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Marc part en vacances

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Été 2017, Marc Germain, chef d’une entreprise en ascenseur, élévateur et autres monte-charges prend l’avion pour passé les deux dernières semaines de juillet en Guadeloupe, seul. Pourquoi partir si loin alors qu’il suffirait d’aller sur la côte Atlantique, à quelques dizaines de kilomètres de Nantes, où il habite ? Parce qu’il veut mettre de la distance entre lui, son travail et sa femme qui vient de quitter leur maison où ils habitent avec Emma, la fille de Nathalie, depuis plus de 16 ans. « Une pause pour réfléchir ! », voilà comment elle lui avait annoncé ça ! La Guadeloupe semblait suffisamment loin pour se ressourcer, et mettre un océan entre ses problèmes et lui. Un fil virtuel le raccrochait tout de même au continent métropolitain, il avait pris son ordinateur portable. L’entreprise, les clients, les fournisseurs, la banque… Autant de mauvaises raisons pour lesquelles il s’obligeait à garder ce cordon. L’espoir aussi, celui de recevoir un mail de Nathalie lui demandant de revenir.
La crise de la quarantaine est souvent perçu comme un mal masculin. Nathalie traversait elle aussi cette épreuve. Cheveux châtains, petit carré plongeant, 1,65m, jolie peau qui bronze facilement dès les premiers rayons de soleil printanier, une jolie silhouette dont les courbes s’étaient adoucies, d’abord après sa grossesse et au fur et à mesure des années, sans rien changer à son élégance. Sa poitrine ne pouvait laisser personne indifférent. Ses seins étaient généreux et complétaient parfaitement sa silhouette. Des belles poires, quoique n’en n’ayant jamais vu d’aussi grosses dans les magasins et dont tous les hommes admiraient discrètement ou non le sillon médian. Et que les femmes jalousaient probablement autant que les hommes les reluquaient. J’ai compris au fur et à mesure des années à décrypter ce sentiment dans leurs regards. Les enfants aimaient également poser leurs têtes pour y trouver le réconfort voire le sommeil et que bien évidemment Marc câlinait, caressait, palpait, pelotait, embrassait, léchait et honorait (cqfd) aussi souvent que possible. Mais voilà, depuis plusieurs semaines, Marc n’y avait plus le droit. Nathalie se trouvait trop grosse, trop vieille, fatigué et rien n’allait, ni le boulot, ni leur couple, ni ses amies, etc. Marc pensait que cette crise serait temporaire, mais force était de constater que la crise était plus profonde qu’il ne le pensait. Le départ proche de Emma y était pour beaucoup. En effet, le départ de sa fille l’avait mise face à elle même : « quel était désormais le but de son existence maintenant qu’Emma avait quitter la maison ?Les copines, les diners en amoureux, les week-end à la campagne, les opérations séduction, le pilates, le stretching, l’esthéticienne, rien ni personne n’avait permis d’arrêter le train de cette angoisse existentielle à laquelle Nathalie devait faire face : Emma était partie à Nantes continuer ses études et sa vie...
Marc aussi était un peu affecté par ce départ, néanmoins, il s’était préparé depuis longtemps à cette épreuve et considérait que cet envole était une bonne chose pour la jeune adulte. Il estimait que Nathalie et lui avaient parfaitement préparer l’envole d’Emma : elle était prête, autonome, responsable et rien ne laissait penser qu’elle tomberait dans les nombreux pièges qui allaient se présenter à elle au cours des prochains mois. Soit, Emma n’était pas la fille de Marc, mais il l’avait élevé depuis qu’elle avait six ans, deux ans après l’accident de moto de son père qui l’avait emporté.
Aéroport, navette, clé, cocktail de bienvenue, l’arrivée à l’Hôtel Pierre et Vacances se déroula normalement. La chambre se situait rez-de-jardin, face à la mer. La terrasse, commune à deux chambres, pouvait être divisée en deux, grâce à un panneau coulissant. Un chemin juste devant permettait l’accès en quelques minutes au restaurant, à la piscine ou encore à la plage. Quoique fatigué par le voyage, Marc sentait déjà son corps se détendre et son esprit lâcher prise. Il installa ses affaires, visita rapidement l’hôtel, mangea un paquet de gâteau qu’il lui restait du voyage et s’endormi.
Le lendemain, levé de bonne heure, il fût dans les premiers à se présenter au buffet pour le petit déjeuné. La salle se remplit tranquillement, de couples jeunes et moins jeunes, de familles, d’hommes d’affaires, d’homme seul comme lui et quelques femmes seules aussi. Il ne pu réfréner un petit sentiment de plaisir et d’excitation à l’idée qu’il verrait quelques unes des femmes présentes en maillot autour de la piscine. Une jolie blonde trentenaire assise deux tables plus loin, en face de lui, avec son mari n’avait même pris la peine de mettre un soutien gorge sous son tee-shirt et l’on pouvait voir ses jolies seins pointer à travers le tissu et se déplacer librement lorsqu’elle se servait au buffet. Une autre, pressée d’aller se baigner, prenait son café en maillot face à son homme encore endormi. Marc sentait que d’être entouré par toutes ces femmes en tenues légères ajouterait une grosse plus-value à ses vacances. Une famille arriva et s’installa sur la table à coté de lui. Un homme et une femme, la quarantaine passée accompagnés de deux filles d’une vingtaine d’année, l’ainé devait avoir à peu de chose près l’âge d’Emma. L’homme était de la taille de Marc, brun, assez sportif, le sourire et l’attitude de quelqu’un de dynamique. Sa femme était un peu plus discrète, brune, cheveux frisés, le teint mat, habillée d’une robe légère recouvrant un maillot de bain. Difficile à qualifiée, elle n’était pas vraiment une déesse de beauté, mais ne méritait vraiment pas d’être mal considérée. Elle semblait un peu effacée et c’est probablement ce qui la rendait difficile à décrire, car avec un peu de charme, une attitude plus sûre d’elle, elle pourrait interpeler beaucoup plus d’hommes. Les deux filles étaient très jolies! Elles se ressemblaient énormément, seul la différence d’âge, 2-3 ans probablement, marquait une petite différence entre elles. Elles étaient brunes, les cheveux longs, raides, la peau mate, les yeux claires, la silhouette fine, fragile. Elles étaient habillées de la même manière : un haut de maillot de bain qui laissaient leurs ventres plats et bronzés dénudés et un short en jean qui moulait parfaitement leurs fesses et laissait paraître la partie inférieure et galbées de celles-ci. Mains fines, jambes fines, pas de maquillage, pas de vernis : pas besoin. Leur attitude, un peu timide et sage, comme leur mère, finissait de compléter cette description : tout était cohérent !
Marc retourna à sa chambre afin de définir le programme de la journée. Ou pas !Alors qu’il étudiait les cartes, il vît la famille revenir dans sa direction. En fait, il compris qu’ils partageaient la même terrasse car il s’agissait de ses voisins. L’homme se présenta :- « Bonjour, Didier Renoir ! » lui annonça t’il d’un ton franc.- « Marc Germain, enchanté ! »
Didier et Marc firent la conversation tandis que les femmes rentrèrent dans leur chambre afin de se préparer. Didier lui expliqua qu’ils venaient de Poitier, où il possédait une quincaillerie familiale. Sa femme s’appelait Sandrine et ses filles Coralie et Mary. Lors de leurs échanges, il apprit également que Coralie avait 21 ans et préparait un BTS, Mary, 19 ans était vendeuse dans une librairie. Tous les 4 habitaient un jolie pavillon en périphérie de Poitiers. Les présentations faites, ils parlèrent de leurs boulots respectifs et voyant que les femmes étaient prêtes, Didier proposa à Marc de les accompagner à la plage située devant l’hôtel, rituel quotidien, afin de poursuivre leur conversation. Marc accepta et la troupe se dirigea vers la plage et s’installa à proximité d’un parasol en bois et feuilles de latanier. Les filles enlevèrent leurs shorts, Sandrine sa robe et toutes les trois allèrent se baigner. Didier et Marc poursuivirent leur conversation qui en fait ne s’était pas vraiment arrêter. Marc pu admirer les silhouettes des Renoir et constata qu’elles étaient encore mieux que ce qu’il avait pu l’imaginé au Buffet matinal. Sandrine avait de beaux seins et de belles fesses bien charnues, un ventre que l’on ne pourrait pas qualifier de plat, mais le tout était harmonieux. Abstraction faite du visage et de la taille de la poitrine, le corps de Sandrine lui rappelait un peu celui de Nathalie. Les filles quant à elles n’avaient aucun défaut, même la trace de bronzage qui marquait clairement la limite de leurs culottes de maillot de bain au niveau de leurs fesses, quoique très contrastées, avait quelque chose de charmant.Au cours de leur conversation, Marc vit que Didier reluquait sans trop de discrétion les seins et les fesses des autres femmes présentent sur la plage. La décontraction déjà bien installée entre les deux hommes, Didier se permettait quelques commentaires du style : « Jolie ! » ; « Belles paires ! » ou autres onomatopées souvent accompagnés d’expressions de visage ou bruits typiques d’un macho, disons, « modéré ». Les commentaires pouvaient être tant des compliments que des critiques intolérante sur le poids, l’âge…
Au cours de l’après midi, Marc travailla sur son ordinateur et décida finalement de rester à l’hôtel. De retour de promenade Didier invita Marc à diner sans vraiment lui laisser le choix. Il venait de croiser un gars qui vendait des langoustes sur le bord de la route et avait décidé que ce serait leur repas à tous pour ce soir. Sur quoi il enchaina comme s’il avait été au camping : « Apéro! ». Après quelques ti-punchs bien chargés, Sandrine annonça que le repas qu’elle avait préparé était prêt. S’en suivit « l’indispensable » photo avec les crustacés et Didier demanda à Marc de lui donner son appareil photo afin qu’il pose avec tout le monde et puisse commencer à accumuler les souvenirs de vacances. Repus et ivres, enfin, les hommes ! Tout le monde alla se coucher. Une fois prêt à se coucher, Marc pris son ordinateur et téléchargea les photos de son appareil. Il les regarda et eu un sourire en revoyant les images de la soirée, plusieurs photos prises par Didier étaient flous d’autres étaient amusantes et Marc reconnu que c’était une belle et charmante famille. Il vit également d’anciennes photos prises avec Nathalie, ce qui l’attrista un peu. Il fini par aller sur un site porno sur lequel il avait l’habitude d’aller, se masturba et alla se coucher.
Le lendemain, le rituel s’installa et Marc se laissa porter par le programme de la famille Renoir. A la différence que à la plage, Didier avait emporté son appareil photo et commença par prendre des clichés de ses femmes ou du paysage, mais, ce n’était pas la seule raison, il y avait souvent une femme dans la mire. Au bout du compte, il ne s’en cacha pas et faisait les mêmes commentaires que la veille tout en capturant les sujets concernés. Marc donnait que des réponses évasives sans trop se mouiller dans ses commentaires, comme il l’aurait fait si Nathalie avait été proche. Didier se laissait parfois aller avec un « Putain elle est bonne elle, regarde son cul ! » L’après midi, ils allèrent tous ensemble à une autre plage située à St Anne. Les filles se bronzèrent la peau et dès qu’elles quittaient leurs serviettes pour aller se baigner, le cinéma de Didier reprenait. Cette fois Marc commençait à lever les tabous car la situation lui plaisait aussi et que son nouveau copain ne faisait que dire tout haut ce que lui-même pensait tout bas. Didier lui dit de faire comme lui, de prendre des photos, mais Marc lui répondit qu’il était trop timide pour faire ça et qu’il avait la frousse de se faire surprendre. « Mais qu’est ce que tu t’en fous, t’es en vacances ! Tu ne les reverras jamais ! Et qu’est ce que tu crois, elles aiment se faire mater par les mecs, regarde celle-ci comment elle est habillée ! Tu crois que c’est juste pour avoir des fesses bronzer ?» dit-il en montrant du doigt une femme se dirigeant vers la mer. « Et elles avec leurs seins nus ! Elles aiment qu’on les mate ! Elles aiment nous exciter ces salopes ! » La conversation se termina là car Sandrine, Coralie et Mary remontaient vers eux. Didier prit des photos des filles étendues sur leurs serviettes car la femme au string remontait vers ses affaires et il ne voulait pas la manquer.
Marc rêvassait un peu en s’imaginant des scenarii romantiques et sexuels avec les femmes qu’il avait pu voir sur la plage. Beaucoup d’entre elles étaient seins nus et il ne se rappelait pas avoir vu autant de poitrines en même temps de toute sa vie. De retour à l’hôtel, les femmes Renoir filèrent vers la piscine tandis que Didier vint sur la terrasse de Marc en lui disant :
- J’ai cru voir que tu avais un ordi portable, tiens télécharge mes photos, ça te feras des souvenirs ! » me dit il en me faisant un clin d’œil.Marc prit la carte SD qu’il lui tendit, la mis dans la fente de son portable prévue à cet effet et la rendit à Didier en le remerciant. Le soir, Marc mangeât dans sa chambre et se coucha pour regarder un film. Il entendit les Renoir rentrer du restaurant. Après avoir regarder un deuxième film, il décida qu’il était temps de s’endormir. Un bruit l’interpela. Après quelques instants, il compris que c’était Didier et Sandrine qui faisait l’amour, enfin, Didier faisait l’amour à Sandrine à la manière que l’on peut l’imaginer. Les gémissements de plaisir de Sandrine étaient accompagnés par des grincements de lit.Excité, le sexe raidit par la situation, Marc ne pu s’empêcher de rallumer son ordinateur et de se passer les photos de Didier. Il vit d’abord les photos de la plage du matin et pu redécouvrir les corps des femmes Renoir. Elles l’excitaient, c’était certain ! Il s’arrêta sur une photo de Sandrine en maillot et commença à se masturber. C’est cette même femme qui était en train de gémir à coté !!! A présent, il était vraiment excité et il entendait dans sa tête la voie de Didier qui commentait les photos qu’il regardait :« - Regarde cette salope, elle t’excite mon cochon ? Ecoute comment elle gémit quand on la baise ! Ecoute combien elle aime ça »Marc continua de faire défiler les photos, il vit alors une photo de Coralie, fraichement sortie l’eau. Ses petits seins en forme de petites poires, bien fermes pointaient légèrement. Son bas de maillot, noir, lui moulait le sexe et on pouvait distinguer un trait qui devait être sa fente. Rasée ! en conclut Marc tout en faisant coulisser sa main sur son membre. Il continua de faire défiler les photos et arriva sur celles de St Anne. Putain ! il y en avait pleins, pleins de photos des salopes qu’ils avaient vues au cours de la journée. Puis apparu la photos de la femme en string ! « C’est vrai qu’elle avait un cul magnifique ! » pensa t’il. Il sentait son orgasme proche. La photo suivante montrait les trois femmes Renoir allongées sur le ventre sur leurs serviettes. Les trois paires de fesses brunes, bronzées, laissant apparaître les parties moins exposées sous forme de traits blancs. Ces trois paires de fesses aimantèrent son regard. Il reconnu chacune des propriétaires, même si l’on ne voyait que leurs chevelures brunes. En premier plan, il s’agissait de Coralie, des belles petites fesses légèrement bombées, ses hanches étaient larges et le creux de ses reins accueillant. La main de Marc allait et venait sur son membre sans jamais ralentir. Il se branlait sur les fesses de Coralie en imaginant sa queue entrer et sortir de sa chatte située juste en dessous, il imaginait ses mains sur ses hanches, son bassin claquant sur ses fesses pendant qu’il la prenait. Son regard glissa vers Mary. Quoique un peu trop jeune pour lui, Marc ne voulait pas la déshonorer. Son corps de 19 ans était bien celui d’une femme avec tout ce qu’il faut pour plaire aux hommes. Elle aussi devait exciter bien des hommes. Il continua ses aller-retour sur sa queue désormais dur comme du bois. La courbe qu’avait prise son sexe était à son point de rupture. S’il venait à faire un faux mouvement, c’aurait été douloureux. Finalement, ses yeux se posèrent sur le cul de Sandrine et la il accéléra encore la cadence déjà soutenue. Son imagination partait dans tous les sens. Il s’imaginait la baisant comme une pute, sa bite entrant et sortant de sa chatte trempée, il lui aurait claqué les fesses de temps en temps tout en la pénétrant, il aurait fait tournoyé son pouce sur son anus pour finir de la dominer. Et sa main continuait de branler sa bite sous les bruits de la même femme dont une cloison les séparait. Le sperme monta, l’orgasme éclata et Marc eu juste le temps de prendre la serviette qui était posé dans son dos pour accueillir les nombreux jets de sperme. Son éjaculation dura un bon moment. Il pu d’ailleurs le constater en voyant la quantité de foutre maculant la serviette bleue. Transpirant, Ko, il ferma son ordi et se laissa emporter dans un sommeil profond avec les images de la journée tournoyant dans sa tête.


Au cours de la matinée, rien d’inchangé, Marc rejoignit les Renoir au buffet. S’en suivit une petite plage. Marc regardait chacune des Renoir, un sourire en coin du fait qu’il s’était masturbé la veille sur elles. Didier entama la conversation par des banalités puis chercha à en savoir plus sur la famille de Marc. Marc lui parla de Nathalie, la décrivit en détail. Didier voulait bien sur tout savoir : comment sont ses seins, elle est rasée, comment elle suce… Ceci ne surpris pas Marc qui contenta son nouveau copain. Il enchaîna sur l’histoire de Emma dont il n’était pas le père, celui-ci ayant succombé à un accident de moto dans ses premières années. Marc la décrivit également et les deux hommes échangèrent sur les difficultés de leurs positions de père et beau-père. Même si leurs filles respectives étaient relativement sages, ils découvrir qu’ils avaient dus faire face aux mêmes difficultés lors de leurs poussées d’hormone et leurs besoins d’autonomie. Mais globalement, il semblait que pour tous les deux, c’était de l’histoire passée. Marc enchaina sans trop prendre de gant en expliquant à Didier qu’il avait entendu leur ébat nocturne et lui demanda comment il gérait avec Coralie et Mary, sachant qu’ils étaient tous dans la même pièce. « - Si je vous ai entendu, elles doivent également vous entendre! » constata Marc« - je sais pas! En fait, j’men fout un peu! Elles sont adultes maintenant, elles sont probablement déjà passées à la casserole de toute façon! Tu ne crois pas ! » « - Je sais pas ! Mais, je crois que ça me bloquerait de faire ça sachant qu’Emma est à coté ! »« - Tu parles ! Elle en profiterait pour confirmer ce qu’elle sait déjà. Elle est forcément allée sur des sites de cul voir comment ça se passe et ce qui l’attend ! Crois moi ! Elle aussi elle s’est peut être déjà fait secouer ! »« - Ma foi, c’est peut être pas faux, déclara Marc, un jour j’ai surpris Emma qui se masturbait dans sa chambre. Elle ne m’a pas vu, j’ai vite fait demi tour! Ca m’a un peu foutu mal à l’aise »Les pupilles de Didier se dilatèrent, pour la première fois depuis leur rencontre, Marc avait réussi à le surprendre, et il regrettait à présent un peu son excès d’honnêteté. Un silence s’installa et pour briser la gêne, il conclut en disant :« - En tout cas, les cloisons ne sont pas épaisses ! »
L’après midi, Marc fit cavalier seul. Il se alla se promener dans les rues de Pointe à Pitre où il flânât un moment. Exténué par la chaleur, il s’arrêta boire un verre sur un terrasse de bar pour se reposer et se rafraichir. Un groupe de cinq femmes, trois antillaises et deux métros étaient également en train de papoter en buvant un verre et en fumant des clopes. Quatre d’entre elles étaient ce que Didier qualifierait de canons. Leurs robes étaient courtes, légères et moulantes. Elles exhibaient clairement leurs corps bronzés dont elles étaient fières. Marc pensa immédiatement à Didier et tenta de prendre discrètement quelques clichés avec son téléphone. Son forfait accompli, il traina encore un peu dans les rues puis rentra à l’hôtel. Il ne pu refréner son envie de partager sa pêche avec son ami et dès qu’il le croisa, il lui dit, tout fière, qu’il avait des photos de bonasses à lui montrer. Didier, bien évidemment très intéressé, le suivit dans sa chambre. il passa rapidement vérifier que ses femmes étaient toujours à la piscine et apparu tout impatient chez Marc, fière de pouvoir montrer ses premières photos à son mentor. « - mmmmm ces petits culs black, j’adore, tiens mets les moi sur ma clé USB » Marc introduisit la clé que Didier avait du récupérer en passant dans sa chambre. Ils commentèrent ensemble chacune des femmes de la terrasse en décrivant sommairement ce qu’ils aimeraient réciproquement leur faire. Didier enchaîna sans transition :- Tiens, tant qu’on y est, montre moi des photos de ta femme et de ta belle fille » Marc feignit d’en avoir avec lui, mais, Didier insista :- « Vas-y, je suis sur que tu en as sur ton ordi ! »Sous la pression, pris au piège, Marc ouvrit son album personnel.Il tentât de choisir un dossier dont il serait sûr du contenu, mais Didier le mis sous pression en lui disant que ses femmes arrivaient.« - Dépêche-toi, mets-moi plusieurs albums, je regarderais ça cet après midi ! »Marc transféra une douzaine d’albums récents sans prendre le temps de les choisir. Il regretta mais n’eu pas la possibilité de faire marche arrière. Didier retira la clé et alla à la rencontre de Sandrine, Coralie et Mary.
Après une petite sieste tranquille durant laquelle Marc bouquina un peu, ils partirent tous les 5 en direction d’une cascade située en Basse Terre. Après une courte marche à travers la forêt, ils arrivèrent à une rivière d’où émergeait un vrombissement, celui d’une chute que l’on pouvait déjà distinguer. Un groupe de 5 jeunes, 4 garçons et une fille étaient déjà sur place et plongeaient les uns derrière les autres : plongeons, sauts, bombes, etc. Les 5 touristes s’installèrent sur un rocher situé proche du bassin. Tous enlevèrent leurs chaussures de marche et leurs vêtements afin de se retrouver en maillot. Entrée progressive dans l’eau fraîche et baignade sous la cascade. Au bout d’une demi-heure, le groupe de jeunes partit, les Germain-Renoir se retrouvèrent seuls, le site leur appartenant à présent. Didier lança les hostilités en réalisant quelques plongeons, Marc lui emboita le pas. Sandrine se laissa alors tenter, parer par Marc afin qu’elle ne glisse pas sur les roches. Didier avait eu le temps de remonter et nous faisions à présent la queue sur le rocher qui servait de plongeoir. Sandrine, sauta, raide comme une lance, et une fois dans l ‘eau elle réalisa qu’elle avait perdu son haut de maillot. Marc sauta et ressorti avec celui-ci dans la main. Didier, ayant assisté à la scène enchaina :- il y personne, pas besoin de maillot ! Allez, tous à poil !Il descendit son slip de bain, laissant son sexe à la vue de tout le monde avant de sauter n’importe comment pour amuser la galerie. Marc eu le temps de voir que l’engin de Didier n’était pas spécialement grand, 15-16 cm, en revanche il était bien épais, sa circonférence dépassant sans aucun doute celle de son propre membre. Sandrine ne prit pas la peine de remettre son haut tandis que les filles, suivirent leur mère et firent tomber la partie supérieure de leurs deux-pièces.Marc découvrit les seins des trois filles. Il ne pu refreiner son envie de les regarder en détail. Elles avaient toutes les trois pratiquement les mêmes mamelons : d’une teinte légèrement foncée, avec les extrémités qui pointaient en raison de l’eau froide de la rivière. Les seins de Sandrine avaient des aréoles plus larges que celles de ses filles et quoique toujours relativement ferment, ils tombaient légèrement mais sans que ceci soit inesthétique. Coralie et Mary avaient quant à elles de magnifiques petits seins bien fermes. La seule différence que l’on pouvait noter était leur grosseur. Mary n’avait aucun pli en dessous de ses seins en raison de leurs petites tailles et de leurs fermetés. On distinguait des signes de frissons sur l’ensemble de leurs seins. Marc aurait bien voulu tester leurs fermetés et leurs goûts. Il sorti de l’eau avant que les effets de cette vision s’accentue et se dirigea à nouveau vers le plongeoir. Didier lui signifia qu’il devait également laisser son maillot avant de continuer sa route, et afin d’éviter toutes discussions inutiles, il s’accomplit en retirant son maillot, laissant apparaître une queue, pas forcément très épaisse, quoique généreuse, mais dont la longueur interpela tout le monde. Les filles qui étaient discrètement dans l’attente de ce moment restèrent coi. Mary avait la bouche entrouverte et Coralie avait le regard aimanté par ce membre dont elle n’en avait probablement jamais vu d’équivalent. Marc connaissait la longueur de son sexe, 21 cm, mais il n’était vraiment pas de ceux qui s’en ventent à tout bout de champs. Puis, pour lui, cela n’avait rien d ‘exceptionnel, même s’il était content de posséder un tel engin, il ne s’exhibait que rarement, dans de tel occasion. Afin de ne pas rester focaliser sur le regard de Coralie dont les yeux étaient menottés à son membre, il enchaina sa course vers le plongeoir et se jeta immédiatement avant de se retrouver avec une érection qui l’aurait mis dans une position vraiment délicate. Didier ne manqua pas de faire une photo de la troupe au complet, minuteur sur 10 secondes. C’est dans la boite !De retour à l’hôtel, pendant que les Renoir se douchaient, Didier débarqua sans frapper dans la chambre de Marc. Je t’ai rapporté les photos d’aujourd’hui, comme ça tu pourras compléter ton album de vacances. Un clin d’œil accompagna le don. Le soir, Marc, obséder par les nouvelles images stockés sur son ordinateur, ne pu s’atteler à quoique ce soi d’autre. Avant même d’ouvrir l’album du jour, il avait une érection bien avancée. Les images qu’il visionnait n’arrangèrent rien. Les petits culs des filles descendant dans la forêt, habillés par leurs shorts moulants entrainèrent immédiatement une translation de la main de Marc vers son membre désormais dur comme du bois. Il entama une branlette en continuant de faire défiler les images et lorsqu’il tomba sur les photos dénudées des Renoir, il accéléra le rythme. S’en suivit une série de zoom et de commentaires qui parfois sortait de sa bouche :- Putain, qu’est ce qu’elles sont bonnes ces salopes, regarde moi ces paires de seins, mmmmmmmm, je les boufferais toute la nuit si je pouvais.- Mère et filles, je vous baiserais toutes les trois.    Sandrine, ils sont beaux tes nichons, parfait pour y mettre ma queue au milieu, t’es presqu’aussi bien foutu que Nathalie !Il tomba sur une photo, seins nus de Coralie :- Et toi petite salope, t’as aimé ma queue tout à l’heure, j’ai bien vu ça petite cochonne, tu la bien regardé ma queue, elle avait l’air de te plaire, je suis sur que tu l’aurais bien mise dans ta bouche !Il tomba enfin sur la « photo de famille » et après avoir disséquer chacun de ses membres, il éjacula une belle quantité de sperme sur la serviette de bain qu’il avait autour de la taille. Il n’eu aucun sentiment de culpabilité, au contraire, il commençait à bien les apprécier les Renoir et fantasmait désormais au quotidien sur ses voisines de palier.
Après le repas du soir, Didier se présenta à nouveau à la porte de Marc. Il ne tourna pas autour du pot longtemps :- Alors ces photos, tu les a trouvées comment ?- Je ne les ai pas encore toutes regardées, menti Marc.- Foutaise, je ne te crois pas ! En tout cas, moi, j’ai regardé les tiennes, et franchement, je n’ai pas été déçu, elles sont carrément bonnes tes gonzesses ! La paire de seins de ta femme, wow, impressionnant, tu dois bien te régaler. Et ta belle fille… Comment elle s’appelle déjà ?- Emma- Ouai, Emma, elle est magnifique ! Quand j’ai vu les photos de vos vacances en Bretagne, j’avais à moitié une érection. Ca ne doit pas être facile tous les jours d’avoir une beauté pareil sous ton toit. Marc savait que ce n’était pas une bonne idée d’avoir transférer tous ces albums sans les vérifier. Il voyait parfaitement de quelles photos Didier parlait, pour les avoir déjà regardé de nombreuses fois…- Tu sais, à force, on s’y fait ! Se risqua MarcDidier répondit par un rictus qui en disant long sur les capacités de self contrôle que l’on pouvait avoir face à une minette de 18-20 ans avec un tel corps.- En tout cas, tu as émoustillé Coralie tout à l’heure. J’ai bien vu dans son regard que ton engin ne l’avait pas laissé indifférente. Pas plus que Sandrine et Mary d’ailleurs, j’ai surpris Mary demander à sa mère si c’était possible de faire rentrer un tel « truc » dans un minou. Faut dire, t’es monté comme un âne !- C’est pas pire que la tienne, elle est bien plus épaisse que la mienne.- En tout cas conclut Didier, elles vont faire de beaux rêves cette nuit. Et moi aussi…Que fallait-il en conclure ? Parlait-il d’Emma ?Faut dire, Emma était plutôt canon. Les photos dont parlait Didier la montraient en maillot de bain au camping l’année passée. Elle avait tout juste 20 ans.Emma était petite, blonde avec les cheveux ondulés, avec un peau relativement pâle mais, sans vraiment de défaut. Marc adorait ses pieds et ses mains car il trouvait qu’ils n’avaient pas de défaut.Ses seins étaient parfaits, ils remplissaient parfaitement ses soutien-gorges qui semblaient tout le temps sous pression. Elle avait un percing au nombril et portait souvent des culottes et maillots qui lui découvraient la moitié des fesses, aussi gonflées et tendues que ses seins. Ses cuisses n’étaient pas fines comme celle de Mary, mais plutôt bien musclées, ce qui lui donnait une silhouette parfaite. Didier, toujours présent dans la chambre de Marc ne pu retenir son excitation et ajouta :- En fait, elle m’a carrément foutu la gaule ton Emma. Marc ne su ce qu’il fallait répondre : paraître outré, ne rien répondre, le foutre dehors. Sans avoir tourner 7 fois la langue dans sa bouche avant de parler, il répondit :- Je comprends. Didier sourit et enchaina directement :- Tu en as d’autres des photos comme ça ?Marc se pencha sur son ordi et montra les albums de famille, de préférence ceux des périodes estivales dans lesquels Emma apparaissait dans ses meilleurs profils…- Mets les moi sur la clé s’il te plaît.Marc s’exécuta. Marc reparti sans trainer et revint 15 minutes plus tard avec un petite sac en plastique dans la main.- Tiens, cadeau mon pote, c’est tout frais du jour !Et il fit demi tour pour rejoindre sa propre chambre.Marc ouvrit le sac et vit deux culottes en coton noires en chiffon au fond du sac.Il compris tout de suite de quoi il s’agissait ! En les sortant, il pu même préciser leurs origines : il s’agissait des culottes de Coralie et Mary et le commentaire de Didier signifiait qu’il s’agissait de celles qu’elles avaient portées le jour même. Le cœur de Marc se mit à battre la chamade et il avait l’impression qu’il allait traverser sa poitrine. Il ouvrit ses cadeaux et admira les traces de sécrétions produites par les jeunes chattes de Coralie et Mary. Il les porta à son nez pour en apprécier le parfum. Il ne fut pas déçu et son sexe encore moins. Après les avoir humer l’une après l’autre tout en se masturbant, il posa sa langue sur l’endroit où les petites lèvres des filles s’étaient posées et lapa consciencieusement les traces fraîches. Il ne résista pas non plus à passer un autre coup de langue à l’endroit ou le tissu avait caressé les anus des deux jeunes femmes et en apprécia le goût plus prononcé. Il fit durer l’instant le plus longtemps possible, enroulant sa queue avec les culottes, posant son gland là où les orifices avaient laissé leurs traces… Il voulu éjaculer dans les cadeaux fournis par son ami, mais jugea que ceci serait déraisonnable et inonda plutôt le sol de la chambre. Marc réalisa qu’il avait franchit un cap avec Didier. Ils étaient désormais deux pervers en quête de nourriture pour leurs jeux solitaires.Marc cacha les culottes sous son oreiller et s’endormit. Dans la nuit il entendit à nouveau les gémissements de Sandrine et en profita pour se masturber à nouveau dans les slips de ses filles. Sandrine aussi il aimerait la baiser. Elle l’excitait tout autant que ses filles.
Le lendemain matin, Didier tomba sur Marc, à peine sa porte-fenêtre ouverte.- Alors, tu t’es bien régalé ?- Carrément, merci !- T’inquiète, c’est normal, entre pote, il faut partager les bonnes choses. D’ailleurs, tiens, cadeau !Didier tendit la même clé USB qui servait à faire leurs échanges. Il pensait aller à la plage avec les voisins, mais décida finalement de rester lire !!!Dès qu’il pu, il introduisit la clé dans son ordinateur et constata qu’elle comportait deux dossiers : « Emma » et « Coralie »Il s’empressa d’ouvrir « Emma » et fit dérouler les photos : les premières étaient une sélection des albums que Didier avait récupérer, et suivirent des photos de Emma sur lesquelles était posé une grosse queue épaisse dont le gland était gonflé à bloc. Pas de doute, c’était celle de son ami. Quoique choqué au début, l’excitation pris rapidement le pas et il poursuivit son visionnage. Les photos étaient dans l’ordre chronologique et dans les dernières, on voyait le visage d’Emma recouvert de sperme. Son pote s’était branlé sur sa belle fille. Il ne pu le désapprouver car lui même s’était astiquer sur les siennes !Du coup, il s’empressa d’ouvrir le second dossier : il fut abasourdi par ce qu’il vit, des photos de Coralie, nue en selfie. Elle posait devant son miroir. D’abord habillée d’une robe noire moulante, puis en sous-vêtement, et le moment que Didier attendait : seins nus, puis totalement à poil. Sur les suivantes, on la voyait même les jambes écartées. Son cœur battait la chamade dans sa poitrine en découvrant les images les unes après les autres. La chatte de Coralie était ouverte, laissant paraître des petites lèvres toutes fines, légèrement brunes et un méat dont les contours brillaient sous la lumière du flash. Des poils très bruns recouvraient son mont de Venus, toutefois, ils avaient été taillés très ras, ce qui laissait une vue parfaite de tous les détails du sexe de la jeune femme. Marc avait bien évidemment sorti son sexe et allait et venait, recouvrant et découvrant son gland avec son prépuce, les yeux grands ouverts. Il accéléra quand il vit Coralie avec le manche de sa brosse à cheveux dans la bouche ! Putain, elle allait le faire ! Et oui, les photos suivantes la montraient avec la brosse dans la chatte. Cette fille timide, gentille, douce que l’on croirait parfaitement innocente était déjà une belle salope. Personne ne lui le reprocherait, surtout pas Marc et probablement pas plus Didier. L’apothéose fut quand il vit les mêmes photos recouvertes également par la queue et le sperme de Didier. Le salaud se branlait aussi sur sa propre fille ! Il revoyait les photos d’Emma dont la plupart avait été prise lors des vacances d’été de l’année précédente. De voir la queue bien raide de son ami sur le visage de sa belle fille l’excitait énormément. Non seulement elle lui plaisait mais, elle lui faisait un gros effet. Il avait du imaginé des tas de scenarii cochon en se masturbant sur Emma, des situations où il l’aurait dénudée, il lui aurait empoigné ses seins bien gonflés, lui aurait certainement glissé la main sous sa culotte pour passer son majeur sur sa fente et explorer sa chatte du bout de doigt ; sentir sa toison, ses lèvres, la taille de son clitoris, faire des petits cercles avec quelques doigts afin d’ouvrir peu à peu la chatte d’Emma, tester l’humidité de l’entrée de son vagin et regarder son visage pour observer l’excitation de cette jolie blonde que tout hommes normalement constitués aurait désiré. Il songeait que Didier avait dû avoir ce genre de pensée car lui même les avait déjà eu auparavant. Il fixa le visage d’Emma traversé par la queue de Didier dont le sperme commençait à sortir et c’est à cet instant que le sperme giclât de la queue de Marc en 4-5 grands jets dans la destination restera inconnue. Marc confirma dans sa tête qu’ils étaient belle et bien deux gros pervers et qu’il avait trouvé ici un mentor.

Durant la soirée, ils mangèrent tous ensemble le repas que Sandrine leur avait préparé. Les filles s’agitaient autour de la table pendant que les 2 hommes discutaient en parlant de leurs affaires respectives. Ils continuèrent leur conversation lorsque la gente féminine décida d’aller se coucher. Après une petite demi-heure de discussion accompagnée de plusieurs verres de digestif, Didier proposa à Marc d’aller chez lui afin de lui montrer quelque chose sur son ordinateur. Ils prirent chacun une chaise et s’installèrent devant l’écran. Didier se mit au clavier inscrit le nom d’un site. Pas de doute sur la nature du site : c’était bien évidemment un site de cul. Didier ne s’arrêta pas là, il entra un pseudo dans l’espace LOGIN prévu à cet effet et entra son mot de passe. La page qui apparu avait pour titre « didi le vicieux » et en dessous apparaissait des albums dont les titres étaient sans équivoque : Ma salopes de tante, Les putes de La Baule, Ma cousine Clémence, Ma queue, et tout un tas de dossiers n’ayant pour titre que des prénoms : Pauline, Sandrine, Niny, et Marc pu voir également Coralie, et … Emma !!!Didier avait mis en ligne des photos d’Emma sur un site porno. Didier brisa le silence : ne t’inquiète pas, il y a juste mes amis qui peuvent les consulter. Il ajouta : - Regarde ce que je voulais te montrer. Il ouvrit alors le dossier « Emma » et Marc pu voir au moins une douzaine de photos d’Emma en petit format. Il cliqua sur la première et la photo apparue en grand sur l’écran avec en-dessous tout un tas de commentaires : jack56 : Elle est magnifique !perversdu13 : Superbe cette salope, à défoncer !!!christellove : Je partagerais bien mon lit avec elle !Papy43560 : Bonne petite chienne à baiser ! J’ai déjà la queue toute raide !Maxouxxx : T’as raison papy, je me branle comme un sauvage !didilevicieux : et moi donc !!!etc.
Marc devint tout rouge et aucun mot ne put sortir de sa bouche. Didier Cliqua sur la photo suivante, une autre photo d’Emma en maillot de bain allongé sur une serviette posée sur le sable. Marc lu les commentaires qui étaient toujours aussi salaces, mais cette fois ils concernaient les fesses de sa belle-fille :
Papy43560 : Ma queue dans son cul !Maxouxxx : je lui boufferais bien le cul à cette chiennedidilevicieux : t’as raison, moi aussififigrm : mmmmmmmmm!perversdu13 : Quelle belle pute !etc.

Et les photos continuèrent à défiler… Suivirent celles comportant les exploits de Didier sur Emma. Les commentaires le félicitaient pour sa performance. Marc fut surpris par les photos suivantes car il ne reconnu pas le membre de son ami. En fait, d’autres mecs avait suivit son exemple et avaient joint leurs exploits personnels sur Emma. Sans trop réfléchir, comme s’il pensait à voie haute, Marc lachâ : - Elle en a fait bander un paquet de mecs ! Il songeât que tout ces mecs avaient du se branler sur sa belle-fille et cette pensée l’excita énormément.Didier ajouta :- Elle a du succès ta petite Emma !- Je vois ça ! - Ca te dérange pas j’espère ? Je me suis dis qu’on n’était pas trop différent et que ça te ferait peut être plaisir.Il n’attendit pas de réponse et poursuivi, tu pourras y ajouter les tiennes, j’imagine que tu as du te faire plaisir aussi sur Coralie, tu n’auras qu’à faire des photos et les ajouter. Tu pourrais même te créer un compte et ajouter des commentaires sur mes albums. Didier esquissa un sourire, il semblait être impatient de les lire… - Comment on fait pour s’inscrire.Didier se décala et laissa le clavier à Marc.- Vas-y, on va le faire ensemble, clique là et réponds aux questions, mets n’importe quoi, on s’en fout. Juste l’adresse mail, si tu en a une perso, c’est peut être mieux!Marc rempli le questionnaire et à ce stade, il devait donner un pseudo :- Qu’est ce que je mets ?- Je sais pas moi, Marco la grosse bite ! pervers marcoMarc tapa sur le clavier et Didier pu lire : Marcolevicieux.Ils finalisèrent l’inscription et Marcolevicieux lança une invitation à Didierlevicieux que celui-ci valida en suivant - Excellent ! acquiesça Didier, Bon, je vais me couché, amuse toi bien !
Marc resta assis devant l’écran pour ne pas que son ami puisse voir la bosse déformant son caleçon et explora les albums de Didierlevicieux.Il y avait une douzaine d’albums que Marc regarda avec attention. Il avait libéré son sexe qu’il ne lâcha que pour ajouter ses commentaires à la suite des autres amis de Didier. Son exploration dura plus d’une heure. Il pu voir des photos d’Emma, de Coralie, de Sandrine sur laquelle il s’attarda. Sur Mary, il inscrivit :Marcolevicieux : Aussi bonne et excitante que sa soeur !
Il pu découvrir les autres membres de la famille Renoir qu’il commenta aussi. Il vit également des photos prises à la sauvette, à la plage, dans des supermarchés dans la rue. Chaque fois qu’il croisait une femme un temps soi peu jolie, excitante, il la flashait et publiait sa photo sur son site. Marc eu du mal à décider sur laquelle il éjaculerait tellement le choix était difficile. Il repensa à Didier et pris son portable afin d’immortaliser la scène : Sandrine fut finalement la chanceuse ! L’écran fut maculé de son sperme, à tel point qu’il avait recouvert pratiquement tout le visage de Sandrine. Clic ! reclic ! Avant de s’affaler sur son lit, il transféra ses photos sur le site dans un dossier qu’il nomma « dédicaces » et les effaça de son téléphone.
L’excitation avait été telle qu’il eu du mal à s’endormir.
Le matin, comme si de rien n’était, le rituel quotidien commença. A la plage, il ne pouvait s’empêcher de chercher de nouveaux sujets qui pourraient compléter un des albums de Didier voire même son seul et unique pour le moment. Il préféra rester discret et observa plutôt son maître. Rien n’avait changé dans l’attitude de Didier. Ils allèrent se baigner tous ensemble et jouèrent dans l’eau. Malgré les lunettes de soleil, Marc préféra limiter ses reluquages envers Sandrine, Coralie et Mary, craignant de se faire surprendre par Sandrine. Ils jouèrent dans l’eau et Didier entama l’habituel jeu qui consiste à couler la personne la plus proche de lui. Mary fut la première victime, elle ressortie les cheveux devant les yeux et, essayant de reprendre son souffle comme elle pouvait, elle sauta dans le dos de son père essayant de le faire basculer à son tour, sa sœur lui vint en renfort mais, même à deux, elles ne parvenaient pas à déséquilibrer leur père. Didier pris Coralie par la taille et la projeta juste devant moi. Délicatement, après avoir attendu qu’elle reprenne son souffle, Marc posa ses mains sur les épaules de la jeune brunette qui était presque aussi grande que lui. Elle eu le temps de se boucher le nez et disparu sous l’eau. Quand elle refit surface, elle se jeta dans le dos de Marc et entoura son torse avec ses bras, comme elle aurait pu le faire avec son oncle ou un autre membre de sa famille. Marc sentait ses mains sur sa poitrine et ses seins collés dans son dos. Ce contact le fit frissonner et il profita de l’occasion pour faire pivoter Coralie face à lui. Il la saisi sous les bras, la paume de ses mains en contact avec ses deux belles boules dont il pu apprécier la fermeté, puis il la rendit à son expéditeur en espérant que leur jeu ne s’arrêterait pas là. Par chance, il fut pris d’assaut par les trois femmes qui lui sautèrent dessus, convaincus qu’elle parviendrait à le faire trébucher. Tant de mains féminines posées sur son corps, Marc céda tout en faisant semblant de se débattre. Ses mains virevoltaient dans tous les sens effleurant tantôt le ventre de Coralie, tantôt les fesses de Sandrine, sa main droite se posa même sur le sein de Mary. Il su que c’était le sien car, vu la taille et la dureté de ce qui remplissait sa main, ça ne pouvait être que celui de Mary, et malgré le cours lapse de temps que dura ce contact, il jurerait avoir sentit son tétons qui avait tendance à pointer au contact de l’eau. Ressortant la tête de l’eau, il croisa son regard et s’excusa. Un peu gênée, celle-ci répondit que ce n’était pas grave et ils continuèrent leur jeu. Didier se rapprocha et lui glissa à l’oreille en lui faisant un clin d’œil :- Petit coquin !
Tout ce petit monde sortit de l’eau et s’étendit sur sa serviette pour se sécher. A nouveau, Marc vit le regard de Coralie se poser discrètement sur son entrejambe. Se remémorant les photos vues la veille, Il songeât qu’à 20 ans passé, la donzelle devait avoir les hormones en ébullition. Coralie devait également se remémorer des images ! Peut être songeait-elle à remplacer le manche de sa brosse à cheveux par un membre chaud et dur comme celui de Marc. Cette idée fit grossir la queue de Marc qui s’allongea immédiatement sur sa serviette, face contre le sable. Pendant que les filles lisaient leurs magazines, Didier qui était allongé à la droite de son ami s’approcha et lui glissa à l’oreille :- Merci pour ta dédicace sur Sandrine !Et il enchaîna :- Tiens, regarde discrètement sur ta gauche, je crois qu’on a un copain. Il se tourna légèrement, feignant de vouloir attraper sa bouteille d’eau. Il vit alors un homme d’une cinquantaine d’année passée, probablement plus proche des 55 ans qui prenait des photos de la plage, un coup vers la mer, un coup vers la plage. Vu l’objectif qui équipait son appareil reflex, il ne prenait pas des plans larges. Son zoom devait lui permettre de faire de beaux grossissements. Les lunettes foncées de Marc ne lui permettait sans doute pas de deviner où celui-ci portait son regard, ce qui le mis à l’aise pour déclencher la capture d’image qu’il prenait en rafale, son doigt restant appuyé au moins deux seconde sur le bouton. Les jolies fesses des filles étaient à coup sûr immortalisées dans la boîte. Il marcha le long de la plage et continua ainsi son petit cinéma.
Didier invita ceux qui le voulait faire une petite marche jusqu’à une crique située à plusieurs centaines de mètre avant de passer à table. Sandrine et Mary se levèrent, décidée à rompre un peu leur torpeur matinale. Marc resta avec Coralie sur la plage pour continuer de farniente. Marc se saisit d’un magazine féminin de Sandrine et commença à le lire. De temps à autre il faisait glisser son regard sur le corps de Coralie, ce qui générait des images cochonnes dans sa tête. Il remarqua que Coralie tournait également parfois le regard vers lui, cherchant l’un comme l’autre à entamer une conversation. Un questionnaire dans le magazine permis de briser la glace :- Chaque été, il nous ressorte toujours les mêmes questions, par contre, c’est toujours pour les femmes.Coralie répondit d’une voie douce : - Il y a aussi des magazines pour les hommes, tu peux en trouver à la boutique de l’hôtel si tu veux.- Sans façon, ce n’est pas trop mon truc. Regarde les questions : vous préférer les hommes plutôt musclés, plutôt drôles, plutôt intelligents, plutôt galants ? Ben, un peu des quatre en fait, enfin, j’imagine. Coralie sourit.Marc en profita pour amorcer une conversation :- Ca va avec ta sœur, vous êtes quand même plus trop en âge de passer les vacances avec les parents, ça ne vous tentait pas de partir plutôt avec vos copains et copines ?- Non, pas plus que ça, répondit Coralie un peu surprise par la question.- Vous avez quel âge toi et ta sœur ?- Mary va bientôt avoir 20 ans et j’ai eu 22 ans le mois dernier.- Et vous ne vous ennuyez pas ici avec les parents, et moi accessoirement.- Euuuh, non, on a toujours fait comme ça ! et on a pas trop l’habitude de sortir avec les groupes de nos âges. On n’est pas vraiment branché alcool et pétards, pis on aime bien être en famille.- Vous pourriez trouver des petits copains ?Coralie rougit à ma question et baissa les yeux quelques secondes avant de se redresser.Marc ne voulant pas la gêner ajouta sur le ton de l’humour :- C’est sûr qu’étant déjà à quatre dans la même chambre ce n’est pas trop possible !- Ton père n’étant pas le champion de la discrétion, ça pourrait effrayer les prétendants ! Son sourire distilla le rouge de ses pommettes. Ses dents blanches, renforcées par le contraste avec sa peau matte la rendait encore plus belle.- Ca c’est clair !Marc vit une petite ouverture dans le dialogue et poursuivit :- Non mais sérieux, ils ne vous réveillent pas la nuit ! Parce que même moi je les entends. Parfois même, ça me réveille.Le sourire de Coralie réduit encore plus l’espace entre la commissure de ses lèvres et ses oreilles.- Si bien sûr, mais on a l’habitude. Des fois avec Mary, on se regarde en faisant semblant de dormir et on se pince pour ne pas éclater de rire. Mais c’est comme ça, on a l’habitude. Pis on n’est plus des gamines, ils ont le droit de profiter de leurs vacances aussi, c’est mieux que d’avoir des parents qui s’engueulent toute la journée. Ces paroles confirmèrent à Marc que la fille qu’il côtoyait depuis plusieurs jours maintenant n’était effectivement pas aussi innocente qu’il lui avait semblé lors de leur première rencontre. En tout cas, si tu rencontres un gars qui te plait, tu peux compter sur moi pour te couvrir. Je serais muet comme une tombe et en plus, je pourrais toujours te laisser ma suite pour que vous puissiez vous voir en toute discrétion. - Merci Marc, mais ce n’est pas nécessaire. - Ah, pardon, vous avez sûrement déjà vos copains sur Poitier ! Cette réponse était plus une question qu’une affirmation, Marc cherchait clairement à en savoir plus sur les déesses brunes qui enjolivaient ses vacances. - Non, non, tu sais, on habite chez papa et maman et en plus les mecs ne sont pas vraiment intéressant, ils sont plus omnibulés par leurs consoles de jeux et leurs pétards que par les filles. Et, je préfère me consacrer à mes études pour le moment. - Ca ne t’empêche pas d’en profiter de temps en temps ! Il y a bien des mecs qui doivent te plaire un peu.Coralie se remit à rougir et répondit timidement, le regard fuyant. - Je ne sais pas ! Oui, parfois, mais de toute façon, je n’ose pas.- Qu’est ce qui te bloque ? Tu es très jolie, plutôt canon même, tu pourrais avoir tous les mecs que tu veux, c’est sûr !- …- La plupart des filles de ton âge ne se pose pas autant de question ! Et crois-moi, il faut en profiter, surtout entre 20 et 30 ans ! Après quand tu te poses c’est toujours aussi bien, mais tu n’as plus la même liberté.- …- …- En fait j’ai eu une petite déception amoureuse il y a deux ans et je ne suis pas vraiment prête à ressortir avec un mec.Marc essayant de garder un brin d’humour lui dit avec virilité :- Dis moi qui c’est que je lui casse la gueule !Coralie sourit à nouveau.- J’avais rencontré un gars, mais, en fait, il habitait loin. On se voyait tous les jours sur skype, mais c’est pas pareil. Et finalement, il a finit par me tromper.Marc compris alors comment Didier avait pu obtenir les photos du striptease de Coralie… - Y a vraiment des tocards !- C’est clair ! - Mais, sache que tous les hommes ne sont pas comme ça. Beaucoup peuvent être, drôle, intelligent, musclé et galant !Coralie sourit de plus belle à la référence faite au questionnaire du magazine. - Et tu pourras même trouver des mecs qui te guident dans tous les cotés les plus sensuelles des relations entre les hommes et les femmes. Coralie pris une inspiration qui laissait penser qu’elle se languissait de vivre ce genre de moments.- Tu verras Coralie, tous les hommes ne sont pas des salops.- Mon père me dit la même chose- Ah, tu vois !
La journée se déroula tranquillement, personne ne quitta l’hôtel. Les Renoir-Germain profitait plutôt de la piscine, surtout les filles. Didier, Sandrine et Marc faisaient des aller-retour pour se rafraichir de temps en temps. En fin de journée, Marc revit le quinquagénaire de la plage assis sur une chaise haute, abrité sous un petit parasol à proximité de la piscine. Il buvait un cocktail alcoolisé, l’appareil photo posé sur la table, prêt à dégainer. Mary le remarqua car elle lui jeta un regard noir, fronçant les sourcils comme si elle avait compris qu’il n’était pas là que pour profiter de la piscine. Elle replongea à nouveau dans la piscine et n’y prêta plus attention. En fin de journée, Didier vint voir Marc et lui proposa de sortir le soir même : Restaurant, boîte de nuit et il conclut fière de lui … et bain de minuit ! Marc déclina l’invitation, prétextant qu’il voulait passé la soirée au calme et qu’il préférait rester à l’Hôtel ce soir.Finalement, Didier et Sandrine étaient sortis tous les deux, en amoureux. Alors qu’il étendait ses serviettes sur la terrasse, il proposa aux filles qui jouaient à un jeu de carte :- Si ça vous tente, on peut commander une pizza ?- Oh oui, bonne idée ! - Par contre les filles, je vous laisse appeler et choisir les pizzas. Je prends une petite douche et on se rejoint dans une petite quinzaine de minutes. - ok
Les douches prises, tout ce petit monde se retrouva à la terrasse de Marc. En attendant les pizzas, il proposa aux filles de boire un petit apéro et sortit un paquet de chips.- Qu’est ce que je vous offre à boire, j’ai du planteur, des cocas, du jus de mangue ou de l’eau. Pour ma part, je vais me faire un petit planteur, il est vraiment bon et pas trop fort, si ça vous tente.Après une courte hésitation, elles acceptèrent la proposition de Marc qui leur servit deux verres au trois quart plein. Les pizzas tardant à arriver et les langues commençant à se délier, Marc servit un deuxième verre à tout le monde. La conversation tournait autour des études, de Nantes et de Poitiers, d’Emma, de la musique, des films, etc.Les pizzas livrées et aussi vite mangées, Mary proposa de continuer la soirée en jouant aux cartes. Marc proposa d’installer la table à l’intérieur car il commençait à se faire attaquer par les moustiques. Tout en jouant, la discussion suivait son cours. Lassé de jouer aux cartes, Marc proposa de faire autre chose ou d’arrêter. Mary, tout enthousiaste (et un peu pompette) proposa de jouer à « action ou vérité ». Coralie répliqua qu’ils étaient un peu trop vieux pour jouer à ce jeu d’ado, mais Marc, tout en faisant la moue répondit :- Allez, pourquoi pas, c’est mieux que rien !
- Qui commence ? interrogea Mary- C’est toujours le con qui le demande ! répondit CoralieMary lui fit une grimace. Marc se servit un autre verre de planteur. Les filles, déjà un peu pompettes, déclinèrent la proposition. Marc les servit quand même.- Bon ok, je commence. A Marc, Action ou vérité.- Vérité- Combien as-tu eu de femmes dans ta vie ?- Houla, ça va pas être facile, marquant une pause, il répondit : Je dirais environ une quinzaine.- Ah oui quand même, s’exclama Mary- Oui, enfin, j’ai quand même 44 ans. - Oui, c’est vrai. Mais c’est tout de même beaucoup. A toi Marc- Coralie, Action ou Vérité.- Vérité- Combien as-tu eu d’homme dans ta vie ?- C’est trop facile contesta Mary- Qu’est ce tu appelles Homme : bisous, pelle ou …Les filles étaient un peu éméchées. Marc pu le remarquer à leurs pommettes dont la couleur basculait tranquillement vers le rouge, leurs yeux un peu brillants et au fait qu’elles rigolaient à chacune de leur prise de parole.- Bah plus qu’un bisou et des pelles… insista Marc- Ben un seul alors répondit CoralieMarc comprit qu’il s’agissait du tocard dont elle lui avait parlé le matin même et enchaîna pour dissiper le malaise.- A toi Coralie- Mary : Action ou Vérité- Vérité- Est ce que tu penses que papa et maman savent que l’on ne dors pas quand ils font crac crac- Coralie, pas devant Marc lança t’elle outrée- C’est bon, il est au courant, Marc les entend aussi, on en a parlé ce matin.Tout les trois partirent dans un fou rire incontrôlable. C’est Coralie qui tenta de reprendre le fil du jeu en relançant sa sœur :- Alors ?- Non, jamais de la vie, il ne le ferait pas s’ils savaient qu’on ne dort pas.Marc n’en était pas si sûr.- Marc, Action ou Vérité- Vérité- As tu déjà eu une relation sexuelle avec un hommeMarc répondit :- Oui- Les filles restèrent « bouches ouvertes », comme si elles ne s’attendaient pas à cette réponse.- Mais non, je déconne. Ca ne me tente pas du tout.Et à nouveau, il repartir dans un fou rire … de soulagement.- Mary : Action ou Vérité- VéritéVoyant que les filles étaient un peu ivres, qu’elles semblaient un peu désinhibées et que le sujet se situait essentiellement en dessous de la ceinture, il se risqua :- Comme je suppose que tu n’as pas encore vraiment connu d’homme, es-tu déjà allé sur un site porno ?reéclat de rire !- Euh oui, ça m’est arrivé !Coralie lui lança avec un sourire moqueur.- Ah ouai ! Petite coquine !Réponse de la bergère à la bergère :- Oh ça va ! Toi aussi tu vas voir des sites de cul ! Ne fais pas genre !Coralie, rouge de honte en voulait à sa sœur de l’avoir mise mal à l’aise, mais elle savait que c’est elle qui l’avait provoquée.- Marc, Action ou Vérité- Vérité ma chère Mary- C’est pas trop gênant d’avoir une grosse quéquette !- Mary !!! lança Coralie feignant d’être outrée par la question de sa sœur ! Marc compris que le planteur l’avait probablement plus enivrée que ce qu’il pensait !- Un autre planteur Mary ! Dis Marc en riant - Allez pourquoi pas !Marc rempli les trois verres et répondit avec toute franchise :- Moi, ça ne me dérange pas tu sais, pis ça fait partie de mon corps, elle a toujours été là !- oui mais pour ta femme, elle doit avoir mal, enchaina Mary sans attendre à nouveau son tour.- Mais non, le corps des femmes est fait pour ! Il suffit d’être doux, délicat, attentionné et de bien exciter ta compagne pour rendre le rapport plus facile !Coralie et Mary étaient suspendues aux lèvres de Marc. Cette question, elles se l’étaient posées toutes les deux le jours où, à la cascade, elles avaient découvert qu’un sexe d’homme pouvait être aussi long. Après avoir trempé leurs lèvres dans leur planteur, Marc pu déceler l’air songeur que les deux brunes en face de lui avaient. Elles devaient imaginer ce que signifiait « doux », « délicat », « attentionné » !Marc interrompit leurs songes :- A moi, Coralie, Action ou Vérité ?- Euhhh, Vérité, Vérité !- Est ce qu’il t’arrive de te masturber ?Les filles furent choquées par la question de Marc, mais celui-ci poursuivit :- Vu la tournure des questions, disons franchement les choses, parlons librement. Vous tournez autour du pot depuis tout à l’heure. Je vous propose de discuter librement et se dire les choses. J’ai toujours pensé que les tabous étaient un frein. Je suis sûr que votre père m’approuverait mais, dans sa position, c’est plus délicat pour lui. Mary hocha la tête comme pour approuver ce que venait de leur dire tonton Marc. - Alors, ça veut dire oui ?- Oui, ça m’arrive !- Tu sais que c’est normal, beaucoup de monde le fait et c’est très bien! Et toi Mary ?- Oui, ça m’arrive aussi ! - Et toi Marc ? Tu le fais toujours ou c’est juste quand on est célibataire ?- Je pense que la plupart des hommes se masturbent qu’ils soient en couple ou non. Et je pense qu’il y a beaucoup de femme qui le font aussi, mais c’est beaucoup moins fréquent que chez nous.- Je ne pense pas que papa le fasse encore, vu la fréquence de leurs rapports avec maman, dit Mary- Mais bien sûr que si, il va même sur des sites pornos, je l’ai surpris une fois, mais il ne m’a pas vu.Marc commençait à être excité par la conversation et il ne voulait surtout pas perdre le fil.- Oui, je pense que votre père se masturbe aussi de temps en temps (si elles savaient)!- Et maman, tu crois qu’elle le fait aussi, demanda Mary à sa sœur.- Non, je ne crois pas, déjà qu’elle n’a pas l’air toujours motivée quand papa veut faire crac crac.- Ca ne vous excite pas de les entendre ? demanda Marc.- Non, ce sont nos parents !- Oui, mais vous pourriez faire abstraction de ça et laisser vos pensées divaguer vers d’autres fantasmes.- Des fois, oui, ça peut m’exciter un peu répondit Coralie.- Pas moi, désapprouva Mary.- A quoi tu penses Cora quand tu fantasmes ?Elle bu une gorgée, pris sa respiration, leva les yeux au plafond et décrivit ce qui la faisait fantasmer :- Moi, je rêve d’un homme plus âgé que moi, mais pas autant que toi Marc !- Merci !- Mais, aussi ouvert que toi, attentionné. Qui parlerait librement et me porterait dans ses bras. Il me déshabillerait et m’embrasserait tout mon corps, des pieds à la tête. Il passerait ses mains dans mon dos, m’écarterait les jambes délicatement et me lècherait mon minou.Mary écoutait sa sœur avec la plus grande concentration, les coudes posés sur la table.Ensuite, il remonterait, s’arrêterait au niveau de ma poitrine et en venant m’embrasser, il commencerait à me pénétrer. Les yeux des filles brillaient, tant par l’alcool que par l’excitation naissante provoquée par l’histoire de Coralie. Marc lui avait maintenant une belle érection qui déformait son bermuda, heureusement cachée par la table.Mary, dit en rêvassant:- Oh ouai, ce serait chouette comme ça !- Et toi Marc, c’est quoi ton fantasme !- oulalala, j’en ai pleins !Les filles rigolèrent. - Raconte toujours !- En lien avec notre discussion, un de mes fantasmes serait de regarder une femme se masturber et de me branler en la regardant !Les filles furent surprise par la réponse et avait été un peu interpelées par le mot « branler ». Sur ce, Marc qui commençait à être bien mur, passa à la vitesse supérieure :- Et je pense que je vais probablement pouvoir réaliser mon rêve ce soir !Coralie et Mary sortirent de leur torpeur et furent prises de panique ! On pouvait voir leur respiration s’accélerer et leurs pouls battre la chamade au niveau de leurs tempes.- Allez les filles, je suis sur que vous êtes toutes les deux bien excitées maintenant ! Je parierais même que vos culottes doivent commencer à être bien humides. Pas la peine de le nier, n’est-ce pas ?Coralie haussa les épaules en penchant la tête comme pour dire « Je pense que oui » et Mary plus gênée baissa la tête vers le bas. - Passez chacune votre main dans votre culotte pour vérifier ce que je vous dis.Le ton de Marc était à présent un peu plus autoritaire. Coralie et Mary, de caractère timide étaient à présent plutôt soumises. Mais elle ne semblait pas vouloir fuir. Elles auraient pu se lever et rejoindre leur chambre, mais non, elles restaient là, assissent sur leurs chaises, les bras le long du corps.- Allez les filles, dites-moi si vous êtes mouillée !Coralie finit par s’exécuter. Mary, voyant sa sœur faire, l’imita.De voir ces belles brunes mates passer leurs mains sous leurs shorts excita profondément Marc. Il se dit que Didier serait fier de lui. En tout cas, il l’espérait.Coralie, la main posée sur son sexe regarda Marc dans les yeux et lui fit oui de la tête. Mary acquiesça également. - Montrez-moi vos doigts.Coralie fit attention de ne rien perdre en sortant sa main et la présenta à Marc. Mary fit de même. Elles avaient toutes les deux une main tendue vers cette homme qu’elle ne connaissait qu’à peine. Marc pu voir la cyprine briller sur le bout de leurs doigts.Coralie était clairement trempée, deux de ses doigts était recouvert de sa mouille, ça devait être sacrément inondé la dessous, prouvant que cela devait déjà faire un moment qu’elle était excitée. Mary n’avait qu’une trace blanche au bout du majeur. - ça vous plait tout ça, n’est-ce pas ?Encore une fois, Coralie fit la première un signe de tête suivit de prêt par sa sœur.- Vous aimeriez également voir l’effet que ça me fait de discuter avec vous ?Coralie baissa les yeux vers le bas, impatiente de revoir ce membre qui l’avait déjà interpelé. Il était clair qu’elles avaient rêvé de ce moment et qu’elles apprécieraient.Mary ne répondit pas mais semblait attendre la suite des évènements.Marc recula sa chaise et baissa son short. La bosse qui déformait son caleçon était impressionnante. Il remit sa queue droite afin de laisser aux deux brunettes la possibilité de bien jauger le membre. - Vous voulez en voir plus ?Nouvel hochement d’épaules, les mots ne réussissant plus à sortir de leurs bouches.- Qui ne dit mot consent !Toujours assis, Marc saisi les cotés de son caleçon et fit glisser le tissu le long de son membre. Il le baissa suffisamment pour que ses couilles soient également complètement sorties. Le regard des filles était complètement focalisé sur la queue de Marc.- Elle vous plaît ? Approchez si vous voulez la voir de plus prêt. Allez, approche aussi Mary.Les filles étaient debout de chaque coté de la chaise de Marc et restèrent muette devant l’engin.- Qu’est ce que tu en penses Coralie ?- Elle est …grosse- Elle te plaît ?- Je crois ouiMarc tendit le bras et saisit délicatement sa main et la posa sur sa queue. Il passa ensuite ses doigts par dessus les siens et les referma afin qu’elle referme ses doigts sur l’engin. - C’est comment ?- Chaud et dur- Vas y Mary, donne ta main aussi.Marc fit de même avec la main de Mary et la plaça en dessous de celle de sa sœur.- Ensuite, vous savez ce qu’il faut faire ?Sans répondre, Coralie commença à monter et descendre sa main sur la queue de Marc, obligeant sa sœur à en faire de même. Marc posa alors ses deux mains sur les fesses des deux disciples. Il glissa ses mains sous leurs shorts pour bien saisir leurs fesses à pleines mains.- Oh oui, c’est bon les filles, continuez comme ça.Il passa sa main simultanément entre leurs cuisses et commençait à les caresser à travers leurs shorts. Elles semblaient apprécier toutes les deux. Elles ne gémissaient pas mais on pouvait sentir leurs respirations s’accélérer. - Oh oui, vous m’excitez bien. Enlevez vos hauts et vos soutifs que je vois vos jolis seins. Les deux s’exécutèrent à nouveau. Coralie obéissait à présent sans délai. Marc pu admirer à nouveau les jolis seins aux tétons foncés qui l’avaient déjà fait fantasmer. Sauf que maintenant, il pouvait les toucher. Chacune de ses mains palpait un sein. Ceux de Coralie, quoique bien fermes étaient plus lourds que ceux de Mary qui avait des seins plus petits mais bien durs, probablement gonflés par l’excitation de l’instant.- Prenez chacune votre chaise et mettez vous de chaque coté de la mienne. Toujours sans commentaires, Coralie faisait ce que l’on attendait d’elle tandis ce que Mary observait d’abord sa sœur et reproduisait les mêmes gestes.Enlever vos shorts et vos culottes et asseyez vous au bord de votre chaise.Coralie qui avait saisi ce que Marc voulait était déjà les fesses à moitié sur la chaise et elle écartait ses deux jambes afin d’offrir à Marc le spectacle qu’il attendait.Elle n’était pas mouillée, elle était trempée. Son jus coulait de sa chatte, glissant sur son anus pour continuer le long de sa cuisse. Elle en avait jusqu’à la moitié de sa cuisse.Sa chatte était de la même couleurs que ses seins, légèrement brun, ses petites lèvres portaient bien leur nom et son clitoris sortait de son capuchon et dont la couleur rose contrastait avec le reste. Il pu également voir une petite partie de son anus dont la couleur corroborait avec le reste de son corps.Mary avait exactement le même corps que sa sœur, mais dans des proportions légèrement différentes. - Allez, masturbez vous pour moi maintenant. Comme pour le reste, Coralie ne se fit pas attendre, tandis que Mary commença timidement en faisant maladroitement tournoyer 2 doigts autour de son clitoris. Et alors que Coralie commençait déjà à gémir, Marc saisi sa grosse queue et commença à se branler devant ces chaudasses.- Vous êtes belles les filles, deux belles salopes super excitantes.Cette masturbation à trois dura quelques minutes jusqu’à ce que Marc se lève tout en se dirigeant vers Mary.- Ne craint rien ma chérie, écarte un peu les cuisses, je vais t’aider à jouir.Il pencha alors sa tête entre les cuisses de la plus jeunes des deux sœurs et commença tout d’abord par admirer la chatte de Mary. Contrairement à sa sœur elle n’épilait son sexe que sur les cotés conservant la petite touffe brune intacte. Ses poils étaient assez long mais pas forcément très dense. Marc aimait les chattes poilues, d’autant que celle qu’il avait devant lui était bien entretenue, épilée sur les cotés et en dessous, Mary avait pris soin de s’épiler les contours de son anus, probablement dans le cas où elle porterait un string. Marc avait très envie de lécher ce jolie trou du cul, mais il savait que ce ne serait pas pour cette fois, il risquerait de passer à coté de son objectif qui était de faire jouir cette jeune femme de vingt ans et de lui transmettre le virus du plaisir, la libérer de toutes les barrières qui ralentissaient son épanouissement sexuel. Les poils de Mary retenaient la preuve de son excitation, et Marc commença son approche en léchant la mouille blanche souillant les poils noirs entourant l’entrée du vagin. Il posa ensuite sa langue à plat juste au-dessus de l’anus serré, très probablement jamais visité, ni par un doigt, ni par autre chose. Une fois la langue plaquée, il remonta sa langue jusqu’au dessus du clitoris, doucement mais avec une certaine pression, emportant avec elle une coulée de mouille qui s’écoulait en un petit filet du vagin de la belle. Mary avait fermé les yeux et cette première approche lui déclencha une première décharge de plaisir qui lui semblait jusqu’alors inconnue. Marc enchaîna en faisant tournoyer la pointe de sa langue sur le capuchon du clitoris et après quelques tours introduit sa langue au plus profond du trou d’où provenait la source du nectar. Il continua ainsi tout en se refreinant de ne pas descendre plus bas, et pourtant ce n’est pas l’envie qui lui manquait d’aller gouter le petit trou de Mary. Il aurait volontiers enfoncé sa langue et un doigt au plus profond de cette caverne et ressentir l’anneau se contracter autour du membre inquisiteur. Avec Nathalie, sa femme, il adorait sentir le muscle s’attendrir au fur et à mesure des vas et viens de son doigt, jusqu’à ce que la tendance s’inverse et qu’il se sente aspirer par ce trou qu’il affectionnait tout particulièrement. Malheureusement, il chassa cette idée de sa tête une fois pour toute, restant concentré sur son objectif. Coralie, excitée par la situation continuait de se caresser le clitoris tout en humectant régulièrement sont majeurs à l’entrée de sa chatte. Une fois son doigt bien lubrifié, elle commença à l’enfoncer dans son vagin tout en faisant basculer sa tête en arrière pour profiter pleinement du plaisir qu’elle ressentait. Entendant sa sœur commencer à jouir, Coralie fut également emportée par un orgasme qui semblait être très intense. Il semblait que des cris voulaient sortir de sa gorge mais ils restaient bloqués en amont. Les deux sœurs avaient les joues rouges et Marc remarqua que même dans leurs orgasmes, elles se ressemblaient énormément. Après un court instant, Marc se rassis et leur demanda de se mettre à genou et de se rapprocher. On ne sentait plus de réticence dans leurs mouvements. Marc leur prie une main chacune et les posa sur ses genoux puis il reprit sa queue dont la vigueur n’avait pas faiblit et tout en recommençant à se masturber, il dit :- Regardez, Regardez bien comment jouit un homme !Sa main montait et descendait sans aller trop rapidement. Son prépuce recouvrait alternativement son gland bien gonflé d’excitation. Les filles n’en manquait pas une miette : probablement le plus intéressant des cours de sciences naturelles auxquelles elles ont pu assister. Marc se cambra et, retenant leurs souffles elles purent voir clairement le sperme sortir du méat par jets successifs. Elles semblaient impressionnées par la quantité de ce liquide visqueux qui recouvrait maintenant le ventre de Marc, le cratère de son nombril en était rempli aussi. Après quelques minutes, Marc se leva et alla à la salle de bain. Il prit une rapide douche et quand il réapparut, les filles étaient rhabillées, prêtes à partir. Coralie s’aventura la première :- Merci Marc, on a passé une super soirée… Très enrichissante.Les traits tirés par la fatigue, elles quittèrent la chambre par la porte fenêtre en lui jetant un dernier regard accompagné d’un léger sourire.



Le lendemain matin, Didier et Sandrine se levèrent bien plus tard que d’habitude. Marc ne vit aucun Renoir au restaurant, ce qui l’inquiéta un peu. Il prit un livre et resta au bord de la piscine. Didier et Sandrine arrivèrent, lunettes de soleil sur les yeux et l’air plutôt fatigué. Didier s’avachit dans le transat situé à coté de Marc et Sandrine vint lui faire une bise avant de se diriger vers la piscine. Marc leur demanda où étaient les filles. C’est Sandrine qui lui répondit la première. Elles émergeait tout juste quand on a quitté la chambre. Marc précisa immédiatement qu’il les avait invité à manger une pizza, mais qu’il ne s’était pas couché spécialement tard. - Et vous alors, qu’est ce que vous avez fait, interrogea Marc comme pour éviter toutes questions de la part du couple. - On a passé une soirée super, dit Sandrine en se dirigeant vers la piscine.Alors que Sandrine glissa dans l’eau et entama quelques mouvements de brasse, Didier donna plus de détail à son ami. - On est allé au resto, ensuite, on est allé danser dans une boîte à coté de Gosier. Putain, j’ai jamais vu autant de mec tourner autour de Sandrine depuis qu’on est marié. Ils étaient tous chauds comme des lapins avec une bite sur le front. Ca a plu à Sandrine parce qu’en rentrant, à peine montée dans la voiture, elle m’a sucé comme une reine. Rarement vu aussi excitée. Faut dire, on avait un peu picolé aussi. D’ailleurs, tu n’aurais pas du doliprane. — Ahaha, non, désolé. - Ensuite, en arrivant, on est descendu sur la plage et on a baisé comme des malades. On n’était pas les seuls ! Il y avait au moins deux autres couples sur la plage. T’aurais dû voir.- J’aurais bien aimé. - Oh, je suis sur que tu aurais apprécié.- C’est certain !Je l’ai pris direct en levrette, et d’entrevoir les autres, ça m’a grave motivé, je l’ai défoncé comme une pute. Par contre, je suis incapable de te dire qui étaient les autres?- Dommage !- C’est vrai, j’aurais bien aimé savoir. Sandrine revenait dans leur direction en faisant des aller-retour en brasse.- Comment tu la trouves toi Sandrine ? interrogea Didier- Ecoute, c’est ta femme, je ne veux pas trop de froisser, mais elle est vraiment pas mal !- Bordel, tu ne vas pas me froisser, c’est pas ça que je te demande ! Comment tu la trouves, vraiment ? N’oublie pas que j’ai vu tes exploits ! - Franchement, elle est canon! Un peu trop timide peut être, mais elle a un beau visage, des seins supers, et un cul qui donne envie. Par contre, je ne l’imagine pas très active sexuellement !- Détrompe toi, elle chauffe doucement, mais quand elle est parti, elle envoi ! Elle suce mon pote, comme une reine ! Elle ne parait pas comme ça, mais je sais qu’elle aime se faire mater par les mecs. Tu n’as pas vu l’autre jour, le porc qui prenait des photos au bord de la piscine ?- Je l’ai vu !
- Elle a bien vu qu’il la reluquait ce gros porc, et pourtant, elle n’a pas paru plus gênée que ça. Marc n’avait pas repéré cette scène, trop focalisé sur les filles. Je l’ai regardé, vas-y que je me retourne sur le transat, que je me penche pour ramasser mon magazine. Tiens, bas justement, quand on parle du loup. Le vieux pervers arrivait pour s’installer au même endroit que la dernière fois. - Et hier soir, tu l’aurais vu, tous ces mecs autour d’elle, ça ne la gênait pas plus que ça la salope. Tu me diras, c’est un peu pour ça que je l’aime aussi. Tiens regarde discret, son objectif sort de son sac et il a un déclencheur à distance dans la main. Sandrine était en plein dans le champs de l’appareil. Même si elle n’était pas la seule. Elle devait être une de ses proies. Les garçons firent mine de rien et lorsqu’elle sortit de l’eau, Didier lui demanda si elle voulait qu’il lui ramène quelque chose à boire. - Oh oui s’il te plaît, de l’eau fraîche. - Viens Marc, on va boire un coup.En s’éloignant, ils contournèrent le quinquagénaire, prirent les boissons et au retour s’arrêtèrent au carbet situé juste à coté du gars et Didier conversait désormais une intonation au-dessus de son habitude.- On se ferait bien un petit bain de minuit de soir, ça te dit. Marc jouant le jeu :- Oh ouai, pourquoi pas, j’amène une bouteille.- super, après, on se baignera à poil, il n’y aura personne. Bonne idée. Ils virent que le gars avait entendu la conversation, il restèrent 5 petites minutes puis Didier se leva :- Allez, je vais me rafraichir un peu et je vais me poser.Ils se dirigèrent vers la piscine, donnèrent la bouteille d’eau à Sandrine. Coralie et Mary étaient arrivées et bronzaient sur les transats à coté de Sandrine. - Salut les filles, lança Marc comme si de rien n’était.- Salut Marc, bredouillèrent elles de concert.Une fois dans l’eau Marc interpela Didier :- Qu’est ce que t’as derrière la tête avec ton histoire de bain de minuit. On va lui donner ce qu’il veut ce gros pervers.- A quoi tu penses.- Regardes le discret, il n’arrête pas de shooter.- Il shoot tes filles aussi !- Qu’il en profite, je ne me gêne pas non plus pour shooter autour de moi, c’est bien normal que je renvois l’appareil aux autres. D’ailleurs, ta petite Emma commence à me hanter grave. Faut qu’on s’organise une bouffe tous ensemble au retour en métropole, j’aimerais bien la rencontrer ta petite salope de belle fille. Marc n’avait pas vu Didier partir dans les tours.- Elle te plaît tant que ça mon salaud ?- Grave, tu dois bien te régaler avec un truc pareil à la maison, ne me raconte pas d’histoire, tu dois être comme un fou quand elle traine autour de toi.Marc approuva.- D’ailleurs, il faut que tu me files d’autres photos d’elle.- Je regarde ça tout à l’heure, ok? Mais tu n’as pas à te plaindre non plus entre ta femme et tes filles. - C’est vrai, je ne me pleins pas.- Bon allez, je sors avant de me taper une gaule et d’être coincé dans la piscine.
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