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Rwanda

Chapitre 1

Sylvie 1/4

Zoophilie
Ce que vous allez lire correspond à l’un de mes fantasmes les plus fréquents, dans ce fantasme, je ne sais pas où me situer, suis-je Sylvie ? Céline ? Manon ? Ou Emma ?Je suis peut-être simultanément toutes les 4, peut-être chacune d’elle l’une après l’autre. Une chose est certaine, je suis perverse, chienne et salope. Et vous ? Mon père est décédé quand j’étais une petite fille suite à un accident de travail. Je l’aimais beaucoup, et il me le rendait bien. J’aimais me blottir dans ses bras et caresser les poils abondants de sa poitrine, j’avais ça en commun avec ma mère. Tout comme elle, il était issu d’une famille de la petite bourgeoisie, il avait fait des études scientifiques, ma mère a fait des études financières.
À la fin de ses études, mon père avait créé, en association avec son ami Cédric, une société de service pour l’industrie pétrolière.Avec des dirigeants compétents, sur un marché porteur, cette entreprise a rapidement connu le succès, de ce fait, nous sommes à l’abri du besoin. Après la mort de mon père, Cédric est devenu Directeur Général, ma mère associée majoritaire est devenue Présidente. En fait, Cédric travaille et ma mère contrôle la gestion, ce qui lui laisse beaucoup de temps disponible. Nous sommes tous issus du même milieu social et culturel, y compris Jennifer, la femme de Cédric. Tous les dimanches, nous allons à la messe. Nous ne manquons jamais de répondre (aux nombreuses) sollicitations quand il s’agit d’aider des moins bien lotis que nous. Nous habitons à Paris un bel appartement à proximité de la mairie du XVI° arrondissement, pas très loin du Lycée Janson de Sailly, notre bonne dispose d’une chambre au dernier étage de l’immeuble. Certains disent que je suis née avec une cuillère d’argent dans la bouche.
Emma et moi lors de notre parcours scolaire, avons toujours fréquenté des institutions catholiques. D’un an ma cadette, c’est mon amie, elle est la fille unique de Cédric et Jennifer. Tout comme elle, je suis fille unique. Nous nous sommes faites à l’idée de continuer la tradition et d’offrir notre virginité à notre futur époux le soir de nos noces, ce qui ne nous empêche pas de voler un petit baiser lors de flirt soft, mais nos parents veillent...
Chaque fois que l’occasion se présente, nous nous envolons pour Nice. Dans son immense sagesse, mon père avait acheté une grande maison à Carros avec piscine. À proximité de Nice. De là, nous avons un accès rapide, en été, aux plages de la Côte d’Azur et en hiver, aux stations de ski. Depuis toujours, chaque fois que c’est possible, Emma vient avec nous, soit seule, soit accompagnée de ses parents. Bien que la maison possède suffisamment de chambres, quand nous étions petites, nos parents nous avaient mises dans la même chambre. L’habitude est prise. Nous aimons nous retrouver chez nous, entre nous, à l’abri des oreilles de nos parents, pour broder comme toutes les jeunes filles, sur nos espoirs, nos rêves, nos fantasmes...
Souvent, nous dormons dans le même lit. J’aime sentir sa présence et son odeur, j’aime effleurer sa peau dans mon sommeil...Il nous arrive de nous caresser, mais là n’est pas le sujet...Je suis jalouse, jalouse de ma mère, trop souvent, quand nous sommes ensemble et faisons une nouvelle connaissance masculine ou féminine, c’est toujours la même chose... « votre petite sœur vous ressemble beaucoup, plus tard, elle sera presque aussi jolie que vous ». Non, non et non, ce n’est pas ma grande sœur, c’est ma mère...
Elle est très belle, ce n’est pas la taille mannequin, mais 1,65 mètre, 52 kilos, de jolies fesses mises en valeur soit dans son jean de grand couturier ou sa robe moulante qui dessine merveilleusement sa généreuse poitrine, ses lèvres pulpeuses attirent les regards et génèrent des envies, ses yeux bleus pénètrent au plus profond de l’âme de ses interlocuteurs qui souvent sont déstabilisés. Peut-être suis-je plus jeune, intrinsèquement au moins. Je suis aussi jolie qu’elle, mais elle a « la classe », la classe que je n’ai pas, pas encore...
Plus j’avance en âge, plus nous nous rapprochons l’une de l’autre. Les rapports petite fille – maman évoluent, je lui parle de mes émotions, des désirs qui m’assaillent provenant de mon environnement, elle me comprend, parfois elle me parle de son « vague à l’âme » qui s’amplifie depuis la disparition de mon père...
Il y a quelques semaines, nous étions à Carros pour y passer quelques jours, Cédric qui, pour raisons professionnelles était de passage dans la région, n’était pas remonté à Paris pour le week-end, car il avait une réunion le lundi matin, tout naturellement, il était venu nous rejoindre. Ce samedi après-midi là, j’étais dans ma chambre à tenter de me concentrer sur mon travail scolaire. J’entendis maman et Cédric venir à la piscine, je jetai un œil, ils occupaient 2 transats proches l’un de l’autre, comme d’habitude, maman était en monokini. Bien que profondément croyantes, nous vivons suivant les us et coutumes de notre époque et quand nous sommes à la piscine, que ce soit maman, Jennifer, Emma ou moi sommes toujours en monokini. J’entendis ma mère proposer des rafraichissements qu’elle alla chercher à la cuisine. Penchée à la fenêtre, je regardais Cédric d’un œil nouveau, je voyais un homme fin de la trentaine, sportif, athlétique même.
Mes yeux étaient rivés sur son torse et ses jambes poilus, tellement poilus qu’il ressemblait plus à un singe qu’à un homme, le souvenir de mon papa me revint à l’esprit, combien je me sentais bien, sur ses genoux, le nez dans son abondante toison...
Ma mère revenue, déposa les verres sur la petite table, s’assit sur le bord du transat de Cédric et, caressant la poitrine velue je l’entendis dire « Sébastien (c’était mon papa), me manque beaucoup. J’aimais tout en lui, notamment ses poils », elle le quitta et s’allongea sur son transat...
J’ai eu des difficultés à suivre la conversation qui s’est poursuivie à voix basse. J’ai toutefois compris que maman avait des moments de doute et que parfois il lui arrivait de songer à « refaire sa vie », trouver un amant, une amante...

Cédric l’encourageait vivement à mettre fin à cette si longue période de deuil, la vie continue et...Elle attend peut-être que je lui envoie un signal...Le lendemain matin, alors que nous sortions de la messe, le curé, accompagné d’un ecclésiastique dans la soixantaine, nous interpella : « Je voudrais vous présenter le Père Jean. C’est un Père Blanc basé au Rwanda qui profite de son séjour en France pour rencontrer les philanthropes qui participent au financement des œuvres sociales des Pères Blancs au Rwanda ». En accord avec Cédric, maman l’invita à venir prendre le café à la maison. Lors de sa visite, avant d’en arriver au cœur du sujet, le Père Jean nous fit un long exposé sur l’historique des Pères Blancs en général et leur présence au Rwanda :
Ancienne colonie belge. Pays éminemment chrétien (94%) principalement catholique,Environ 50% de la population vit en dessous du seuil de pauvreté. Un pays qui s’ouvre à un tourisme de luxe basé sur l’écotourisme et la visite du Parc national des volcans comprenant des rencontres avec des gorilles. Puis il nous parla de son nouveau projet en cours de construction, un ensemble constitué d’un dispensaire, une école pour 250 élèves et un centre d’apprentissage pour 150 apprentis. Il n’avait pas encore bouclé le budget pour mener son projet à terme. Le curé lui avait dit que nous aidions souvent les œuvres sociales quand les dirigeants sont dignes de confiance. Il ne manqua pas de nous rappeler que si un don est fait par une entreprise, celle-ci bénéficie d’un crédit d’impôt de 60% du montant du don. Ce qui pour une entreprise lui permet d’être très généreuse.
Ma mère et Cédric s’étaient rapidement mis d’accord pour s’investir fortement dans ce projet, mais soupçonneux, et ne voulant pas risquer que l’argent de la société soit mal utilisé, il fut convenu que ma mère, ayant beaucoup de temps disponible, se rendrait sur place pour s’assurer que tout était conforme. Ce centre se trouve à Gishyita proche du lac Kivu. Le père Jean recommanda à ma mère de loger au Vuki lodge, pas très loin du projet en cours de réalisation. Cédric en consultant la carte et voyant que le Parc national Nyungwe est à proximité insista pour qu’elle profite de faire un peu de tourisme.
— Maman, tu ne vas quand même pas me laisser seule à la maison !— Non ma chérie je t’emmènerai, les voyages forment la jeunesse...
Pas besoin de visa pour entrer au Rwanda, les places d’avion étaient disponibles, la chambre fut réservée pour 9 nuits. Dans l’avion en business class. Après une escale à Nairobi...
— Veuillez regagner vos places, attacher vos ceintures, relever vos tablettes, éteindre vos appareils électroniques, nous atterrissons à Kigali, le temps est beau, il fait 24° au sol.
Immigration, visa à l’arrivée, la voiture nous attendait...120 kilomètres sur la RN7 et nous nous installâmes dans ce magnifique Vuki lodge de 20 chambres toutes avec vue sur le lac. Le lendemain matin, le Père Jean nous rejoignit, partagea le petit-déjeuner avec nous, avant de nous faire monter dans son 4 x 4 qu’il conduisit lui-même. Nous visitâmes les installations en cours de construction. Le français étant l’une des langues officielles, il nous fut facile de discuter avec la population, pour connaître les besoins et nous rendre compte que de l’offre du Père Jean correspondait bien aux besoins. Le jour suivant, nous rencontrâmes plusieurs entrepreneurs parties prenantes dans les travaux. Pour autant que les « dons pour services rendus » à certains fonctionnaires soient sans excès nous nous assurâmes qu’il n’y avait rien d’anormal. Maman ayant insisté pour rencontrer les fonctionnaires concernés dans le « Secteur » et la « Cellule » le lendemain une réunion s’est tenue.
Lors de cette réunion, présidée par un beau black, Président de l’Assemblée du Secteur, tout nous sembla convenable, nous fournirons donc les fonds et...
Nous pouvions commencer nos vacances, piscine...Le Père Jean avait demandé à Sylvie de prendre contact avec nous. Elle est venue nous voir après le déjeuner...Sylvie, fille des savanes est une jolie femme dans la quarantaine, tenue de camouflage, bottillons, j’aime...Toute petite, elle s’est intéressée à la vie de Dian Fossey assassinée en 1985.À 14 ans, en sortant de la salle de cinéma où elle vient de voir « Gorilles dans la brume », le film qui retrace la vie de son héroïne, sa décision est prise, elle suivra les traces de Dian Fossey. « Je serai zoologue avec une spécialisation primatologue ».
Après 7 ans d’études, elle a les diplômes nécessaires, elle obtient un stage de l’université de Cambridge et se retrouve au Rwanda, auprès de l’une des successeurs de son héroïne. Au cours de l’une de ses excursions dans ce qui est devenu par la suite le Parc national Nyungwe, elle apprend auprès d’un indigène qu’il y a des groupes de gorilles dans cette forêt. Surprise totale, personne n’en a jamais entendu parler. Elle s’assure de l’exactitude de l’information, retourne en France, à la recherche de crédit pour étudier ces nouveaux gorilles. C’est un organisme scientifique d’état qui lui ouvre une ligne de crédit pour les 5 prochaines années, ces crédits ne seront renouvelés que si elle amène quelque chose à la science. Et. Bingo, elle a trouvé, une révolution, une nouvelle espèce de gorilles...
Ça fait maintenant 15 ans qu’elle vit ici, avec eux, parmi eux, les petits gorilles sont ses enfants, les femelles sont ses sœurs...
— Si vous voulez voir mon univers, soyez prêtes demain à 07 :00 l’un de mes ranger viendra vous chercher...
J’étais impatiente, ma mère l’était plus que moi. C’est un jeune et bel Africain qui est venu nous chercher. Elle commença à nous présenter ses 2 rangers, aussi beau l’un que l’autre, ils étaient chargés non seulement de poursuivre les braconniers, mais aussi de la protéger. C’est elle qui les choisissait, elle les prenait par couple, par couple gay, ce qui la mettait à l’abri de surprises non désirées. En visitant son laboratoire, elle nous expliqua en quoi consistait le travail d’un zoologue, les livres, microscopes, ordinateurs, logiciels spécialisés, éprouvettes, etc. encombraient son laboratoire. Elle nous raconta qu’en arrivant sur le site...
— Je vis rapidement que ces gorilles étaient différents des autres, les principales différences résident principalement :— Sur la taille du cerveau, 50% plus gros que celui des espèces de gorilles connues.— Alors que des chercheurs de l’Université de Saint-Andrews ont prouvé que les gorilles ont tous en commun pour communiquer un langage comportant 102 signes. Mes gorilles en possèdent 4 de plus, destinés à exprimer leurs sentiments et leur sexualité.— Une autre différence plus importante encore, se trouve sur l’ADN.
Alors que les gorilles connus ont un ADN avec 98% similaire à l’homme, les chimpanzés et les bonobos qui avec un ADN 98,5% sont considérés comme les plus proches de l’homme, il apparaît que celui de mes gorilles avec 99,3% devient notre cousin germain.
— L’autre différence importante est visible de visu. C’est la taille des pénis, un gorille adulte normal à un pénis en érection de 3 à 5 centimètres, alors que ceux de mes gorilles sont de 18 à 30 centimètres.
Ces différences, sans les rendre domesticables, n’en font plus tout à fait des animaux sauvages et, plus que les autres ils aiment la fréquentation des hommes. Non, je devrais dire des femmes, car comme les autres gorilles, le mâle dominant ne veut pas voir d’autres mâles envahir son domaine...
Jaloux le mâle...Il était clair qu’à sa façon de parler, elle en parlait comme si c’était sa famille...Après ces explications, nous sommes allées leur rendre une première visite. Sylvie nous demanda de passer sous la douche pour ôter nos odeurs de parfums et de revêtir des blouses grises, amples, sans boutons, fermées avec une ceinture de la même couleur, et de ne garder que nos culottes dessous, ceci pour ne pas les troubler avec des accessoires qu’ils ne comprendraient pas. C’est toujours dans cette tenue qu’elle leur rend visite, ils ont l’habitude...
Sylvie conduisit le 4 x 4. Elle estimait que les rangers, étant des hommes malgré tout, pouvaient perturber l’harmonie du groupe. Cette première visite avait pour but de faire connaissance, et si tout se passait bien, nous reviendrions le lendemain pour rester plus longtemps avec eux. Nous laissâmes le 4 x 4 à l’orée de la forêt, et avons pénétré d’une dizaine de mètres sous les arbres et voyons un géant à l’arrêt qui nous observait, Sylvie :
— Stop.
C’est Djongo, il a entendu mon 4 x 4 et il est venu m’attendre. Soyez calme, il n’est pas méchant, il s’interroge sur votre présence. Derrière Djongo se trouvaient plusieurs gorilles, immobiles. Après quelques secondes, Djongo se dirigea vers notre groupe, Sylvie s’approcha de lui, Il étendit son immense bras, avec lequel il entoura la taille de Sylvie et l’attira à lui, elle ne se débâtit pas et accompagna le mouvement, il la souleva de terre et l’emmena dans la forêt, « suivez-nous » nous cria Sylvie. Nous lui avons emboîté le pas, passâmes devant le groupe de gorilles immobiles, qui nous suivit. Après une centaine de mètres, nous débouchâmes sur une petite clairière où Sylvie retrouva la terre ferme, le groupe de gorilles nous entoura. Djongo s’assit, Sylvie s’assit en tailleur son dos contre la poitrine de Djongo
— Je vais vous les présenter, dit-elle.
Djongo c’est le mâle dominant, ici il a tous les droits et personne ne conteste son autorité. Ce groupe est composé de 3 femelles Mayombé, Kuimba et Sheila, ce sont mes sœurs, elles sont les mères de tous les bébés, enfants et adolescents que vous voyez. Généralement, les mâles adolescents devenus adultes sont rejetés par le mâle dominant et quittent le groupe. Parfois cependant, certains prêtent allégeance au mâle dominant qui les autorise à rester, c’est le cas de Asato et Baku que vous voyez là. Contrairement à la plupart des espèces de mammifères, c’est la femelle qui fait savoir au mâle qu’elle est prête à l’accouplement, à cet effet, le signal le plus important c’est l’odeur que dégage ses sécrétions vaginales prisonnières des poils de son pubis. La femelle s’accouple pour la procréation alors que le mâle comme chez l’homme s’accouple aussi pour le plaisir qu’il en éprouve...
Djongo est insatiable...Durant ses explications, le visage de Sylvie avait rosi, des perles de transpiration étaient apparues...
— Arrête Djongo...
C’est quand Sylvie se releva brusquement qu’apparut ce que sa présence contre Djongo nous avait caché. Un sexe de 23 à 27 centimètres, large. Djongo attira Sylvie à lui, lui arracha sa blouse, elle apparut nue, sans culotte, les poils du pubis qu’elle n’avait pas lavés lors de sa douche matinale, luisaient des nouvelles sécrétions. Nous assistâmes alors à l’impensable...À la lecture de cette première partie, vous avez pu voir que je suis une fille sage, studieuse, bonne éducation, bonne catholique, obéissante, etc.Ah, alors que votre fille ou votre nièce qui comme moi sortent de l’adolescence sont si difficiles, parfois même un peu perverses, si seulement elles pouvaient me ressembler, vous envier ma maman n’est-ce pas ? Je suis certaine que vous pensez que je mérite une récompense !. Alors, cliquez sur « J’aime » et mettez un commentaire pour m’encourager à persévérer...
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