez moi.Le lendemain, au bout du couloir de la fac, je l’aperçois, c’est lui. Il avance majestueusement. Quand vient le moment de se croiser, sa main frôle secrètement ma cuisse. Ça provoque un frisson qui me traverse tout le corps, la tension entre nous est électrique. Il me fait comprendre de le rejoindre dans un placard.
Je suis la première arrivée dans la cabine. Je me déshabille. Je l’entends arriver, je sais que c’est lui et surtout je sais ce qu’il m’attend. Il entre et se colle à moi qui suis nue. Il prend le temps de m’enlacer puis s’agenouille, toujours derrière moi. Avec sa main il me fait comprendre que je dois plier puis appuyer ma jambe sur un rebord pour me cambrer légèrement. Et là, un délice. Autant pour lui que pour moi. Je sens le bout de sa langue humide se poser sur mon mont de Vénus. Il se délecte et ça s’entend. Il agite sa langue magique d’avant en arrière, délicatement puis, de façon plus rapide. Il change de façon hasardeuse la vitesse et la pression contre mon intimité. Il me pince tout doucement le clito, ça m’électrifie. Il explore de ses doigts, comme si c’était un massage. Je n’en peux plus, je gémis du bout des lèvres, un filet de mouille s’écoule le long de ma cuisse. Il me fait un bien fou.
Tout d’un coup nous entendons un bruit, celui-ci nous a stoppé dans notre élan alors nous avons préféré écourter ce moment pour ne pas se faire surprendre. Mais Will et moi on habite au même endroit. Dans la fac il y a un internat pour les profs, comme pour les élèves. Vous l’aurez deviné, on y habite l’un comme l’autre. Ce qui laisse place à de chouettes moments surtout que nous n’avons pas pu finir ce que nous avons commencé dans ce placard...
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