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Changement professionnel

Chapitre 12

Un étui de protection

SM / Fétichisme
Une nouvelle semaine commençait au bureau. Pas une semaine ordinaire ; le contexte avait changé. J’avais fait la pute pour mon chef ; il se tapait ma femme ; il détenait la clé d’une cage de chasteté qui emprisonnait désormais mon attribut viril. Quant à sa collaboratrice, je m’interrogeais sur sa loyauté à mon égard.Pourtant, tout se déroulait de manière habituelle. Business as usual, pourrais-je dire. Le travail ne manquait pas et je continuais à me former, dans mes quelques moments libres. J’étais obsédé par l’idée d’acquérir toujours plus de compétences. Des compétences qui me rendent indispensable aux yeux d’Antoine, de sorte à rééquilibrer notre rapport de force : il penchait aujourd’hui désespérément en sa faveur.  Peut-être me serait-ce utile aussi, si je devais chercher un autre emploi ! Je n’escomptais cependant pas trop avec mon seul BTS en poche trouver un travail équivalent si Antoine ne m’appuyait pas par sa recommandation. Lors de notre meeting du lundi, je surmontai ma honte et m’ouvris à Antoine de la question de la cage.-    Boss, cela me gêne d’aborder un tel sujet… C’est à propos de la cage de chasteté que Julie m’a installé. Il était question que je puisse l’ôter… Nous en avons parlé ensemble hier avec elle. Mais elle me dit qu’elle vous a laissé la clé. Serait-il possible que je la récupère ?-    Je suis au courant Fabien. Julie m’a averti que tu me ferais cette demande. Il me semble utile de clarifier les choses. Je ne te donnerai pas la clé, car je ne le souhaite pas. Julie est à moi désormais et, tant qu’elle partage ton logis, je ne veux pas prendre le risque que tu l’agresses. Sa franchise brutale me coupa le souffle. Je ne sus comment réagir. Antoine poursuivit.-    Bien sûr, si Julie vient habiter chez moi, je n’ai plus aucune raison de ne pas te donner la clé. Si vraiment tu trouves le port de cette cage inconfortable, tu sais qu’il y a une solution pour t’en libérer. Note que je ne te pousse pas dans ce sens. Julie est certes charmante, mais pas au point de me faire renoncer à mon indépendance. Si je l’avais en permanence dans mes jambes, ça me serait un peu compliqué de mener ma vie. En fait le régime : la semaine chez toi, le week-end chez moi, me convient parfaitement. Je pense que cela convient à l’équilibre de tous. A Julie qui peut profiter de toi, de ta serviabilité. A toi, qui peut continuer à lui offrir ton amour. Tu as le droit avec son consentement de profiter de son corps. D’ailleurs, tu ne t’es pas gêné hier soir pour lui faire un petit cunnilingus. Je ne suis pas jaloux. La cage, c’est simplement une assurance, celle que tu te comporteras avec respect et qu’il ne te vienne pas l’idée de la violer. Ce petit objet est avant tout un garde-fou. Il te protège, toi-aussi, de comportements que tu pourrais regretter.-    Mais, Boss, au moins je pourrais le retirer lorsque je ne suis pas avec Julie. Pendant ma journée de travail, notamment. L’objet est très incommodant. -    Non Fabien, si je te le retirais, qui me dit que tu accepteras facilement de le remettre en fin de journée. Comment puis-je te faire confiance ?-    Mais, Boss, je n’ai jamais trahi votre confiance jusqu’ici !-    Sur le plan professionnel, sans doute, ou alors malgré toi. Mais, dans ce domaine, permet-moi d’être prudent.-    Est-ce que ça veut dire que je ne pourrai jamais l’ôter ?-    Si, mais seulement quand j’aurai acquis une plus grande confiance en ton obéissance. Myriam a bien réussi avec Amos. Elle n’hésite pas à lui retirer sa cage car elle sait qu’il accepte de la remettre à chaque fois qu’elle le lui demande. Généralement, c’est même lui qui se charge de la poser et de la verrouiller. -    Et cela a-t-il pris longtemps ?-    Je ne sais pas précisément, plusieurs semaines, je crois… Peut-être quelques mois. Mais Amos était très rebelle. Heureusement, Myriam sait s’y prendre pour domestiquer les fauves.-    Comment s’y est-elle prise donc ?-    Ah, ça, c’est un secret professionnel. Ne compte pas sur moi pour le dévoiler !-    Oui, bien sûr, car c’est le traitement qui m’attend aussi.-    Non, ce n’est pas pour ça. Chaque personnalité est différente, de toute manière. En tout cas, Amos et toi, vous êtes très différents.-    Donc, il faut trouver un autre moyen d’arriver à me domestiquer. C’est ça ? En fait, je commence à comprendre : depuis le début, vous aviez comme objectif de me soumettre. Par jeu, sans doute. Un défi qu’on se lance entre copains à une soirée : « tiens, regarde ce mec là, dans six mois, je le fais manger dans ma main ! » Non, en fait, j’y suis. Le pari, ce n’était pas moi, c’était Julie. Mieux, le défi, c’était d’amener un mec à vous offrir sa superbe épouse. C’est bien ça ? Je ne me trompe pas ?-    Non Fabien, tu n’y es pas du tout. En fait, tu dis ça pour te faire du mal. Tu vis un moment difficile de remise en cause.  Tu cherches des explications à ce qui t’arrive, des excuses aussi. Il s’agit d’une monstrueuse machination. Comment pourrais-je être responsable ? J’ai mis le doigt dans un engrenage sans aucun espoir de m’en sortir. Tu peux penser cela si ça t’arrange. Tu peux céder à la paranoïa : tu ne serais pas le premier. La vérité est beaucoup plus prosaïque. Laisse-moi te la dire ! Lors de la soirée de gala, j’ai effectivement flashé comme beaucoup sur Julie. Reconnais qu’elle avait mis ses charmes en valeur et qu’il était difficile de ne pas être attiré par elle. C’est d’abord à cause de Julie que j’ai choisi de partager votre table. J’étais curieux d’elle et j’avais envie de passer une soirée agréable, surtout que je m’ennuyais avec la call-girl qui m’accompagnait pour la soirée. Au lit, elle assure, mais en dehors, rien à en tirer. Tu me connais maintenant, Fabien. Tu sais que j’ai un certain charisme et que j’ai beaucoup de plaisir à séduire les belles femmes. J’avais envie de séduire Julie. Mais, cela n’allait pas au-delà de la soirée. Il n’était pas question que cela se termine dans un lit. Juste le foutu besoin de Don Juan de vérifier que son charme opère toujours. N’imagine pas que j’aie échafaudé tout un plan machiavélique pour en faire ma maîtresse et que je me sois servi de toi pour y arriver. Il s’agissait simplement de rendre distrayante une soirée qui avait tout pour m’ennuyer. Et puis je fais ta connaissance. Je suis d’abord surpris. Comment un employé de base de la banque, titulaire d’un BTS, peut-il en connaître autant sur des produits et des techniques complexes qui sont l’apanage de diplômés de troisième cycle des meilleures écoles ? Ensuite, j’ai envie sincèrement de te donner un coup de main. Je n’ai jamais fait les choses jusqu’ici dans mon métier que pour amasser de l’argent. Tu m’offrais l’opportunité de faire le bien gratuitement, de donner sa chance à quelqu’un qui le mérite. Enfin, l’opportunité se présentait. Par un pur hasard, je venais d’apprendre que mon assistant libérait son poste. Fabien, je veux que tu sois convaincu qu’il n’y avait rien de programmé dans tout ceci. Souviens-toi que je ne t’ai forcé à rien. Ni toi, ni Julie. Je n’ai jamais fait une quelconque pression ou le moindre chantage.  Je ne t’ai jamais menti non plus. Peux-tu me dire le contraire ?-    Non, vous avez raison, je ne vous fais pas de reproche là-dessus. Mais, reconnaissez que les dés étaient pipés et que, dans ma situation, sachant ce que je vous devais, sachant à quel point je m’en remettais à vous, il était inéluctable que vous en profitiez.-    C’est ton analyse, Fabien. Elle en révèle beaucoup sur ce que tu es fondamentalement. J’ai sérieusement hésité avant de te donner le job parce qu’une fois que j’avais dit oui, je devais en assumer les risques. Je n’ai pas pris la décision à la légère et je ne t’aurais pas viré à la légère non plus. Je suis certes exigeant, je peux dire les choses avec brutalité, mais je ne suis pas un irresponsable.-    Pourtant, à Lisbonne, vous m’avez bien posé un ultimatum. Si je ne faisais pas la pute, vous me viriez.-    Non, non, Fabien, je ne t’ai jamais demandé de faire la pute. C’est toi qui me l’a proposé. La nuance est d’importance. Il est important que tu le comprennes. Il est important que tu te comprennes. C’est toi qui a interprété les choses ainsi, comme tu n’as cessé de le faire à chaque fois que je te demandais quelque chose. Tu t’es mis de toi-même à mon service sans que j’aie besoin d’insister. Tu te dis que c’est parce qu’il en allait de ta survie : sans doute est-il est plus confortable de croire que l’on se soumet sous la contrainte plutôt que par vocation. En tout cas, moi j’ai découvert peu à peu ta nature et c’est vrai que par curiosité, j’ai poussé chaque fois un peu plus loin mon investigation pour voir où étaient tes limites. Le fait est que je ne suis pas parvenu encore à les dépasser. Et quand je t’ai vu jouir alors que je te soumettais sexuellement, j’ai compris ta vraie nature. Ne t’es-tu pas interrogé aussi là-dessus ?
-    Si bien sûr, mais j’avais alors tant d’images dans ma tête. Tout se mélangeait. Tout en subissant vos assauts, je revivais mes derniers ébats avec Julie. Nous avons découvert depuis peu le plaisir de pratiques sadomaso.  -    Ah, mon pauvre Fabien, je te surprends encore à tricher. Ne comprends-tu pas que ton explication est une pure construction pour éviter d’affronter la vérité. Tu ne peux te réaliser que dans la soumission. Il faut de tout pour faire un monde : des soumis, des dominants. Tu es des uns, je fais partie des autres : quel est le problème ? Bien au contraire : il y aurait un problème si nous étions tous les deux dans la même catégorie. Là commenceraient la rivalité, les incompatibilités. -    C’est plus facile de le dire quand on a le beau rôle.-    Il n’y a pas un rôle plus facile que l’autre, crois-moi. Le rôle de dominant est exigeant : il faut sans cesse assurer… Sans panne… Toujours séduire… Toujours décider. Et, il faut durer. Je ne suis pas dominant uniquement pour mon plaisir. La banque, mon entourage, mes maîtresses, tout le monde attend de moi que je le sois. La pression est forte. Pourquoi crois-tu que j’ai besoin de décompresser le soir dans des ébats sexuels un peu pimentés ? J’en ai besoin pour tenir cette pression. Je t’envie parfois. Il y a un grand confort à se soumettre, à avoir un guide qui trace la route. -    Mais je n’ai pas toujours été comme ça. Je n’ai pas l’impression que cela me décrive.-    Je ne connais pas ta vie dans les détails. Analyse ton parcours et interroge-toi pour savoir quand tu as pris des décisions courageuses où tu t’es affirmé contre les autres. Mais, surtout, ne te mens pas !-    Je n’ai jamais cédé au mensonge.-    Je l’espère bien. C’est la base de la confiance, celle que nous devons construire ensemble, celle qui me garantira que lorsque je te libérerai de ta cage, tu n’en profiteras pas pour te rebeller. Cette maudite cage. C’est par elle qu’il me tenait désormais. Ce petit étui insignifiant avait un pouvoir démoniaque. Non seulement il m’avait empêché d’aller au bout de ma révolte lors du repas la veille, mais surtout, il agissait sur ma psyché d’une manière lente et sournoise. Je commençais à le comprendre. Privé de ma virilité, je ne pouvais que me sentir inférieur à tous ceux qui savait mon sexe encagé. J’étais comme un enfant face à des adultes, contraint de les écouter et de leur accorder la légitimité des parents qui font la leçon à leur enfant, contraint de ne pas les décevoir, contraint de leur obéir. -    Boss, vous pouvez avoir confiance en moi. J’ai toujours fait preuve d’une grande loyauté à votre égard. Vous savez que je vous admire. Pourquoi douteriez-vous de moi ? -    Je veux bien te croire. C’est vrai que, jusqu’ici, je savais pouvoir compter sur ton obéissance. Mais, les choses ont quelque peu changé ces derniers jours. D’abord, je t’ai ouvert les yeux sur ta véritable nature ; ensuite, je suis devenu l’amant de Julie. Dans les deux cas, tu aurais des raisons de m’en vouloir. Certaines vérités sont si difficiles à accepter qu’on préfère se retourner contre celui qui les assène ; il n’est pas facile non plus de pardonner à celui qui nous a fait cocu. Oserais-tu dire que tu ne m’en veux pas ! -    Boss, de quoi puis-je vous en vouloir ? Je sais que Julie s’épanouit avec vous, et comme je l’aime véritablement, j’en suis pleinement heureux pour elle. Pour tout vous dire, je suis plutôt heureux que, si elle doit avoir un amant, ce soit vous. Quant à vous reprocher de m’aider à mieux me comprendre, ce serait stupide. Vous m’avez fait faire une introspection profonde qui m’est très profitable. Je vous en remercie. Comme vous l’avez suggéré, il me reste sans doute un long chemin pour en accepter toutes les conséquences mais je suis prêt à le parcourir.-    Aide-moi à m’en convaincre, alors !Qu’entendait-il par cela ? Quel discours voulait-il entendre ? Quel geste espérait-il ? Je sentais dans le ton de sa demande l’attente d’une réponse immédiate. Il me fallait trouver comment lui faire croire à la sincérité de mes propos. Il me fallait par un mot, mieux, par un geste le persuader que je l’admirais, que j’acceptais ma soumission et que j’étais heureux qu’il soit l’amant de ma femme. J’étais à court d’idées et je ne trouvai rien de mieux que de me lever de mon siège, de faire le tour du bureau et de me jeter à genoux devant lui. -    Boss, je suis votre serviteur. Je fais acte d’allégeance en me mettant à genoux devant vous. Sans aucune retenue, sans aucune honte.Il pivota son fauteuil pour se mettre face à moi et me forcer à le regarder dans les yeux pendant que je faisais ma déclaration. -    Je vous appartiens, comme Julie vous appartient.-    Belle initiative, Fabien. Et si spontanée. Cela parle pour toi.Il me caressa affectueusement le cuir chevelu, tel un père le fait avec son fils.-    Tu es donc prêt à me servir, quoi qu’il t’en coûte ?-    Oui, Boss.-    Certes, je suis ton boss, mais tu veux d’abord que je sois ton maître. Est-ce bien ça ?-    Oui, Maître, dis-je en hésitant cependant.-    Qu’est-ce qui te fait hésiter ?-    Je veux continuer à travailler pour vous. J’aime le job que je fais et je ne veux pas le perdre. Je veux bien vous être soumis à condition de garder mon travail et de garder des relations professionnelles et sociales normales.  -    Sois rassuré, je n’ai pas l’intention de me passer de tes services professionnels. Je n’ai pas non plus l’envie de t’humilier. Rien ne change dans l’exercice du métier. Je compte juste ajouter quelques clauses extra-professionnelles à notre contrat… Si tu en es d’accord bien sûr.-    Oui, Boss… Il fronça des sourcils.-    Pardon, je voulais dire : Maître. Il exprima son contentement par un sourire.  -    Comment sceller notre nouveau contrat ? Je pense qu’une poignée de mains n’est pas très adéquate pour la circonstance. Qu’est-ce que tu proposes, m’interrogea-t-il en attirant mon regard vers son entrejambe ?Je comprenais qu’une fellation serait la bonne réponse. Je ne crus pas utile de l’exprimer oralement et je portai mes mains vers sa ceinture pour la défaire. Il se repositionna sur son fauteuil, actionna une manette pour augmenter l’inclinaison de son dossier. Il pouvait ainsi se détendre et profiter au mieux du plaisir à venir. Il croisa ses bras derrière sa nuque s’en remettant à ma seule initiative. J’ouvris son pantalon pour constater que son sexe bandait déjà. Lorsque je tirai sur le slip pour le découvrir, il se redressa tel un pantin à ressort sortant de sa boîte. Malgré l’odeur d’urine et de transpiration, je le pris en bouche et commençai la fellation. A un moment, Myriam fit irruption dans le bureau d’Antoine.-    Tu deviens accro, Antoine. Fais attention, tu vas finir par virer de bord, commenta-t-elle avec humour en nous découvrant en pleine action. -    Ne t’inquiètes pas, je suis juste en train de signer un contrat avec Fabien, répondit-il sur un ton amusé sans esquisser le moindre mouvement qui pourrait interrompre son plaisir. Myriam, tel que je pouvais le deviner, plus que le voir, venait de déposer un dossier sur le bureau d’Antoine, et, poussée par la curiosité, se rapprocha de nous pour mieux observer la scène.-    Regarde bien, je vais te montrer comment un mec fait une gorge profonde !Antoine posa ses deux mains sur ma nuque et me contraignis à engloutir sa queue jusqu’à la racine. Il se tendit sur son siège pour pouvoir enfoncer son sexe le plus loin possible dans mon œsophage. Lorsqu’il jugeant qu’il était au maximum, il bloqua ma tête.-    Tu n’imagines pas le pied ! J’ai l’impression d’avoir un fourreau sur mesure.-    C’est impressionnant. Comment peut-il engouffrer ta grosse bite aussi facilement et si profondément ? Et en plus, il arrive à la garder longtemps.-    Oh, il bataille bien un peu pour respirer. Je dois mettre tout mon poids pour qu’il ne tente pas de m’expulser.Comme les autres fois, lorsque je m’asphyxiai, je me mis à me débattre plus violemment, par un réflexe de survie, et parvins à gagner une bouffée d’air.-    Tout doux, fit Antoine, comme s’il parlait à un cheval qui se cabre sous sa monture.Il reprit alors sa conversation avec Myriam.-    Je sens que ça t’excite. Veux-tu en profiter ? Mon dard est tout chaud et bien lubrifié… Prêt à l’emploi.-    Ah, tu me tentes, je ne dis pas non.-    Lève ta jupe, baisse ta culotte et penche-toi sur le bureau, je vais te prendre par derrière. Tandis que Myriam s’exécutait, Antoine desserra sa pression sur ma nuque et en tirant sur une touffe de mes cheveux, me fit stopper ma fellation. Il se leva et me demanda d’en faire autant. J’eus quelque difficulté à le faire tant mes jambes étaient ankylosées par ma longue génuflexion. A peine étais-je redressé qu’Antoine m’ordonna de m’agenouiller devant le postérieur de Myriam pour lubrifier sa chatte avec ma langue baveuse. -    Désolé Fabien, me dit Myriam avec perversité, il est dans son jus. Je n’ai pas eu le temps de me laver depuis hier. Il faut dire que j’ai passé la nuit chez François, que nous avons pas beaucoup dormi et que j’ai dû faire l’impasse sur la douche ce matin pour ne pas me mettre en retard.-    Ne te tracasse pas Myriam. Fabien aime les sexes odorants et gouteux. Il va te faire un bon nettoyage avant de te lubrifier. Son sexe sentait effectivement assez fort. L’acidité que je récoltai en léchant ses lèvres et l’entrée de son vagin piquait ma langue. A mesure de mon nettoyage, la sensation désagréable s’estompa. Antoine m’arrêta dans mon travail ; il me fit asseoir sur le sol en tailleur, sous le pubis de Myriam de sorte que je puisse continuer à lui lécher le clitoris pendant qu’il la pénétrait. Il introduisit son sexe sans grande difficulté. Il entama alors son va-et-vient. Myriam, doublement stimulée par le sexe d’Antoine et par ma langue était aux anges. Lorsqu’Antoine accélérait le rythme, il me devenait difficile de garder ma langue sur le clitoris de Myriam. Ma langue touchait aussi le pénis et les couilles d’Antoine. Cela devait l’excitait, car il jouait en variant son rythme à me déstabiliser. Dans un dernier coup de rein, il s’enfonça profondément dans le vagin de Myriam pour y décharger son sperme. Il resta ainsi plusieurs secondes. Ne sachant pas ce que je devais faire alors, je me mis à pomper le clitoris maintenant bien gonflé. Cela sembla plaire à Myriam, si j’en croyais ses halètements et finalement son cri orgasmique. Antoine retira son sexe et le présenta à l’entrée de ma bouche. Il m’obligea à le nettoyer de la cyprine et des quelques gouttes de sperme résiduelles. Je dus ensuite aspirer le sperme qu’Antoine avait déposé dans le con de Myriam. Pour que je n’en perde pas, Myriam enfonça deux doigts dans sa chatte et me fit profiter de sa récolte.-    Bon, la cérémonie de signature du contrat touche à sa fin. Chacun peut maintenant reprendre son travail, dit Antoine en rentrant son matériel et en se rhabillant.Myriam en fit autant et je pus me relever. Avec des mouchoirs, je m’essuyai le visage. -    Ce moment a été d’autant plus agréable qu’il était imprévu, dit Myriam à Antoine en l’embrassant. Et l’assistance de Fabien a été très agréable, poursuivit-elle en m’adressant un petit sourire. Cela m’ouvre des perspectives.Myriam retourna dans son bureau tandis qu’Antoine et moi-même reprenions nos places autour de son bureau. -    Reprenons. Ou en étions-nous ? Ah oui, il faut solder le dossier de Lisbonne. Pense à rédiger la fiche Process.-    Oui, je le fais dès la fin de notre point.-    Parfait… Au fait, il faut peut-être que tu sois un peu plus mis en avant maintenant que tu as fait tes preuves. Pour ce qui concerne les étapes 3 à 7 de constitution du dossier, je veux que ton nom apparaisse. Du coup, le partage de la prime sera plus équitable. Ton pourcentage passera à 30%. Même si c’est un petit dossier, ça te fera quand même 24 K.La fiche Process était destinée au siège pour vérifier que toutes les étapes avaient été respectées et savoir qui en avait assumé la responsabilité. Mon nom figurait sur les étapes 3 à 5 jusqu’ici. En m’attribuant deux étapes supplémentaires, Antoine augmentait effectivement ma part de la prime de contrat à son détriment, il me faisait aussi endosser la responsabilité en cas de problème. Or, les étapes 6 et 7 dédiées à l’identification des apporteurs de financements et à la vérification de leur intégrité étaient celles qui nous avaient posé problème. J’aurais préféré réduire ma prime et ne pas avoir à les prendre à ma charge. Il me paraissait cependant difficile de faire part de mes états d’âmes à Antoine alors que je venais de lui assurer de ma confiance et de mon obéissance, d’autant qu’en pratique, j’avais autant ma part de responsabilité que lui dans cette impasse. Il me restait à espérer que ce dossier ne fasse pas l’objet d’un audit particulier. Après tout, la probabilité était objectivement faible.
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