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Alice découvre le candaulisme

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Alice Pasquier jette un dernier coup d’œil à sa montre et pousse un soupir d’agacement. La dynamique quadragénaire doit absolument boucler ces derniers dossiers avant ce soir, afin de pouvoir partir en vacances sereinement. Ces vacances, elle en rêve depuis des mois alors, impossible de les manquer à cause d’un détail. Un séjour pendant lequel elle compte profiter à fond, peut-être même essayer de nouvelles choses sur le plan sexuel. 
Elle rêvasse en pensant à la chambre d’hôtel et ses draps, elle complètement nue, attendant qu’il vienne la prendre sans ménagement quand soudain, son téléphone sonne. Elle décroche en constatant que c’est son mari, Arnaud. 

— Chérie ? J’ai complètement oublié, il faudrait que tu emmènes le SUV au garage cet après-midi. Il fait un bruit bizarre à droite et vu les kilomètres qu’on doit faire, je ne veux pas prendre de risques. 
— Ça ne m’arrange pas vraiment. J’ai encore des dossiers à finir et j’ai une dernière réunion à dix-huit heures pour débriefer l’équipe.
— Dépose-la quand tu peux. Je passerai te chercher à la sortie du boulot, une fois que j’aurais déposé les gosses chez ma mère. 
— Et pourquoi on ne prendrait pas la tienne ? Ça éviterait tous ces déplacements…
— Tu sais bien que c’est une voiture de fonction, on ne peut pas partir en vacances avec. 
— Bon d’accord. Mais ça ne m’arrange pas du tout. A plus tard 
— A plus tard. 

Voilà que son emploi du temps se remplit encore... Ces vacances sont censées être un moyen de s’évader du quotidien et de sa monotonie. Cela permettrait peut-être aussi à leur couple de prendre un nouveau départ, qui sait ?

Alice et Arnaud sont mariés depuis déjà vingt ans et leur vie de couple, au début rythmée par des ébats intenses, est dorénavant plus morne qu’un ciel gris de novembre. 
Alice songeait souvent à leurs débuts, quand Arnaud la prenait n’importe quand, peu importe l’endroit. Ce que c’était bon de le sentir si fou de désir pour elle, elle aurait donné n’importe quoi pour retrouver cette lueur dans ses yeux ! 

Hélas, avec le temps il avait perdu toute spontanéité et lorsqu’ils faisaient l’amour, c’étaient désormais quelques rares samedis soirs, lumière éteinte et sans aucune fioritures. Finis les cunis voluptueux, quelques caresses suffisent. Finies les levrettes sur la table de la cuisine après le repas, les pipes avant d’aller au travail et toutes les autres joyeusetés dont ils faisaient preuve… 
Elle espère secrètement que le séjour donnera un nouveau souffle à leur vie sexuelle. 

En se rendant au garage pendant sa pause déjeuner, Alice songe à la lingerie sexy qu’elle vient de s’acheter pour leur séjour. A coup sûr, ce bustier en cuir noir et les porte-jarretelles qui vont avec, vont faire grimper la température. Agrémenté d’une paire de bas, l’ensemble sera divin ! Arnaud ne pourra résister.
Est-ce de sa faute s’il ne la comble plus autant qu’avant ? Elle ne fait peut-être pas suffisamment d’efforts... D’ailleurs, est-elle encore capable de séduire ? 

Le garagiste qui s’occupe de l’accueillir semble avoir son avis sur la question. Il la dévore des yeux, son regard salace glissant sur sa poitrine plantureuse, emprisonnée dans un chemisier blanc nacré. Alors que ce dernier consulte son agenda, les yeux naviguant de son décolleté à son écran, Alice se demande si en utilisant ses charmes, elle parviendrait à obtenir ce qu’elle souhaite.  

— J’ai de la place demain matin, précise le garagiste.
— Demain matin ? Vous ne pouvez pas plus tôt ? Il faudrait que je puisse récupérer la voiture ce soir grand maximum… S’il vous plaît, vous pouvez sans doute faire quelque chose ? Je suis certaine que l’on peut trouver un arrangement. Dit-elle en battant des cils et en jouant avec une de ses boucles brunes.
— Je peux peut-être caser ça cet après-midi, mais rien de certain. Revenez à la fermeture, vers dix-neuf heures trente. 
— Merci ! Vous êtes un amour ! Vous sauvez nos vacances. Je passerai ce soir alors. Merci encore…

Après une journée bien remplie, Alice retrouve Arnaud à la sortie de son entreprise et ensemble, ils se rendent au garage. L’endroit est désert et seul le mécanicien présent ce midi est encore là. 
Ce dernier approche, essuyant ses mains pleines de graisse dans un vieux chiffon. 

— Bonsoir, nous venons chercher la Duster, s’annonce Arnaud. Ma femme vous l’a amenée à midi. 

L’homme le regarde d’un air amusé puis, son regard s’attarde sur la belle brune à ses côtés tandis qu’un sourire se dessine sur son visage. Alice lui trouve un petit côté séduisant derrière sa barbe de quelques jours.

— Ah oui, je reconnais Madame. Je suis désolé mais je n’ai pas fini votre voiture et j’allais fermer. Revenez demain matin à la première heure.
— Vous aviez dit que ce serait possible ! Se plaint Alice d’une voix empreinte d’agacement.
— J’avais dit que je verrai ce que je peux faire, se justifie le garagiste en haussant des épaules. Nuance.
— Vous êtes malhonnête Monsieur, sachez que je me ferai un plaisir de vous faire une réputation à votre hauteur, s’emporte-t-elle.
— Calme-toi Chérie voyons, s’interpose son mari dans un souci d’apaisement. Je suis certain que Monsieur pourra reconsidérer la question, mais ce n’est pas en l’agressant que nous obtiendrons gain de cause. 
— Votre mari a raison Madame. Je suis sûr qu’on peut trouver un arrangement…

La manière dont il a prononcé ces derniers mots interpelle le couple qui se regarde, interrogeant l’autre du regard pour être sûr d’avoir bien compris ce qu’il sous-entend. 

— Qu’est-ce que vous entendez par arrangement ? Questionne Arnaud
— La caisse est prête, à part quelques petits détails à régler qui vont me prendre peu de temps. Vous pourriez partir avec ce soir. 
— Et que voulez-vous en échange ? 
— Oh pas grand chose... Dix petites minutes avec Madame suffiront.

Alice est estomaquée par tant de toupet . Elle s’apprête à élever la voix quand soudain, elle sent la main de son mari se refermer sur son poignet. 
Ce dernier semble réfléchir sérieusement à la proposition du garagiste, ce qui l’étonne plus que la demande elle-même. 

— Chérie, attends. On devrait peut-être réfléchir à ça deux minutes. 
— Tu n’es pas sérieux ? Tu ne peux pas songer à cela quand même ! 
— Si nous ne partons pas ce soir, nous ne serons pas à l’heure pour prendre les clés de la location et ils risquent d’annuler. Ce sont nos vacances qui sont en jeu. 
— Ce n’est pas possible, je tenais tellement à ces vacances ! Se lamente Alice, dépitée. 

Après un long silence, Arnaud reprend : 

— Dix minutes, c’est raisonnable non ? Tu te sens capable de le faire ? 
— Pour sauver nos vacances, oui je pense. Mais toi, ça te convient ?
— Ça ne m’enchante pas vraiment que ce mec te touche mais bon... Si tu es d’accord. 

Alice hésite. Des années qu’elle rêve de cette semaine loin de tout… Si près du but et tout s’écroule, la voilà maintenant tellement déçue qu’elle envisage sérieusement de répondre favorablement à la requête. Son mari ne semble pas enchanté, lui qui n’a jamais partagé sa femme avec quiconque, mais lui aussi ne voit que cette solution. 
Alice observe le garagiste avec plus d’attention et constate qu’il est plutôt bel homme avec ses cheveux poivre et sel. Sur sa combinaison, on peut lire son nom : Jo. 
D’un regard, ils s’accordent et Arnaud prend la parole : 

— Dix minutes alors, mais je reste là. Et c’est juste une pipe, sinon nous partons immédiatement.
— Comme tu veux mon gars. Allez ma belle, viens te montrer un peu. 

Alice serre une dernière fois la main de son mari avant de s’avancer vers l’homme. Ce dernier, la cinquantaine tout au plus, frotte sa barbe de trois jours en examinant la belle brune qui se dévoile sous ses yeux. Il savoure du regard chaque mouvement à mesure qu’elle s’effeuille timidement, se séparant de son chemisier qu’elle vient tendre à son mari. 
Arnaud serre les poings, la mâchoire crispée et récupère le chemisier en cachemire.

Malgré la gêne, Alice ne peut s’empêcher de sentir l’excitation monter en elle. Elle n’a jamais pensé à baiser avec quelqu’un d’autre, encore moins sous les yeux de son mari, mais là, l’idée ne lui paraît plus si déplaisante. 

Elle jette un œil à son époux, qui semble soudain bien à l’étroit dans son pantalon. Ce petit manège à l’air de lui plaire aussi, ce qui encourage la belle Alice à en montrer davantage, ôtant cette fois la jupe tailleur noire pour dévoiler une jolie culotte en dentelle. 

Le dénommé Jo s’est débarrassé de sa combinaison et a déjà empoigné sa queue, qu’il masturbe avec vigueur. La belle brune s’approche en roulant des hanches. Uniquement vêtue de ses sous-vêtements et de ses talons hauts, elle tourne devant lui, attendant l’ordre de s’agenouiller. 

— T’as de belles mamelles… Ton mari doit bien s’amuser à les sucer. Montre les moi un peu, fais-les rouler dans tes mains , comme ça voilà… Fous toi à genoux maintenant. 

Alice obéit et ouvre des yeux bien ronds en voyant le membre volumineux que le mécanicien sort sous son nez. Sous une touffe de poils sombres, une large hampe se dresse, surmontée d’un épais gland violacé. Stupéfaite du calibre de cet homme, elle ne peut que le regarder, subjuguée, craignant de ne pouvoir tout prendre dans sa bouche. 

— Elle te plaît ma grosse queue ? Viens la plonger entre tes seins. 

Elle s’avance et il en profite pour agripper ses seins pendants de ses mains, avant d’enfiler sa bite au milieu des deux globes. Alice sent qu’entre ses cuisses, ça commence à chauffer, aussi elle glisse ses doigts dans sa culotte tandis que le garagiste se branle dans sa poitrine. 

— Hmmm… Ça t’excite salope ? T’aimes ça te faire baiser les seins ?

Comme elle ne répond pas, il lui gifle le sein, lui arrachant un petit cri. 

— Réponds ! 

Au lieu de se plaindre, elle soupire de plaisir et il recommence sur l’autre sein. N’obtenant toujours aucune réponse, il s’empare d’un mamelon et le tord avec virulence. Un frisson de plaisir la fait sursauter et elle finit par avouer : 

— Aïe ! Oui… Oui j’aime ça… Confesse-t-elle  
— C’est bien, maintenant suce.

Avant de s’emparer de la vigoureuse verge qui se présente à ses lèvres, Alice regarde son mari et constate que ce dernier se branle sans vergogne et les regarde avec les yeux emplis de désir. 

Enfin elle retrouve un peu de l’Arnaud d’il y a vingt ans ! Encouragée par cette vision, elle prend un malin plaisir à lécher le bâton de chair qui pointe devant ses yeux, le recouvrant de salive. 

— Allez fais pas ta timide et avale moi ça, dit-il en empoignant sa verge pour la fourrer dans sa bouche. 

Très vite, elle aspire cette colonne de chair et glisse avec peine jusqu’à la moitié. La brune le suce comme ça pendant quelques secondes, n’arrivant pas à prendre plus de la moitié de cet imposant gourdin. Prenant les commandes, le mécanicien presse ses grosses mains sur la tête d’Alice et lui impose sa queue entièrement jusqu’à l’étouffer. 
Relâchant sa prise il la félicite pendant qu’elle reprend son souffle :

— Oh putain… C’est bien ça salope… Continue, je vais te baiser ta petite gueule. 
 
Alice se soumet à sa volonté et bien vite, le voilà qui se loge dans sa gorge, saisissant sa crinière pour lui faire subir une vigoureuse irrumation. Alice étouffe mais entre ses cuisses, c’est le Niagara. 
Elle encaisse les coups de bites qui lui pilonnent la bouche quand elle sent deux mains saisir ses hanches et la mettre à quatre pattes. 

En deux secondes, sa culotte vole et Arnaud vient dévorer sa vulve suintante de cyprine, léchant la moindre goutte qui ruisselle entre ses cuisses. A chaque coup de langue, son corps frémit et se tend, criant son besoin de se faire remplir. Arnaud le sait et, bien vite, lui aussi éprouve cette soif de plaisir qu’il doit à tout prix assouvir.

D’un seul coup de rein, il plante sa queue bien raide dans la chatte d’Alice qui hurle de plaisir, malgré le pieu encore enfoncé dans sa bouche. Les deux hommes s’en donnent à cœur joie et adoptent un rythme effréné, jusqu’à ce qu’elle se mette à trembler de jouissance. 
Son corps entier est parcouru de spasmes et les deux hommes savourent l’orgasme de la belle brune, ne lui laissant aucun répit, la martelant encore et encore. 

Le garagiste sort de sa chaude et humide bouche, laissant un filet de salive les reliant encore, et s’astique avec ferveur devant le visage d’Alice. Cette dernière garde la bouche ouverte, gémissant sans cesse et semblant attendre qu’il retourne s’y enfourner. 

— Et si on échangeait un peu les places ? Ose-t-il proposer. 

L’audace de sa demande stoppe immédiatement Arnaud qui consulte Alice du regard. La gourmandise qu’il lit dans ses yeux le décide à se retirer, mais c’est tout de même l’air légèrement contrarié qu’il se place devant les lèvres de sa femme, qui s’empresse de le sucer avec délectation. 

Jo prend le temps de sortir une capote d’un de ses tiroirs et en couvre sa verge avant de s’installer derrière la croupe d’Alice. Ce dernier frotte son sexe dans son sillon, écartant de ses grosses mains les lobes charnus pour y apercevoir l’anneau sombre et plissé qu’il convoite. 

Pourtant, c’est dans sa chatte qu’il s’infiltre doucement, adoptant un rythme lent mais profond, qui la font pousser des plaintes gutturales. Il crache sur l’œillet avant d’y insérer son pouce, écartant sa chair en vue d’y imposer son épais mandrin. Après quelques derniers coups de bassin, il change finalement d’orifice et poste son gland sur le muscle qui se contracte devant l’intrusion. 

Arnaud est bien trop absorbé par le plaisir qu’il a à baiser la bouche de sa femme pour voir le garagiste s’enfoncer lentement dans son cul en grognant. Ce n’est que lorsqu’il relâche sa crinière et libère sa bouche, qu’elle se met à gémir : 

— Oh mon cul… Il me…
— Ouais je t’encule ma belle, t’aimes ça ? 
— Oh putain oui… 
— Salope ! Grogne Arnaud en lui tirant les cheveux en arrière pour observer son visage. Vas-y défonce-la bien, et toi, tais-toi et suce. 

Jamais encore il n’avait osé lui parler ainsi, et au moment où Alice se rend compte qu’elle adore être traitée comme une vulgaire poupée de chiffon, elle sent monter en elle une puissante vague inconnue qui déferle sur elle et l’engloutit totalement. Son mari maintient son visage entre ses mains pour s’agiter à sa guise dans sa gorge tandis que Jo la martèle de violents à-coups. Il empoigne ses seins et s’y arrime, les maltraitant sous ses imposantes mains tout en s’enfonçant profondément dans ses tréfonds à chaque aller-retour. 
Arnaud est au bord du précipice et c’est avec fierté qu’il se masturbe devant la bouche ouverte de sa femme, prête à recevoir sa jouissance.

— Prends mon foutre salope, tiens…

 En grognant son plaisir, il recouvre ses joues et son front de plusieurs giclées laiteuses, qui dégoulinent sur son menton. Derrière elle, le garagiste donne un ultime coup de bassin, remplissant alors la capote de son abondante semence tout en poussant un rugissement victorieux. 

Les deux hommes ayant retrouvé leur souffle, tous deux aident la belle Alice à se relever et tandis que l’un lui apporte ses vêtements, l’autre lui offre un chiffon afin d’essuyer les vestiges de leurs ébats. 

— Je crois qu’on est quitte… Je vous prépare la caisse, j’en ai pas pour longtemps, annonce Jo une fois qu’ils se sont rhabillés. 

Pendant que le mécanicien finit les derniers détails, le couple n’ose pas se regarder, un peu honteux de ce qui vient de se passer. Ni l’un ni l’autre n’aborde le sujet. Les vacances sont sauvées, le sujet semble clos. 
Alors pourquoi, quand le garagiste leur laisse son numéro pour un éventuel second round, Alice en vient à espérer que ce petit intermède sera loin d’être le dernier ? 

Merci d’avoir lu cette histoire, n’hésitez pas à mettre un j’aime si celle-ci vous a plu. Très bonne année 2022 à vous !
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