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Mémoires d'un vieux cochon

Chapitre 7

Erotique
ELIANE
La première chatte que j’ai caressée, c’était celle d’Eliane, une mignonne petite blonde, fille d’une plantureuse esthéticienne qui m’avait invité à prendre le thé. Alors que sa mère nous avait laissés seuls afin d’aller prodiguer des soins à une cliente dans son cabinet attenant à l’appartement, j’osais glisser mes mains sous la robe de sa fille pour lui effleurer les cuisses. La petite, appréciant mes attouchements, me laissa palper sa culotte. Je fis aller et venir mon index à l’endroit de sa fente, ce qui – au bout de quelques secondes – humecta sa culotte de coton blanc. Alors que je m’apprêtais à écarter ce frêle obstacle pour, enfin, voir et toucher l’objet de mes désirs, j’entendis sa mère revenir ; je rabattis bien vite la robe sur les jambes d’Eliane.
En compagnie de sa mère, nous prîmes le thé, accompagné de pâtisseries. En portant l’une d’elles à ma bouche, je remarquai que mon doigt était imprégné de l’odeur de la vulve juvénile. Et, fixant bien Eliane dans les yeux, je léchais à plusieurs reprises mon index parfumé, sous le regard de sa mère.
A propos d’Eliane, il me revient un souvenir : un dimanche après-midi, nous étions allés nous promener dans une forêt en compagnie d’une de ses copines. Alors que nous longions un chemin dans les sous-bois, nous aperçûmes entre les buissons un adulte d’une quarantaine d’années qui nous regardait, immobile. Il n’était pas tout à fait immobile, pourtant, car l’une de ses mains bougeait au niveau de sa braguette. Regardant mieux, nous vîmes que ses mouvements s’effectuaient le long d’une grosse verge qu’il branlait frénétiquement, faisant coulisser son prépuce sur un gland violacé qui me parut énorme. Les deux adolescentes et moi-même, sidérés, restions immobiles sous l’effet de la surprise ; quelle aubaine pour l’exhibitionniste qui continua à se branler devant nous jusqu’à ce que sa grosse bite crache de longs jets blanchâtres qui allèrent s’écraser sur les fougères. Puis ce vieux pervers s’éloigna rapidement pour se fondre entre les arbres.
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LISA

Je pense que Lisa fut la plus âgée de mes maîtresses ; en effet, professeur de lettres modernes en préretraite, artiste peintre et grande amatrice de whiskies single malt, elle devait avoir aux alentours de 55 ans lorsque nos chemins se croisèrent. Mince petite brune aux cheveux courts, pétillante de vie, elle avait la particularité d’être lesbienne ; pour moi, la séduire était donc un défi incontournable !
Nous nous retrouvions souvent chez elle, autour d’une bouteille de Lagavulin. Je ne sais plus comment c’est arrivé ; j’étais certainement en manque d’affection ce jour-là, et elle me montrait ses bas noirs : j’ai posé une main sur sa cuisse, que j’ai commencé à caresser. Comme elle semblait apprécier, ma main est remontée jusqu’à sa culotte, que je frôlai avec délicatesse à l’endroit où je devinais son clitoris. Je sentis le tissu s’humidifier, ce qui m’incita à l’écarter pour avoir un accès direct à sa vulve ; mon doigt découvrit une masse de chairs liquéfiées, une chatte épanouie comme j’en avais rarement rencontré…
Lisa protesta lorsque je pris sa main pour la placer sur mon pantalon, qu’une bosse déformait. Je fis aller et venir sa main sur le tissu qui recouvrait ma verge tout en lui expliquant que, comme elle n’était pas énorme, elle n’aurait qu’à penser que c’était juste un gros clito et non pas une bite ! L’ayant convaincue, j’ouvris ma braguette pour en extraire ma modeste queue, et je lui montrai les endroits les plus sensibles à caresser. Comme elle apprenait vite, après une ou deux minutes de cette agréable branlette j’incitai Lisa à la prendre en bouche ; curieuse, elle ouvrit ses lèvres pour lécher mon gland décalotté et, constatant que c’était doux, elle fit pénétrer ma pine dans sa bouche : d’abord son extrémité circoncise et congestionnée, puis de plus en plus profondément. J’étais en train de me faire sucer par une gouine !
Puis elle accepta de recevoir ma verge entre ses cuisses. Ce fut difficile de l’amener à l’orgasme vaginal ; elle était plutôt clitoridienne (elle avait d’ailleurs un clitoris bien développé) ; il me fallut plusieurs séances pour qu’elle arrive à jouir de cette manière. Par contre, elle appréciait de se faire enculer… Lisa n’était pas pudique : je l’ai photographiée nue, principalement des gros plans de sa vulve, une très belle vulve soit dit en passant, aux longues et volumineuses lèvres. Elle a même découpé en plusieurs parties une photo de sa jolie chatte pour les intégrer sous forme de puzzle à l’une de ses toiles, qu’elle a exposée.
J’allais souvent chez elle pour me livrer à des jeux indécents, bien que ceux-ci aient pu avoir lieu dans les endroits les plus divers : un soir, je lui ai longuement bouffé la chatte dans ma voiture garée en centre ville, alors que les passants allaient et venaient sur le trottoir juste à côté de nous ; un autre soir, nous fîmes l’amour sur une pelouse de gazon jouxtant des toilettes publiques, à trois mètres d’une grande avenue ; une autre fois, dans un bar, je sortis ma verge et, prenant la main de Lisa pour la poser dessus, je me fis branler sous la table, sous les yeux des consommateurs qui n’imaginaient pas ce qui se passait à quelques mètres d’eux!
Mais le summum fut atteint lorsque, un soir, je la retrouvai chez elle en compagnie de son amie lesbienne (qui était âgée d’une trentaine d’années) ; il est possible que le whisky y ait été pour quelque chose… Nous nous sommes retrouvés tous les trois par terre, sur les tapis ; pendant que je branlais la chatte de Lisa, sa copine m’embrassait. N’y tenant plus, je sortis ma queue et l’enfilai dans le ventre de l’artiste peintre, que je baisai pendant quelques minutes ; puis je la laissai ressortir de son vagin, luisante de ses sécrétions. Lorsque la jeune lesbienne la vit, elle la prit en main pour l’examiner de près, puis elle s’en approcha encore plus pour placer mon gland entre ses lèvres, et elle aspira ma pine jusqu’au fond de sa gorge pour la sucer. C’est ainsi que je fis l’amour avec deux gouines !
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