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Marie fait du shopping … dans un sex-shop

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Ceci est une histoire vraie, tous les intervenants dans cette aventure ont vraiment existé et se sont comportés comme je le narre, seuls quelques détails ont été légèrement romancés.
Je suis à Paris pour affaires dans un hôtel près de Beaubourg. Il fait beau et chaud, j’ai envie de sortir.Vers 21 heures, mon mari m’appelle pour prendre des nouvelles, nous conversons un moment nous racontant nos petites histoires. Au moment de raccrocher, il me demande s’il y a un sex-shop dans le quartier où je suis, car il voudrait que je lui achète un rosebud et divers accessoires. Je lui réponds que oui ça ne doit pas manquer, je vais me renseigner à la réception.Il me dit :
— Quand tu auras trouvé le sex-shop, habille-toi de manière très sexy, sans sous-vêtement bien évidemment et tu mets ton rosebud. Tu prends un taxi pour t’y conduire faire tes achats. Là tu joues la salope comme tu sais le faire. Surtout tu acceptes tous ceux qui se présentent, tu ne refuses aucune proposition aussi libidineuse soit elle. Comme d’habitude tu me raconteras tout en détail.
L’idée me plaît, joindre l’utile à l’agréable, me faire baiser tout en faisant du shopping. Je me prépare comme demandé pour satisfaire son côté candauliste, ça m’excite. Je sais que c’est moi qui vais en profiter le plus. De nuit dans un sex-shop je vais avoir à faire à des hommes très vicieux, peut-être en manque de sexe. J’adore. Avant de partir, je lui envoie une photo de mes gros seins nus sous mon chemisier transparent largement ouvert et de mon joli cul joufflu portant mon bijou intime dans la rosette. Direction un sex-shop de la rue Saint-Denis, je monte dans un taxi, relève entièrement ma minijupe fendue sur le devant et pose mes fesses nues sur une serviette sur la banquette arrière de la voiture sous l’œil exorbité du chauffeur.
Voici le message que je lui envoie ce matin, après être rentrée à mon hôtel, exténuée mais comblée :
« Il est 23 heures, j’arrive au sex-shop. Un Sein hors du chemisier et ma mini laissant voir mes cuisses jusqu’à ma fourche glabre, je fais une entrée remarquée dans la boutique. Je salue le gérant avec un joli sourire. Je jette un coup d’œil circulaire dans le magasin et remarque quelques clients, pas mal du tout, qui choisissent des vidéos. Ces hommes m’ont déjà repérée vu ma tenue...Je fais un premier tour dans le magasin en leur lançant quelques regards aguichants. Je remarque plusieurs portes d’où proviennent des soupirs et des cris venant des vidéos, des bruits bizarres descendent de l’escalier menant à l’étage. Le gérant vient me voir et me demande si j’ai besoin d’aide. Je réponds assez fort.
— Bien volontiers, je cherche de nouveaux rosebuds pour moi et mon mari et quelques accessoires pour une soirée échangiste.
Il m’accompagne jusqu’à la vitrine dédiée aux bijoux intimes sous le regard excité de tous les hommes lorgnant mes charmes exhibés. Je sollicite ses conseils tout en lui précisant que je porte un plug en ce moment même. Ébahi, il me regarde avec envie. Mes yeux se portent sur sa braguette, je remarque la bosse prometteuse dans son jean.
— Je cherche un plug anal de bonne taille, celui que je porte me semble trop petit.
La bosse dans son pantalon grandit de plus en plus. Les autres hommes se sont rapprochés, le regard de plus en plus insistant sur mes seins et mes fesses. Le gérant prend plusieurs modèles et propose de me donner son avis à l’écart des regards. J’accepte.
Il m’indique l’étage me faisant monter devant lui pour mater mon cul découvert que j’exhibe avec plaisir. Il me fait entrer dans une pièce réservée aux projections de films X. La pièce est assez spacieuse, le mur du fond est occupé par une large banquette en skaï avec au-dessus des glory holes munis de poignées de chaque côté. Il n’a pas choisi l’endroit au hasard, je le sens, il a une idée en tête, ça se voit à sa braguette qui a encore gonflé. La porte est restée entrouverte sur le couloir, ça me convient pour ce que j’envisage. Je ne perds pas de temps, déjà très excitée par le lieu et la situation, je retire ma minijupe, je suis en bas et porte-jarretelles. Je me penche en avant, mes gros seins pendent hors de mon chemisier ouvert, je lui exhibe mon popotin dodu. Il caresse mes fesses, flatte ma croupe offerte et veut voir mon rosebud pour se faire une idée de la taille. Je me plie en deux et lui propose d’enlever le plug lui même.

Pas besoin d’en dire plus, il approche son visage de mon cul. Pour l’exciter davantage à deux mains, j’écarte mes fesses rondes exhibant mon anus paré de son bijou. Il le retire délicatement, un petit gémissement sort de ma bouche. Il me pose alors la question
— Qu’est-ce que tu cherches vraiment ?— Une bonne queue à sucer avant qu’elle me remplisse le cul
Le gérant ne se fait pas prier, il baise son jean, sort son énorme queue bandée et me dit
— Et bien tâchons de ne pas te décevoir ma belle, ma queue ne va pas te rater crois-moi.
Il s’installe sur la banquette et m’invite à le sucer. Je m’agenouille devant lui et saisis sa belle queue bien dure. Je commence à la lécher doucement, je me régale, cette grosse bite est exactement ce pour quoi je suis venue. Je m’applique à l’avaler entièrement pour la faire grossir encore, elle va finir dans mon joli cul de salope et bien me régaler. Il saisit mes tétons et les pince durement comme j’aime. Je le pompe avec délice pour que sa pine soit bien raide pour me perforer l’anus.
Pendant que je le suce, je sens deux mains remonter entre mes cuisses ouvertes. Je sais que ce ne sont pas celles du gérant, elles sont en train de me triturer les seins. Peu importe, je continue ma sucette. Les mains deviennent de plus en plus entreprenantes, elles caressent ma chatte humide, écartent mes lèvres, s’enfoncent et fouillent. D’abord un doigt puis deux. Un délicieux va-et-vient me doigte le vagin pendant plusieurs minutes faisant monter la tension dans ma minouche et mouiller comme une fontaine. Soudain mon branleur abandonne ma moule en fusion, la queue dressée hors de son pantalon ouvert, il vient s’asseoir à côté de nous. Il me la présente à sucer, elle est vraiment belle aussi. Je n’hésite pas, ma bouche change de bite, l’avale et la pompe avec plaisir. Le gérant bande comme un fou. Il n’a plus qu’une idée en tête, me prendre par le cul. Il se lève, se place derrière moi, me demande de continuer de piper son client pendant qu’il s’occupe de mon trou du cul.
J’obéis, je garde la queue de l’inconnu entre mes lèvres, la faisant aller et venir dans ma bouche avec gourmandise. Elle est un peu moins grosse que la première, mais bien plus longue et force ma gorge par moments.
Ma chatte est trempée, je mouille abondamment. Le gérant passe sa belle trique tout au long de mes grandes lèvres ruisselantes de cyprine et plonge dans ma moule pour l’enduire de mes jus, hummm c’est bon elle est grosse... Il fait un ou deux allers et retours et s’immobilise. Il prend un tube de lubrifiant et me graisse le troufignon pour le préparer. Ses doigts tournent sur ma corolle, l’enduisent et la pénètrent. L’effet est radical, mon anneau distendu par le plug palpite et s’ouvre. J’ai hâte de sentir sa grosse pine me défoncer l’oignon. Il écarte largement mes fesses, ajuste son gland sur ma rondelle entrouverte bien grasse, ses mains saisissent mes hanches, il demande :
— Tu es prête ?... Maintenant je vais te la mettre au cul— Vas-y je n’attends que ça...... enfonce-la dans mon trou... encule-moi.
La tête de sa queue force légèrement, mon œillet s’ouvre avec envie à l’envahisseur. Il pousse encore et m’enfonce doucement son braquemart dans le fion. C’est un peu douloureux, elle est très grosse, mais l’excitation me fait vite oublier cette petite douleur. Le plus dur est fait, mon sphincter anal vient de céder le passage au gland turgescent qui s’embourbe un peu plus dans ma gaine rectale frémissante. Mes premiers gémissements se font entendre et s’accentuent à chaque centimètre gagné par la queue dans mon anneau culier. Il s’enlise jusqu’au fond, ses couilles viennent se coller à mon clito devenu très sensible. Je suis aux anges ,j’ai ce que je voulais, une bonne bite dans l’anus pour me soulager de mon excitation sexuelle. Le gérant commence alors une longue série de va-et-vient rapides dans mon troufignon s’enlisant jusqu’au fond. L’homme que je suce ne me lâche pas non plus. Il me tient par les cheveux et enfonce sa longue bite dans ma bouche, loin jusque dans la gorge.
Mes gémissements sont de plus en plus longs, mais étouffés. Je me fais littéralement démonter des deux bouts, j’aime ça. Ma chatte dégouline de plaisir et mon trou du cul palpite sur le membre bienfaiteur. Après de très longues minutes d’une merveilleuse sodomie, le plaisir monte, ma corolle se resserre sur le braquemart, j’explose, une immense jouissance me secoue, je crie, je pisse, je gicle comme véritable fontaine, j’en mets partout. Le gérant se retire rapidement de mon sphincter contracté et vide ses couilles sur mon cul en criant
— Ooohhhh qu’elle est bonne cette salope elle a un cul d’enfer... ça pompe bien la bite.
Il se rhabille, me remercie avec des claques sur ma croupe couverte de sperme et retourne dans sa boutique en me laissant avec son client.Je regarde le client et lui demande :
— Toi aussi tu veux goûter mon cul ?— Oh que oui..... un cul comme le tien ça ne se refuse pas.
Je m’allonge sur le dos sur la banquette, il se redresse et replie mes jambes très haut. A deux mains, j’écarte largement mes fesses, je lui offre ma rondelle encore ouverte après les coups de queue du gérant. Le client est pressé, sans ménagement d’un grand coup de reins, il m’enfonce sa longue bite jusqu’aux burnes. D’une seule poussée, en force, le gland vient taper tout au fond de mon anus et s’engage dans mon ampoule rectale. J’encaisse bien, j’en ai vu d’autres et j’adore. Le plaisir est là, il m’encule sans ménagement. Je suis encore très excitée par la précédente jouissance, je me caresse la chatte d’une main et de l’autre je me triture les seins. Mes tétons durcissent à vue d’œil, je tire dessus et les pince fortement, je jouis de nouveau du cul, du clito et des seins. Longtemps le client continue à me baiser l’anus. D’un coup, il se retire pour jouir sur ma chatte et mon ventre, me graissant de foutre visqueux. Je suis bien, je suis heureuse, enculée et pleine de foutre.
Je pense que c’est terminé. Je m’assois et là je vois à l’entrée de la cabine deux autres clients, la queue à la main attendant leur tour en se branlant. Le gérant avait fait passer le mot :
— Une salope est venue pour se faire défoncer le cul, il faut en profiter.
Deux nouvelles queues... ! Je suis un peu fatiguée, mais l’envie est toujours en moi, plus forte. Je remarque que l’un d’eux a des couilles énormes, j’ai envie de lui brouter. Je leur fais signe de venir. Les deux inconnus me font allonger pour me lécher la chatte chacun leur tour pendant que je suce l’autre. Durant de longues minutes, ils me dégustent, et me font jouir et gicler sur leur visage, une bite dans la bouche bloque mes cris de plaisir.
L’homme aux grosses couilles s’allonge, il me demande de le chevaucher pour que le deuxième puisse me prendre par-derrière. Je l’enjambe, saisis sa queue, ajuste son gland entre mes grandes lèvres dégoulinantes à l’entrée de ma moule affamée. Je m’empale dessus, ma chatte l’absorbe jusqu’aux couilles. Aussitôt l’autre bite sollicite mon anus qui se laisse pénétrer facilement, toujours entrouvert et bien huilé par mes précédentes enculades. Je suis prise en sandwich pour mon plus grand plaisir et le leur rends bien sûr. Chacun leur tour de leur longue bite ils s’enfoncent et fouillent mes entrailles. Ils me baisent et m’enculent me faisant crier et cabrer de plaisir. Dans la cloison, devant mes yeux, par un des glory holes sort une longue et grosse queue noire tendue à l’extrême. Je ne peux résister, elle est trop belle, je me penche, tend la bouche et je la suce avec bonheur. Ça y est je suis prise par tous les trous, je suis au nirvana. On m’entend gémir jusque dans les étages. L’orgasme me terrasse, j’ouvre la bouche, abandonnant la pine noire, je hurle de plaisir, je jouis à nouveau comme une folle pendant qu’ils continuent de me limer à fond les deux trous. Les deux hommes ne sont pas loin d’exploser, ils se retirent brusquement et me mettent à genoux devant eux. Je les suce et les branle tour à tour. Mon enculeur jouit tout de suite giclant sur mes seins, arrosant mon visage puis sort sans attendre. L’homme aux grosses couilles résiste, il veut profiter de moi au maximum. Et moi j’ai encore envie dans mon cul.
Je me remets en levrette :
— Viens vite, encule-moi à fond, enfonce-la loin dans mon oignon, j’adore ça dans le cul.
Il s’empresse d’enfouir sa queue jusqu’au fond de mes entrailles. A petits coups rapides, il m’emmanche jusqu’au fond de mon rectum. Ses grosses couilles collées à ma chatte trempée de jouissance font des bruits obscènes. Il est excité, mais il tient. Il a rarement eu la chance de baiser une salope comme moi. Au bout de quelques minutes, il crie en déculant :
— Je vais jouir, lève-toi salope...! je veux te juter dessus..... t’inonder de foutre... te souiller de mon jus comme une pouffiasse.
Je me mets face à lui et des deux mains je lui présente mes gros seins aux pointes turgescentes d’excitation. La vue de mes amples mamelles offertes le fait littéralement exploser. Il m’envoie d’énormes giclées de sperme, sur les nichons, sur le visage, le ventre, ça n’en finit pas de gicler, il m’en met partout. Ses grosses couilles étaient vraiment pleines.Il sort sans fermer la porte.
Je m’écroule épuisée et repue de jouissance. Cela fait deux heures que je suce des bites, que je me fais défoncer par tous les trous, je suis recouverte de sperme. J’ai eu ce que je cherchais un gros gang bang avec des inconnus qui m’ont fait jouir et inondée de foutre gras. Je ferme les yeux et me repose un peu.
Lorsque j’ouvre les paupières, je vois au-dessus de moi par les larges trous de la cloison trois belles queues qui se tendent et s’agitent pour m’inviter.
Allongée sur le dos, je les regarde. Elles sont belles, tellement différentes et tentantes.
L’une est longue et fine, très droite et toute blanche émergeant d’une touffe de poils blond-roux avec un gland pointu violacé bien décalotté. Une autre noirâtre beaucoup plus grosse, circoncise et courbée vers le haut oscille, une goutte claire coule le long de la hampe.La troisième toute noire, celle que j’ai sucée pendant que je me faisais prendre en sandwich, est énorme très longue et ne semble pas encore bander à fond. Dessous le gros sac de roustons poilus pend hors du trou.
Encore dans l’euphorie de mes jouissances, je ne peux résister à la vue de ces trois bites, elles me font trop envie. Jamais je n’ai pu refuser un sexe tendu vers moi :
Je me redresse à genoux sur la banquette, je prends la plus fine dans ma main droite, la grosse noire dans la gauche et commence à les masturber doucement. Ma bouche s’approche du gland circoncis, je tends la langue, lèche la goutte qui suinte le long du manche qui tressaille sous la caresse buccale.
Les trois queues frémissent et s’avancent dans les ouvertures pour mieux s’offrir aux attouchements.
Je lâche un instant les pénis tendus, je recueille avec mes mains le sperme qui souille mes seins et mon ventre et reprends ma masturbation sur les deux tiges. Mes doigts se referment autour des bâtons de chair, mes paumes bien grasses de foutre coulissent en douceur sur les tiges qui gonflent tendus de plaisir. Je me penche et gobe à nouveau le gland circoncis, mes lèvres coulissent le long du gros tuyau en faisant tourner ma langue autour. Des gémissements se font entendre et des saccades en avant précipitent les braquemarts vers moi pour mieux se prêter aux gâteries. J’accentue les mouvements de poignet sur les pines raides, ma bouche se fait plus profonde pour la queue que je suce. La pression monte dans les burnes qui pendent hors des glory holes, je les sens prêts à tout lâcher.
Non pas déjà !...... Je veux que ça continue.
Je les fais changer de place, la longue bite fine au milieu pour la sucer, et la circoncise dans le trou de droite. Je prends les deux grosses queues noires sortant de chaque côté dans mes mains et les branle avec vigueur. J’enfourne la longue biroute blanche et me l’enfonce au-delà de la glotte, elle est tellement fine. Je commence une pipe en gorge profonde, j’adore. Le nez dans ses poils roux, je le pompe avec ardeur, mes lèvres courent le long du pieu, le gland toujours enfoncé profondément derrière ma luette. Il s’agite, me pistonne le gosier, il me baise la bouche. Soudain il grogne comme un goret, de grosses giclées inondent mes cordes vocales. Il se retire un peu, les jets de sperme chaud me remplissent la bouche, je les déguste avec plaisir, j’avale tout. La queue blanche ramollie sort de mes lèvres déposant des gouttes de foutre sur mon menton. Il disparaît.
La jouissance de mon rouquin m’a fait délaisser un peu les deux autres pines que je tiens toujours en mains, elles bandent bien. J’en ai envie, la pipe et le jus de l’autre m’ont tellement excitée qu’il me faut plus, j’ai besoin de me sentir pénétrée, remplie, labourée. J’ai besoin de ces grosses pines dans mes trous pour jouir encore.
Je me relève, tourne le dos à la cloison, me penche en avant et là que vois-je ? Debout devant la banquette, deux voyeurs, le pantalon sur les chevilles, la bite à la main, ils se masturbent.
— Attendez, je suis déjà occupée avec mes queues des glory holes.— OK... Nous sommes là uniquement pour nous branler en vous regardant vous faire baiser.
Ouf !!! ..... J’ai trop envie de la grosse pine noire. Je me positionne cul en l’air, jambes largement écartées et présente mes fesses devant le trou d’où sort la monstrueuse bite black. D’une main en arrière, je me cramponne à la poignée juste à côté, de l’autre je saisis le gros manche d’ébène, le tire vers ma chatte trempée. Je me caresse la moule avec le gland mafflu. Mes lèvres vaginales s’ouvrent, ma mouille coule dessus, j’ajuste le bélier de chair à l’entrée de ma vulve et je donne un grand coup de reins en arrière. Je m’emmanche de moitié sur sur l’énorme pine. J’en ai le souffle coupé, je me sens écartelée. Je reste immobile le temps que ma gaine intime s’adapte à l’envahisseur.
— Wouhaaa !!! Qu’elle est grosse..... Hoooo ça me bourre bien...... c’est bon.
Je passe la main droite entre mes cuisses à la recherche du gourdin et des couilles de mon baiseur. Je caresse la base de la queue, mes doigts n’en font pas le tour et il reste au moins dix centimètres à faire pénétrer dans ma connasse. J’attrape les bourses pleines et tire vers moi disant à mon baiseur invisible :
— Vas-y pousse, je la veux tout entière... remplis-moi la moule... défonce-moi bien ... fais-moi jouir sur ton gros braquemart.
Il ne se fait pas prier, d’une seule charge violente, il m’embourbe jusqu’à la racine, ses burnes tapent sur mon clitoris en feu. Je crie à nouveau, mais de bonheur cette fois-ci, je suis gavée jusqu’aux entrailles, son gros gland remonte ma matrice très loin dans mon ventre, j’ai l’impression de l’avoir dans l’estomac. Aussitôt il me lime en puissance, déclenchant des myriades d’étincelles de plaisir dans mon vagin et dans mon corps. Pour autant, je ne délaisse pas la queue circoncise toujours bien bandée, je la tiens fermement de ma main gauche et je rassure son propriétaire.
— Sois patient, toi, c’est mon cul que tu prendras et qui te fera jouir.
L’énorme boudin noir me laboure le con en profondeur il me lime, me fouille, me défonce la chatière, mes parois vaginales palpitent de bonheur dessus, le serrent pour le retenir au fond, en profiter un maximum, arrachant des grognements sourds à mon fouteur.
— Haaa qu’elle est bonne la salope, sa cramouille me bouffe la pine elle me masse jusqu’à la racine c’est super une pute pareille... jamais baisé une chatte aussi bonne... elle me régale bien la pine cette catin haaa... la salope... salope ..... salope........ salope.
Tu me fais jouir sale pute...... HHHHAAAAAAA ... !!!!
Il se retire brusquement, éjacule sur mon cul, de grosses fusées de foutre m’arrosent le dos jusque dans les cheveux. La bite à la main, il n’en finit pas de m’asperger de jus gluant, il m’inonde les fesses et le trou du cul, du foutre reste accroché à ma corolle, le sperme dégouline sur ma chatte jusque sur mes cuisses. Je crie ma jouissance en même temps que lui, un orgasme violent me traverse, je gicle et inonde la banquette. Je suis au nirvana.
Étourdi de plaisir, je me laisse glisser sur le divan pour savourer les ondes de bonheur qui me parcourent le corps. Je reprends mon souffle. J’ouvre les yeux, surprise : ce n’est plus deux, mais trois voyeurs qui sont là, les yeux exorbités, la langue pendante, le gland émergeant du poing serré sur leur manche.
Après quelques minutes de repos, je regarde les glory holes, la grosse trique noire a disparu, laissant de grandes traînées blanchâtres couler du bord du trou sur la cloison. Je lèche et me délecte du jus épais qui dégouline.
Dressé par l’autre orifice dans la cloison, le pénis circoncis est toujours là bien raide avec de grosses veines qui la parcourent. Je m’approche à genoux, je prends le gland turgescent dans la bouche, mes lèvres font des allées et venues tout le long du beau manche. Ma pipe se fait baveuse pour bien humecter la belle quéquette qui se redresse encore plus, dépassant largement de l’ouverture dans la paroi, dessous les burnes énormes pendent.
Je me relève me retourne et présente mon cul face à l’ouverture. D’une main, j’écarte mes fesses, de l’autre, je dirige la queue vers mon anus. Je frotte le gland sur ma corolle gluante de foutre. Je pousse sur mon sphincter, mon œillet fait une bulle et s’ouvre, le gland s’engage dans l’ouverture et s’immobilise. Je saisis les deux poignées dans mon dos et donne un violent coup de reins en arrière, me défonçant le cul sur le gros chibre qui pénètre entièrement mon anus bouillant. L’homme invisible gémit, grogne de satisfaction, il me sodomise en puissance. Ses coups de reins sont violents, il s’enfonce jusqu’à la racine projetant son gros chibre tout au fond de mes boyaux en fusion qui l’aspirent avec délice. Que c’est si bon une grosse bite dans l’oignon, elle me ramone bien la gaine anale et pénètre mon ampoule rectale, je jouis à nouveau.
Mon œillet et mes sphincters se contractent spasmodiquement sur le pieu, j’agite mon gros cul dans tous les sens pour mieux le sentir, je m’encule sur le manche bienfaiteur, j’en veux encore. Mon sodomite n’en peut plus, mon anneau culier le suce à fond. Il va jouir.
— Haaaa ! ...la pute... la salope... l’enculée... elle me fait jouir... salope... je vais juter sur ton gros cul de pouffiasse... pute ...enculée ...elle me vide les couilles.
Il décule et m’asperge le troufignon de ses jus gras, j’en ai plein les fesses, ça dégouline sur ma chatte et le long de mes cuisses, je suis trempée. Je n’en peux plus, je suis heureuse, comblée, repue. Je m’écroule sur le dos, épuisée.
À ce moment, les trois voyeurs s’approchent sur la banquette, les genoux baignant dans ma cyprine et ma pisse, ils s’astiquent comme des fous, ils giclent d’épaisses fusées de foutre sur mon visage, mes seins, mon ventre, mes cuisses, mes pieds, puis ils s’essuient la queue sur ma bouche et dans mes cheveux. Je suis recouverte de sperme.
Ma jupe, mon corsage, mes chaussures et mon petit sac ont disparu, je suis nue avec seulement mon porte-jarretelles et mes bas déchirés. Je veux rentrer. Le gérant me couvre d’un tissu un peu sale et trop petit qui dissimule à peine mes fesses, puis appelle un taxi. Le chauffeur s’étonne de ma tenue et de mon état, il a peur de salir sa voiture et vu ma nudité et les circonstances... ! ’’On’’ le met vaguement au courant des événements de la soirée. Après un sifflement admiratif, il accepte de me ramener à l’hôtel et me prend dans ses bras jusqu’à la voiture.
— Vous êtes la première cliente que je prends en charge et que je porte. À poil et sans chaussures, difficile de faire autrement, vous auriez des problèmes. Je dois dire que c’est un plaisir de tenir dans mes bras une aussi belle femme, nue en plus ; vos partenaires de la soirée ont vraiment de la chance, ils se sont régalés ça se voit, vous êtes collante et couverte de ...c’était un bukkake ??? — Non, mais le résultat est le même, je dois vous dégoûter avec toutes ces traces sur moi.— Pas du tout, j’aurais seulement aimé être là beaucoup plus tôt. — Merci, vous êtes gentil de prendre soin de moi dans l’état où je suis et je n’ai rien sur moi. Mais rassurez-vous, à l’hôtel, je vous paierai la course et vous aurez un gros pourboire.
Il me dépose dans son taxi sur le siège arrière, fait le tour et vient s’installer à côté de moi sur la banquette,
— Ce n’est pas d’un pourboire dont j’ai envie...— Je m’en doutais un peu, mais je n’osais pas vous le proposer.
Je me penche vers lui, ouvre son pantalon, plonge la main dans son caleçon et trouve une queue déjà bien bandante : il a vraiment très envie ! Je la caresse, elle est toute raide. Il baisse tout sur ses chevilles et m’exhibe une magnifique bite épaisse de belle taille avec un gland luisant violacé.Je passe la langue sur cette tête frémissante, ce qui lui arrache un gros soupir de plaisir. Mes lèvres font le tour de sa collerette, ma langue joue avec, la bouche distendue, je l’avale en entier. Je commence des aller-retour tout au long de son manche, l’enfonçant parfois jusqu’à ma glotte. Je le suce, je l’aspire, je le broute, je le pompe, je l’ingurgite jusqu’aux couilles que je caresse. Il soupire, il crie, il jouit, il éjacule et me remplit la bouche de foutre gras, j’avale tout et continue ma sucette pour bien lui assécher les burnes. Il n’en peut plus, me relève la tête et m’embrasse à pleine bouche pour me remercier, en savourant son propre sperme sur ma langue.
— Je suis épuisée, ramenez-moi à mon hôtel, le portier réglera la course et le supplément.
Je traverse le hall sous le regard ébahi du portier et du veilleur de nuit. Je monte dans ma chambre, je m’écroule sur le lit et m’endors aussitôt.
Ce matin, je suis fourbue, la bouche pâteuse, mon corps est couvert de taches grisâtres qui tirent ma peau et j’ai mal au cul, mais je suis pressée de te raconter comment je me suis fait baiser, enculer et combien j’ai joui comme une vraie salope que je suis et que tu aimes que je sois.
Ta Marie qui t’aime et baise pour toi ».
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