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Zouhra

Chapitre 2

Lesbienne
La révélation Nous y voilà, ce moment tant espéré arrive enfin, je me lève et m’approche d’elle. –Bien sûr Zouhra, j’aimerai moi aussi que vous fassiez connaissance avec mon corps, surtout avec vos mains. Pourrai je aussi faire connaissance du votre de la même manière ?–Et tu crois que je t’ai fait monter ici pour autre chose ? Ce subit tutoiement me soulage, nous sommes sur la même longueur d’ondes. Ses mains se posent sur mon visage, j’en fais autant. Elles glissent sur mon front, mes joues, mes oreilles, mon cou. Elles glissent sous mon corsage pour arriver au niveau de ma poitrine, elles le déboutonnent, il atterri au sol dévoilant mes seins aux mamelons érigés. Je passe mes mains le long de son cou, sur ses épaules, ses bras, elle est nue devant moi, magnifiquement nue. Ses mains glissent sur mes seins, les caressent, les titillent, les soupèsent et descendent le long de mon corps. Je ne bouge plus, je veux pas qu’elle ne soit gênée par un quelconque mouvement de ma part. Arrivées à la ceinture de ma jupe, elles se glissent dessous pour faire le tour de ma taille, elles défont le bouton et font glisser le zip, ma jupe va rejoindre mon corsage sur le sol. Je suis moi aussi nue devant elle, offerte, n’attendant que son bon vouloir. Je sens ses mains parcourir mes fesses, mes jambes, et remonter sur mes cuisses. Elles finissent sur mon sexe liquéfié mais n’insistent pas.  –Je vois que tu es une très belle femme avec un corps ferme et tonique. Viens avec moi, allons prendre un douche avant que tu ne t’occupes de mon corps comme tu le désires.–Je te suis. Elle se redresse, m’enlace et pose ses lèvres sur les miennes. Nos langues font connaissance, elles semblent bien aimer ce qu’elles vivent, elles se découvrent en faisant de grandes circonvolutions dans nos bouches. J’ai du mal à me séparer de cette merveilleuse bouche, mais Zouhra me prend la main et m’entraîne vers la salle de bain.  –Passe devant, j’ai envie de me saouler de tes magnifiques fesses.–Tu as de la chance de pouvoir le faire, profites en. Elle lâche ma main et passe devant moi, je vois ses fesses hautes et rondes danser sous mes yeux, j’ai envie de me jeter dessus pour les bouffer mais je me retiens. Je veux qu’elle s’offre à moi, qu’elle se donne à moi comme je sais que je me donnerai à elle corps et âme. Je veux que nos corps ne fassent plus qu’un dans un tourbillon de plaisir. Cette fille a pris possession de tout mon être, de toute mon âme, de tout mon esprit, je suis complètement envoûtée par elle. Depuis une semaine, elle ne quitte pas ma tête, je la vois tous les jour et je ne vis que pour ça, j’ai détesté ce week-end. J’ai envie de la couvrir de baiser, de me coller à elle, de la caresser, de m’emparer de ce corps sublime, de lui donner le mien, de la faire exploser dans un océan de plaisir.  Nous arrivons dans une belle douche à l’italienne, elle ouvre l’eau et se glisse dessous en m’attirant à elle. Nos corps s’épousent, collés, soudés sous cette délicieuse cascade d’eau. Elle coupe l’eau pour que l’on puisse se savonner. Nos mains explorent le corps de l’autre, se glissent partout, dans les moindres recoins. J’en profite pour explorer ce magnifique corps, mes mains se glissent sur ses seins pour les caresser avec le gel. Je les laisse aller jusqu’à ses fesses fermes et douces que je palpe, soupèse, caresse. Mais nous évitons le sexe, ça, c’est pour plus tard. Elle ouvre l’eau pour que nous nous rincions, c’est encore l’occasion de faire glisser ses mains sur cette peau qui nous attire. Une fois rincées, nous nous séchons rapidement, elle prend ma main et m’entraîne vers sa chambre. Je découvre un magnifique lit rond, assez grand, juste recouvert d’un drap rouge. Elle s’immobilise devant, me positionne dos au lit et me pousse. Je tombe sur le dos, les jambes ouvertes, elle me saute dessus. Je sens son corps écraser le mien, ses seins se coller aux miens, son ventre épouser mon ventre, son pubis se frotter à mon pubis.  –J’attends ça depuis si longtemps.–On ne se connaît que depuis une semaine, ce n’est pas si long.–J’ai envie de toi depuis que tu es venu me dire que je me trompais de machine, ta voix, ton parfum, ta présence m’ont subjuguée. Tu as cannibalisé mon esprit, tu as pris possession de mon âme et je veux te donner mon corps. Aime moi ma chérie, aime moi, j’en ai tellement besoin, je veux sentir ta bouche et tes mains sur ma peau.–S’il n’y a que ça pour te faire plaisir.
 Je la fais glisser sur le côté, la remonte au milieu du lit et lui écarte un peu les jambes. Ma bouche se promène sur son ventre, ses jambes, son pubis, ses seins, elle commence à onduler les yeux fermés. Je prends mon temps, j’ai envie qu’elle me supplie de la faire jouir, je veux la sentir se désintégrer sous mes caresses. Petit à petit son corps se tend, j’ai suffisamment d’expérience pour savoir quoi faire pour la maintenir à un niveau d’excitation donné, ça fait plus de dix ans que je pratique l’amour saphique. Elle se tortille de plus en plus dans tous les sens, mais, c’est une nana de caractère, elle ne veut pas me supplier, je le sens. Je la met sur le ventre, ma bouche finit par arriver entre ses fesses, ma langue se glisse entre elles. Je lui écarte légèrement les fesses pour me libérer un peu plus le passage. Elle soulève son bassin pour me faciliter la tâche. Ma langue arrive sur son anus, elle le titille. –Oh oui, continue, c’est la première fois qu’une langue se pose sur ma rondelle, j’aime, continue. Je ne me le fait pas dire deux fois, mes mains écartent au maximum ses fesses pour m’ouvrir un énorme accès à son anus. Je me déchaîne dessus, ma langue s’enfonce légèrement dedans, je le titille, elle se perd de temps en temps sur son périnée. Elle finit par avoir un orgasme, son corps se tend, elle pousse des cris de plaisir, qui se finissent par un énorme hurlement. C’est la première fois qu’une de mes compagnes jouit rien qu’avec ma langue sur son anus, j’en suis la première surprise. Quand elle s’est un peu calmée, je la remet sur le dos et lui ouvre les jambes. –Enfin, tu te décides à me faire jouir.–Parce que tu n’as pas joui à l’instant ?–Ce n’était qu’un hors d’œuvre, mais je dois te dire que j’ai beaucoup aimer ta langue sur mon anus, il faudra recommencer. –Je vais te faire jouir, mais j’ai peur que tu n’ameute tout l’immeuble.–Je m’en fous, aime moi ma chérie, je veux encore jouir sous ta langue. Ma bouche se pose sur la sienne, nous échangeons un baiser passionné, quand nos lèvres se séparent, je descends le long de son corps en m’attardant un peu sur ses magnifiques seins fermes et ronds que j’adore. Quand j’arrive à son pubis, elle se tortille déjà dans tous les sens, j’ai du mal à la conserver sous ma langue. Je lui ouvre les jambes en grand, j’admire son magnifique sexe rose, bien ouvert et brillant comme l’étoile polaire. Je reste un instant à admirer ses fines lèvres entourant son vagin, et son clitoris bien gonflé qui émerge de son capuchon. J’arrive entre ses petites lèvres, ma langue se glisse entre elles pour descendre sur le vagin que j’aspire. Je me goinfre de sa cyprine qui coule abondamment, j’y reste un petit instant, ce qui a pour effet de l’énerver un peu. Mais je la sens au bord de l’orgasme, il est impossible de revenir en arrière, je veux qu’elle éprouve un plaisir comme jamais elle n’en a ressenti de sa vie. Je veux que ses muscles se crispent à lui faire mal, qu’elle sente son corps la faire souffrir avant la libération suprême. Ma bouche se pose sur son clitoris, je l’aspire, le mordille, le titille jusqu’à, ce que je la sente se raidir et l’entende exploser dans un orgasme dévastateur. Elle est secouée comme un fétu de paille, son corps est ballotté dans tous les sens, elle ne sait plus où elle est, ce qu’elle fait, ce qui se passe. Elle hurle son plaisir, le quartier entier est au courant qu’elle vient de jouir. D’un seul coup, elle est inerte, son corps se détend sur le lit. Je sais qu’elle est à moitié consciente, cela m’est déjà arrivé plusieurs fois lors d’orgasme hors normes. Je remonte sur son corps, pose ma bouche sur la sienne, juste au moment où elle reprend conscience. Elle m’enlace, notre baiser est intense et rempli d’amour. Je sens qu’elle se laisse aller avec moi, qu’elle est bien dans mes bras et qu’elle veux que ça dure. Je suis comme elle, je commence à ne plus pouvoir envisager l’avenir sans elle, je me blotti dans ses bras. Je le serre contre mon corps, je veux me dissoudre dans le sien, ne faire qu’une avec elle. –Je crois que je t’aime Clémence, tu viens de me faire vivre le plus beau moment de ma vie, comment pourrais je vivre sans toi ?–Doucement Zouhra, doucement, moi aussi j’ai un énorme sentiment pour toi, mais je laisse le temps au temps, laissons nous aller et vivons l’instant présent, nous avons le temps.–Tu sais que c’est la première fois qu’une femme me caresse et me fait jouir comme jamais je n’ai joui de ma vie.–Je suis ta première femme ?–Oui, tu ne l’avais pas compris ?–J’avoue que non.–Et je crois que tu vas rester l’unique, je veux partager ma vie avec toi, rien qu’avec toi.–Doucement Zouhra, ne t’emballe pas. Moi j’ai pourtant eu l’impression que tu savais ce que tu faisais. J’ai eu la sensation que tu savais ce qui allait arriver et que tu te donnais à moi en toute conscience.–Pas du tout, c’était de l’improvisation, j’ai simplement laissé mon corps s’exprimer, et tu as su très bien le faire s’exprimer et en sortir la quintessence du plaisir. –A tel point que tout l’immeuble, et même le quartier, doit savoir que tu viens de jouir comme une folle.–Peu importe, l’important, c’est que tu me fasses jouir et que nous soyons ensemble.–Ça, du fait de ma position, je ne sais pas si ça va être possible.–Et pourquoi ?–Juste parce que je suis un de tes moniteurs et que j’ai autorité sur toi, donc c’est considéré comme une attitude néfaste pour toi, je n’ai pas le droit.–S’il le faut, je quitte le CAT.–Doucement chérie, doucement, il faut bien réfléchir avant de faire quoi que ce soit d’irréversible.  Elle se jette sur moi en me couvrant de baisers, ses mains glissent sur mon corps, je ne sais pas ce qu’il lui prend, mais je me laisse faire, je suis trop bien avec elle surtout quand elle exprime son amour de la sorte. –Tu as dis chérie, tu as dit chérie, tu m’aimes, j’en suis sure.–Oui, tu es dans mon cœur, mais je ne peux pas encore affirmer que c’est de l’amour pur et dur.–Ça ne fait rien, tu m’aimes.–Oui, je t’aime ma chérie, tu es contente ?–Tu sais, j’attends ce moment depuis une semaine, le mardi soir, quand je ne suis mise au lit, j’ai pleuré car j’avais l’impression que tu ne me voyais pas.–Et moi, je ne pensais qu’à toi en regrettant que tu ne puisse me voir.–Oui, mais moi, je me sentais seule devant ma riveteuse.–Pourtant, je suis venu souvent te voir, tu n’as pas trouvé que je venais souvent ?–Oui, mais juste le mercredi, j’ai réalisé que tu t’occupais plus de moi, mais j’ai mis ça sur le compte de ma cécité.–En fait, non, j’ai été tout de suite attirée par toi, j’avais envie d’être constamment à côté de toi.–Et je dois dire que j’adore quand tu viens vers moi, j’adore ta voix, ton parfum, ta présence, j’en ai une petite crispation dans le bas du ventre, j’en mouille même un peu. –Il faudra qu’un jour je vérifie ton taux d’humidité.–Quand tu veux, je rêve du jour où tu pourras passer tes mains entre mes cuisses pendant que je rivette un écrou pour me titiller le clitoris.–Où mieux, ma bouche sur tes lèvres inondées à quatre pattes sous la riveteuse pour te faire jouir devant tout le monde.–Ça, ce serait chouette.–Oui, mais malheureusement irréalisable, que de chose pourrait on faire dans un monde moins hypocrite.–Et moins coincé.–En attendant, viens sur moi, j’ai envie de te sentir sur mon corps.  Je la fais monter sur moi pour l’enlacer et l’embrasser. Mes mains glissent sur son dos et ses fesses, elle recommence à onduler du bassin. Elle pivote sur moi pour me présenter son sexe. Je sens son souffle sur le mien. J’écarte les cuisses tout en lui agrippant les fesses pour plaquer son sexe sur ma bouche. Nos langues s’activent sur nos moules détrempées. Elle me lape comme un chat, je sens qu’elle n’a aucune expérience, mais elle essaye de faire ce que je lui fais et ça marche. Je sens mon corps se tendre de plus en plus, je suis en attente de le sentir exploser de plaisir depuis bien trop de temps pour pouvoir me retenir longtemps. Mon corps finit par exulter dans un merveilleux orgasme entretenu par la bouche de Zouhra qui ne quitte pas mon sexe malgré les secousses que je lui fais subir. Quand mon corps s’est détendu, elle redresse la tête, pivote pour venir échanger un long baiser au goût de ma cyprine. Elle est radieuse de bonheur, son visage resplendit. Quand nos bouches se séparent, elle pose sa tête sur mon épaule pour se blottir contre moi. –Je t’ai fait jouir rien qu’avec ma langue, j’ai trop aimé et je veux recommencer tout le temps. Je veux apprendre à te faire jouir comme tu m’as fait jouir, je veux que tu ne puisse plus te passer de moi, que tu devienne complètement dépendante de moi. –Ça ma chérie, je ne pense pas que ça arrive, mais tu n’en as pas besoin, il suffit que je t’aime pour rester avec toi.–Et tu m’aimes ?–Je pense que je peux t’aimer, je peux même dire que c’est très possible, et même très probable.–Arrête de me faire languir, donne moi une réponse claire.–Je ne peux pas, je crois que je t’aime, c’est vrai, mais j’ai déjà vécu ce genre de situation et je ne veux pas souffrir et te faire souffrir, tant que mes sentiments ne sont pas surs, je ne te promets rien.–Au moins, ça a l’avantage d’être clair, j’attendrai le temps qu’il faudra, mais pour l’instant, je crois qu’on devrait manger, mon ventre cri famine.–Ok, tu as quelque chose à manger pour deux ?–Non, mais il y a un traiteur juste à côté, ils me connaissent, ils viennent sans problème, regarde sur le Davenport, il y a leur carte, choisi, je leur téléphone. –Ok, mais c’est moi qui paye.–Comme tu veux chérie. Une fois les plats sélectionnés, elle téléphone, ils arrivent dans une vingtaine de minutes, à peine raccroché, elle se jette sur moi, m’enlace et m’embrasse. Je suis comme envoûtée par cette fille, je me laisse faire avec grand plaisir. Elle s’accroupie devant moi, ses lèvres se posent sur mon pubis, elle le lèche et descend un peu pour me titiller le clitoris avec sa langue. Je laisse le plaisir monter dans mon corps, j’ai envie de jouir sous sa langue. Elle pose ses lèvres sur mon clitoris et aspire, elle me masturbe le bouton avec ses lèvres. Je ne résiste pas beaucoup et explose dans un magnifique orgasme qui me fait perdre l’équilibre, heureusement que le mur est à côté. Quand elle sent que je me détend de nouveau, ses lèvres remontent lentement le long de mon corps pour arriver à mes seins qu’elle embrasse avec fougue. Elle finit sa remontée sur mes lèvres pour un baiser cyprine.  Nous sommes encore enlacées dans le couloir quand la sonnette retentie, le repas arrive. Elle ouvre le hall au livreur et va vers sa chambre. J’enfile vite fait ma jupe et mon corsage pour ouvrir au livreur. Il dépose le repas sur la table, il connaît bien l’appartement. Je le paye avec un bon pourboire et il nous quitte tout sourire. Zouhra revient de sa chambre toujours nue. Elle vient vers moi, m’enlace et constate que je suis habillée. –Tu ne l’as pas accueilli nue ?–Je crois qu’il aurait bien aimé, mais je déteste les hommes, il n’est pas question qu’un mec me voit nue sauf dans un centre naturiste.–Tu es vierge ?–Non, mais ce n’est pas grâce aux hommes.–Ok, mais moi, je veux avoir accès à toute ta peau, alors, à poil !! Je m’exécute pendant qu’elle met la table. Je suis sidérée de voir avec quelle aisance elle fait ça. Aucune hésitation quant à l’emplacement des objets, des meubles, on a l’impression qu’elle voit, c’est phénoménal. Nous dînons joyeusement, je constate qu’elle se comporte comme si elle voyait, elle mange normalement. Je la sens heureuse de ce qui lui arrive, et moi, je suis heureuse de ce qui m’arrive. Elle est rayonnante, elle éclate de rire pour un rien, c’est le bonheur. Nous finissons allongées sur le divan en position tête bêche. Elle jouit encore une fois très intensément en me faisant jouir. Je suis heureuse de faire vibrer son corps, j’en éprouve un sentiment de plénitude totale. Mais la soirée avance, il faut que je rentre chez moi, je dois la laisser, je n’ai rien pour me changer, je ne peux pas passer la nuit ici.  La séparation est assez pénible, mais elle comprend que je ne peux pas faire autrement, demain, je prévoirai d’amener des changes, comme ça, nous pourrons passer la nuit ensemble. Une fois chez moi, je prends une douche et vais me coucher. Je m’endors la tête pleine des merveilleuses courbes de Zouhra, de la douceur de sa peau, de l’odeur de son sexe.
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