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La construction de la trame narrative

La construction de la trame narrative

Vous avez sans doute rencontré un jour ou l’autre un moment où vous vous êtes posé une question fondamentale lors de l’écriture d’une histoire. Comment construire un bon scénario et quelles sont les bases fondamentales lors de l’écriture de celle-ci ? Je ne vais pas vous donner la clé du succès pour écrire la meilleure histoire car comme un dicton ancien le dit : Tous les chemins mènent à Rome. Il n’existe pas de scénario idéal. Toutefois, il existe bel et bien une façon d’aborder la composition d’une histoire afin de l’adapter à votre convenance car chacun possède son propre style d’écriture. Je vais tenter ici même de vous offrir un plan, le plus complet possible, qui pourra vous aider à construire la trame narrative de votre histoire.

Qu’est-ce qu’une trame narrative ?

Avant même la construction d’une histoire, il convient de comprendre certaines choses, dont la base d’une histoire et tout ce qui la compose. Je parle bien sûr d’une trame narrative qui forme la base d’une histoire et non un « scénario » qui est un mot se rapportant à l’industrie des films et qui ressemble plus à un script rempli de dialogues et de notes en marge.

Pourquoi une trame narrative ? Le mot narration est tout indiqué pour une histoire. Une histoire, un récit ou un roman est avant tout quelque chose que l’on raconte à un public. Il y a donc une histoire, un désir de raconter, qui est narré sous plusieurs formes mais nous nous intéresserons ici à l’écriture.

Pour bien débuter une histoire qui se maintient sur le long terme, il sera aisé de faire un plan comportant plusieurs points. La première pensée qui me vient en tête lors de l’écriture du plan d’une histoire, c’est le but de mon histoire. Qu’est-ce que je désire raconter aux gens dans mon récit, quel message je veux faire passer ? Je réfléchis tout d’abord au message qui sera véhiculé tout au long de mon histoire, car une histoire c’est avant tout un message qui est narré et où l’écrivain professionnel ou en herbe le cache de façon subtile ou non parmi une trame de fond, l’entourant de personnages et de décors.

Dès que l’on a trouvé la trame de fond de notre histoire, il convient de débuter ce qui est un peu plus plaisant à mes yeux. Nous pouvons laisser libre cours à notre imagination débordante et coucher les farandoles d’idées qui parcourent notre cerveau. Il faut penser à l’endroit de départ où débuteront notre histoire et notre personnage ou nos personnages principaux. Les différents lieux choisis peuvent être fictifs ou réels, cela n’a d’importance que la logique de votre histoire et le degré de réalisme auquel vous souhaitez soumettre cette dernière.

En pensant aux lieux où l’action se déroulera, vous allez sans aucun doute penser à des personnages en action dans ces dits lieux. C’est à ce moment précis qu’un bon plan détaillé vous aidera à inscrire dans les bonnes sections les nombreuses idées qui se bousculeront dans votre tête et à vous y référer le moment venu, lors de l’écriture de votre histoire, et de lier le tout dans un ensemble cohérent. Bien entendu, il y a un grand nombre d’écrivains qui ne font aucun plan mais faire un plan aide à bien organiser ses idées et à entretenir une garantie de continuité pour les chapitres suivants. Je le suggère grandement d’ailleurs à ceux qui débutent en écriture.

Structurer un roman ou une histoire

Structurer un roman ou une histoire est l’une des étapes les plus délicates de l’écriture et l’une des plus essentielles pour tout écrivain puisqu’elle consiste à élaborer la trame de l’histoire et les éléments qui y seront développés plus tard.

Un roman, un récit ou une histoire sont structurés selon un schéma narratif. Le plus courant comporte cinq étapes et constitue l’ADN de votre histoire et sa trame générale.

Voici les cinq étapes les plus couramment utilisées :

  • La situation initiale
  • L’élément perturbateur ou l’élément déclencheur
  • Les péripéties
  • L’élément de résolution
  • La situation finale

La situation initiale : le point de fuite de toute histoire

La situation initiale place le personnage principal dans un contexte typique qui constitue, de façon générale, son quotidien. L’objectif principal de cette partie est de présenter le ou les protagonistes principaux, dans un espace-temps donné, afin que le lecteur puisse contextualiser l’histoire qui va être développée par la suite.

L’élément perturbateur

L’élément perturbateur représente parfaitement son nom, il vient déranger le quotidien des protagonistes de façon irréversible et imminente. Il remet en cause la situation initiale. Cet élément sert à démarrer l’histoire et à lancer les actions qui se dérouleront par la suite. Sans élément perturbateur, une histoire risque fort de ne jamais vraiment prendre son envol ou grandir. Il serait comparable aux blancs d’œufs dans un soufflé. Sans incorporer cet ingrédient, le soufflé ne gonflera pas.

Les péripéties

Les péripéties viennent enrichir l’histoire. Elles servent à résoudre le ou les problèmes déclenchés par l’élément perturbateur. Elles vont permettre au (x) protagoniste (s) de surmonter l’épreuve qui a bouleversé la situation de départ. Une histoire peut comporter plusieurs péripéties, où certaines servent l’intrigue et résolvent en partie le problème tandis que d’autres aggravent la situation. C’est à vous en tant qu’auteur de décider du nombre de péripéties nécessaires à votre histoire et à sa résolution.

N.-B. : les péripéties ne désignent pas forcément des aventures chevaleresques ou rocambolesques. Tout dépend du cadre que vous donnez à votre histoire.

L’élément de résolution

L’élément de résolution arrive à la fin de l’histoire, lorsque le héros ou l’héroïne a surmonté la dernière barrière (péripétie) sur son chemin. Elle est généralement la plus difficile à résoudre.

La situation finale

Cette dernière partie vient clore l’ensemble de tout ce qui s’est passé durant l’histoire. Le héros a appris des épreuves auxquelles il a été confronté et s’en sert pour reprendre sa vie. Ici, toutes les questions du lecteur doivent impérativement avoir trouvé leur réponse et l’histoire peut être close. C’est un peu un nouveau point de départ pour les protagonistes, celui d’une histoire qui ne sera pas forcément contée, à moins bien sûr qu’il y ait une suite à cette histoire.

La structure de chaque scène d’une histoire pour rendre le tout cohérent

Maintenant que vous avez l’ADN de votre histoire, il ne vous reste plus qu’à structurer celle-ci en développant les différentes étapes à l’intérieur du schéma narratif. Il existe notamment trois méthodes pour ce faire :

Le plan détaillé

Fidèle à son nom, le plan détaillé vise à donner le plus d’informations possible sur ce qui englobe l’histoire que vous souhaitez écrire. Les protagonistes, leur passé, leur futur, leur lieu de naissance, leurs caractéristiques psychologiques et physiques, les divers lieux et temps de l’histoire, et j’en passe. Dans ce plan, chaque scène et chaque détail vont y être consignés et développés en insistant sur leur objectif, ce qui s’avérera fort utile pour la cohérence de l’histoire et pour offrir un fil conducteur, une route toute tracée à l’histoire. Ceci permet également d’écarter les éventuelles scènes inutiles à la narration et à l’évolution de l’histoire. Un peu comme les scènes coupées lors des tournages de films au cinéma. L’intrigue n’en sera que mieux ficelée.

Je recommande fortement ce type de plan pour tous ceux qui débutent dans l’écriture d’histoires et pour ceux qui désirent une garantie plus sûre d’une bonne cohérence à leurs histoires. Je privilégie d’ailleurs ce type de plan minutieux.

Le plan a minima

Ce type de plan relève du minimum requis. Il est, de ce fait, bien moins structuré, développé que le précédent plan. Chaque scène n’est pas autant détaillée, ce qui offre, en contrepartie, davantage de liberté à l’auteur dans la construction de son histoire. Cependant, il faut noter que ce plan rallonge la phase d’écriture puisque les détails n’auront pas été abordés avant l’écriture. Personnellement, j’ai déjà souvent usé de ce type de plan mais je recommande toujours au débutant de choisir le plan détaillé pour une ligne de narration cohérente garantie.

Le hasard des choses

Cette dernière méthode consiste à laisser son imagination suivre le cours de l’histoire. En d’autres mots, vous improvisez au fur et à mesure que l’histoire avance. Je déconseille cette méthode aux débutants car il faut avoir une habitude de la continuité dans ses idées sans nécessairement les coucher sur le papier. Il peut y avoir un plus grand risque d’incohérence dans l’histoire et il est souvent nécessaire de relire son œuvre avant de poursuivre la phase d’écriture. Je préconise, pour ceux qui souhaitent s’aventurer sur ce type d’écriture, une relecture approfondie de chaque paragraphe avant de soumettre la version finale et définitive de l’histoire. Cette méthode offre néanmoins une plus grande versatilité lors de la phase d’écriture et l’auteur peut ainsi jongler plus aisément avec son histoire, quitte à la transformer du tout au tout. J’aime bien cette méthode, notamment lorsque je souhaite écrire une nouvelle, ne comportant pas nécessairement une suite.

Une fois que la structure de votre histoire est établie, il ne vous reste plus qu’à vous lancer dans la rédaction de cette dernière.

Astuces pour votre trame narrative

Voici quelques petites astuces à ne pas rejeter lors de la composition de la trame narrative de votre histoire.

Privilégier l’érotisme ou le contexte ?

Plusieurs personnes font la même erreur lorsqu’elles débutent l’écriture d’une histoire érotique. Elles croient à tort que le fantasme est plus important que l’histoire elle-même, mais le contexte est ce qui englobe et permet au fantasme de s’accomplir. Il faut donc le décrire correctement. À quel endroit vos personnages feront-ils des folies ? Dans un train, sur l’herbe dans un parc, sur la table de la cuisine de votre belle-mère ou après une dispute qui se termine dans le jacuzzi ? Tous les endroits sont bons pour une partie de baise si le contexte le permet.

Des personnages crédibles ou non ?

La littérature érotique n’est pas moins différente des autres genres. Le lecteur éprouve une nécessité de s’attacher aux personnages de l’histoire et d’en détester certains, si cela s’ajoute à l’intrigue que vous aurez conçue. Faites-les le plus humain possible, à moins bien sûr que votre histoire soit farfelue ou fantastique. Donnez-leur des émotions, des doutes, des craintes, des phobies, des fantasmes, des joies, des peines, des lubies, des envies. Exploitez leurs failles, plongez-les dans des situations qui les déstabiliseront et les émoustilleront également. Une impression de vie émanera de vos personnages et ils trouveront grâce aux yeux des lecteurs.

Il en va de même pour les proportions et le niveau d’endurance que vous leur attribuez. Il est rare qu’une femme puisse avoir une poitrine énorme sans que celle-ci ne suive la gravité et qu’elle cause une douleur dans le dos. Il en va de même pour les jambes, elles ne peuvent être interminables car il y a une limite physique à la taille d’un humain.

Les mangas ne représentent pas la physionomie humaine, et l’industrie du X offre des standards au-dessus de la moyenne des gens. L’homme ne peut guère avoir un sexe monstrueux à la verticale dans un angle parfait de quatre-vingt-dix degrés sans jamais débander ni éjaculer pendant des heures.

Ayez plus d’imagination que ces clichés ! Entre deux érections, il y a un grand nombre de choses à faire. Les jeux érotiques peuvent vous sortir également de la routine redondante.

Une place privilégiée pour les lecteurs

Le sexe est généralement privé pour chaque couple. En couchant ces scènes sur le papier, ou numériquement, pensez à offrir une place de premier ordre aux lecteurs dans l’intimité de vos protagonistes. Mettez-vous à la place de vos personnages, faites répéter une phrase constante dans la tête de monsieur afin de retarder son éjaculation ou faites rêver madame lorsqu’elle se fait prendre par son homme en lui faisant imaginer une baise torride avec la vedette d’un nouveau feuilleton à la mode.

Le côté humain de vos personnages aidera les lecteurs à prendre part à la situation de vos protagonistes comme le ferait un voyeur. Après tout, un lecteur est un petit peu voyeur, désirant connaître ce qui se passe dans la vie de vos personnages une fois qu’ils sont dans l’intimité.

La vulgarité ou non ?

Certains éprouvent une envie d’entendre son ou sa partenaire parler avec vulgarité mais dans un texte littéraire, peu trouveront cela de bon goût. Bien entendu, dans le feu de l’action, certaines paroles pourront être crues dans la bouche de vos personnages, pour un côté plus réaliste de la chose mais il ne faut pas en faire la fondation de votre récit. Même les situations les plus dures et grivoises peuvent être décrites avec respect, neutralité, politesse et courtoisie.

La redondance de la répétition

La pénétration est un acte répétitif lassant. Variez les positions de vos personnages pour y ajouter le plus de couleurs possible. Si votre personnage ne fait que des va-et-vient pendant plusieurs paragraphes, vos lecteurs se lasseront très vite et ne termineront pas la lecture de votre histoire. Une main parcourant l’échine de madame ou claquant légèrement une fesse afin d’émoustiller son partenaire peut ajouter un plus à la scène. Soyez imaginatif et sortez de la zone de confort.

La description du corps prime sur les gestes

Lors de l’écriture d’un texte érotique, ce qui compte, ce n’est pas l’acte sexuel en soi mais le plaisir qui en découle. Mettez en avant les sensations. Que perçoit votre personnage au moment où sa partenaire lui fait un cunnilingus ? Comment peut-il savoir que sa partenaire va perdre la tête et avoir un orgasme dévastateur ? Montrez aux lecteurs la surprise qui se lit sur le visage de monsieur lorsque madame approche son doigt un peu trop près de son anus. Décrivez la gêne de madame lorsque sa petite culotte glisse sous la table chez ses beaux-parents à cause de monsieur lors d’un dîner de famille où tous peuvent à tout moment découvrir le vêtement du délit à ses pieds. Innovez et laissez votre lecteur apprécier les joueries que vous lui réservez.

Il faut savoir surprendre les lecteurs

Un texte érotique ne doit pas être écrit pour donner dans le spectaculaire et le grandiose afin de faire vibrer son auditoire. Une situation banale peut dégénérer en une session incroyable lors d’un simple tournoi de foot ou de golf. Déjouez les idées préconçues de vos lecteurs. Pourquoi monsieur ne pourrait pas rencontrer une fille superbe avant de se rendre compte, au moment de l’acte, qu’elle a un pénis ? Décrivez la gêne de monsieur lorsque le doigt de madame s’approche de son anus. Surprenez votre public.

Offrez de beaux orgasmes à vos lecteurs

Lorsque vos personnages ont terminé leurs petites sauteries, songez à ne pas oublier de rendre leurs orgasmes plus intenses que tout ce qui a été écrit auparavant. C’est le moment tant attendu par vos lecteurs, par vos personnages, et il est si vite décrit par les compositeurs qu’il faut parfois revenir en arrière afin de s’assurer qu’aucun passage n’a été oublié. L’orgasme est le point culminant de votre histoire érotique. Toutes les frictions, les caresses, le retenir des personnages afin de retarder l’inévitable, c’est une introduction qui sert de retardateur et d’entrée en scène pour guider vers ce moment précis de l’histoire. Jouez avec le souffle de vos personnages, avec les cris, les tremblements, la sueur qui longe l’échine du dos, des côtes, l’ondulation des hanches, les yeux qui ne savent plus ce qu’ils regardent, se perdant dans le brouillard de l’orgasme.

Faites monter la pression comme l’eau qui bout dans une bouilloire. La vapeur monte crescendo avec le temps et le sifflet annonce la fin. Décrivez la montée de l’orgasme de madame qui monte en flèche, graduellement à l’instar de l’eau qui bout. Faites retenir vos personnages dans un effort ultime afin que l’apothéose n’en soit que meilleure, rendant l’instant plus précieux que l’or. Songez aux gestes banals qui peuvent être, à cet instant précis, d’une grande sensualité : des doigts qui s’entrelacent, des caresses sur une joue, un baiser torride. Ces moments-ci comptent pour beaucoup afin d’intensifier l’acte final. Donnez et offrez aux lecteurs l’envie de vivre l’instant magique de vos personnages.

Bien entendu, au cours de certaines scènes, l’érotisme peut aussi se jouer d’une autre façon en laissant aux lecteurs le plaisir de s’imaginer la scène de sexe en ne décrivant que le minimum et en ne terminant pas la description de la finalité afin qu’ils rêvent. Stimulez leur imagination de nombreuses manières. Soyez créatif.

Le plaisir d’écrire passe par le plaisir en soi !

Si vous vous ennuyez lors de l’écriture de votre texte, le lecteur s’ennuiera à la lecture de celui-ci. Prenez votre pied pendant la phase d’écriture et de relecture finale. Si vous avez une érection ou que vous mouillez pendant la lecture de votre texte, vivant en tant que lecteur le récit que vous écrivez, vos lecteurs aussi prendront leur pied.

Une première fois ? Nous commençons tous ainsi…

Les premiers textes érotiques sont souvent les plus difficiles à composer. Ils sont comparables à une première expérience sexuelle. L’apprentissage vient avec le temps. On cherche le bon geste, le bon rythme, on est timide face à l’inconnu, face à certaines situations, on se sent ridicule. Plus on remet ça, plus on progresse et plus on apprend de ses erreurs. L’écriture n’est pas moins différente. Plus on écrit, mieux on écrit. C’est la même chose pour la lecture. Plus on lit, mieux on lit. L’expérience s’acquiert avec le temps et il n’y a pas de remède miracle.

Si vous éprouvez de la difficulté avec une scène, écrivez celle-ci sans réfléchir et faites-le dans un style cru, comme vous l’entendez. Purgez-vous de tous les mots qui vagabondent dans votre imagination sans avoir un quelconque préjugé sur le rendu final. À la relecture, vous aurez tout le loisir d’épurer le tout, de le peaufiner et de rendre votre texte selon le même esprit auquel vous vouliez au départ soumettre vos personnages. Avec le temps, vous trouverez vos repères, vous fixerez vos limites et vous découvrirez votre style. Vous pouvez toujours vous inspirer de vos contemporains et des écrivains d’autrefois, comme un grand nombre y ont eu recours lors de leurs débuts en écriture.

Un prélude ?

Certaines personnes aiment débuter une histoire avec un prélude. Un petit texte, de quelques lignes à plusieurs paragraphes, il peut être poétique ou non, qui est une entrée en la matière et qui vient installer le début de l’histoire avant le premier chapitre. Ce texte peut décrire l’entrée en la matière de l’intrigue de l’histoire, tout simplement être une pensée d’un personnage ou du narrateur, ou bien un poème ou une partie d’un poème qui décrit l’admiration d’un auteur ou le rapprochement du mode de pensée d’un auteur. Je pense entre autres à l’auteur Guillaume Musso dans le roman « Sauve-moi », inscrivant à chaque chapitre un bout de poésie, dont Victor Hugo, qui rejoint l’émotion et la pensée d’un personnage de son histoire avant l’entrée du chapitre.

Je ne vais pas vous apprendre l’entièreté de la composition poétique car cela prendrait trop de temps. Il faut seulement retenir qu’un poème doit contenir des vers (lignes), une ou des strophes (paragraphes), et un nombre de syllabes identiques pour chaque vers. La rime, bien que fort appréciée, n’est pas requise car le nombre de syllabes identiques prime sur la rime. Bien entendu, la rime est de mise dans la forme classique de la poésie mais n’est pas nécessaire dans la forme moderne contemporaine.

Pour conclure

Demeurez vous-même et écrivez sans prétention. La raison pour laquelle les gens lisent, c’est pour s’évader et se détendre. Il ne cherche pas un manuel de biologie mais ils souhaitent passer un agréable moment. Si votre texte accomplit cela, vous aurez gagné des lecteurs et vous aurez rempli votre objectif, à savoir charmer un public cible. N’oubliez pas, ce qui importe le plus c’est de vous amuser lors de la rédaction de votre histoire et de l’écriture que son message transporte.

Bon courage pour la suite !







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