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Le Palais des Profondeurs

Chapitre 1

Plongée dans les abysses

Orgie / Partouze
Je viens de sortir du bureau. Il fait froid. Il fait sombre. Je lève la tête : au-delà des immenses immeubles, j’aperçois le ciel. Un ciel noir et menaçant. Les rues sont bondées, le métro est pire. Dans la rame, je mate le cul d’une jolie fille. J’ai un peu honte, mais bon, je n’ai pas baisé depuis bien cinq ans, je suis un peu à cran. Je sors huit arrêts plus tard pour rentrer chez moi. Ça y est, il pleut. Il pleut des cordes même. Après quinze bonnes minutes à marcher sous la pluie, j’arrive enfin devant mon immeuble. Juste avant de franchir la porte, une voiture passe à toute allure sur une flaque et m’éclabousse violemment. J’entends quelques rires moqueurs... connards. Chaque fois que je rentre dans mon appart, les murs gris me rappellent ceux de mon boulot. La même teinte. Ceux du métro aussi d’ailleurs. Le même gris, partout. Quel gris de merde.
Soudain, une lettre est glissée sous ma porte. Bizarre, je ne reçois jamais de courrier. Sûrement une facture, ou les impôts. J’examine l’enveloppe avant de l’ouvrir, elle a quelque chose de bizarre. Elle est adressée à John Przybyszewski. C’est bien moi, mais un “z” a été oublié au milieu de mon nom. Jusque-là, rien d’anormal, j’ai l’habitude. Ce qui est plus étonnant, c’est la destination de cette lettre, censée être au “690 boulevard des mirages”. J’habite bien dans ce boulevard, mais au 69, pas au 690. Une chance que le facteur ait pu me la livrer malgré les erreurs de mon expéditeur ! Je l’ouvre, une odeur de parfum s’en dégage. Première fois que je reçois une lettre qui sent bon. Il s’agit d’une invitation, sur laquelle est écrit :
— Mr. Przybyszewski,
Nous sommes ravis de vous compter parmi nos prestigieux membres.La prochaine soirée masquée que nous organisons est prévue le vendredi 8 de ce mois.Nous serions ravis de vous y voir.Prenez le train en destination d’Ozark, vous n’aurez aucun mal à nous trouver par la suite.
Mes plus sincères salutations,Romuald Von Wellington,Président-fondateur du Palais des Profondeurs
Hum. Cette lettre ne s’adresse clairement pas à moi. Ou alors c’est une arnaque. Je me renseigne sur Internet, aucune trace de ce palais, de ce Mr. Von Wellington, ni même d’Ozark. La curiosité me pousse à continuer mes investigations, je vais voir qui habite au 690 boulevard des mirages. C’est un boulevard immense, qui traverse la ville et ses différents quartiers. Si j’habite dans sa partie pauvre, l’autre bout n’est composé que de somptueuses villas. Deux mondes si différents dans une seule rue. Et là, le choc : le propriétaire de la villa qui m’intéresse s’appelle John Przybyszewski. Sans le z au milieu, exactement comme sur l’enveloppe. J’approfondis mes recherches, il s’agit d’un richissime homme d’affaires. Je ne sais pas ce qu’il vient de rejoindre, mais ça a l’air plutôt important. Si je lui apporte cette lettre, il me donnera peut-être une récompense ?
Je me rends donc à l’autre bout du boulevard, en traversant toute la ville, pendant deux bonnes heures à pied. Arrivé devant les grillages de la villa, un garde m’interpelle agressivement :
— Halte ! Qui êtes-vous ?— Je... hum... je m’appelle comme le propriétaire des lieux, et euh... j’ai reçu une lettre qui lui est destinée, je... je crois ?— Très bien, donnez-la-moi !— Quoi ? Je ne peux pas le voir ? Lui remettre moi-même ?— Mr. Przybyszewski est un homme très occupé, monsieur, il n’a pas le temps pour ce genre de sottise. Donnez-moi la lettre maintenant.
Dans un élan de panique, je prétends m’être trompé d’adresse, et repars en courant. Je vais aussi vite que je peux, pensant être poursuivi par cet homme bien plus athlétique que moi, prêt à tout pour avoir ladite lettre. En me retournant au bout d’une trentaine de mètres, je réalise qu’il n’a pas bougé de son poste. Bon, très bien, je rentre chez moi en marchant alors. Une fois dans mon appartement, toujours aussi gris, je m’installe dans mon canapé et fixe cette drôle d’invitation. Qui sent toujours aussi bon d’ailleurs. Puisque je ne peux pas la rendre à mon riche homonyme sans récompense, que puis-je en faire ? La retourner au facteur ? La détruire ? Et si... Et si j’y allais moi-même, à cette soirée ? Si tout le monde porte des masques, peut-être que ma présence passera inaperçue ? N’ayant rien à perdre, et surtout rien à faire de mon week-end, je me décide donc à usurper l’invitation et l’identité de l’autre John. Sans rancune, vieux ?
Vendredi 8, à la sortie de mon bureau, je me dirige directement vers la gare, sans même passer par chez moi. J’achète un masque d’Halloween sur le chemin, on ne sait jamais qu’il faille arriver déjà équipé. Si Ozark n’existe pas sur Internet, la ville n’existe pas plus sur le panneau des départs et arrivées. Ai-je loupé l’heure de départ ? Bizarre, il n’y en avait même pas sur la lettre. Je me mets à parcourir tous les trains, en regardant leurs destinations, au cas où. Pas un seul foutu train ne va à Ozark ! Peut-être que tout ceci n’était qu’une blague à l’intention du vrai John Przybyszewski, et que c’est moi qui suis tombé dans le panneau. Je m’apprête à quitter la gare, quand je vois un petit couloir que j’avais loupé en arrivant. Au bout de celui-ci, un train est à quai. Destination : Ozark. Bingo ! Je rentre dedans, en espérant que mon invitation fera office de billet.
C’est une intuition pas très maline, mais la guichetière m’avait bien assuré qu’elle ne vendait aucun ticket pour cette ville, qu’elle ne connaissait même pas. Le train est très différent des autres. De l’extérieur, il ressemble à une version moderne d’une luxueuse locomotive du siècle dernier. À l’intérieur, les sièges sont en velours, le tapis et les rideaux dans une matière qui m’est inconnue, mais qui a l’air... chère. D’ailleurs, je suis le seul passager de mon wagon. À peine ai-je le temps de m’installer que le train démarre. Pendant une bonne heure, peut-être plus, il longe la côte, en direction du nord. Cela fait du bien de voir autre chose que du béton, l’océan est si majestueux. Une hôtesse passe me voir, m’offre un verre et repart. Pas mal, le service !
Puis, le moment le plus étrange et effrayant de ma vie se produit : le train vire brusquement vers la droite, vers l’océan, et plonge en plein dedans. Vient-on de dérailler ? Comment va-t-on sortir de là ? En plus il n’y a même pas de gilet de sauvetage dans un train, bordel ! Après une minute de panique la plus totale, je réalise que le train ne semble pas vraiment couler. Il avance vite, dans une trajectoire rectiligne, mais sous l’eau. En regardant par la fenêtre, je ne vois rien d’autre que la noirceur des profondeurs. Mais des lumières commencent à apparaître sur les côtés. Des grosses lanternes aquatiques, reliées à une armature métallique. Nous sommes vraiment en train de nous déplacer sous l’eau. La balade sous la mer dure une bonne heure de plus. Je ne vois rien dehors, mais quelque chose de particulièrement lumineux semble éclairer la zone vers laquelle nous nous rendons. Le train finit par rejoindre sa destination.
Il émerge de l’eau, dans une sorte de petite station sous-marine. Encore sous le choc, je prends le sac contenant mon masque, me lève tout doucement et sors du train. Je regarde à gauche. Puis à droite. Personne d’autre que moi ne sort du train. Mais en face, un homme m’attend. Dans un costard impeccable, une fine moustache et des cheveux parfaitement arrangés. La classe à l’état pur. Il vient vers moi :
— Mr. Przybyszewski, nous sommes ravis de vous voir parmi nous ce soir ! Vous êtes le dernier invité à arriver, je vous souhaite la bienvenue au Palais des profondeurs !— Hem, bonjour bonjour. C’est... c’est vous Mr. Von Well... Mintang ?— Ho ho, non. Mr. Von Wellington, notre président-fondateur, ne sera pas là ce soir. Je m’appelle Alfred, pour vous servir, monsieur !— Ah d’accord. Très bien.— Je suis navré de vous demander cela, monsieur, mais pourrai-je avoir votre invitation, ainsi que vos papiers d’identité ? Je sais que cela peut paraître... irrespectueux, pour un homme de votre stature, mais c’est la procédure.— Ah ? Euhhh, et bien voilà l’invitation, et... voilà mes papiers.
L’homme scrute attentivement tous les documents que je lui présente.
— Mr. Przybzyszewski ? Pardonnez-moi, avons-nous fait une faute dans votre nom ?— Oui vous avez oublié un z.— Ooooh monsieur, j’en suis profondément navré, ce n’est pas dans nos habitudes de commettre de si grossières erreurs. Je ferai corriger ça au plus vite sur votre carte de membre.— Non, ne vous donnez pas ce mal, personne ne s’en apercevra, de toute façon.— Comme vous le souhaitez, monsieur. Je reste à votre disposition bien sûr. Veuillez me suivre, je vous prie.
Il se dirige vers un immense escalier. Si la gare était assez sobre, ressemblant plus à un hangar de bateaux qu’à autre chose, l’escalier fait preuve d’un luxe indécent, à l’image du train. Sur les côtés, des peintures de femmes, très belles. Les femmes, comme les peintures d’ailleurs. Il y a bien une centaine de marches dans cet escalier. Plus nous avançons, plus les femmes des toiles sont dénudées, et dans des poses suggestives. Un style d’art propre aux riches, je suppose ? Mais presque arrivé en haut, les peintures deviennent carrément salaces. Sur ma gauche, une femme se masturbant dans ses draps. Sur ma droite, une autre faisant une fellation. Mais où suis-je tombé ? Je n’ose pas demander à Alfred, cela pourrait mettre un doute sur ma véritable identité. Une fois ce monticule de marches franchi, il pousse deux grandes portes, me dévoilant la vraie entrée des lieux. Une hauteur de plafond de vingt mètres, du marbre partout, le tout plongé dans une végétation luxuriante.
Au milieu, une femme m’attend derrière un comptoir, le sourire aux lèvres. L’homme m’y emmène.
— C’est un honneur de vous rencontrer, Mr. Przybyszewski ! Bienvenue au palais, j’espère que cette soirée saura combler... toutes vos attentes.— Haha, je... je n’en doute pas, hein !— Je reviens monsieur, je vais vous chercher votre masque, à moins que vous ayez déjà le vôtre ?
Je lui montre le masque que j’ai acheté trois heures plus tôt. Un masque de film d’horreur en plastique de médiocre qualité, cinq dollars. Elle s’efforce de contenir son fou rire.
— Oh, monsieur, ce n’est pas vraiment ce genre de masque que nos invités portent ici. Ne bougez pas, je reviens dans un instant !
Deux ou trois minutes plus tard, elle est de retour, avec un masque. Un masque de loup, finement ciselé et très élégant. Je le mets. Il recouvre toute la partie supérieure de mon visage, laissant ma bouche découverte.
— Il vous va à ravir, monsieur ! Vous n’avez plus qu’à vous déshabiller et vous serez fin prêt pour la soirée.— Me... me déshabiller ? Com-complètement ?— Bien sûr monsieur. Sinon, il vous sera difficile de profiter de la soirée, si je puis dire.
Très bien. J’enlève ma veste. Mon t-shirt. Mes chaussures. Même mon pantalon. Je la regarde d’un air interrogateur, pour savoir si je peux garder mon caleçon. Elle me fait bien comprendre que non, je dois aussi l’enlever. Me voilà nu, avec pour seul vêtement un masque de loup. Je donne mes affaires à la femme. S’il n’y a que des gens riches à cette soirée, elle doit se demander pourquoi je m’habille si modestement. Ou alors elle me prend pour un de ces milliardaires de la tech, dont la mode est justement de ne pas laisser transparaître leurs immenses fortunes. Non non, je n’ai juste pas d’argent.
— Merci monsieur, soyez certain que tous vos biens sont entre de bonnes mains. Veuillez me suivre, je vais vous accompagner à la soirée.
Je la suis, nu. Et un peu déstabilisé aussi. Nous traversons quelques somptueux couloirs, toujours ornés de végétation et de peintures érotiques. Plus nous nous rapprochons, plus j’entends du bruit. Du jazz. Et des cris. Des gémissements, on dirait. Finalement, nous arrivons à la salle principale du palais. Du haut de mes trente ans, je n’ai jamais vu un endroit aussi grand, aussi beau, aussi impressionnant. De titanesques colonnes de marbre entraînent le regard jusqu’au plafond de verre, permettant d’admirer les fonds marins. La végétation y est encore plus dense et parfaitement entretenue que dans les pièces précédentes. Et au milieu de tout ça : une orgie. Des dizaines de personnes sont là, toutes nues, toutes masquées, se livrant à toutes sortes d’activités sexuelles. Même si je me doutais que ce ne serait pas une soirée belote, le voir en vrai me fut un choc.
Une fois dans la pièce, on entendait plus vraiment la musique, l’orchestre sur place étant incapable de jouer plus fort que cette foule en pleine union charnelle.
— Et donc... donc voilà tous les gens de la soirée ?— Pas tous, monsieur. Vous êtes ici dans la salle principale, mais le Palais des Profondeurs vous propose de nombreux autres endroits, plus petits, pour tout type de fantasmes et de plaisirs divers et variés. Vous y trouverez sûrement le reste des invités !— Ah d’accord.— Et un dernier conseil avant de vous quitter monsieur : si vous avez... un coup de mou, les boissons vous aideront à vous rebooster !— Hein ? Comment ça ?— Elles sont toutes... très aphrodisiaques.— Oh. Je vois. Merci.
Elle se retourne, et me laisse, seul au milieu de tous ces gens. L’atmosphère étrange que je ressentais au début est vite remplacée par une certaine excitation. Si longtemps que je n’ai pas baisé, et me voilà au milieu d’une immense orgie. Je commence à me balader dans la salle, observant les gens sans trop oser m’en approcher. Il y a de tout. Je vois des gens baiser à deux dans leur coin, pendant que des hommes se tapent deux ou trois femmes à la fois, et que des femmes se prennent deux ou trois bites en elles en même temps. Je vois des gars lécher des chattes pendant qu’ils se font sodomiser, des filles discuter entre elles pendant qu’elles sont assises sur le visage et la queue d’un mec. Pas besoin de boisson pour me faire bander, toute cette agitation est largement suffisante pour moi.
Ne sachant absolument pas comment aborder quiconque, je m’installe dans un canapé libre. Sur celui d’en face, une femme avec de très belles courbes, portant un masque de lapin, se fait prendre par ses deux amants, eux-mêmes déguisés en taureau. Elle leur parle, mais ses gémissements sont si forts que je ne déchiffre qu’un mot sur deux. De ce que j’en comprends, le mec qui l’encule a une bite trop grosse pour son cul, mais qu’elle n’arrive pas à s’arrêter. Celui sous elle lui lèche ses énormes seins, tout en écartant ses fesses pour faciliter la tâche du mec derrière. La scène était hypnotisante. Par réflexe, et ayant l’impression d’être invisible au milieu de tout ce monde, je commence à me branler.
— Hey, mon vieux ! Reste pas tout seul comme ça, voyons !
L’homme qui vient de m’interpeller se pose à ma droite. Il est accompagné par une magnifique jeune femme, qui se pose à ma gauche. La cinquantaine, une belle barbe blanche, un bide particulièrement imposant. On ne peut pas en dire autant de sa bite. Pardon, mais je ne peux pas m’empêcher de regarder. La femme, elle, est beaucoup plus jeune, et son physique est beaucoup plus charmant. Son masque de chat est aussi ravissant qu’elle. Celui de l’homme représente un ours, à croire que les animaux ne sont pas choisis au hasard.
— Dis-moi, mon garçon, tu es nouveau, je me trompe ?— Euuuh, oui. Ça se voit tant que ça ?— Haha, j’ai bien peur que oui. Un mec qui se branle au milieu d’une orgie, c’est aussi étonnant que déprimant si tu veux mon avis !— Il me faut un petit temps... d’intégration, je suppose.— Laisse ma femme t’aider à t’intégrer alors.
Elle prend ma tête, et m’embrasse langoureusement. Premier contact avec la gent féminine depuis un bail, je ne m’attendais pas à le faire dans de telles circonstances. À peine ai-je le temps de me remettre de cette pelle baveuse qu’elle se glisse jusqu’à ma queue. À quatre pattes sur le canapé, elle pose ses lèvres sur mon gland. Son mari la regarde, ça a l’air de beaucoup l’exciter. Au moins autant que moi. Avec sa langue, elle commence à lécher l’extrémité de ma bite, tout doucement. Cette incroyable sensation, que j’avais fini par oublier, refait surface en moi. Un vrai bonheur. Soudain, elle empoigne ma bite et se met à la sucer. De longs va-et-vient avec sa tête, elle n’a aucun mal à tout mettre dans sa bouche. Pas que je sois le mec le mieux monté de la Terre, mais je n’avais jamais vu une fille aller aussi loin. Les bruits de sa gorge sont particulièrement excitants. De la bave se met à couler tout du long de mon pénis, avant de tomber sur le sol.
Au bout de quelques longues minutes à me faire la meilleure pipe de ma vie, elle s’arrête pour me lécher les testicules, de façon très minutieuse, tout en branlant ma bite toute lubrifiée. Le moment est si incroyable que j’en avais oublié mon autre voisin, bien décidé à faire la causette. Il ne me lâche pas la grappe, sa femme ne me lâche pas le gland.
— Dis-moi, comment as-tu découvert le Palais des Profondeurs ?— J’en ai entendu parler... dans mon entourage.— Et tu fais quoi dans la vie ? Parce que pour se payer une place ici, il faut avoir des couilles en or, ha !— Je suis dans... la finance. Je ne sais même pas combien coûte l’entrée, je ne m’en suis pas occupé moi-même.— Un million de dollars par an ! En tout cas, c’est ce que moi j’ai payé. Quand ils ont vu le canon qu’était ma femme, ils lui ont offert l’invitation !
En parlant de sa femme, celle-ci s’est remise à me sucer de plus belle. Elle le fait d’une façon si expérimentée que j’ai un mal fou à suivre la conversation de son mari. Je mets ma main sur son dos, et la caresse doucement jusqu’à atteindre son cul. Mon doigt fait de petits cercles autour de son anus, mais je n’ose pas passer par cette voie-là. Je descends pour trouver sa chatte, trempée. J’y insère alors deux doigts, et commence à la pénétrer. Elle relève la tête pour me regarder et fait de petits gémissements, avant de continuer.
— C’est une vraie salope, celle-là. Le mois dernier, à la précédente soirée, elle avait fini dans un gangbang avec quatre types, dans le hammam. Elle était rentrée en boitant haha !
Tous deux se mettent à rire.
— Et vous... enfin, toi, tu ne la baises pas, ta femme ?— Je le faisais autrefois... mais maintenant je prends beaucoup plus de plaisir à la voir se faire ramoner par des bites bien plus grosses que la mienne, c’est mon délire. Et quand je suis trop excité, je vais me trouver une fille dans la soirée qui n’a pas l’air trop occupée et je la remplis. Mais jamais ma femme, haha.— Mais... euh... Comment sais-tu du premier coup que telle ou telle personne voudra de toi ?— C’est là tout le concept du Palais des Profondeurs, mon garçon. Regarde autour de toi. Regarde bien. Tous ces gens qui nous entourent, c’est l’élite de ce monde. Des businessmen comme toi, des artistes comme ma femme et moi, des politiciens, des scientifiques... Si la Terre venait un jour à s’éteindre, et qu’on devait sauver l’humanité dans une fusée, c’est nous qu’on mettrait dedans ! Bon... en attendant, on se retrouve vingt mille lieues sous les mers pour baiser, ha ! Bref, ce que je veux te dire, c’est que si on est tous ici, c’est pas juste pour tirer un coup. Je peux t’assurer que ça, on peut le faire en surface, à moindre coût. On est là pour se retrouver entre nous, l’élite. Ce qui nous fascine plus que tout, c’est le pouvoir. Le talent. L’intelligence. On s’en fout de qui baise qui, si la personne qui nous baise est ici, c’est qu’il y a bien une raison !— Et, si puis-je me permettre, vous faites quoi exactement dans la vie ?— Je suis peintre, j’expose dans le monde entier, mes toiles sont sous la lumière des mêmes projecteurs que Van Gogh, que Monet, que Dalí. Ma femme ? Elle est architecte. Une des meilleures du pays, alors qu’elle n’a que vingt-six ans. On pourrait croire qu’elle est avec moi pour mon argent, tu parles. Elle est dix fois plus riche que moi ! T’aurais pu me payer mon ticket d’ailleurs !
Elle ne prend pas le temps de lui répondre, elle se contente d’esquisser un sourire, ma bite toujours dans sa bouche. Quant à moi, je ne sais pas quoi penser de tout ce baratin, que je trouve quand même bien prétentieux.
— Si elle est avec moi, c’est par simple attirance intellectuelle. Ni plus ni moins.— Et donc moi, si je veux aller baiser n’importe qui ici, je peux le faire ?— C’est exactement pour ça que les gens sont ici, mon garçon. À travers ta queue, ton cul, ta bouche, tout ce que tu veux, montre-leur le pouvoir que tu détiens, le pouvoir que tu représentes. Ils n’attendent que ça. Bon, si tu veux les enculer, préviens-les quand même avant, hein !
La femme se relève, et se met sur moi, face à face. Elle prend ma bite pleine de salive et la frotte contre son clitoris.
— On baise, monsieur le loup ?
Première fois que j’entends sa voix, qui est tout aussi charmante qu’elle. J’acquiesce d’un sourire. Lentement, elle insère ma queue dans sa chatte, et descend jusqu’à la faire disparaître. Elle pousse un long soupir de satisfaction. Nos visages sont l’un contre l’autre, elle m’embrasse. Puis, elle se met à faire de petits mouvements. Ma bite est encore entièrement en elle. Reprendre le sexe par la meilleure baise de ma vie, je me dis que je suis peut-être juste au paradis. Plus ses mouvements deviennent larges, plus je sens la chaleur qui monte. Mon membre viril est compressé dans ce vagin divin. L’homme au masque d’ours nous regarde, commence à se branler à côté. Il claque le cul de sa femme, et m’incite à faire de même, elle semble adorer ça. Alors qu’elle continue de m’embrasser avec passion, elle attrape son mari par la barbe pour cracher dans sa bouche. Évidemment, je ne vois pas exactement ce qui se passe derrière elle, mais je crois qu’il lui doigte le cul, elle est en transe.
— T’aimes ça ma salope, hein ?— Tu veux pas te taire deux minutes l’ourson, tu vois bien que je suis occupée !
Je les écoute sans rien dire. Je suis dans un état second, comme hypnotisé par cette baise, hypnotisé par cette femme, hypnotisé par cet endroit. Je regarde au plafond. Soit je suis en plein rêve, soit il y a littéralement un cachalot au-dessus de nous. Je ferai tout ce qu’il faut pour que ce moment ne s’arrête jamais. Pendant qu’elle rebondit sur ma queue, elle stimule son clitoris avec une main, et plonge ma tête dans ses seins avec l’autre. Tout est trempé de sa mouille. Moi, elle, le canapé, le sol. Cela fait bien quinze minutes qu’on baise, je sens l’orgasme arriver. Je n’ai pas le temps de la prévenir que je jouis en elle, la remplissant de tout mon foutre. Quelques mouvements de plus, et elle vient aussi, dans un grand cri magnifique. Avais-je le droit d’éjaculer dans sa chatte ? Je ne sais pas, j’aurais peut-être dû me poser la question avant, imbécile. Elle se relève légèrement, tout en restant sur moi, pour faire sortir ma queue de sa chatte pleine de sperme.
Avant que le liquide ne tombe, elle y plonge ses doigts et les ressort tout blancs. Elle les lèche, recommence, les met cette fois-ci dans la bouche de son mari, qui avale mon sperme sans broncher. Finalement, ça n’a pas posé de problèmes, au contraire.
— Merci pour ton chibre beau gosse, il était incroyable !
Le temps que je me remette de mes émotions, elle se met à genoux face à son mari, et le branle. Au moment de jouir, elle s’arrête net, pour ruiner son orgasme. Il éjacule sur son ventre. Comme tous les mecs, mes orgasmes sont toujours suivis d’une perte totale de libido. Vous savez de quoi je parle, une fois le sperme sorti de nos couilles, on se dit qu’il est temps d’aller faire ses impôts, ou de réparer cette étagère qui penche depuis deux ans. Mais pas cette fois. Je ne sais pas si c’est dû au lieu, au fait que j’ai cinq ans de baise à rattraper, ou aux deux, mais je suis bien décidé à continuer toute la soirée.
— N’hésite pas à revenir la baiser dans la soirée si tu veux, elle en sera ravie ! Si tu ne veux pas attendre que ta bite soit de nouveau en forme, je te conseille d’aller au bar, et de prendre la “Nymphe des Abysses”, c’est clairement le cocktail le plus efficace.— Merci du conseil.— Si j’étais toi, pour ta première fois, je resterais un peu ici pour te familiariser avec l’ambiance, puis j’irai voir ce qui se passe dans les petites salles annexes, ça vaut le détour crois-moi.— C’est noté !
Ils partent tous les deux, me redonnant vue sur ma voisine d’en face. Toujours en pleine double pénétration, avec de nouveaux mecs. Par curiosité, je m’approche d’elle, ma bite est encore à moitié dure, couverte de sperme et juste devant sa bouche. Elle me regarde en gémissant, voit ma queue, et la suce sans hésiter. Elle avale tout le sperme avec attention, et me fait un clin d’œil. Je vais décidément me plaire ici. Je les quitte pour me balader, bien plus confiant qu’à mon arrivée. Je croise un homme à la musculature parfaite, grand et particulièrement bien monté, accompagné de trois belles femmes. Une le suce, une lui bouffe le cul, la troisième lui masse les épaules. Je me demande qui cela peut être pour se mettre aussi bien. En tout cas, son masque de serpent est très impressionnant. Dans mon errance, je m’arrête devant l’orchestre, qui joue merveilleusement bien, quand on se donne la peine de s’en rapprocher.
Alors que tout le monde est nu et masqué, ils sont en costard et à visage découvert. Je ne sais pas comment ils font pour jouer face à tout ce bordel. À vingt mètres d’eux se trouve le fameux bar. Les serveurs ont l’air d’avoir une sacrée expérience, ils lancent leur shaker dans les airs avec une impressionnante dextérité. Quelques invités sont là, accoudés au comptoir, sirotant ces fameuses boissons magiques. J’en commande une. Il me la prépare en un rien de temps, je me retrouve face à ce breuvage bleu, avec un dégradé tendant vers le noir. Je réalise alors que mon voisin de gauche est en train de se faire sucer pendant qu’il sirote son verre. Je vois tellement d’actes sexuels depuis que je suis arrivé que je m’y habituerai presque. Je bois mon cocktail, cul sec.
Je suis prêt pour la suite.
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