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Zya, ma petite sœur et moi...

Chapitre 1

Inceste
Je me présente je m’appelle Zachary, j’ai la quarantaine, et j’ai une sœur cadette qui se prénomme Zya. Elle a à peine dix mois de moins que moi, c’est une perle, et d’aussi loin que je me souvienne, nous sommes constamment fourrés ensemble, nous nous entendons très bien en tous points, nous partageons tout notre vécu, nos secrets, nos aventures, sans tabou et sans nous juger mutuellement. Nous nous acceptons comme nous sommes avec nos défauts et les avantages que cela comporte. Certes, il nous arrive d’être en désaccord sur certains sujets, et de nous faire la tête puis de nous disputer comme tous frères et sœurs, mais ce n’est jamais pour bien longtemps, nous nous réconcilions toujours rapidement sans garder de rancune.
Ma sœur a un merveilleux corps, fuselé par des exercices de sport quotidiens, des marches, elle respecte rigoureusement son alimentation. Zya adore son corps et y fait très attention, elle veille à ce que celui-ci reste bien entretenu et svelte, donc elle reste au meilleur de sa forme. Elle aime beaucoup que les hommes la suivent du regard, qu’ils se retournent sur son passage et qu’ils la désirent, elle les regarde droit dans les yeux sans jamais les baisser.
Zya mesure 1,75 m. Elle a des cheveux ondulés reposant sur ses épaules, de couleur châtain foncé, avec des yeux gris bleu d’une rare intensité. En y regardant de près on dirait des perles de nacre. Ils lui donnent une présence quasiment insoutenable. Elle compte beaucoup sur eux pour attirer les hommes sur lesquels elle a jeté son dévolu et qu’elle veut séduire absolument.
Elle est assez réservée et affiche une mine assez hautaine. En plus, elle se comporte en conséquence. Zya a vraiment un corps de déesse, avec une poitrine merveilleusement bien dressée, des seins fermes en forme de pomme, allant presque dans la paume d’une bonne main.
Elle et moi nous sommes très proches et nous nous entendons fort bien en tous domaines, et cela depuis notre plus tendre enfance. Enfants, nous étions toujours fourrés ensemble, et nous faisions les 400 coups. C’est d’ailleurs avec elle que j’ai appris à connaître le corps féminin et vice-versa, c’est aussi avec elle que j’ai eu mes premiers ébats amoureux et sexuels. Aujourd’hui encore, nous continuons toujours à nous voir et à avoir des rapports intimes. C’est évidemment ensemble que nous avons perdu notre virginité en même temps lors d’un week-end où nos parents s’étaient absentés. Nous nous étions juré d’attendre sa majorité absolue pour passer à l’acte.
Nous avons toujours parlé de nos relations sexuelles avec d’autres personnes. Nous comparions nos aventures et notre ressenti avec nos partenaires. Malgré ces relations externes, nous continuions de coucher ensemble depuis notre première fois. C’est plus fort que tout entre nous, nous sommes accros l’un à l’autre, elle m’a dans la peau et pareil pour moi, lorsque nous sommes trop longtemps séparés, il faut absolument qu’on se retrouve et qu’on fasse l’amour, c’est comme une drogue pour nous, nous avons besoin de nous sentir l’un dans les bras de l’autre, de nous toucher, de nous donner du plaisir.
Et ce n’est que comme cela qu’on se régénère, qu’on se ressource, que nous retrouvons des forces pour affronter le quotidien. Je dois aussi avouer que Zya n’a pas de chance avec les hommes malgré son superbe corps bien entretenu et sa beauté fatale. Les hommes qui la font fantasmer ou qu’elle emmène dans son lit, ne sont pas toujours recommandables. Ce sont des voyous, des brutes, des alcooliques ou encore des salops, et je pense que c’est un peu pour ça qu’elle revient toujours vers moi pour se réconforter.
Elle sait que quoi qu’il lui arrive, je suis, et je serai TOUJOURS là pour elle, donc elle vient chez moi pour chercher une certaine tendresse, de la douceur et pour retrouver un certain équilibre, que je lui donne tout naturellement, et dont elle a un grand besoin dans ces moments-là ! Pratiquement à chaque fois qu’elle revient vers moi, je sens d’office que quelque chose ne va pas, et qu’elle a besoin de soutien et de compréhension.
Nous ne sommes mariés ni l’un ni l’autre, car nous voulons garder notre indépendance et une certaine liberté d’action. Lorsqu’on nous parle d’avoir des enfants, nous répondons que pour l’instant nous n’en éprouvons pas le besoin, ni même la volonté d’en avoir. En étant enfants, nous avons été élevés à la dure, avec un grand respect de la religion catholique, nos parents étant très croyants et pratiquants. Notre père travaillait sur des chantiers, il partait le matin vers les sept heures et revenait le soir aux alentours des 20 heures.
La mère, elle, s’occupait du ménage, de notre éducation, et elle cultivait beaucoup de légumes. Elle était pratiquement toute la journée dans les champs ou dans plusieurs jardins, qu’elle entretenait. Et nous, quand nous n’étions pas à l’école ou en train de faire nos devoirs, on devait s’occuper d’une cinquantaine de lapins, de fendre du bois à certains moments, à retourner le foin ou le regain, plusieurs fois dans la journée. Nous aidions notre mère dans ses plantations ou on allait faire du bois en forêt avec nos parents pour pouvoir passer l’hiver bien au chaud. Eh oui, c’était ça notre enfance ! Et c’est pour cela que je dis que nous avons été élevés à la dure, il n’y avait pas beaucoup de temps pour jouer, mais jusqu’à ce jour, nous ne regrettons absolument rien. A l’époque c’était à peu près pareil pour tous les campagnards avec des enfants, lorsqu’on habitait à la campagne.
Nous n’avions pratiquement jamais été malades, nos parents nous aimaient, mais nous n’étions pas gâtés comme les enfants d’aujourd’hui, comme éducation sexuelle c’était carrément le néant. On n’en parlait jamais, nous apprenions la sexualité sur le tas, en voyant les animaux pratiquer ou se faire saillir, tels les lapins, les chiens, les vaches, les cochons, les chevaux. Etc. Seules les filles avaient une certaine éducation sexuelle, mais c’était minime. On leur disait le strict minimum du fait qu’à un certain âge elles avaient leurs règles, et donc il fallait bien répondre aux questions et leur expliquer le fonctionnement de leur corps, puis de la suite à venir après cela.
Une fois qu’elles avaient leurs menstruations, elles pouvaient enfanter, mais sans qu’on leur dise comment ça se passait. Et c’est ainsi qu’en quittant la campagne pour aller à la grande école en ville - c’est comme ça qu’on disait en ces temps-là - nous apprenions comment il fallait faire pour procréer, nous apprenions cela par les grands comme on les appelait. Il est vrai que quand nous étions, frères et sœurs, encore enfants, nous prenions notre bain ensemble dans la même baignoire, jusqu’à un certain âge, ensuite du jour au lendemain on nous cachait tout. Et lorsque nous demandions le pourquoi de la chose, on nous disait que c’était comme cela, et puis que c’était tout, point.
Malgré l’apprentissage au tard de notre sexualité, nous les campagnards, il nous arrivait de temps à autre, surtout durant la nuit, de nous retrouver sous la couverture pour se toucher et pour découvrir par nous-mêmes nos corps, mais sans aller plus loin, on avait une peur bleue des interdits. Mais nous n’étions quand même pas aussi bêtes que nos parents le pensaient. Et c’est comme cela que ma sœur et moi nous avons comparé nos corps et qu’il nous arrivait qu’on se touche certaines parties de notre anatomie. Nous nous étions juré que pour notre première fois, on le ferait ensemble, tous les deux, à la majorité de ma sœur, et je vais quand même vous raconter comment s’est passée notre première fois. Lorsqu’elle a été majeure.
Ça s’est passé durant un long week-end, alors que nos parents devaient rendre visite à la famille du côté de ma mère, Zya et moi nous ne voulions pas nous joindre à eux, on devait donc trouver une excuse valable pour ne pas devoir les accompagner. Je prétextai avoir des révisions à faire pour un examen important, tandis que ma sœur leur racontait qu’elle voulait passer justement ce week-end-là, chez sa meilleure amie, et que c’était déjà prévu depuis un certain temps, et que les parents lors de sa demande, lui avaient dit oui. Donc nos parents nous ont finalement permis de rester à la maison.
Une fois partis, nous avons dignement fêté ce week-end de totale liberté, sans avoir qui que ce soit sur le dos, et sans risque d’être attrapés en flagrant délit d’inceste. Nous avons commencé par boire quelques verres, et comme nous avions prévu, depuis déjà un certain temps, d’avoir cette relation incestueuse, je m’étais débrouillé pour emprunter des revues et des cassettes vidéo, traitant sur le sujet de la sexualité. Nous avons d’abord regardé les revues pornographiques, en comparant nos sexes avec ceux des personnes sur les photos. Puis nous avons continué avec les cassettes vidéo, il faut aussi rappeler que nous avions de la chance d’avoir été parmi les premiers à posséder un lecteur de cassettes vidéo.
Zya et moi nous étions vautrés dans le canapé, et tout en regardant les acteurs de pornos baiser, nous sirotions quelques verres d’alcool pour nous donner du courage, car nous ne savions pas du tout comment ça allait se passer, cette première fois. Tout en visionnant un film, et en buvant le liquide alcoolisé, on s’est doucement effeuillés en ôtant un vêtement après l’autre, jusqu’à nous retrouver complètement à poil. Je demandais à Zya de se mettre debout devant moi afin que je puisse bien la contempler entièrement nue.
Pour moi c’était la première fois que je voyais une fille totalement dévêtue devant moi, et je dois avouer que le corps d’une femme avec ses courbes, ses bosses et sa peau toute douce, ça valut le coup d’œil, c’était tellement beau ! Et surtout de si près, certes j’avais déjà vu quelques parties de son anatomie, mais je ne l’avais jamais vu entièrement nue de la tête aux pieds, elle avait un corps de déesse, j’en étais émerveillé, puis j’ai commencé par lui toucher les seins.
Ils étaient fermes et ils avaient la forme des pommes avec des tétons d’un rouge foncé qui devenaient durs à mon toucher, sa peau était d’une douceur incroyable, on aurait dit qu’elle avait une peau de bébé, ou qu’elle avait une peau de pêche. Comme j’avais vu le faire sur la vidéo, je me suis mis à l’embrasser sur la bouche et à lui rouler une pelle. Qu’est-ce que c’était bon de sentir sa langue s’enrouler autour de la mienne. Tout en l’embrassant avec la bouche, je ne restais pas inactif avec mes mains, j’étais descendu jusqu’à ses fesses, bien musclées. Elles étaient elles aussi bien fermes, et je les malaxais tendrement, les caressant, les serrant entre mes doigts, les tirant vers les extérieurs pour dégager son anus. Zya en faisait de même avec les miennes. Puis au bout d’un moment, je vins lui faire quelques bisous dans le cou, allant ensuite prendre son lobe d’oreille en bouche pour le sucer.
Après cela je vins au creux de son oreille gauche et je mis ma langue dans celle-ci, ce qui eut pour effet de la faire frissonner de la tête aux pieds. Puis je revins à son cou, lui faisant un suçon, chose qu’elle affectionnait beaucoup, chose que je lui faisais déjà de temps à autre, auparavant, et qu’elle devait cacher en portant un foulard pour ne pas qu’on lui pose des questions sur la provenance. Elle aimait beaucoup ce que je lui faisais, car je l’entendais gémir tout doucement en plus elle me disait qu’elle aimait beaucoup et que cela la faisait frissonner, qu’elle sentait des fourmillements parcourir tout son corps. Durant ce temps elle me caressait le dos et de temps à autre elle me griffait celui-ci, puis elle redescendait à nouveau sur mes fesses pour les serrer fortement. Ensuite je suis descendu avec ma bouche sur ses seins, dont je pris les tétons entre mes lèvres, et je commençai à les téter.
C’est à ce moment que je surpris Zya en train de gémir plus fort, pendant que je la tétais, elle me caressait les cheveux et la tête, puis tout à coup je l’entendis me dire :
— Oui mon bébé tète les seins de maman, oui c’est bien continue, bois le lait de maman, hum, que c’est bon...
En entendant cela, je mis plus de vigueur à cette tétée, et de ma main gauche, je vins lui prendre son téton droit entre mon pouce et mon index, ensuite je me mis à le rouler entre mes doigts, cette manipulation ne faisait qu’amplifier son désir d’être tété. Nous ne nous occupions même plus de ce qui se passait à la télé, ça ne nous intéressait plus du tout, nous avions trouvé beaucoup mieux et beaucoup plus intéressant, nous étions en train de nous découvrir mutuellement, nous étions en train de découvrir nos points les plus sensibles de notre corps. J’alternais, tantôt c’était le sein droit que j’embouchais, tantôt c’était le gauche.Ma sœur me caressait toujours ma tête, quelquefois c’était mon cou, et dans celui-ci, elle me déposait de temps à autre de petits bisous, en murmurant à mon oreille :
— Oh oui Zachary, continue mon bébé, boit le lait de maman, hum... j’aime beaucoup, c’est bon... continue...
Après un certain temps passé à téter les seins de Zia, je continuais ma progression vers son ventre, puis vers son entrejambe. Ayant pour la première fois le sexe d’une femme devant mes yeux, je pris mes deux mains et je trifouillai dans sa touffe généreuse de couleur marron, puis je pris ses grandes lèvres entre mes doigts et je les écartais pour voir ce qui se trouvait derrière elles. Et là je découvris une fente toute rose, d’un rose très clair, avec deux trous, dont l’un était plus grand que l’autre, en haut de la fente se trouvait un petit bourgeon, que je me mis aussitôt à prendre entre mes lèvres et à le sucer.Ensuite Zya me dit :
— Oh Oooouuiii... ça c’est bon ce que tu me fais là, coonnttiinnuueeee... encore... oh oui...
Tout en le suçant, je sentis comme ce bourgeon grandissait et devenait plus dur. Ma sœur gémissait de plus belle, je sentis comme ses mains s’agrippaient maintenant à mes cheveux, allant jusqu’à les tirer, cela me faisait mal, mais je n’osais rien dire, de peur de rompre ce moment si spécial. Puis devenant de plus en plus hardi, j’enfonçai ma langue au plus profond de ses petites lèvres, allant même à enrouler ma langue sur elle-même pour la rendre plus dure et pour pouvoir y rentrer encore plus loin.
Zya n’arrêtait pas de gémir et de me tirer les cheveux, puis tout à coup je la sentis frissonner, et se raidir ensuite un liquide vint à la rencontre de ma langue, je sentis sa cyprine qui coulait de sa chatte. Je me mis alors à la recueillir dans ma bouche et à la goûter, ce fut un vrai délice, une pure liqueur qui s’échappait de son intimité et que j’appréciai beaucoup. C’était indescriptible le goût que ça avait, mais j’aimais bien, et j’en recueillais le plus possible.
Au bout d’un moment Zya me dit :
— Hum, que c’était bon, ce que tu viens de me faire, laisse-moi aussi te donner autant de plaisir que tu viens de le faire pour moi.
Je me relevais donc et c’est à son tour qu’elle s’agenouilla devant moi, entre mes jambes. Elle prit alors ma verge en main, en premier elle le serra entre ses doigts pour vérifier sa dureté, puis elle le décalotta et elle observa sa forme, puis comment elle était constituée.Ensuite elle se mit à la lécher comme une glace au début, après cela elle la prit complètement en bouche, allant de plus en plus loin le long de ma hampe, je sentis comme sa langue s’enroulait autour de mon sexe, c’était très agréable et j’aimais beaucoup. Elle se mit à la sucer de plus en plus rapidement, ce qui eut pour effet de faire monter mon sperme, je n’eus pas le temps de la prévenir, que déjà elle avait la bouche pleine de ma semence, elle n’eut pas le temps de tout avaler, le trop-plein dégoulinait entre ses lèvres, ça coulait sur son menton et tombait sur ses magnifiques seins.Une fois que je m’étais vidé dans sa bouche, elle releva sa tête, puis, elle me regarda dans le blanc des yeux en me disant :
— Dis donc frangin, il est bon ton sperme, mais t’aurais pu me prévenir que t’allait venir.
Je lui répondis alors :
— Tu m’as si bien sucé que je n’ai pas eu le temps de dire quoi que ce soit, que c’était déjà trop tard, et que tu te retrouvais avec tout en bouche.
Puis elle reprit ma bite en bouche et elle continua de le sucer, après elle la nettoya sans en laisser perdre une goutte. Elle récupéra même avec un doigt ce qui se trouvait sur son menton et sur ses seins, en me disant :
— Hum j’aime beaucoup, c’est trop bon, et à chaque fois qu’on le refera, je veux te boire... j’aime trop ton sperme. Une fois que cette première étape fut traversée, nous nous reversâmes un nouveau verre d’alcool, et on s’est remis assis sur le canapé en jetant un coup d’œil sur les acteurs du film porno.
On voyait une femme en train de faire la même chose que Zya m’avait faite quelques minutes auparavant. Ensuite ma sœur vint se coucher sur moi et elle m’embrassa amoureusement, durant de longues minutes, tandis que moi je lui caressais le dos, puis j’allais dans sa raie des fesses et je lui caressais son anus... Ensuite elle me demanda de me relever, puis elle prit la couverture du canapé, et elle l’étendit à même le sol en me disant :
— Viens frangin, couche-toi dessus, sur le dos, on aura plus de place et on sera mieux... Je me mis alors dans la position souhaitée et elle vint se placer sur moi, mais à l’envers (en position du 69) en me disant : — Comme ça, chacun pourra faire broute Minou, et on sera occupés tous les deux à faire la même chose.
Et c’est ainsi qu’on se retrouva en position du soixante-neuf, en train de nous donner du plaisir mutuellement. Sa fente ouverte était nimbée de cyprine et son anus m’était bien visible, comment ne pas résister à un tel spectacle lubrique. Pas besoin d’autres stimulations pour jouir.Ensuite Zya, me dit :
— Et si on poursuit notre exploration, et qu’on passe aux choses sérieuses, j’ai quand même attendu ce moment depuis des années ! Et moi de lui répondre : — Il en est de même pour moi, j’ai même dû attendre dix mois de plus que toi, mais je pense que ça en valait la peine, tu ne crois pas ?— Alors frangine, tu es toujours décidée à aller plus loin dans notre relation, et que ce soit à moi que tu offres ta virginité ?
Zya me répondit alors :
— Je pense que pour l’instant, on ne se débrouille pas trop mal, et tu te débrouilles plutôt bien, j’aime beaucoup ce que tu me fais, et oui, je veux toujours que ce soit TOI, MON PREMIER, à qui j’offre mon dépucelage.— Ça tu l’as bien dit frangine.Puis elle reprend : — De toute manière une promesse est une promesse, et je ne changerai rien à ce que nous avions convenu ensemble, à une certaine époque, et vu comment ça se passe pour le moment, je suis certaine que tu seras doux avec moi et que tu ne voudras pas me faire souffrir : De toute manière, dans la famille nous n’avons qu’une parole, et quand on la donne, on ne la reprend JAMAIS. N’est-ce pas frangin ? — Bien sûr frangine, pour ça tu as entièrement raison !
Puis elle se releva et se coucha sur le dos à côté de moi, les jambes bien écartées, pour que je vienne m’installer entre elles, elle était dans la position du missionnaire. Je lui demandais ensuite de patienter quelques minutes, le temps pour moi de chercher et de mettre une protection, car je savais pertinemment qu’elle ne prenait pas encore de contraceptif.Puis je lui dis :
— Tu es bien mouillée, je ne vais avoir aucun mal à visiter ta grotte bien chaude et bien humide.
Ensuite je pris ma verge dans ma main droite et j’agaçai un peu sa fente et son bourgeon d’amour, avant de m’introduire tout doucement dans sa chatte chaude et suintante de cyprine, je m’enfonçais tout doucement en elle, centimètres après centimètres, savourant au maximum cette intromission dans ce fourreau si serré, si accueillant si chaud et si humide. Jusqu’à ce que ma verge bute contre son hymen, et je demande alors à Zya une ultime fois, si elle est toujours prête à être déflorée par la bite de son grand frère. Elle ne répondit rien, mais elle secoua sa tête pour me faire comprendre qu’elle n’attendait que ça, elle se pinça la lèvre du bas avec ses dents, et elle attendit patiemment la suite.
Je ressortis deux, trois fois, et je me couchai sur elle pour venir l’embrasser et lui rouler une pelle magistrale, en même temps je ressortis de sa chatte et je poussais un peu plus fort, pour lui déchirer son hymen, celui-ci n’avait d’autres choix que de céder avec la pression que j’avais mise, je me suis retrouvé tout à coup au fond de son vagin, où je restai figé en elle quelques instants. Au moment de la déchirure elle voulut crier, mais comme ma langue était dans sa bouche, son cri fut étouffé.
Moi, je me sentais vraiment bien en elle, c’était la première fois que j’étais dans un vagin, c’est chaud, serré, humide et c’était surtout un moment spécial et tellement incroyable. J’étais dans une étroite gaine chaude et suintante de cyprine. Je laissais le temps à ses muscles vaginaux pour s’adapter à ma bite, puis je reculais doucement pour mieux y revenir, allant à chaque fois un peu plus vite.Je vis sur son visage la montée de son plaisir... à chaque poussée... Mes bourses tapaient contre le périnée de ma partenaire... Nous sommes encore dans les limbes de la jouissance quand tout à coup une merveilleuse jouissance réciproque nous envahit soudainement. Je sentais son corps entier frissonner, et elle poussa un cri strident en disant :
— Là, je... je... jooouuuiiiiiissss...,
Puis elle enserra ses jambes autour de ma taille, verrouillant ses pieds derrière mon dos, m’attirant encore davantage en elle. C’était merveilleux de la sentir si profondément, tant qu’elle ne desserra pas son étreinte, j’étais bloqué en elle, bien profond, et je ne pouvais plus bouger. Au bout de quelques longues minutes, je sentais comme son corps se relâchait, et je pus continuer à la limer. Plus je le fourrais et plus elle gémissait et elle en redemandait...Elle me criait :
— Oooouuuuuiiii... Zachary, baise-moi ! Ta queue me fait du bien ! OOOooohhh OOOooouuuuiiii continue... rentre plus fort, j’adore sentir tes bourses taper contre mon anus...
De temps à autre je plaçai ses jambes sur mes épaules, à d’autres moments je croisais ses jambes devant moi, afin de resserrer encore plus son étui, et à d’autres moments je leur faisais faire le grand ’’V’’ pour relâcher la pression. C’était incroyable les sensations que j’éprouvais lors de ces différentes positions. En regardant son visage je voyais celui-ci rayonner sous mes coups de bite, elle n’arrêtait pas de gémir, tellement elle aimait ce que je lui faisais !
De temps à autre, je me retirais de son antre, et je revenais lui lécher son vagin pour venir récupérer sa cyprine, que j’aimais beaucoup, lui enfonçant deux, voire trois doigts dans la chatte, puis je les faisais tourner dans son étui, lui arrachant au passage des cris de jouissance. Je me livrai à une débauche effrénée avec ma sœur.
Durant tout le temps que je fourrais sa chatte, Zya, avait pris un téton durci entre ses doigts et elle le faisait tournoyer entre eux, avec son autre main, elle était descendue sur son bourgeon d’amour, elle le triturait, elle se le frottait et elle se le pinçait. Tout en la fourrant avec ma bite, je me penchai sur le visage de ma petite sœur et je vins l’embrasser à pleine bouche. Mes coups de queue devenaient infernaux et je dévastai littéralement sa gaine...
Au fur et à mesure que je besognai Zya, j’entendais ma petite sœur gémir et ronronner comme une chatte, elle semblait être ailleurs, elle donnait l’impression de voler, d’être au septième ciel, tellement elle prenait du plaisir à être embrochée de la sorte. Nous étions tellement absorbés par nos ébats sexuels que nous n’avons ni remarqué qu’il n’y avait plus rien à la télévision, ni même que midi était passé depuis un bon moment déjà.
J’étais envoûté par le plaisir intense et puissant qui m’envahissait lors de cette baise avec ma petite sœur chérie.Celui-ci atteint son paroxysme quand, je sentis les cuisses nouées de ma frangine se resserrer dans mon dos, puis que je la sentis à nouveau frissonner et déverser sur mon sexe, une belle coulée de cyprine chaude. Cela déclencha la montée de mon sperme dans ma verge, pour finalement se déverser dans le condom au bout de ma queue, qui se trouvait encore au fond du vagin de ma sœur.
C’était notre première fois à tous les deux, nous avons joui intensément, et une fois que je m’étais retiré de son étroite gaine, J’étais envoûté par le plaisir immense et puissant qui m’envahissait. Tu te répètes, pas bon. J’avais atteint le sommet quand mon sperme jaillit avec de puissants jets. Ma frangine vint avec une main récupérer dans sa chatte de sa cyprine et elle porta sa main à sa bouche pour la lécher et pour goûter à sa propre liqueur d’amour.
Elle semblait beaucoup aimer ça, car elle retourna avec sa main à plusieurs reprises pour en reprendre et se lécher les doigts. À 18 ans révolus, ma petite sœur Zya, était maintenant devenue une femme à part entière. C’est ainsi que ma sœur et moi, nous avons eu notre premier rapport sexuel ensemble, c’est aussi cette journée-là que nous avons perdu tous les deux notre virginité, je fus son premier amant, et pour moi c’était pareil, elle était elle aussi, ma première partenaire sexuelle. A partir de ce jour, elle est devenue ma maîtresse attitrée.
Nous n’avons jamais regretté de l’avoir fait ensemble, ça nous a même réconfortés, et ça a encore soudé nos liens qui étaient déjà pas mal, ça les a resserrés et rendus très très fort. Cette journée-là, n’était que le début de nos rapports sexuels, ils se poursuivaient encore durant des heures, l’après-midi, ainsi qu’une partie de la nuit, de même que le dimanche matin, jusqu’en début d’après-midi. Rien n’était aussi extravagant, aussi fort et aussi jouissif que ces moments passés ensemble, à baiser tous les deux, à se donner du plaisir et de la jouissance.
Nous avons essayé je ne sais combien de positions, les unes plus agréables que les autres, certaines me faisaient jouir plus que d’autres, et plus je la prenais et plus nous avions envie de poursuivre notre débauche sexuelle. Le dimanche soir lorsque nos parents rentrèrent, nous étions chacun dans notre chambre, moi en train de réviser et Zya, en train de lire un livre, tout était rangé et remis en ordre.
Rien n’avait changé à la vue des parents, à part que ma petite sœur et moi, nous étions différents, nous avions évolué, en ce qui concerne Zya, elle n’était plus vierge ni de la chatte, ni du cul, et moi je n’étais plus puceau. Ce ne fut que le début de notre vie sexuelle entre frère et sœur, nous nous foutions bien que ce soit de l’inceste, ce qui nous importait c’était que nous y prenions énormément de plaisir à faire l’amour ensemble, que nous avions trouvé un partenaire doux, qui nous convenait très bien, qui était à l’écoute de nos envies et de nos désirs, qu’on s’accordait bien ensemble, que nous aimions nous retrouver et baiser ensemble.
Ce qui nous a encore rapprochés davantage, c’est notre appétence pour tout ce qui concerne le sexe... Je dois vous avouer que j’aime surtout les femmes pour leurs douceurs... et en ce qui concerne ma sœur, elle est d’une douceur extrême, elle s’applique, elle est toujours très friande pour essayer de nouvelles positions ainsi que de nouvelles demandes, même un peu particulières ou qui sortent du commun.Elle était toujours prête et elle adore que je prenne les devants, que je lui propose de nouveaux défis.
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