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Zouhra

Chapitre 3

Lesbienne
La passion
 
Le lendemain, je passe la prendre à sept heures chez elle, elle est déjà à m’attendre en bas de son immeuble. Elle porte une jupe plissée assez courte sans plus, un tee-shirt blanc assez ample, comme moi. Elle a ses bottines aérées, je me gare à côté d’elle, elle comprend et monte dans la voiture. Elle monte en ouvrant ses jambe pour me montrer son sexe brillant en souriant. Elle se penche sur moi pour m’embrasser en un langoureux baiser. Elle se redresse, soulève sa jupe pour me remontrer son pubis lisse et nu. 
 
–Tu l’aimes ?
–Je l’adore.
 
Elle fouille dans son sac et en sort un string blanc qu’elle enfile en se tortillant dans la voiture, je la regarde étonnée.
 
–Pourquoi le recouvres tu ?
–Aujourd’hui, je suis sérieuse, je ne montre plus mon con à tout le monde, il t’est réservé.
–Zouhra, mais c’est quoi ce langage, un peu de tenue s’il te plait. On ne dit pas mon con, mais ma vulve, mon minou, mon sexe, ma chatte, ma cramouille, ma moule, ma minette, mon mistigri, ma foufoune et j’en passe, tu as le choix.
–Oui, mais mon con, ça fait plus sexe, plus hard.

–Si tu veux du sexe hard, j’ai ce qu’il faut dans ma valise, tu vas comprendre ce que c’est ce soir.
–Miam miam, j’ai hâte.
–Tu as déjà fait l’amour avec un homme ?
–Jamais, je suis vierge.
–Et bien, je te promets que ce soir tu ne le seras plus.
–J’en accepte l’augure, mais pour l’instant, démarre, on va être en retard, ce n’est pas le moment de se faire remarquer je pense.
–Tu as raison.
 
Je démarre direction le CAT, à un feu tricolore je m’arrête derrière un énorme semi-remorque qui bloque toute la voie. 
 
–Mais que fait un monstre pareil à sept heures dix du matin en pleine ville. 
–C’est quoi ?
–Un semi monstrueux, il ne devrait pas être dans des rues si étroites à cette heure-ci.
–Il faut bien qu’ils travaillent.
–Ok, mais sans emmerder les paisibles citoyennes.
–Dans leur superbe ricaine, au fait, de quelle couleur est elle ?
–Noire, intérieur noir, capote noire, c’est une noir de noir d’origine, très rare, c’est pour ça qu’il faut que je la fasse repeindre par un spécialiste, la couleur doit avoir une formule très spéciale, j’attend d’avoir assez de fric pour le faire.
 
Je ne vois pas le feu rouge, le camion me le cache, mais tout à coup, le poids lourd recule. Je n’ai pas le temps de réagir qu’il entre en contact avec ma voiture et m’embouti l’avant. Pare-chocs par terre, calandre défoncée, optique gauche démolie, aile gauche et capot pliés. En plus, ce con descend en m’engueulant, me reprochant d’être trop proche derrière lui. Il n’a rien et ne veux pas faire de constat jusqu’à ce qu’un homme d’environ un mètre quatre vingt dix vienne lui faire comprendre que c’est lui qui est en tort. L’homme lui tend un constat et attend de le voir le remplir. Une fois le constat fait, le camion repart, je remercie l’homme qui est venu à mon secours, il m’assure que c’est parfaitement normal et retourne à sa voiture. Il y a quand même des hommes sympas, j’en prends note.
 
Je trouve une cabine pour téléphoner au CAT les prévenir de notre retard, et leur dire que ma voiture est inutilisable pour l’instant. Danielle me dit que je peux prendre ma journée ainsi que Zouhra. Je téléphone aussi à mon assurance, elle va me trouver une voiture de location en attendant la réparation de la mienne. Zouhra est folle de joie, elle va pouvoir vivre l’amour hard plus tôt que prévu. J’ai l’impression très nette qu’elle devient un peu folle de sexe, mais ça ne me dérange pas, je suis moi-même un peu folle de sexe. 
 
Un dépanneur envoyé par mon assurance vient prendre ma voiture pour l’amener chez un carrossier agréé et spécialisé dans les voitures américaines. Il nous fait monter dans sa cabine, j’ai l’impression qu’il regarde plus nos cuisses dénudées que la route, nos jupes sont vraiment raz la chatte, mais nous arrivons sans ennuis. Quand tout est réglé, j’appelle un taxi pour nous amener chez moi, je veux passer ce qui reste de la journée avec elle dans mes murs. Je loue un petit type un au dernier étage de mon immeuble, c’est le plus haut du quartier et j’ai une petite terrasse sans vis à vis, je peux bronzer nue. Il est déjà pratiquement midi, heureusement, j’ai de quoi faire à manger, nous n’achetons que le pain. En entrant dans l’appartement, elle fait valser sa jupe, son tee-shirt et son string, elle m’attrape pour m’enlever mon tee-shirt et ma jupe. Nous allons sur la terrasse, je l’allonge sur un transat, il commence à faire une chaleur d’enfer, je démarre le brumisateur et le règle pour qu’elle soit entièrement rafraîchie. 
 
–Oh lala, c’est super, viens me lécher l’eau qui ruisselle sur mon corps.
–Non chérie, je dois préparer de quoi manger, salade de tomate et côte d’agneau au barbecue, ça te va ?
–Super, avec cumin et feulfla pour les côtes ?
–Evidemment.
–Ah oui, c’est vrai que tu es de là bas.
–Comme tu dis.
–Prends ton temps, je suis trop bien.
–A tout de suite chérie.
–A tout de suite amour.
 
Je vais préparer le repas, je coupe les tomates en rondelles fines, huile d’olive, un peu de vinaigre, sel et poivre, c’est tout. Le sort le cumin et le piment doux pour les côtes d’agneau qui attendent à côté du barbecue. Je dresse la table sur celle de la terrasse. La sonnette retentie, je suis tétanisée, je n’attends personne à cette heure-ci, je regarde Zouhra, elle ne semble pas inquiète. Je vais à l’interphone pour savoir qui c’est.
 
–Bonjour.
–C’est Danielle, je suppose que Zouhra est ici avec toi, laisse moi monter, tu ne risque absolument rien. Et ce n’est pas la peine de vous rhabiller.
–Je ... bon, ok, monte.
 
J’ouvre la porte du hall, je suis complètement abasourdie par son comportement, je vais vers Zouhra.
 
–C’est Danielle, elle arrive et elle sait que nous sommes ici et nues, comment peut elle le savoir ?
–Peu importe, ça va nous permettre d’être plus à l’aise avec elle, surtout que je sais que je ne la laisse pas indifférente.
–Comment tu sais ça toi ?
–Simplement, c’est Yves, un des usagers qui me l’a dit. Il trouve qu’elle me regarde étrangement, comme si elle voulait me bouffer toute crue m’a-t-il dit. 
–Pourquoi il t’a dit ça ?
–Parce que je l’avais envoyé paître, il voulait sortir avec moi, ça ne lui a pas plu et il m’a dit textuellement « Tu préfère les femmes comme Danielle qui te regarde comme si elle voulait te bouffer, elle crève d’envie de faire l’amour avec toi ».
–Et tu te laisserais faire si elle voulait te faire l’amour ?
–Si tu es avec moi, et que tu es d’accord, oui.
 
On frappe à la porte, je vais ouvrir, Danielle entre en souriant, toujours aussi belle dans son corsage tendu par ses mamelons et sa jupe courte fendue sur le côté. Elle pose un sac sur la table du salon, se tourne vers moi en me regardant droit dans les yeux. Elle vient vers moi à me toucher et me fait tourner sur moi-même en faisant glisser sa main sur ma peau, elle effleure mes seins, mon ventre, mes fesses. Elle m’immobilise en face d’elle, s’écarte un peu.
 
–Déshabille moi ma belle, comme ça tu me verra comme je te vois, mais surtout, prends ton temps.
 
Je déboutonne son corsage, écarte les pans pour découvrir deux magnifique seins ronds et fermes, je le fais descendre le long de ses bras lentement pour le laisser tomber à terre. Je fais glisser le zip de sa jupe, comme pour le corsage, je la retiens pour dévoiler lentement son pubis et ses jambes, elle finit par terre. Je peux admirer son pubis lisse, elle ne porte pas de culotte, elle est merveilleusement nue. Je la fais tourner sur elle-même plusieurs tours en laissant ma main effleurer sa peau. Une fois immobilisée face à moi, elle tend ses mains vers mes seins, je fais de même. Nous nous caressons un petit instant, j’adore ses fesses fermes et douces. Elle est intégralement bronzée, comme moi. 
 
–Comment se fait il que tu saches qu’on est toutes les deux ici et nues ?
–Il suffit de regarder ton comportement avec Zouhra pour comprendre que tu crève d’envie de la mettre dans ton lit. Donc, si vous êtes ensemble, ce n’est pas pour papoter.
–Ça se voit à ce point ?
–Oui, alors, je suis allé chez elle, mais comme il n’y avait personne, j’ai pensé à ton appartement et me voilà. J’ai le temps, j’ai pris mon après-midi.
–Dites donc vous deux, vous allez me laisser seule longtemps ?
 
Nous nous retournons vers Zouhra qui est toujours allongée sur le transat.
 
–Qu’elle est belle, une vraie merveille.
–Elle te plait hein ?
–Oui, beaucoup.
–On arrive chérie.
–Vous en êtes déjà là ?
–Oui, je pense que ça va être une belle histoire d’amour entre nous deux.
–Je croyais que tu voulais attendre pour une autre histoire d’amour.
–Moi aussi, mais ça m’est tombé dessus sans prévenir.
–Je n’ai plus qu’à disparaître si je comprends bien.
–Non, je crois que tu peux avoir une place.
 
Elle me saute dessus, nos bouches se soudent un court instant, Zouhra s’impatiente. Quand nous sommes à côté d’elle, elle ouvre ses bras.
 
–Qui veut bien me lécher l’eau qui ruisselle sur ma peau ?
 
Sans réponse, Danielle se penche sur son ventre pendant que je coupe le brumisateur. Je me penche sur ses seins, elle se laisse faire avec un plaisir évident. Danielle lui lèche les jambes, je descends sur son ventre mais au bout d’un instant, nos tête se touchent au dessus de son pubis. Danielle lève la tête et me regarde, je comprends sa demande et lui fais oui de la tête. Je remonte vers le visage de Zouhra pour poser mes lèvres sur sa bouche juste au moment où celles de Danielle se posent sur sa vulve. Elle n’a aucun mouvement de recul, elle sait ce qui se passe et l’accepte sachant que je suis d’accord. Je sens son corps se tendre lentement sous les caresses buccales de Danielle, elle me serre contre elle, son baiser est ardent, profond, plein d’amour. Quand son corps se raidi, je libère sa bouche pour la laisser s’exprimer, elle est secouée par de violent spasmes de plaisir, elle ouvre la bouche pour crier son plaisir, un son sort de sa bouche mais elle retombe sur le transat. Elle est de nouveau dans les vaps. 
 
Danielle redresse la tête, elle me regarde, elle semble très heureuse quand Zouhra lui prend entre ses mains et la fait remonter le long de son corps pour l’enlacer. Elle la plaque contre elle pour échanger un long baiser. Je vois les magnifiques fesses de Danielle, je ne peux résister et me penche dessus pour les embrasser et glisser ma langue entre elles. 
 
–Oui, j’adore, continue.
 
Je me déchaîne sur sa rondelle, elle commence à tortiller du bassin, elle se redresse, je la fait allonger sur le second transat, je lui ouvre les jambes pour plonger sur son sexe.
 
–Laisse moi la faire jouir s’il te plait ma chérie.
–Ok, vas-y.
 
Zouhra se lève et vient se glisser entre les cuisses de Danielle, sa tête plonge sur ses lèvres intimes. Je la vois se délecter de la cyprine qui coule de ce vagin offert. Danielle a les yeux fermés, elle apprécie à sa juste valeur l’action de Zouhra sur son intimité. Je vois son corps se tendre de plus en plus, je me penche sur ses seins souples et fermes. Je les titille avec ma bouche, mes dents et ma langue. Elle finit par exploser dans un sublime orgasme. Quand elle est revenue à elle, Zouhra fait glisser son corps sur le sien pour venir échanger un nouveau baiser. Au bout d’une minute, leurs bouches se séparent.
 
–Tu ne peux pas savoir à quel point je suis comblée, j’attend ce moment depuis plusieurs mois.
–Je ne suis au CAT que depuis six mois, je suis arrivée le cinq décembre.
–Et bien, ça fait six mois que j’attend ce moment, j’ai flashé sur toi dès le premier jour.
–Je sais, un usager m’a dit que tu n’arrêtais pas de me mater, j’avoue que ça m’a bien plu. J’aime qu’on me regarde, n’oubliez pas que je sais comment je suis faite, je me suis vu avant, et, sans fausse modestie, je sais que je suis belle.
–Ça, c’est peu de le dire.
 
Zouhra se lève, elle vient vers moi pour m’enlacer.
 
–Oui, mais la personne que j’aime c’est toi et toi seule mon amour, je veux finir ma vie avec toi.
–C’est bien ce que je pensais, je suis de trop.
–Non Danielle, j’aime Clémence de toute mon âme, de tout mon cœur, mais tu as aussi une place dans mon cœur et dans ma vie. J’aime ta peau, j’aime ta langue sur mon bouton, j’aime ton corps, j’aime faire l’amour avec toi, te faire jouir, boire ton jus d’amour. J’aimerais que tu reste toi aussi avec moi si tu le veux bien. 
–Bien sûr que je le veux bien, je suis dingue de toi et encore plus maintenant que j’ai goûté à ton corps. 
–Ok, mais il faudrait manger les filles, restez là, je prépare tout.
 
Je vais chercher les côtes d’agneau. Danielle va prendre son sac posé sur la table et en sort une bouteille de champagne bien fraîche. 
 
–Ça s’arrose les filles, j’étais sure de vous trouver ici et que ça allait ce terminer par des broute-minous.
 
Je sort trois flûtes, Danielle fait le service, nous dégustons joyeusement ce nectar. 
–Boire de l’alcool est  un péché dans ta religion, ne l’oublies pas pas.–Rien à faire, je suis théoriquement musulmane mais athée et je bois de l’alcool. Tout le monde rigole. Après le repas, Danielle nous prend la main et nous amène dans mon lit, elle allonge Zouhra en lui ouvrant un peu les jambes et m’allonge le long de son corps. Elle s’allonge sur elle pour l’embrasser, quelques seconds plus tard, elle est sur moi pour poser ses lèvres sur les miennes. Elle descend le long de mon corps pour atterrir sur mon clitoris. Elle le quitte assez vite pour s’occuper de celui de Zouhra. Elle passe de l’une à l’autre jusqu’à ce qu’elle nous fasse jouir l’une après l’autre. Quand nos corps ont retrouvé le calme, elle se glisse entre nous et nous rabat sur elle.
 
–Je crois que je vous aime mes chéries, vous pouvez faire de moi ce que vous voulez.
–Que dis tu d’en faire notre esclave Clémence ?
–C’est une bonne idée, j’approuve.
–Je suis votre esclaves maîtresses.
 
Je vois Zouhra s’endormir sur le corps de Danielle, je ferme les yeux et Morphée m’emmène dans ses bras pour une sieste réparatrice. A mon réveil, je suis toujours sur le corps de Danielle qui nous caresse tendrement. Zouhra dort toujours, je chuchote à son oreille.
 
–Tu aimerais rester avec nous ?
–J’adorerais, je suis si bien avec vous, en ce moment, je suis heureuse comme je ne l’ai jamais été de ma vie.
–Je pense que nous pouvons vivre toutes les trois ensemble.
–Je suis d’accord les filles, je ne dors pas, mais je vous ferais remarquer qu’il n’est pas question que je vive dans cette boîte de chaussure, mon appartement n’attend que nous, et je propose que nous y allions tout de suite.
–Allez, en route.
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