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Le zoo Familial

Chapitre 3

Devenir un homme

Inceste
Mes lèvres humides enrobent les doux mamelons maternels devenus tous durs. Dans ma tête, c’est de la folie et j’arrive pas à imaginer ce qui se passe. Je sens mon short qui se tend de plus en plus. En suçant les seins de ma mère, je pousse de petits gémissements.

-Hmmm mamannnn…-Continue mon chou.-Hummm c’est trop bon maman, dis-je en baissant ma tête et en recommençant à sucer un des seins de ma jolie maman.
Je sens que maman s’allonge doucement et m’attire sur elle. Je suis à moitié couché sur elle, ma bouche collée à son mamelon. Mon sexe gonfle encore entre elle et moi , et mon cœur bat de plus en plus rapidement.
Je repense à ces singes qui se baladaient sur le corsage de maman. Je voudrais être comme eux. Mes mains agrippent sa poitrine, tirent son vêtement. Ma bouche continue son exploration sur la peau si douce de ma mère. Mes paumes caressent ses cuisses, ses seins, son visage. Mon sexe tendu me fait mal. Je prends ma verge en main. Ma mère baisse la tête et la regarde. Un sourire coquin illumine son visage.
-Hmmm maman j’ai jamais ressenti des choses comme ça.— Oui moi j’ai plus ressenti ça depuis longtemps mon chou.
Elle se décale un peu et écarte légèrement ses cuisses. Je sens sa main venir sur la mienne, celle qui tient mon sexe. Elle saisit elle-même mon sexe le tire vers elle le guide jusqu’à l’entrée de son sexe luisant et brûlant. Elle me regarde dans les yeux et naturellement, mon sexe entre doucement et écarte ses lèvres brûlantes et humides. Mon sexe entre doucement en elle. C’est la première fois que je pénètre une femme, et cette femme, c’est ma mère. Celle qui m’a porté, celle qui m’a tout appris. Je m’efforce de faire de mon mieux. Je veux qu’elle soit fière de moi. Je me rappelle les vidéos sur Internet, je fais de grands mouvements de bassin pour entrer et sortir dans sa grotte tout humide. Et elle a l’air d’aimer d’après les gémissements que ma mère lâche doucement comme dans les films que j’ai déjà vus. Je la regarde dans les yeux, nos regards ne se lâchent plus du tout et j’accélère encore mes va-et-vient et en essayant de ne pas jouir trop vite tellement j’aime ce moment. Je sens quand même des nouvelle sensations dans mon sexe, il palpite de plus en plus glissant dans ma maman. Elle sent aussi que je ne vais plus tenir très longtemps, mais elle ne veut pas non plus arrêter ce moment incroyable. Elle sent mes coups de bassin de plus en plus rapides et mon sexe allant de plus en plus loin en elle. Les gémissements qu’elle laisse échapper m’excitent encore plus. Et dans un puissant gémissement, j’explose au fond de ma propre maman. Plusieurs jets brûlants et gluants la remplissent. Mon sexe encore au fond d’elle, je me colle à elle et pose mes lèvres contre les siennes. En une fraction de seconde, nos langues se touchent, elles se croisent, se font l’amour, nos salives ne font plus qu’une. Une bonne minute, plus tard, nos lèvres se décollent, on se regarde mon sexe encore en elle.
-Hummm maman je t’aime, dis-je d’une voix tremblante.-Je t’aime aussi mon chou, dit-elle me serrant contre elle.
On s’embrasse encore tendrement mon sexe sortant doucement d’elle. Sans dire un mot, on se relève, elle me prend par la main. On monte tous les deux à l’étage et, toujours en me tenant la main, elle me dirige vers sa chambre. On y entre et elle me sourit. Et toute nue juste devant moi elle entre sous sa couette, me sourit et me fait signe de venir. Je la regarde et sans trop hésiter, je viens et entre sous la couette. Elle m’attire contre elle me sert contre sa peau toute douce et si chaude, elle m’enlace puis elle me dit.
— Bonne nuit mon chou, je t’aime,— Bonne nuit maman, je t’aime aussi
Il est 6 heures du matin, mes yeux sont toujours fermés, mais je me réveille doucement, dans ma tête, je me dis que j’ai fait un rêve de fou hier soir, mais qu’il s’est rien passé. Puis doucement, mes yeux s’ouvrent et là, je vois le visage de ma magnifique maman juste à quelques centimètres du mien. Là, je me dis que je n’ai pas rêvé et que ça, c’est réellement passé et ça me fait direct des frissons. Avec mes yeux, je scrute son magnifique visage, ses jolies pommettes, ses paupières fermées ornées de magnifique cils tout fins et sa somptueuse bouche pulpeuse entrouverte. Et mon regard descend et j’aperçois sa généreuse poitrine maternelle collée à mon jeune torse. Cette vision fait direct battre mon cœur de plus en plus vite et augmente ma respiration. Sans que je ne puisse rien gérer mon sexe, commence à gonfler contre ma mère qui est serrée contre moi. J’essaie de gérer mon érection, mais plus j’essaie de me calmer plus elle gonfle contre le corps chaud de ma mère.Je sens le bout de ma verge contre la vulve chaude de ma mère, mais j’ose plus bouger par peur de la réveiller. J’ai peur qu’en voyant son fils là, nu, collé à elle, elle regrette ce qui s’est passé. Les minutes passent doucement et mon sexe est toujours en forte érection, je ne peux pas m’empêcher de la regarder dormir. J’écarte même un peu mon torse pour voir le bout de ses mamelons, lorsque je les vois mon sexe tremble encore plus alors je recolle mon torse contre sa poitrine si douce et chaude. Lorsque je me remets contre elle, je la sens bouger un peu plus et pousser un petit soupir. Je ne bouge plus par peur qu’elle se réveille. Je regarde à nouveau son visage, elle a toujours les paupières closes. Mais là, je suis surpris, je vois bouger ses lèvres et toujours les yeux clos, je l’entends.
-Tu as bien dormi contre ta maman mon chéri ?-Euh je…. Je… J’ ai…Je n’ai jamais passé une meilleure nuit maman, dis-je tout gêné et troublé
Elle ouvre ses yeux me sourit et sans rien dire d’autre elle approche ses lèvres des miennes et j’embrasse tendrement, je dirais même amoureusement. Nos deux corps frémissent, nos lèvres s’effleurent nos bouches s’entrouvrent et le contact de nos deux langues nous excitent encore plus tous les deux.Ce baiser nous fait énormément d’effet. Je sens le corps de ma mère qui commence à se frotter au mien, je sens mon sexe, gonflé comme jamais, frotter ses lèvres brûlantes.. Et doucement, du bout des lèvres, je l’ entends dire "Entre vas-y ".Je la regarde et je sens qu’elle saisit délicatement ma verge dure comme du bois et la guide. Je bouge un peu le bassin et je me sens entrer en elle, je sens la chaleur brûlante entourer mon pénis gonflé de sang. Une fois en elle, je la vois qui roule sur moi et se retrouve assise mon sexe en elle. Elle me sourit et me regarde dans les yeux puis elle commence à monter et descendre doucement sur mon sexe en prenant le temps. Je la regarde là, sur moi, toute nue ma mère offerte à moi, après une dizaine de va-et-vient je la vois qui augmente le rythme des montées et descentes, elle accélère encore et sautille sur mon membre qui palpite de plus en plus en elle. Elle gémit, prend une de mes mains et la pose sur son sein. Comme instinctivement, je commence à peloter son sein et je l’entends " humm oui comme ça, c’ est trop bon chéri ". Elle sautille de plus en plus vite et vient caresser ses lèvres avec une de ses mains. Elle gémit de plus en plus , je commence à gémir à fond aussi, je sens que je ne vais pas tenir longtemps, je sens que je vais exploser en elle. Nos regards ne se quittent plus.

-Hummmm chéri oui oui oui… c’ est trop bon.-Ahhhhmmmmrrr maman..je….Humm ahhh je vais pas tenir longtemps.-Humm mon chou ce n’est pas grave. Ohhh oui…oui oui ...Tu peux tout lâcher, me dit-elle.

Elle sait bien que j’arrive au bout alors elle se doigte encore plus vite en accélérant ses petits sauts sur mon sexe qui est près de l’éruption. Son regard ne quitte pas le mien , on gémit comme des fous et dans un râle de plaisir, j’explose en elle. Des puissants jets brûlants et gluants la remplissent, je me vide totalement en elle en gémissant. Elle jouit à son tour, je sens le bas de mon ventre humide de sa cyprine. Elle reste empalée sur mon pieu et on se regarde tous les deux tout essoufflés.
On reste comme ça trois bonnes minutes qui passent à une vitesse folle puis ma mère se penche et vient m’embrasser à nouveau sur les lèvres. Puis elle décolle ses lèvres et murmure un petit " merci mon chou " puis elle se redresse, me sourit et se retire de mon sexe souillé de nos jus qui sort d’elle. Elle me tape sur la cuisse et me dit
-Allez mon chou il y a beaucoup de boulot au zoo aujourd’hui encore.-Euh ouais je… je me lève maman, dis-je encore perdu et troublé par ce début de matinée.
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