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Le fût

Chapitre 1

Trash
Les pneus de la voiture font crisser les graviers marron de la cour. La rouille de la ferraille de l’usine avait réussi à colorier le sol année après année ; et maintenant que ce site industriel était à l’abandon, les choses ne faisaient que s’accélérer. La voiture s’immobilise ; une chaussure vernie se pose sur le sol, suivie de l’autre. Le jeune chauffeur se redresse et ajuste ses lunettes de soleil de marque, jette un regard propriétaire sur sa nouvelle acquisition. Il s’appelle Mikael Shepard ; acheter de vieilles entreprises en faillite est son gagne pain : bientôt, une horde d’ouvriers charognards viendra sur place découper et démanteler tout ce qui est revendable, fer, cuivre, acier. En moins d’un mois de travail, les gains de la revente rapporteront jusqu’à six fois le prix d’achat.
Appareil photo en main, il commence une visite des lieux, routine habituelle afin de repérer les zones d’intérêt.L’ancienne usine de laminage est vide. Chacun de ses pas fait écho dans le hall désert ; les piliers d’acier projettent des ombres menaçantes et quelques rats s’enfuient à son approche.Une bonne trentaine de photos faites, il se prépare à partir lorsqu’il remarque dans un monte-charge un voyant allumé. Effet d’optique ? Cela attise sa curiosité ; il s’approche donc de ce vieux plateau monte-charge, et regarde de plus près en couvrant le bouton de sa main pour masquer d’éventuels rayons de soleil qui pourraient l’abuser. Non : le voyant est bien alimenté électriquement. Mikael essaie de comprendre, de rationaliser ; l’usine est fermée depuis plus de huit ans…Il appuie : le plateau commence à se secouer en grinçant dans un vacarme métallique horrible et, lentement, descend vers un sous-sol de stockage et d’entretien. L’arrêt est aussi bruyant que la descente et peu rassurant. Face à lui, des couloirs sombres et de vieilles canalisations gouttent par manque de maintenance. Cela lui suffit pour lui donner un avis sur la salubrité des lieux, mais une faible lueur semble être émise par delà d’interminables rideaux en plastique, épais, transparents en leur temps. Chacun de ses pas résonne lugubrement ; de ses avant-bras, il écarte les rideaux et s’approche d’une lumière et du bruit assez caractéristique d’un générateur électrique. Il pense à quelque squatteur ou clodo venu s’installer dans l’usine désaffectée. Sans vouloir chercher une confrontation directe, il estime qu’il serait sage de leur dire que des ouvriers allaient venir pour tout démonter.
Le dernier rideau tiré, il accède à un local sombre ; une vieille lampe d’époque éclaire une table en inox semblable à celles utilisées dans les morgues. Dans un coin, un chariot supportant divers outils en vrac, mais aucun ne semble rouillé. Dans l’autre coin, une lumière verte attire son regard : un petit écran carré dessine la ligne régulière d’un électrocardiogramme. Tout cela devient de plus en plus étrange et inquiétant… Une légère panique commence à le saisir, et il fait un bond lorsque, d’un mouvement maladroit, il fait rouler une canette de soda vide au sol.
« Quel idiot ! » s’écrie-t-il : il se fait peur tout seul. Il se baisse pour ramasser la canette et c’est là qu’il voit un fût métallique de format classique, mais dont le couvercle laisse passer différents câbles, tuyaux, dont une dizaine sont reliés à des poches de sérum physiologique installées en batterie sur un distributeur automatique. L’electrocardio… le sérum... Quelque chose de vivant se trouve dans le fût !Il prend son téléphone d’une main tremblante : pas de réseau... trop de métal autour de lui brouille les signaux. Un regard autour de lui ; fuir, partir ! Son instinct lui murmure d’être lâche. Ses yeux vont et viennent, comme un gosse qui a cassé quelque chose et cherche à le cacher à ses parents. D’autres détails lui apparaissent : un sac de linge contenant des habits de femme, de vieux cartons de pizzas, une mallette de jouets SM.
Il souffle un coup et tente de se calmer. Se rassurant sur sa maîtrise des choses, il rajuste sa veste et sa cravate. Un détail inutile, mais un geste qui lui redonne confiance. Ainsi remotivé, il fait un pas vers le fût et le toque du doigt. Il semble plein, sans zone vide ; à sa base, un robinet permet de le vidanger. Il s’assure d’un écoulement possible par une légère pente qui mène à une grille d’évacuation et tourne la vanne. Un liquide jaune coule ; son odeur est forte. Il croit la reconnaître mais se refuse d’y penser. Fouillant du regard l’atelier, il prend entre ses doigts une bande de linge et la trempe dans le liquide qui se déverse. Il la hume... L’odeur lui confirme ses doutes : de la pisse !Quelle créature vivante pouvait bien être enfermée dans un fût rempli de pisse ?De longues minutes passent, et enfin l’immonde pisse cesse de couler. D’une main tremblante, il saisit le cerclage et fait sauter le couvercle.
Le regard hésitant par crainte d’une chimère ou pire encore, il avance lentement son regard. L’odeur piquante est encore assez forte pour lui irriter les yeux ; il se repend à deux fois avant de supporter l’odeur et de découvrir l’horreur : attachée dans un ensemble de latex et de sangles de cuir, une jeune femme nue partiellement dénudée est recroquevillée en fœtus. L’examen des liens lui confirme qu’elle a été attachée par un ou des experts en bondage extrême. Elle porte une étrange culotte dotée d’un mini broyeur portatif, duquel part un tuyau qui remonte à un masque qui enveloppe sa bouche. Quelques gargouillis de bulles et de merde mixée remontent le long du tuyau et lui gavent la bouche. De ses narines, deux tuyaux fins remontent jusqu’au couvercle, seule entrée d’air pour la maintenir en vie. Enfin, divers capteurs placés çà et là, ainsi que des aiguilles surveillent ses fonctions vitales et distribuent les doses de sérum par des machines posées à proximité.L’homme envahi un instant une réaction de dégoût, se recule ; il a juste le temps de se retourner pour vomir son repas sur le sol. Une sueur froide le tétanise sur place. En tremblant, il reprend son téléphone en main, mais il lui échappe et glisse jusqu’à la grille centrale sous la table. Il jure et s’en veut d’avoir crié... Et si les fous sont encore là ? Et qui est cette fille ? Sur quoi est-il tombé ?Ayant récupéré son téléphone, c’est d’une main encore tremblante qu’il compose le numéro de la police. Sur mise en attente, il commence à réfléchir à ce qu’il va pouvoir dire... Bon sang, il est propriétaire des lieux, complice ? Les idées confuses, il raccroche pour tenter de retrouver des pensées claires.
De nouveau devant le fût de métal, l’angoisse au ventre, il le penche afin d’en extraire la fille. Il l’empoigne par une sangle et la glisse hors de sa prison de métal. Sur ses oreilles et ses yeux, une cagoule de latex la protège du jus immonde qui la recouvre encore. Ses chevilles croisées sont attachées entre elles, et ses poignets sont liés par des sangles de cuir à des anneaux. Ses seins, de très bonne taille, sont découverts ; dans ses tétons, sont placés de façon très sadique quatre petits écarteurs tendus par des chaînettes accrochées à son corsage qui lui dilatent le canal mammaire de façon douloureuse et vulgaire. Dans les mamelons, plus bas, passent des anneaux de quatre centimètres qui ont dû demander beaucoup de travail pour être mis en place. En outre, ceux-ci semblent être d’une seule pièce. Mikael continue à explorer de son regard la pauvre soumise ; il commence à sentir naître en lui un certain trouble. À son cou, elle porte une minerve de cuir renforcée qui lui garde la tête droite, dotée elle aussi de quelques anneaux destinés à d’autre usages. Son ventre est couvert de fines sangles de cuir placées obliquement ; certaines servent à tenir l’infernale machinerie de recyclage qui renvoie en circuit fermé ses déjections dans sa bouche, d’autres ne doivent avoir qu’un usage esthétique ou de compression. Et puis ses jambes, fines et lisses, parfaitement épilées, se terminent par ses pieds adorables glissés dans des escarpins noirs à lacets. Sa peau blanche couverte de pisse ruisselle doucement alors qu’elle se sèche naturellement. Profitant de sa liberté relative la créature prend lentement ses aises, roule sur dos et écarte ses cuisses. Mikael la regarde, bouche bé ; son érection se poursuit dans son pantalon. Une dualité s’installe dans son esprit : la moralité et l’humain contre son côté sombre et le fantasme de l’interdit.
Il se baisse, pose une main sur la créature ; elle frisonne, vivante. Son ventre s’agite plus vite ainsi que son rythme cardiaque. Un à un, les capteurs sont arrachés et les aiguilles retirées de ses bras. Il regarde à présent le système de tuyaux qui vont de ses orifices à sa bouche. Il se demande quel humain a pu inventer une telle torture. Sa main se retire alors qu’un nouvel étron se fait mixer dans un gargouillis infect et que le jus immonde remonte dans le tuyau. Il se surprend à ralentir, à la laisser ainsi et à mater la pauvre infortunée au lieu de couper net le flux répugnant d’une simple pression sur l’interrupteur. Il la regarde gémir et déglutir pour la x-ième fois ses propres déjections. Un regard autour de lui… toujours personne. D’ailleurs, théoriquement, il est seul sur le site de l’usine. Il regarde son smartphone ; cette fois, au lieu de cliquer sur le bouton appel, il lance un enregistrement en mode vidéo. Il filme la soumise et, de sa main libre, commence à se palper la verge qui s’étrangle dans son pantalon. Lorsque l’image de l’écran affiche le masque facial, il remarque que celui-ci comporte une façade dévissable. La curiosité l’emporte rapidement, et la plaquette de plastique est vide retirée. Un entonnoir de plastique semble permettre de faire des appoints dans la bouche de la belle. Il contemple cela comme une invitation qui lui est personnellement adressée. Un nouveau coup d’œil autour de lui, et il sort sa queue déjà dure mais pas totalement, car une envie irrépressible d’uriner lui tenaille la vessie. Il dirige sa verge vers le masque ; un flot d’urine sort de son urètre et s’écrase sur le visage de la soumise. Il guide son jet, et celui-ci disparaît dans sa bouche : elle avale sans rechigner. Cela le fait bander encore plus fort. Réalisant avec honte qu’il l’a utilisée comme latrine, il sent qu’il a passé un point de non-retour. Le doigt tendu interrompt le broyeur et, saisissant la première sangle, il commence à défaire le masque. La partie externe du masque est retirée ; il voit alors qu’elle porte en bouche une sorte de conduit qui se glisse dans sa gorge et empêche sa mâchoire de se fermer. Une autre sangle est retirée : la culotte de latex à son tour glisse au sol, dévoilant un gode anal creux qui était introduit dans son fion et une canule qui était enfoncée dans son méat.
Le sexe de la créature est quant à lui ouvert par des hameçons qui perforent cruellement ses lèvres vaginales gardées tendue par des chaînettes qui lui contournent le bas du dos. Le vagin est occupé par un gros gode vibrant qui commence à sortir tout seul, sans culotte pour le retenir. Son clito, étrangement gros, est percé d’un anneau ; on devine à la couleur de sa chair de nombreuses piqûres faites directement dans le bouton d’amour pour le modifier physiquement. Déglutissant devant un tel spectacle de soumission, sa main s’avance et vient ré-appuyer sur le gode pour le remettre en place. Le geste est maladroit, brusque, et le gode frappe le fond de sa grotte aux trésors. Réagissant aussitôt, elle gémit et se met à mouiller de façon obscène ; sa respiration, au travers de ce qui reste du masque facial, n’est pas sans rappeler un certain seigneur noir dans un film de science-fiction.

Quelle étrange sensation de pouvoir que celle qui assaille Mikael : lui, Dieu tout-puissant devant cette chose, à des kilomètres de son univers quotidien… Tout semble destiné en ce lieu à la perversion. Il défait sa cravate et retire sa veste ; sa chemise est déjà marquée de larges auréoles de sueur. La posant à côté d’une batterie équipée de pinces, l’inspiration le saisit. L’ayant déplacée au sol, il déroule les câbles de démarrage, en place un sur l’anneau du clito et approche l’autre d’un des anneaux de téton. Un arc électrique s’amorce et la créature se met à couiner en se tortillant, s’urinant aussitôt dessus. Un sourire sadique se dessine sur le visage de Mikael ; il recommence une nouvelle fois : autre couinement accompagné de mouille… La chose est donc masochiste et, vu sa façon de couiner, elle semble aimer les vices extrêmes, chose qu’on peut concevoir quand on vit attaché dans un fût industriel. Cessant ce jeu pour ne pas trop l’abîmer avant d’avoir découvert tous ses secrets, il repousse les câbles plus loin.
Derrière la nuque de la fille, sa main trouve la sangle du bâillon entonnoir. Le saisissant entre ses doigts, il le retire lentement, pensant d’abord à en retirer quatre à six centimètres ; en fait, c’est un gode en forme de phallus de douze centimètres qu’il retire de sa gorge, dont le centre est évidé pour permettre le passage de l’air et des aliments. D’immondes filets de bave brune accompagnent l’extraction, relâchant la gorge dilatée. Il s’accroupit par-dessus le visage pour présenter sa verge. La bouche est sale ; jamais il n’aurait osé faire cela auparavant, mais là, tout est diffèrent ; il le sait, et fourre sa queue tendue. La créature l’accueille comme un fourreau naturel, l’enveloppe de sa langue chaude et douce, aspirant et suçant la queue. Mikael réalise alors que la chose est consciente ; ce sont peut-être les chocs électriques qui l’ont sortie de son état comatique. Agrippant les anneaux de la minerve, il fait aller et venir la tête de la divine suceuse sur sa queue qui frétille comme jamais ; et soudain, il explose dans un râle. Sa verge balance des jets de foutre comme jamais ; son plaisir est puissant : il n’avait plus connu cela depuis des années. Inondant sa gorge, il tremble de plaisir, râle alors qu’elle aspire jusqu’à la dernière goutte et avale tout.
Il se retire, en sueur ; la langue de la suceuse essaie de retenir la queue dans sa bouche, mais n’y réussit pas. Qui est-elle ? L’idée lui traverse l’esprit pendant que le sang lui revient au cerveau. Une foutue salope, se dit-il en ré-appuyant du pied le gode à demi sorti. L’action la fait de nouveau couiner et sa cyprine recoule de sa chatte maltraitée. À ses cris de chienne en rut, sa queue reprend vie. Il peine à le croire : cette garce est un aphrodisiaque vivant ! Caressant ses gros seins tendres, ses doigts s’approchent de ses dilatations mammaires ; l’index de chaque main y plonge, s’enfonce de toute la longueur du doigt, la faisant couiner de plaisir. Quel genre de femme pourrait supporter pareille torture et en tirer du plaisir ? Se redressant, il achève de basculer dans sa propre déchéance en se foutant à poil au milieu de ce sordide atelier. Là encore, une nouvelle découverte le stimule pour de nouvelles bassesses : une boîte d’aiguilles de couture et un flacon de désinfectant posés en évidence côte à côte. Le bouchon saute, et le produit inonde la boîte d’aiguilles, nettoyant tout le lot en une seule fois. Il la regarde, et considérant que sa posture est gênante pour la suite, il la prend dans ses bras et la pose sur la table d’autopsie. Comme il s’en doutait, celle-ci a été modifiée et pourvue de sangles de maintient. Chevilles et poignets sont vite libérés pour trouver d’autres attaches. Pas un mot, pas une plainte : une soumission totale. Juste des gémissements et des couinements. Il décide de laisser le masque de latex sur sa tête : inutile qu’elle voie son nouveau bourreau. Commence alors un nouveau jeu : Mikael prend une a une les aiguilles et les enfonce jusqu’à leur tête dans le mamelon, découvrant par là-même comme la chair est tendre quand on brise ses appréhensions. La fille halète de plus en plus, ses jambes se tordent sous la douleur, ses poignets s’agitent dans les sangles ; et pourtant, elle mouille de plus belle, se tendant même sous un orgasme à la quinzième aiguille. Jetant un regard dans la boîte de gadgets SM découverte plus tôt, il trouve deux œufs vibrants ; un test rapide confirme leur bon fonctionnement. En simultané, il les approche des tétons et commence à les fourrer dans les tétons dilatés, plus larges qu’un doigt. Il doit forcer pour faire passer le diamètre le plus large, mais il finit par faire avaler les vibros par les seins. Une fois mis en route, elle crie, halète, mais pas de douleur, oh non : elle est trop chienne, trop soumise. Mikael est complètement hystérique ; sa queue bande à lui faire mal. Du lait remonte en surface et coule de ses seins, remplissant les cratères laissés par le passage des œufs. Sa bouche a tôt fait de s’y plonger et de se repaître de cette laitance délicieuse. Sa main se plaque sur sexe de la garce et agite l’infortuné bouton en tout sens, passant son doigt dans l’anneau. Ses cris l’excitent ; il continue encore en tordant le clito jusqu’à ce que l’anneau déchire la tendre chair. Un nouvel orgasme traverse la soumise qui, par contraction vaginale, envoie le gode contre le mur, déchargeant un flot de mouille et de pisse contenu dans son vagin.
Amusé par le spectacle, il rit comme un dément. Ses cheveux sont à présent retombés sur son visage, lui faisant perdre le snobisme qui le caractérisait. Le gode extrait, il examine la petite chatte ouverte : deux fines chaînettes passées jusqu’à présent inaperçues semblent sortir de son antre. Le plus étrange, c’est qu’elles se terminent par deux petits crochets afin de la relier à l’ensemble de chaînettes plus larges qui lui écartent les lèvres. Il empoigne les deux bouts, se demandant à quelle nouvelle perversion il va pouvoir se livrer. Il sent une certaine résistance ; il force : la chienne couine de nouveau, halète comme une folle qui prend son pied. Apparaît alors entre les lèvres du sexe béant le col de l’utérus, lui-même doté d’anneaux. Les fines chaînettes s’accrochent aux plus grosses, amenant sa matrice à fleur de pubis. Cette nouvelle image obscène le rend ivre de sexe. Il s’allonge sur elle en soixante-neuf et lui pénètre le gosier sans songer à son souffle, sa bouche se jetant sur cette minette qui mouille comme une fontaine.
Ses couilles claquent sur le front de la soumise ; sa verge, plus longue que le phallus de plastique, lui emplit la gorge : elle est rouge de visage et pleure, subissant la baise de sa bouche en apnée. Son ventre écrase les seins dotés de multiples aiguilles ; ceux-ci s’écrasent, les aiguilles pénétrant plus profondément dans les chairs. Les œufs vibrent, le lait coule, et alors que son utérus est déplacé vers le bas, c’est avec deux doigts que Mikael décide de l’ouvrir. Elle ne peut crier cette fois-ci, mais elle pousse un semblant de cri étouffé par la queue qui lui ravine le gosier en des va-et-vient bestiaux. Elle aime cela. Mikael se méfie quand même ; ses lèvres sont parsemées d’hameçons dangereux : ce serait idiot de se blesser... Trop idiot, se répète-t-il en voyant dans une des rigoles de la table d’autopsie un scalpel. La lame en main, il incise les lèvres, se prenant pour un chirurgien, coupant sa chair en six endroits pour libérer les six hameçons. Là encore, cette salope se mit à jouir...
Jamais il n’avait connu pareille masochiste ; jamais il n’aurait pensé être un tel sadique. Son plaisir ne tarde pas : il reste figé dans la bouche – ou plutôt l’œsophage – de la fille pendant qu’il se vide en de puissantes giclées. Il se retire apparemment juste à temps pour qu’elle puisse respirer. L’air lui provoque une quinte de toux accompagnée de salive et de sperme. Cependant, toujours allongé sur elle, il continue l’exploration vaginale et utérine jusqu’à remarquer également deux fines chaînettes pleines de merde qui sortent de son anus. Sa douceur et son tact ayant disparu, c’est avec poigne qu’il tire dessus, riant de voir le colon se retourner et sortir sur près de dix centimètres avant de présenter des anneaux greffés dans l’anus. Son cul présente donc une sorte de trompe de chair rouge, aux plaies et aux rides puantes. Il saisit la chose à pleines mains, accroche les deux chaînettes, et commence à branler son côlon comme une verge, délaissant même le sexe pour venir sucer de sa bouche l’incroyable trompe sale. Les tripes pénètrent dans sa bouche ; sa langue lape la merde souillée glissée entre les replis de la paroi intestinale. Puis, la surprise : une livraison inattendue lui coule dans la bouche : la fille lui chie sur la langue ! Le goût est âcre, fort, mais enivrant : encore un de ses tabous qui s’effondre. Il aspire et avale ; il se sent dans une transe sexuelle obsessionnelle… Il bande encore, toujours avec la même virilité. Il se redresse, son cul sur le visage de la fille, et décide de lui rendre son dû. Il commence à forcer son anus tout en mastiquant l’immonde pâte dont sa bouche est pleine. Bavant comme un porc, il en laisse couler sur le ventre de la garce. Son anus s’ouvre ; sa merde puante se déverse et s’écrase sous ses fesses, badigeonnant les joues de la fille qui cherche à partager cette offrande. Il s’en enduit, s’écrase dans cette crème puante, se branle la main pleine de déjections humaines.Il se demande si, en tirant sur le clito, il ne pourrait pas découvrir quelque secret... cette pute semble en avoir de nombreux ! Il tire ; elle couine : son bouton, déjà fortement sollicité auparavant, saigne un peu par le trou de passage de l’anneau. Il parvient toutefois à l’ériger plus : gros comme son pouce, et tendu.
Émettant un rire sadique, il approche le scalpel, son sadisme s’étant mué en désir de torture et de mutilation. Il regarde, fasciné, cette chatte en cherchant comment poursuivre l’œuvre de sculpture déjà entamée… Soudain, un choc à la tête lui fait basculer l’horizon.
Au-dessus de son corps, deux hommes le regardent.– Dis-donc, on est arrivé à temps : ce sale con allait mutiler la marchandise.– Pff, m’en parle pas… Regarde : il a tout salopé ! On n’a plus qu’à la préparer et la remettre en fût pour le chauffeur.– Et lui ?– Y a qu’à le jeter dans la fosse ; il y pourrira en attendant les secours. Allez, aide-moi !
Repoussant la table, les deux complices accèdent à la trappe d’évacuation. Ils soulèvent la grille et laissent glisser le corps de Mikael qui atterrit deux mètres plus bas dans une fosse à merde.Rangeant rapidement le labo, renfermant la créature dans le fût après l’avoir remis d’aplomb, l’un des deux hommes ouvre le portefeuille de Mikael resté dans la poche de sa veste. Le partage des billets est rapidement fait, puis l’un d’eux s’esclaffe après un long sifflement.– Oh, putain… Tu me croiras jamais !– Quoi ? T’as trouvé quoi ?– Le permis de conduire du type.– Et ?– Oh oh oh !... Le monde est vraiment petit, faut croire : ce mec-là... c’est le frangin de notre pute !
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