Menant une vie libertine, j’adore faire de nouvelles rencontres.Et cela ne concerne pas uniquement des femmes...En effet, je vous conterai mes rencontres avec quelques-uns de mes partenaires masculins. Concrètement, j’ai fait ces rencontres à travers le biais d’un site spécialisé.Je ne donnerai pas plus de détails sur les conditions de rencontre, car autrement, cette histoire ne serait pas publiable. Ce qu’il faut savoir dans ces rencontres, c’est que j’ai toujours veillé à ce que mes futures partenaires soient toujours plus âgées que moi, pour une raison bien particulière.Disons pour faire simple que j’étais à la recherche d’une maman.La moyenne d’âge de mes partenaires devait être de 50 ans. Je pourrais vous faire la liste des femmes que j’ai connues, mais j’ai décidé de vous parler de la seule qui a su accepter mon désir "d’inceste simulé". J’ai dû faire plusieurs rencontres avant d’enfin satisfaire cette envie qui me taraudait depuis mon adolescence. Et surtout de vous décrire jusqu’où nous sommes allés dans ce fantasme qui a créé un lien digne d’une véritable relation mère/fils. ==================== Ma partenaire sexuelle actuelle, que j’appellerai Maman, a fêté ses 58 ans il y a quelques semaines. Moi j’ai 32 ans et ce qui me plaît, c’est que cette différence d’âge fait qu’elle aurait tout à fait pu être ma maman. Pour ceux et celles qui ne partagent pas ce fantasme incestueux, il sera difficile de comprendre en quoi ce détail rajoute de l’excitation à nos ébats. Mais pour les autres qui ressentent cette subtilité, je vous dirai simplement de ne pas hésiter à franchir le pas. Quand je pose ma tête sur sa grosse poitrine et que je m’imagine en train d’explorer ma mère de ma queue incestueuse, je n’ai plus grand-chose à envier à ceux qui ont réellement connu l’inceste mère/fils. Il y a certes ce lien authentique qui sera toujours manquant, mais l’inceste simulé est certainement la seule alternative qui s’en approche le plus. De toutes les femmes que j’ai connues, Maman a été la seule à ressentir, comprendre et répondre favorablement à cette envie de me sentir comme un fils incestueux. Le détail qui a fait qu’elle adhère à cette idée est un peu trop triste pour que j’en parle ouvertement ici. Mais disons, que la tristesse était notre point commun à tous les deux... Depuis, nous vivons des heures magnifiques à s’aimer.Et ça, je peux vous les décrire en détail. ; ) ===================== Nous avons des rapports sans préservatifs. Nous avons bien sûr effectué un bilan de santé, afin de nous assurer qu’il n’y aurait pas de mauvaises surprises pour l’un comme pour l’autre. Maman fait à peu près 1 m 55 pour un peu plus de 65 kilos. Bref, son corps est adorable avec de belles rondeurs. Les préliminaires ne sont jamais bien longs entre nous, parce que j’ai envie de la lui mettre tout de suite. Pour tout dire, ni la fellation, ni le cunnilingus ne sont encore pratiqués durant nos ébats. Par contre, ses gros seins sont longuement suçotés par ma bouche gourmande. Elle comme moi, nous adorons cela. J’aime imaginer les avoir tétés quand j’étais petit. Il nous est même arrivé, après une séance d’amour, que je m’allonge sur le dos et que Maman me masturbe tout en me donnant le sein. De son aveu, elle aime me voir les yeux fermés, alors que ma bouche s’applique à tirer délicatement sur son gros mamelon. Et lorsque je retrouve à nouveau ma vigueur, Maman se remet sur le dos et m’invite à reprendre ma place entre ses cuisses. Au fil des mois, nous avons pu trouver cet équilibre qui fait qu’un couple s’épanouit sexuellement et profite d’une véritable complicité. Je vais vous écrire mon point de vue et ce que j’espère, c’est de la convaincre un jour de raconter cette expérience avec moi. Car moi j’en suis fier, mais elle, reste très timide. Lorsque Maman est sur le dos et que je suçote ses gros seins, ma salive qui en résulte, je l’utilise pour lubrifier ma queue. Comme je le disais, les préliminaires ne durent pas bien longtemps entre nous. Je passe la plupart de mon temps à limer Maman. Mais attention, ce ne sont pas des coups de boutoir que je lui donne. Non, ce sont des va-et-vient plutôt lents et profonds. Ce qui ne réduit rien à l’intensité de nos ébats. (De ce côté, j’aimerais beaucoup avoir l’avis de couples mère/fils.) Pour moi, il y a comme un respect que je ressens pour Maman, qui fait que je ne veux pas qu’elle se sente "baisée", mais bien "aimée". (Après c’est vrai que récemment, on en a discuté, mais j’en parlerai quand on aura franchi un nouveau palier dans notre relation.) Nous changeons régulièrement de positions. Mais j’arrive presque toujours à rester en elle. On ne peut pas dire que je sois super bien membré, non je suis juste dans la moyenne. Mais il faut dire qu’elle écarte bien les jambes ma Maman et que mon agilité me permet de rester bien au chaud en elle...Il y a une position qui me plaît particulièrement. J’ignore son nom dans la Kamasutra, alors je vais vous la décrire. Maman simplement allongée sur le dos, les cuisses grandes ouvertes. Moi je suis plus bas sur le lit, allongé sur le côté et je la pénètre. J’adore cette vue que j’ai dans cette position. Je me vois aller et venir en elle. De temps en temps, je pousse sur ses cuisses, juste pour qu’elle se retrouve en "position d’accouchement". J’adore me dire qu’elle m’a mis au monde comme ça, que sa belle chatte s’est ouverte pour me donner la vie. Et que j’ai le privilège en quelques sortes, de sonder mon passé... Comme si je revivais ma conception, à travers les yeux de mon père. Il y a presque un aspect philosophique dans l’inceste. Une beauté difficilement perceptible, que seuls les couples incestueux parviennent à admirer. Quand je fais l’amour à Maman, j’aime me complaire à l’idée qu’elle m’a donné la vie. Et que dans cette même position, elle fait de moi un homme. Alors je la serre plus fort contre moi. Je l’aime, je l’adore ma maman. Ce que je suis en train de faire avec elle n’est pas immoral. Non, pour le fils amoureux que je suis, c’est un témoignage d’amour, lorsque les mots ne suffisent plus. J’ai envie d’elle, je veux qu’elle ressente l’importance qu’elle a pour moi. Qu’elle comprenne, que de toutes les femmes, elle sera toujours celle qui compte le plus à mes yeux. Arrivé à ce stade dans mon récit, je constate que j’ai encore des choses à dire.J’ai alors coché la case "oui", pour signifier que cette histoire aura bien une suite.Oui, j’ai envie de partager avec vous d’autres aspects de cette relation avec une femme qui pourrait tout à fait être ma mère. : ) A suivre.
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