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Candaulisme Arabe

Chapitre 1

Divers
A 35 ans, après un détour classique par la case mariage loupé, un enfant et une séparation, je décide un retour (a priori bien naïf) à mes racines maghrébines.Je me tourne alors vers l’opposé du modèle occidental (ma première femme) et épouse une jeune cousine qui habite un petit bled dans mon pays d’origine. Une jeune fille de 22 ans, éduquée dans l’ombre très stricte de ses parents. De par son caractère personnel (très religieuse) elle est encore plus conformiste et bridée que ses parents eux-mêmes.Moi c’est l’opposé. Très autodidacte sauvage, révolté, anticonformiste et surtout le sexe toujours à l’horizontale (j’adore les femmes).Oui mais voilà, pour assouvir leur libido, les femmes adorent ce genre de profil, mais quand il s’agit de choisir un mari, c’est une autre paire de manches. Alors comment résoudre cette équation infernale: la femme est plus vite mature et prédisposée au mariage. L’homme est un animal sauvage qu’il faut capturer et domestiquer. La plupart de ces "machos sauvages" prédisposés à la domestication, sont des proies faciles, mais peu gratifiantes pour les femmes et l’"étalon sauvage racé" très difficile à contrôler. Ce dilemme est à l’origine de presque tous les problèmes de libidos et d’entente du couple.
Mais les deux sexes ne peuvent vivre l’un sans l’autre, toutes les autres solutions ne sont que des solutions "placebos". La femme ne voudra pas lâcher son pouvoir, l’homme non plus. La libido est le pilier de base d’un couple, la négliger c’est encourir l’échec ou pire, la médiocrité.
Dans une lutte de pouvoir, la libido n’a quasi aucune chance, ALORS ??? Eh bien, j’ai fini par trouver la solution et le destin vous tend des perches si vous savez les reconnaître (ce n’est pas toujours facile).
Comment une entente dans un couple aussi paradoxal et aux visions de la vie aussi opposées, peut-elle ne pas exploser en vol et surtout représenter une perche salvatrice du destin ? EH BIEN !!! C’est là que commence l’histoire et qu’elle devient très intéressante.
Le conformisme chez la femme n’est qu’une catapulte tendue à l’extrême, si vous coupez la corde, l’orgasme peut s’envoler très, très haut... Pour comprendre sur quel genre de catapulte était posé l’orgasme de ma femme, vous devez comprendre le contexte psychologique de la tradition du mariage arabe et de ma femme en particulier.Pour ma future femme, je n’étais que le cousin plus âgé (de treize ans) qui venait de traverser la mer en voilier avec son ami français et qui faisait étape dans son bled, ce qui était le cas.
Donc beaucoup de respect et aucun sous-entendu, ce qui n’était pas le cas de beaucoup de ses consœurs, pour qui j’étais une cible privilégiée.Pour faire court, après deux ans, un changement d’état d’esprit sur ma condition de célibataire, les conseils avisés de feu mon père et séduit par une belle-mère d’un esprit incroyable, je demande sa main en ayant qu’une seule exigence, que ce soit de sa propre décision et sans "forcing".Elle dit OUI !!Inutile de vous dire dans quel état elle arrive au moment fatidique de l’entrée dans la chambre nuptiale !Elle était accompagnée d’un jeune couple de sa famille, chargé de la mettre à l’aise et de faciliter un contact en douceur.La pauvre était terrorisée.
Après un thé-petits gâteaux traditionnel, le cousin voyant l’état de paralysie de cette enfant perdue qu’elle était (elle avait 22 ans à l’époque et une connaissance très restreinte de l’aspect sexuel)lui dit:

— Alors Ève tu ne dis rien ?
Elle a baissé encore plus la tête.Venant à son secours (déjà), non sans une petite pointe d’ironie destinée à la mettre un peu à l’aise, je rétorque à l’adresse de son cousin:
— Par pitié, laisse-moi savourer !
Le moment où je ne pourrais plus la faire taire ne saurait tarder !
La cousine a éclaté de rire. Elle, elle a rougi, sourit... c’était presque gagné. Bref on s’est retrouvés seuls, elle arrivait dans ce lit qui pour elle pouvait tout être, selon les histoires que ses cousines "qui y étaient déjà passées lui avaient racontées. Alors, pour bien lui faire comprendre que je ne me jetterai pas comme un sauvage sur elle, je l’ai aidé à se déshabiller lentement et gentiment. Les chaussures d’abord. C’est très important car le fait de vous mettre à genoux, de lever la tête et de la regarder tendrement est radical devant une ambiance tendue.
Ensuite délicatement la robe sans "ambiguïté" comme une essayeuse de haute couture.Je lui ai dit de se mettre au lit, sachant que derrière les draps, elle finirait de se dévêtir beaucoup plus à l’aise. Puis je suis retourné tranquillement à la table basse ou en tailleur, je me suis resservi un thé sans prêter attention à elle. Quand les bruits de frottement eurent cessé, je me suis tourné face à elle.Le spectacle m’a fait sourire...J’étais face à un délicieux fantôme, un drap tendu jusqu’au ras des yeux.
Mais ô délicieux paradoxe, un regard qui me fixait dans les yeux dans une sorte de défi encore inquiet.Je l’ai rassurée, continuant de lui parler gentiment, lui disant que les choses allaient se passer en douceur, à son rythme et qu’elle finirait par être dans sa vie la plus heureuse des femmes. C’était gagné !Nous étions passés de : elle voulait s’enfuir en courant dehors vers toute la famille, (malgré les ragots, les jalousies, les "doutes" de bonnes femmes sur sa virginité, etc.) à : je suis beaucoup mieux ici avec toi et je n’ai vraiment plus envie de les revoir pour le moment. Les choses se sont passées très bien et en douceur, la "chemise" de circonstance, certificat de virginité à présenter à la famille qui attend derrière la porte et ne partira pas avant, avait la signature.La petite tache de sang.
Elle garantit à la future épouse la «respectabilité » Comme dans toute société subissant la pression sociale, la majorité des époux doivent obéir aux « contraintes »et sortir de la chambre en présentant la « chemise ». Alors les femmes les plus proches de la concernée, la hissent comme un trophée dans un grand concert de Youyous
Inutile de vous dire que je ne l’ai montré à personne, excepté à sa mère (afin de lui enlever les éventuels petits doutes qu’auraient pu instiller les vilains ragots). Sa virginité ou pas ne concernait que moi ! J’ai joui rapidement et doucement par peur de lui faire mal, sans me soucier de sa libido dont elle ignorait jusqu’à l’existence, nous avions le temps.Mais l’amour lui, a été beaucoup plus rapide, le coup de foudre a été immédiat dans les deux sens. Je crois que je suis tombé d’abord amoureux de sa manière de se pelotonner en mettant son nez sous mon aisselle comme un enfant qui vient d’avoir une énorme peur se blottit contre sa maman. Ce qui m’a beaucoup fait rire aussi, c’est que malgré son sens aigu de la tradition et son conformisme, c’est elle qui m’empêchait de me lever pour mettre fin au supplice de l’attente de la clique derrière la porte, comme une enfant, elle ne voulait plus que je m’éloigne d’elle ne serait-ce qu’un court instant, comme si je devais ne plus revenir.
Nous avons passé toute la nuit serrés l’un contre l’autre à discuter. Pas très érotique tout ça ? Soyez patient vous ne le regrettez pas. Pour les lectrices et lecteurs pressés, allez aux "urgences" chez mes collègues écrivains ils savent faire vite et bien ! J’en ai fait usage plus souvent qu’à mon tour !!! Mais là c’est une histoire vraie et je n’en ai qu’une à raconter, mais elle est très longue et pleine d’"épisodes" très hot... Alors patience, les branlettes c’est pour bientôt, je pense que vous ne serez pas déçus !!!!
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