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Offerte pour gage

Chapitre 1

Hétéro
Cela fait trois mois que je sors avec Michel, un jeune homme beau, ténébreux, avec qui je passe des bons moments. Il n’est pas trop mal au pieu, mais j’ai déjà vu mieux.
Rapidement, Michel m’a présentée à quelques-uns de ses amis, et même de ses ex, avec qui il est encore en contact. Je suis assez jalouse et je ne tarde pas à lui faire savoir, lui faisant des scènes de temps à autre. Mais Michel en rigole, tandis que je bouillonne de colère en l’imaginant faire une vengeance d’être aussi mal-léché avec moi, et pire encore s’il revoit ses ex ou rencontre d’autres filles !
Tous les jeudis, Michel s’absente et ne répond à aucun de mes messages. Il prétend qu’il sort jouer au poker avec son ami Valentin et ne voit pas le temps passer, ce qui irrémédiablement me met hors de mes gonds. A une soirée, Maud, l’une des amies, et accessoirement ex de Michel, me confirme que c’est vrai. Elle me confie que si j’ai tiré un bon coup avec Michel, Valentin vaut vraiment le détour.
Ni une ni deux, je convainc Michel pour assister à une de ses fameuses parties, attendant avec impatience de rencontrer le fameux Valentin. Le jeudi suivant, à 20h, nous voici dans un bar où Michel semble bien connaître le patron, un homme sympathique, jovial et rougeaud, qui nous sert dès qu’on franchit le pas de la porte un verre de whisky et un mojito assez chargé pour moi, offerts par la maison. La partie se joue dans la cave d’environ quinze mètres carrés : ameublement très spartiate, il y a une table ronde dépliée et quatre chaises autour, le reste des autres tables étant repliées et les autres sièges empilés.
— Salut Michel !— Salut Valentin, répond Michel, au ton inhabituellement maussade.— Alors tu viens enfin avec ta copine ?— Béatrice, me présenté-je en lui tendant la main.
Il s’approche mais au lieu de serrer ma main, fait un pas de plus et me colle une bise, très proche du coin des lèvres. Je sens son torse s’enfoncer sur ma poitrine, comme s’il voulait jauger au toucher de la taille de mes seins. De mon côté, je constate qu’il est encore plus beau de près, avec des yeux noirs pétrole, une chevelure obscure et une douce sauvagerie émanant globalement de son corps musclé.
— Enchanté, Béatrice... Moi c’est Valentin. On joue, avec Michel, tous les jeudis. Tu joues avec nous au poker ?— Non, je ne connais pas les règles.
Michel s’absente pour aller chercher une bouteille de whisky dans un seau, tandis que Valentin fait la conversation.
— Vous êtes ensemble depuis longtemps ?— Quelques mois.— Tu en as de la chance, Michel est un type super. Et lui aussi en a de la chance, tu es plutôt bien foutue...
Il aurait pu dire mignonne, ou belle ? Mais venant de lui, je lui ai déjà pardonné.

— Vous n’êtes pas dérangés ?— Normalement le patron garde cette pièce pour des soirées privées, mais elle n’est pas aux normes. On est un peu ici au black, il nous laisse tranquille et nous on consomme, et on ramène d’autres clients— Vous jouez au poker depuis longtemps ?— Depuis un an. On mise des petites sommes, ça nous force à jouer plus sérieusement. Entre cinquante et cent euros, mais plutôt cinquante. Puis on a le même niveau, Michel gagne, je gagne, j’ai pas calculé mais grosso modo on doit être à l’équilibre...
Michel revient avec les boissons et la partie commence. Je ne maîtrise pas trop, mais je vois les plaquettes en plastique passer de devant les joueurs au centre de la table, puis du centre vers l’un des joueurs, souvent celui qui s’exclame de joie en exposant son jeu. Les plaquettes basculent d’un côté, puis de l’autre, mais commencent à s’accumuler du côté de Valentin. Sans rien dire, mais avec de la hargne au coin des lèvres, Michel sort un billet de cinquante euros de sa poche et les donne à Valentin.
— Une autre partie ?— Je vais me refaire.
Rebelote, redistribution, les plaques valsent, mais invariablement reviennent chez Valentin. Un nouveau billet de cinquante, puis encore un autre, et un quatrième.
— Michel, dis-je, tu devrais t’arrêter... Tu es fatigué tu as déjà perdu deux cents euros...— Je dois me refaire. Puis à Valentin : j’ai besoin d’argent, et je vais gagner la prochaine. On mise combien, cinq cents ?— Cinq cents ? Moi je les ai, avec tes deux cents euros. Mais toi, tu les as ?
Michel ne dit rien, debout, les mains appuyées sur la table. Puis il me regarde et dit :
— Ca te dit qu’en gage je joue... ma copine ?— Pardon, Michel ?
Je suis sidérée, me prend-il pour une pute ? Mais l’instant d’après, alors qu’un petit démon chuchote au creux de mon oreille, je me ressaisis... Si je perds, cela voudrait dire que je serai toute à Valentin ?
— Tu as entendu, dit Valentin. Elle refuse.— Allez, chérie, tu me dois bien ça ? Valentin sait comment tu suces bien...— Mais c’est pas une raison ! D’où tu racontes nos performances sexuelles ?— Heu, assez souvent, répond Valentin gêné.— Ha oui, rétorqué-je à Valentin, et Michel t’a dit qu’il était aussi nul au pieu, que je suce bien ?— Tu parles sous le coup de la colère, répond Michel.
Et les deux se rasseyent et commencent une partie ! Je me dis qu’au pire, Michel gagne et Valentin lui redonne ses deux cents euros. Et s’il perd... je ne suis pas une poupée !Malheureusement, le coup du sort est là, et Valentin rafle haut la main la totalité des plaquettes.
— Je suis désolé, chérie, comme tu vois, j’ai encore perdu. J’ai fait du mieux que je pouvais.— C’est inadmissible ! Jamais je ne ferai cela...— Allez, fais-lui une petite turlutte et on n’en reparle plus...— Jamais Michel, lui réponds-je faussement outrée, je n’aurais cru que tu exiges de moi une chose pareille !
Trente secondes plus tard, je suis à genoux devant Valentin, qui est assis comme un pacha sur une chaise, jambes écartées, bras ballants. Il se prépare à la douce caresse buccale que je vais lui prodiguer dans quelques instants. Lentement, mes doigts déboutonnent habilement son jean, et comme je sens son érection excitée, je m’y mets avec une lenteur langoureuse. Mais je dois avouer que je suis également pressée de goûter au sexe interdit, aussi la braguette délivre soudainement une vigoureuse bite, qui jaillit de son caleçon tel un beau diable à ressort de sa boîte ! Je ne peux dissimuler ma surprise, devant l’ampleur de la tâche devant moi, à sucer un tel mandrin ! Franchement, par rapport à Michel, je gagne bien au change.
Cependant, voulant garder l’image de la femme victime, je plante un regard de plomb dans celui de Valentin, et je sens la présence de Michel à ma droite se raidir.
— Franchement, tu devrais avoir honte, Valentin, de demander des choses pareilles, de profiter ainsi des copines de tes amis, comme si nous étions de vulgaires petites poupées à votre service... Tu mériterais même pas que je te suce...— Tu entends, Michel, dit-il en rigolant, ta copine se rebelle, elle n’est pas très docile !— Tu es vraiment un cochon... Tu mériterais même pas que je te suce.— Allez, Béa, supplie Michel en serrant les dents.— Une branlette alors ? propose Valentin en souriant. J’ai pas pu m’empêcher de constater que t’avais des doigts de fée.— Cela te plairait, n’est-ce pas ? Que je te branle ?
Joignant le geste à la parole, j’empoigne doucement le pénis qui se tend vers moi, à la base, puis commence à le masser lentement mais fermement, puis à un rythme de plus en plus vigoureux. Ecoutant le rythme de son souffle, je trouve la pression et le rythme suffisant, les mouvements imperceptibles de ses lèvres et de ses paupières le trahissant. Il a l’air de kiffer ça.
— Dis donc, elle branle super bien ta copine, t’en as de la chance, dit Valentin à Michel, comme si je n’étais pas là. Tu dois bien t’amuser, à la maison. Je crois que c’est la meilleure branlette qu’on m’ait faite. Mais c’est pas ce que j’avais demandé, si tu veux que j’efface ta dette, il faudrait qu’elle me suce...
Lentement, j’approche ma bouche, pose sèchement mes lèvres en haut du gland tout en regardant Valentin d’un air faussement furieux : ce dernier est parcouru de soubresauts électriques, répondant positivement et avec plaisir, à mon baiser. Puis l’adhérence de ma bouche fermée se fait de plus en plus longuement. Au bout d’un moment, je colle mes lèvres fermées toujours sur le haut du gland, appuie du menton mais refuse catégoriquement le vrai début de la fellation.
— Vas-y, gobe-la, me conjure-t-il.
Obéissante, j’ouvre la bouche puis enfourne d’abord le gland gonflé, puis l’ensemble du sexe, centimètre par centimètre, sentant la barre nervurée et chaude. J’enserre la base de la bite, provoquant des grognements très expressifs de mon partenaire passif, puis remonte lentement. Je m’adonne à une douce et lente fellation, tournoyant lentement ma langue tout au tour tout en respirant de manière très excitée.
Mais cela ne semble pas convenir à Valentin, qui estime que sa grosse bite toute dure mérite un traitement beaucoup plus énergique ! Il se redresse, attrape mes cheveux derrière les oreilles et impose le rythme qu’il estime mériter s’il veut être rétribué ! M’étouffant presque, je le gratifie d’une pipe bien plus dynamique, aspirant et salivant, accélère le mouvement de mon cou élastique. Il grogne encore plus fort.
— C’est bon ça ! Quelle suceuse fantastique tu fais, une véritable reine de la pipe !
Je sens mes joues rougir devant un tel compliment, surtout devant l’autre loser dont je devine le regard désemparé.
— Bon, dit Michel, tu as eu ta pipe, ça suffit.— Ca suffit ? Au bois de Boulogne j’ai la même pour trente euros, elle devrait bien me sucer et me faire éjaculer au moins dix fois !— C’est tout ce que je vaux, m’énervé-je ! Mes pipes valent plus que ça !— Si tu veux vraiment ton dû, prépare ta chatte, je vais te limer et te la faire fumer !— Ne me donne pas d’ordre, c’est mon corps, c’est moi qui décide, en me levant, m’asseyant sur la table puis m’allongeant, jambes écartées, entendant qu’il me tringle athlétiquement.
Michel proteste, mais cette fois-ci, c’est moi qui décide. De mon côté, je surélève le pubis et remue mon bassin de manière irrévérencieuse. Valentin s’approche, et excité, me retire sauvagement le jean. Le string suit immédiatement. Jambes dénudées, il m’écarte les cuisses, puis rentre sa matraque dans ma petite chatte désireuse de faire plus ample connaissance. J’écarquille les yeux : le spectacle de son immense biroute rentrant et sortant de ma vulve gluante m’excite encore plus.
— Vas-y, vas-y plus vite encore !
Valentin grogne, pose ses mains sur la table pour se donner un appui et les va-et-vient de ce bassin s’accélèrent. La longue bite coulisse de plus en plus vite, je suis passablement remplie et quand je le sens s’enfoncer sec d’un coup dans ma chatte je ne peux m’empêcher de hurler de jouissance.
— Défonce-moi, Valentin ! C’est bon, c’est tellement bon, j’ai jamais eu droit à une bite aussi grosse et qui dure aussi longtemps.— Dis donc, tu la satisfais pas beaucoup, rigole Valentin à l’attention de Michel, entre deux grognements essoufflés.
Michel, les bras croisés, serre les dents, certainement vexé de voir qu’on s’occupe bien mieux de sa chérie. Effectivement, avec lui je ne hurle pas aussi fort ni aussi longtemps, là c’est vraiment la cavalcade ! Je regarde alternativement son air fâché, puis la queue raide qui continue de pistonner à toute vitesse au fin fond de ma chatoune, me tirant à chaque seconde une fraction intense de plaisir en même temps qu’un long soupir empli de trémolos.
Mais si je prends complètement mon pied, Valentin semble vouloir quelque chose d’encore plus bestial. Sans me prévenir, il s’extrait, m’attrape par la taille et me fait descendre de la table. Je me laisse guider par ses mains expertes, les jambes vacillantes et le souffle encore court : il me met dos à lui, et m’arc-boute sur la table.
— Tu ne vas pas m’enculer ? Je ne veux pas de ça ! le préviens-je avant que ne lui vienne l’envie d’explorer mon petit trou, non habitué au passage d’une quelconque matraque.— Mais non, je ne suis pas comme ça, pas avec un cul que je ne connais pas ! Par contre une bonne levrette des familles...
Et le voici qui s’exécute, tandis que je lui offre de nouveau ma chatte vibrante dans une position tout à fait confortable. Cette fois-ci, je ne le vois plus, je sens juste ses mains massives aggriper ma taille menue et imposer de nouveau son rythme endiablé. Je suis à la fois déçue de ne pas admirer son énorme trique continuer à me traverser de part en part - spectacle vraiment grandiose - mais aussi excitée et surprise de ne pas pouvoir voir à quel moment il décide d’accélerer ou ralentir la cadence, quand son mouvement ralentit pour finir sur un gros coup de butoir presque final, ou adopte un tempo effrené.
Je gémis de plaisir, complètement soumise au rythme de mon empaleur, et surtout j’ai un spectacle désolant sur le visage mortifié de Michel, malheureux de me voir prendre mon pied encore plus avec son copain qu’avec lui. Valentin, heureusement, est aussi généreux que Michel.
— Allez, fais pas cette tête... viens te faire sucer par sa bouche gourmande !
Après quelques secondes d’hésitation, Michel se décide à approcher, déboutonne son jean et me tend sa queue que je connais si bien. Complètement excitée à l’idée de me faire prendre de la barbe-au-cul, j’ouvre la bouche et apaise mon amoureux en lui taillant une petite plume, comme il les aime bien. L’ensemble de mon corps suivant un peu de trop les va-et-vient de Valentin qui me besogne de derrière, je ne peux que le titiller et jouer de la langue.
Finalement, au bout de quelques minutes de traitement intensif - cela tombe bien, je préfère une baise courte et bestiale - je sens l’immense chibre au fond de mon ventre qui palpite, annonçant à grandes pompes la jouissance finale. Valentin s’extrait de ma moule poisseuse, m’attrape par les cheveux et me somme de m’agenouiller. Il pose son gland à l’entrée de mes lèvres entrouvertes, sur ma langue dardée, et s’astique vigoureusement. Encore quelques secondes, et il grogne tandis qu’un gigantesque torrent de foutre s’extirpe de sa matraque pleine et coule dans ma gorge. Je déglutis en gémissant de plaisir. A chaque extraction de ce miellat de plaisir, je déglutis et avale une pleine goulée, directement du producteur au consommateur.
Michel, quant à lui, ayant perdu son pari, doit se contenter de gicler sur mon front. La tête légèrement en arrière, je sens le foutre chaud se déposer et couler le long de mes cheveux. Lorsqu’ils ont terminé, je m’assieds fesses nues à même le sol, continue à me branler le minou et le clitoris et les regarde, la bouche entrouverte et le minois dégoulinant de leur épaisse semence.
Quelques jours après, c’est la rupture avec Michel. Il n’a apparemment pas apprécié la tournure de la soirée. J’ai fréquenté Valentin quelques semaines avant qu’il ne trouve une meuf : tant mieux, même si c’est un super étalon, je commence à me lasser. J’aime la nouveauté. Je suis à la recherche d’une nouvelle proie.
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