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Le zoo Familial

Chapitre 1

Inceste
Histoire écrite et imaginée avec mon amie Nawelle

Comme tous les matins après avoir déjeuné, je sors de la cuisine des gardiens qui donnent directement sur le zoo. Moi, c’est Didier, blond, un mètre soixante-cinq, les yeux bleus, d’allure svelte, mais sportive. Ma mère est la directrice d’un zoo et j’ai donc la chance de pouvoir vivre toute l’année aux côtés des animaux exotiques. Je n’ai qu’à sortir dans les allées pour faire le tour de la terre.Comme à mon habitude, je fais le tour de mes animaux préférés. Je commence toujours par le gorille qui est le premier sur ma route. J’aime le voir courir de droite à gauche dans son parc, cependant, il me fait un peu de peine à le voir ainsi tout seul. En arrivant, je lui jette une banane comme chaque matin, il court la ramasser et commence à la manger. Je l’observe quelques minutes et continue mon chemin en passant devant les lions, les tigres et divers oiseaux. Bien que cela fasse plus de dix ans que nous vivons ici, ma mère et moi, je suis toujours autant fasciné par ces animaux.
Au détour d’un chemin, je vois enfin ma mère dans le coin des suricates. Elle est en train de les nourrir. Ils sont en groupe autour d’elle et courent dans tous les sens.
— Coucou maman... Ça va ? Tu t’en sors avec ces affamés ?— Oui, mon chou, regarde avec les premières chaleurs, ils sont déjà tout excités.— Ils sont toujours fous ceux-là maman, mais ce sont mes préférés.

Je fais une petite enjambée pour passer au-dessus de la barrière en bois en faisant attention à ne pas accrocher mon jeans... Je m’approche d’elle pour lui donner un coup de main. A trente-huit ans, elle est restée très jolie, il faut dire que ses séances de yoga l’aident. Ce matin, elle est habillée d’un pantalon style randonnée vert kaki, assorti d’une chemise assortie. Les deux premiers boutons ne sont pas fermés, ce qui me permet d’apprécier le début de la vallée entre ses deux seins.
— Je crois qu’ils t’aiment vraiment bien maman, dis-je en voyant deux suricates montés sur tes épaules.
À peine j’ai fini ma phrase qu’un des deux animaux saisit le bord du col de sa chemise et tire dessus. Je suis surpris, et même un peu gêné de voir apparaître un soutien-gorge rouge à dentelle. Sans perdre une seconde, le deuxième saute dans l’ouverture de la chemise de maman. Elle pousse un cri de surprise.
— Eh, coquin, tu ne peux pas entrer sans permissions.
Puis elle se met à rire en me regardant. Elle remarque alors que ce ne sont pas les suricates que je regarde, mais la lingerie rouge qui habille sa poitrine. Avec tout ça, mes joues sont devenues rouges. Dans sa chemise, l’animal s’agite. Ma mère se contorsionne afin de laisser le petit animal s’enfuir. Je me demande ce que ma mère a ressenti quand le petit animal est entré dans sa chemise et je m’inquiète pour elle.
— Maman, ça va ? Il ne t’a pas blessée ?— Non, t’inquiète mon chéri, j’ai l’habitude avec ceux-ci dès qu’ils peuvent entrer se cacher un endroit, ils n’hésitent pas...
— Ils étaient bien cachés, dis-je un peu gêné avec les joues encore toutes rouges, mon regard encore posé sur la chemise défaite des trois premiers boutons.— Ils vont n’importe où, dit-elle, amusée.— Oh, mais ils t’ont griffée, maman regarde. Ça saigne un peu maman, dis-je, montrant en direction de sa poitrine avec mon doigt.
Ma mère regarde sa poitrine effectivement griffée. De minces filets de sang lui balafrent le haut de ses seins.
— Oh, mais c’est vrai. Je dois aller me désinfecter.— Tu n’as pas pris la mini-trousse de secours dans le quad électrique ?— Oui, c’est vrai, tu peux aller la chercher.
Je m’empresse d’aller vers le quad en sautant par-dessus la petite barrière. Je prends la trousse de secours et reviens vite vers elle.
— Voilà maman, j’ai le désinfectant. Viens vers le banc ici maman, je vais te le donner et comme ça les suricates te laisseront tranquille.— Merci mon chéri.
Elle prend le tube de crème désinfectante de mes mains et en met dans une de ses paumes, et met un œil en direction de son décolleté, puis elle me regarde et me dit :
— Tu pourrais juste m’aider à écarter un peu ma chemise, je ne veux pas en mettre partout.— Je... Euh... Ouais d’accord.
Rougissant à nouveau, je la regarde dans les yeux puis je baisse mon regard et les mains toutes tremblantes, je prends les deux côtés de la chemise et les écarte un peu sans trop oser forcer.
— Encore un peu s’il te plaît Didier.
C’est donc doucement, mais tout gêné que je tire un peu plus sur la chemise. Son soutien-gorge rouge est de nouveau visible. J’essaie de faire comme si de rien n’était, mais je sens mes joues rougir encore plus. Ma mère sourit en voyant ma gêne et devant moi, elle pose sa main et enduis en faisant des petits ronds le sommet de son sein avec la crème. Elle est amusée de voir mon regard suivre les mouvements de sa main. Elle me voit la regarder comme jamais j’ai eu de regard comme ça pour elle. Elle voit quelque chose de différent dans mes yeux. J’ai l’impression que ses yeux sont posés sur moi, ses gestes se font plus lents, plus appuyés sur sa poitrine, comme si elle voulait me montrer quelque chose. Je sens que la vitesse de sa respiration a changé. L’expression de son regard a changé, il me rappelle celui de Léa quand je lui ai demandé si elle voulait sortir avec moi et qu’elle a accepté. Pendant tout ce temps, mes yeux vont des siens à sa poitrine.
Je commence à perdre ma honte de regarder ma mère.
— Ça va, Didier ? Tu es tout rouge, dit-elle, amusée.— Euh je... Je. Oui oui maman.— Tu avais jamais vu de soutien-gorge ? dit-elle, un petit sourire en coin, continuant à s’enduire de crème. Et tu le trouves comment ?— Ben, c’est... Euh... Je ne sais pas. Il... Il est joli, dis-je toujours pivoine.— Bon comme tu as été gentil, je te fais un petit cadeau, mais tu dis rien à personne Didier, d’accord ?— Euh ben oui, promis maman.
Là sous mes yeux stupéfaits, elle finit d’ouvrir les derniers boutons de sa chemise, elle regarde à droite à gauche, que personne ne soit là, et elle ouvre en grand sa chemise dévoilant cette fois complètement le magnifique soutien-gorge et sa poitrine bien moulée dedans. Ses joues rougissent quand même un peu, se rendant compte de ce qu’elle fait. Moi, je ne reviens pas et mes yeux se rivent dessus comme aimantés, mon cœur bat de plus en plus vite... Tu vois mon regard que tu as plus senti de la part d’un homme depuis longtemps. En moi, je sens de nouvelles sensations inconnues. On est les deux silencieux à se regarder. Et là le rugissement du lion nous coupe. Maman sait que quand le lion rugit, c’est que sa soigneuse est arrivée. Un peu paniquée, elle reboutonne sa chemise en décalant les boutons tellement elle est stressée.
— Euh Didier, tu ne diras rien, OK ?— Oui maman, dis-je tout perdu.— Allez finis ta balade, moi, je dois finir de m’occuper d’eux.
Le reste de la journée se déroule normalement, j’aide divers employés pendant l’après-midi. J’aide pour nourrir les félins, pour les soins vétérinaires des primates et pour l’entretien général du zoo. En soirée comme deux fois par mois, tante est là pour le repas, on mange tous les trois ensemble. Après le repas, je débarrasse la table et je sers le dessert. Après le gâteau, comme je suis assez fatigué de ma journée, je monte assez vite dormir alors qu’elles restent dans le salon à papoter. À peine sorti de la salle de bain, je saute dans mon lit, je pose ma tête que je m’endors.
Mes petites mains tremblantes caressent et palpent timidement cette poitrine douce et ferme à travers cette dentelle rouge. Puis elle me regarde dans les yeux et par elle-même, elle dégrafe son soutien-gorge rouge. Les magnifiques seins de maman sont offerts à moi. Elle me sourit et me dit viens goûter mon bébé. Timidement, mon visage s’approche de son opulente poitrine. Mes lèvres se posent dessus et je commence à fêter les mamelles maternelles... J’entends ses gémissements et je sens sa main entrer dans mon boxer et ça me fait sursauter... Là, mes yeux s’ouvrent d’un coup et je me rends compte que je viens de rêver de ma mère... Mon cœur bat à mille à l’heure, j’ai le front qui perle d’une légère transpiration et je sens sous mon drap mon sexe tendu à mort... au fond de moi, j’ai honte, mais les images du rêve me reviennent et transformaient cette honte en excitation... Je ferme les yeux et doucement, je prends mon sexe et commence à me caresser.
Je revois ce magnifique soutien-gorge rouge et là il me prend une idée folle, je sors de mon lit en boxer, excité comme jamais, j’entrouvre la porte et j’entends maman et ma tante qui discutent encore en bas. L’excitation, je vais traverser le couloir et entrer dans la chambre de ma maman et sans savoir ce qui me prend, je commence à ouvrir les tiroirs... au bout du quatrième, je tombe sur son tiroir à lingerie.
Mes yeux s’ouvrent en grand, mon cœur bat de plus en plus vite devant moi, je vois plein de soutiens-gorges culottes et autres dessous un arc-en-ciel de couleurs. Un peu dans un état second, je plonge mes mains dans le tiroir et touche pour la première fois des dessous féminins et en plus ceux de ma mère. Mes doigts glissent sous les bonnets en dentelles d’un soutien-gorge bleu, je le fais rouler entre mes doigts le palpe, l’analyse. Tout ça ne fait qu’augmenter mon érection et tendre les coutures de mon boxer. Je suis comme dans un nuage tellement que je n’entends pas les pas qui montent à l’étage.
— Qu’est-ce que tu fais ici ?
Je me retourne, c’est ma tante. Elle a vingt-six ans, blonde, les yeux bruns, un mètre soixante-dix, un physique de rêve avec un visage d’ange. Je deviens rouge pivoine en la voyant juste derrière moi alors que j’ai les mains dans les dessous de maman.
— Euh je... Je fais rien tata, dis-je d’une voix tremblante, tout honteux.— Qu’est-ce que tu tiens dans la main ?— Euh... Je... Rien... dis-je tout perdu et gêné alors que j’ai les mains dans la lingerie de maman.— Montre-moi, elle est jolie, dis-moi, la culotte, c’est pour toi ?— Hein, mais non... C’est pas à moi ça... C’est euh, c’est à maman, dis-je tout rouge.— Tu voudrais la voir avec ? Coquin.— Hein non. Mais enfin, je l’ai vue... Euh non rien !— Hein !? Comment ça ? Tu espionnes ta mère !— Mais non, c’était ce matin, mais je ne dois rien dire, dis-je, les joues toutes rouges.— Raconte-moi tout, ce sera notre secret.— Heu. Non, mais je lui ai promis que ça serait secret et que je ne le dirai à personne.— Allez si tu le dis, tu auras une surprise.— De... De quoi ? dis-je extrêmement gêné par la situation et le fait d’en avoir déjà trop dit sur le secret.— Ben dis-moi et tu verras.— Ben euh ce matin, les suricates ont attaqué un peu maman et elle a été griffée sur la poitrine et euh ben, j’ai vu quand elle se passait la pommade et qu’elle était en soutien-gorge rouge.— Ah, mais c’est rien ça. Ta mère fait quasiment la même taille de soutien-gorge que moi. Tu me le donnes et je le mets et tu me dis qui le porte le mieux.— Mais euh comment je peux savoir ? dis-je tout rouge.— Donne-le-moi !

Tout gêné, je tends les mains tremblantes. Ma tante Justine prend la lingerie et part dans la salle de bain. Je suis tout gêné que ma tante m’ait vu avec la lingerie de ma maman dans les mains. Mais je suis surpris de voir la réaction de ma tante. Dans ma tête, je me dis que c’est fou si je vois aussi ma tante en soutien-gorge le même jour que ma mère.
Après quelques minutes, Justine revient. Les trois premiers boutons de son chemisier sont ouverts, dévoilant la lingerie rouge de maman. Je suis encore plus rouge et mon souffle est de plus en plus rapide. Mon sexe est tendu dans mon pantalon.
— Alors qu’est-ce que tu en dis ?
Elle baisse les yeux vers mon entrejambe.
— À en croire la bosse de ton pantalon, ça te plaît.
Et elle repart en rigolant, me laissant seul avec mon érection.
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