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La mère Noël du supermarché

Chapitre 2

Erotique
« - Oui ?! » dis-je dans l’interphone que j’avais décroché.« - C’est la mère Noël » dit une voix féminine, un peu faible, mal assurée.« - C’est tout en haut. L’appartement du haut » bredouillai-je, essayant de retrouver une contenance.
Je n’arrivai pas à y croire. Je ne suis pas un play boy, mais elle avait osé répondre à mon invitation. La curiosité ? L’excitation de l’inconnu ? Mon audace qui avait payé ?Il n’y avait que deux étages (sans ascenseur) mais le temps qui suivit me parut interminable.« - Elle s’est dégonflée » me dis-je, « elle a sonné puis a pris ses jambes à son cou. Mais pourquoi ? Une femme de quarante ans passés, ça n’est plus une écolière… »
Je finis par coller l’oreille à la porte. Pas un bruit.Puis soudain : on toqua !Vive émotion !J’avalai ma salive, m’apprêtant à retrouver ma prestance.
Il faut que j’ouvre, sinon elle ne va pas attendre, elle va se sauver. C’est elle qui va penser que j’ai oublié, ou que c’était une mauvaise plaisanterie, que je suis en famille, que je vais la jeter.
J’ouvris la porte avec un grand sourire. Elle se tenait là, debout, avec sa veste de père Noël fermée (qui la boudinait un peu), et son bonnet sur la tête.
« - Bonjour » dit-elle avec un sourire gêné. « Je ne vous dérange pas ? » ajouta-t-elle aussitôt, d’une voix hésitante.« - Pas du tout. Je vous attendais. »
Je m’effaçai et la fis entrer.
« - Je commençai même à m’impatienter, pour tout dire… » dis-je d’un air moqueur, et posant ma main sur son épaule je la guidai vers le séjour.« - Je me suis demandé tout le temps si vous blaguiez. Et je me suis dit que j’allais avoir l’air stupide en sonnant, comme ça, chez vous, en tenue de père Noël. Mais je me suis dit que c’était triste d’être seul un pareil jour… et je constate que c’était la vérité.— En effet. Mais votre seule présence illumine ma journée.
— Mais je viens les mains vides » dit-elle d’un air désolé, « je voulais vous apporter des chocolats, mais je vous assure que ça a déjà été compliqué de partir de chez moi seule aujourd’hui. J’ai dû inventer un truc pas possible…Aussi, je vous préviens : je ne pourrai pas rester bien longtemps…— Ca n’est pas grave » dis-je en pensant : ma belle, je trouverai bien le moyen de te retenir.« Vous n’aviez pas besoin d’apporter quoique ce soit, vous êtes mon cadeau, le plus beau cadeau que j’ai eu depuis longtemps ! »
Elle eut un rire bête ; pour mettre fin à cette gêne je lui proposai :
« - Vous prendrez bien une petite flûte de Champagne ? Il m’en reste de la bouteille que j’ai entamée hier soir. Je ne pouvais pas tout m’envoyer tout seul… !— Je préfère ne pas boire d’alcool. J‘ai déjà fait un peu d’abus hier soir et ce midi » (ses joues bien rouges en attestaient) « Et puis, si je sens l’alcool en rentrant, qu’est-ce qu’on va dire chez moi ?— Allez, juste une demi-flûte. Personne ne s’en apercevra. Vous êtes venue pour fêter un peu Noël avec moi… Et ça me fait tellement plaisir de partager quelque chose avec vous…— Bon d’accord… »
Je la fis asseoir sur le canapé et allai chercher la bouteille et nos deux flûtes. Je m’assis à côté d’elle. Je posai ma main sur sa joue, une joue pleine et bien ronde, et la caressai tendrement :
« - Vous êtes vraiment la plus belle mère Noël que j’ai jamais vue.— Oh vous exagérez » dit-elle avec un rire bête et gêné.« - Non, je vous assure. On aimerait bien recevoir ses cadeaux d’une mère Noël comme vous, aussi sexy et aussi gironde. »
Nous bûmes une gorgée de champagne. Je ne cessais de la regarder. Elle devait lire dans mes yeux mon désir pour elle ; elle était infiniment pulpeuse, ses formes bien moulées par sa veste rouge qu’elle remplissait tellement.La jupe droite gris foncé qu’elle portait s’était remontée quand elle s’était assise, et j’avais une vue plongeante sur ses genoux ronds et sur une partie intéressante de ses cuisses gainées de nylon marron, aux courbes pleines, et des plus excitantes.
« - Vous ne pouvez pas savoir le plaisir que vous faites à un homme divorcé et esseulé en égayant sa journée de Noël » dis-je en posant ma main gauche sur son flanc rebondi, et en le caressant lentement.Voyant qu’elle ne me repoussait pas, je m’enhardis et m’approchant un peu plus encore, je caressai sa nuque, posai l’autre main sur le bas de sa cuisse ronde, au-dessus du genou, et attirai sa tête vers moi. Elle se laissa faire et ma bouche prit sa bouche, ma langue partit en exploration, tandis que ma main droite explora les reliefs de son corps, partout où elle pouvait le faire, appréciant le moelleux des chairs, à travers ses vêtements.
Elle interrompit le baiser, reprenant son souffle et pour me dire d’une voix faible :
« - Je ne comprends pas ce que vous me trouvez. Ça doit bien faire vingt ans que je ne m’étais pas fait draguer. Je ne réalise pas. Je me demande ce que je suis en train de faire…— Laissez-vous aller, et ne dites pas de bêtises. Vous êtes attirante, et terriblement désirable, il vous fallait juste cette petite tenue de mère Noël pour allumer un peu plus mon œil et me faire oser cette invitation.— Arrêtez » dit-elle en rougissant, « je suis grosse et cette veste me boudine, j’ai l’air ridicule.— Mais pas du tout, vous êtes magnifique ! Cette veste rouge fait sur moi l’effet du papier cadeau qui rend tout magique, et qu’on a hâte d’arracher… Et vous êtes mon cadeau… Le plus beau cadeau qu’on m’ait fait depuis des années. »
Elle rougit d’avantage, baissa les yeux, gênée, en proie à ce qui semblait être de la confusion, mais d’un seul coup elle jeta ses bras autour de moi et m’embrassa fougueusement.Je lui rendis son baiser passionné, tandis que mes mains se livraient sur tout son corps à un ballet de caresses tendres et appuyées, parcourant ses épaules, ses bras dodus, ses flancs replets, passant également sur ses seins que je découvris avec satisfaction pleins et souples, puis s’égarant en redescendant sur sa hanche molle, puis l’extérieur de sa fesse, qui donna à mes doigts l’impression exquise d’une brioche de Noël, moelleuse et généreuse.
Mes lèvres et ma langue tour à tour, goûtaient à son cou, son oreille, sa joue, lui arrachant des frissons et des gloussements aigus, des sursauts et des rires étouffés. Elle soupirait profondément et m’offrait régulièrement sa bouche.
L’enserrant de mes deux bras et me pressant tout contre elle, je lui murmurai à l’oreille :
« - Vous savez ce que j’aimerais maintenant ?— Non », dit-elle avec un sourire jovial— J’aimerais que vous m’offriez mon cadeau. Un cadeau érotique…— C’est-à-dire ? » dit-elle en gloussant« - Eh bien que vous alliez à côté et que vous reveniez m’offrir mon cadeau dans une tenue d’un érotisme des plus torrides…— Mais quelle tenue ? » dit-elle en riant, « et quel cadeau… ? — Le cadeau c’est vous, ne faites pas l’innocente. Je voudrais vous voir revenir vêtue uniquement de votre veste de père Noël, de votre bonnet et de vos bottes…— De… Oh… Que… Mais alors… ? Rien d’autre… ? » dit-elle, balbutiant, en me regardant les yeux brillants— Exactement. Vous avez compris. Donc rien en bas… et rien sous votre veste naturellement…— Roooh… Qu’est-ce que vous me demandez… ?! Vous vous rendez compte… qu’on se connaît à peine…— Allez, ne faites pas l’enfant… » Et je rajoutai, d’une voix suppliante d’enfant capricieux qui la fit éclater de rire : « s’il vous plait Mère Noëëëëëël…. »« - Oh, mais… » dit-elle en ayant repris son sérieux, et avec un peu de tristesse dans la voix, « je vais avoir honte, je suis grosse… je ne suis plus toute jeune… et je suis déjà complexée… me montrer nue, comme ça, en pleine lumière… je n’ai pas l’habitude… déjà je ne le fais pas avec… avec… enfin avec lui… Me montrer nue devant vous… enfin, un inconnu… ? »
Et comme elle s’était levée pour me dire ça, et qu’elle était penchée sur moi, je tendis mes bras vers elle, les passai autour de son cou et lui murmurai tendrement, ma bouche tout prêt de ses lèvres :
« - Faites-moi confiance. Votre corps me fascine. Je sais que je ne serai pas déçu. Je sais que j’aimerais tout ce que je verrai.Et puis je suis un gentleman et j’ai envie de vous, et de votre corps. »
Elle sembla touchée et joignant ses lèvres aux miennes elle m’embrassa langoureusement et tendrement, et disparut dans la pièce à côté.
Elle reparut après un temps qui m’avait semblé interminable : elle entra lentement et timidement…et là, wouawou !J’eus devant moi la vision d’une déesse. Elle portait sa veste rouge fermée qui la moulait toujours, (néanmoins sa poitrine semblait plus plate et je compris qu’elle s’était bien débarrassée de son soutien-gorge), et en dessous j’avais une vue délectable sur une paire de jambes et de cuisses épanouies gainées de ses bas auto-fixants couleur café, laissant libres les racines des cuisses, pâles et replètes. La veste étant très courte elle s’arrêtait au-dessus d’une vulve rebondie ornée d’une fine toison brune. Elle semblait juchée sur ses bottes. On aurait dit une Betty Boop pulpeuse à souhait.
Je tombai en extase, en pâmoison. Elle vit mes yeux exorbités, mon air hagard et stuporeux comme si je venais d’avoir une révélation (ce qui était un peu le cas), et eut un sourire joyeux de ma fascination pour son anatomie.
Je me mis à genoux devant ma madone, ouvrit mes bras, et les refermai lentement, posant mes mains sur deux fesses bien pleines.
« - Vous êtes magnifique » arrivai-je à souffler en plein extase.
Mes mains caressèrent ces fesses opulentes, descendirent sur les cuisses, remontèrent, comme si je voulais prendre la mesure de ces volumes, comme si je découvrais une statue.
Je me levai et tout en la regardant dans les yeux – ses yeux s’étaient remplis d’un trouble et d’un désir qui firent grandir mon excitation déjà des plus hautes, je commençai lentement à déboutonner sa veste en partant du haut, et en bécotant régulièrement sa bouche par petits coups brefs et passionnés.
Quand mes doigts furent arrivés en bas, j’écartai lentement les pans du vêtement, et dévoilai à mes yeux émerveillés deux seins bien lourds, et bien volumineux.Mes mains se posèrent sur ces divins pomelos au teint mat, et je les caressai doucement, comme si je voulais appréhender leur forme.
Puis, n’y tenant plus, je fis passer brutalement la veste rouge par-dessus ses épaules, et la laissai tomber derrière elle ; posant mes mains sur ses flancs replets et doux je l’attirai à moi et repris sa bouche. Elle passa ses bras dodus et pleins autour de mon cou.Mes mains caressaient furieusement tout ce qu’elles rencontraient en parcourant son corps, dos, seins, fesses, bras, je me laissai glisser et couvris de suçons ses seins appétissants, son ventre opulent, ses bourrelets.
Je l’entraînai vers le canapé et la couchai sur moi, ressentant avec plaisir tout le poids de son corps.Elle ne fut pas longue à passer à l’attaque, et avec empressement, me déshabilla ; nous nous retrouvâmes nus l’un contre l’autre, mélangeant nos peaux, roulâmes dans une frénésie de caresses sur la moquette.Parcourant son corps, j’embouchai tout ce que je trouvai sur mon chemin, la suçotant, goûtant à sa peau salée, gobant, aspirant toute pincée de chair, chaque repli. Elle haletait, et me couvrait de caresses, excitée comme une folle.
Elle prenait goût au jeu, car c’est elle qui me renversa, se mettant à califourchon sur moi, m’enserrant de ses grosses cuisses, en étau autour de ma taille.J’aime cette position d’où mes mains sont libres pour palper tous les globes à ma portée : je jouai avec ses seins globuleux, palpai ses grosses fesses, fermes et tendues, bien remplies.
Elle riait de bon cœur.Puis soudain elle avança son bassin, et visiblement en proie à l’excitation, me jeta :
« - Bouffe-moi la chatte ! »
Je ne me fis pas prier et tandis que ma bouche se colla à sa vulve pulpeuse et déjà bien humide, mes mains explorèrent toutes ses formes replètes, de son derrière mafflu à son dos replet, ses épaules rondes, ses bras pleins… J’étais aux anges !
Mes lèvres et ma langue s’activait. Elle, dansait, oscillant d’avant en arrière, en gémissant très fort, et ses mains derrière elle me caressait les couilles et ma queue dressée et dure comme jamais.Ce petit jeu dura une bonne dizaine de minutes ; je me régalai de son miel odorant et épicé, tandis que par moments elle poussait des petits cris, jetait sa tête en arrière, agitée d’orgasmes qui la prenait et la secouait : je voyais son gros ventre parcouru d’ondulations diaboliques.
Finalement, nous finîmes par nous relever, et l’enlaçant, je l’entraînai vers ma chambre.Bien que celle-ci ne fut distante de moins de trois mètres du salon, nous mîmes un long moment à y parvenir car tous les deux pas je me retrouvai plaquée contre elle, à lui manger la langue, ma main entre ses fesses ou lui pressant sa vulve bombée, ses deux bras pleins autour de mon cou, quand sa main ne jouait pas de bas en haut avec ma queue.
Arrivés devant mon lit, je la culbutai sur le matelas, elle gloussa.Je retirai amoureusement ses bottes, puis ses bas, mes baisers montèrent de ses jambes jusqu’à la racine de ses cuisses ; je léchai encore sa chair et ses muqueuses, ivre de son corps qui m’excitait tant.Ma bouche ventousa son ventre adipeux, remonta jusqu’à ses gros seins ; elle referma ses bras sur moi, m’attirant et m’emprisonnant comme si elle ne voulait plus me laisser échapper, ce que je n’avais vraiment pas envie de faire.
Je me frottai sur elle, mon vit entre ses lèvres intimes, elle soupirait, m’appelait :
« - Viens mon chéri, viens en moi »
J’aime faire durer ces plaisirs-là, mais là je ne pus résister longtemps au chant de la sirène. Je coulissai en elle et elle roucoula tout son saoul.
Je ne sais pas combien de temps durèrent nos ébats. Nous baisèrent dans toutes les positions, roulèrent régulièrement l’un sur l’autre, l’un faisant basculer l’autre, se pressant avec avidité sur le corps de l’autre, alternant les 69 et les saillies rapides, lentes, amoureuses, langoureuses, brutales.Je la travaillai au corps, la besognant, la faisant crier, un doigt enfoncé dans son cul, ma langue enfoncée dans sa bouche.
Quand le combat cessa faute de combattants nous étions épuisés, la nuit était tombée, elle avait oublié qu’elle ne pouvait rester que peu de temps.
Elle reprit ses esprits. Il lui fallut du temps pour retrouver un peu de forces, passer sous la douche, reprendre une apparence calme. Elle dut passer son visage sous l’eau froide pour que ses yeux soient moins brillants et ses joues cessent d’être rouges.
« - Tu n’auras qu’à dire que c’est à cause du froid » lui dis-je en rigolant.« - Tu as raison : il fait 14° C dehors. Je vais être crédible ! »
Je l’aidai tendrement à remettre de l’ordre dans sa tenue. Elle décida de laisser la veste et le bonnet de père Noël chez moi car elle avait peu que son mari les trouve dans sa voiture et lui pose des questions embarrassantes.
« - Il faudra que je passe les chercher mardi matin, avant de partir au boulot, parce qu’ils appartiennent au supermarché.— Pas de problème. Passe même un peu plus tôt… qu’on puisse reprendre notre discussion d’aujourd’hui…— Rooooh toi… ! »

Au cours des mois qui suivirent, elle passa de temps en temps chez moi, parfois même à l’improviste.Quand je n’y étais pas elle me laissait un petit mot dans ma boîte aux lettres :
« Ta mère Noël est venue pour t’offrir un petit cadeau en nature, bien que les fêtes soient passées déjà depuis un moment mais tu n’étais pas là. Dommage… »
Nos étreintes et nos ébats furent torrides et intenses, et nous les appréciions d’autant plus qu’ils étaient peu fréquents.
Deux ans après ce Noël j’eus une promotion intéressante que j’acceptai. Le poste était en Ile de France, à près de deux cent kilomètres de là où je vivais.Nous dûmes nous dire au-revoir au terme d’une ultime après-midi coquine.Nous étions tristes.Nous nous promîmes de tâcher de nous revoir, chez moi ou ailleurs.Mais depuis elle n’eut jamais l’occasion de venir sur Paris. Notre correspondance s.m.s. s’espaça puis prit fin, et je ne la revis plus... Hélas !
    FIN
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