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Le transfert

Chapitre 1

Découverte

Divers
" Drinnnnnnnnng"  

Putain de réveil, déjà 6 heures.  

Oh mais quel con, j’ai oublié que la prof de physique n’était pas là ce matin. J’aurais pu me lever plus tard. Tant pis, au moins je vais pouvoir m’adonner à mon plaisir favori : une petite branlette sous la couette!

Je tends ma main entre mes jambes en repensant à ce que j’ai fait durant le week-end en boite. Hum, la nuit a été si chaude!

Mais! Qu’est-ce qui ce passe! Voilà que je retrouve plus ma queue. Je dors encore ou quoi?

Elle doit se cacher entre mes jambes la coquine.

Mais qu’est-ce que c’est que ça? Un trou, non on dirait plutôt une sorte de fente.  

Bon sang, mais c’est une CHATTE!

Vite, la salle de bain.


Je reste sans voix en me voyant. C’est le visage d’une fille qui se reflète dans le miroir. Plutôt jolie d’ailleurs : brune, les yeux bleus, de beaux seins biens fermes, un petit cul potelé.

Et entre les jambes, c’est bien un minou qui se trouve à la place de ma queue.

Bizarrement, je n’éprouve aucune gène, mais plutôt de la fascination. Le premier moment de surprise passé, je commence peu à peu à toucher ce corps, je caresse les cheveux, les joues roses, les petits seins. Mes doigts fins s’attardent sur les tétons puis doucement, ma main se mets a descendre le long du ventre. Ca y est, elle est maintenant posée sur la caverne sécrète.    

Intrigué, j’enfonce un doigt à l’intérieur.

— Non mais vas-y, te gêne pas surtout. Fous moi un doigt dans la chatte!

— Qui me parle?

— Et bien moi!

— Qui ça toi?

— La fille à qui tu es en train de caresser la touffe, connard! Et toi, t’es qui? Comment as tu fait pour te retrouver dans mon corps?

— Mais j’en sais rien, je ne l’ai pas fait exprès. Je me suis réveillé comme ça ce matin.

— On ne se réveille pas comme ça le matin dans le corps de quelque d’autre. Tu as forcement du faire quelque chose?  

— Mais non, puisque je te dis que je n’ai absolument rien fait!

Nous ne savons subitement plus quoi dire. Tout cela est tellement soudain, tellement surprenant. J’essais de mettre un peu d’ordre dans ma tête. On verra le comment et le pourquoi plus tard, pour l’instant commençons par faire un état des lieux.  

Je suis, enfin mon esprit est dans le corps d’une jeune fille. Manifestement, je n’ai pas pris sa place, mais je me suis en quelque sorte "invité" chez elle. Nos deux esprits occupent simultanément le même espace.

Qui y’a t’il d’autre? Je peux communiquer avec cette fille directement sans avoir besoin de remuer les lèvres. Par contre, je ne peux pas lire directement dans ses pensées et je suppose qu’elle non plus. Tant mieux, ce serait infernal.

Je peux aussi agir sur son corps. La preuve, j’ai pu introduire un doigt dans ma chatte, enfin je veux dire celle de cette jeune fille. Elle aussi d’ailleurs, ( non elle n’a pas mis un doigt dans sa chatte), car je l’a vois faire des mouvements que je n’ai pas commandé.

 Mais alors, en cas de conflit qui l’emporterait?  

J’attrape mon bras et le pince fortement.

— Aille, mais t’es con arrête!

Je continue a pincer. Si elle a davantage de maitrise sur son corps que moi, il lui suffira de m’en empêcher.

— Putain mais t’es con ou quoi, je t’ai dit d’arrêter.

C’est moi le plus fort, elle ne peut pas aller contre ma volonté. C’est extrêmement intéressant.Maintenant que j’ai appris ce que je voulais savoir, je peux relâcher le bras.

— Bordel, pourquoi t’as fait ça, t’es complétement taré.

— Je voulais vérifier si je ne rêvais pas.

— C’est bien ce que je dis, t’es complétement taré.

Je constate une autre chose tout aussi intéressante, je peux moduler mon action sur son corps à ma guise. Je m’explique : je peux entièrement "prendre les commandes" et le faire bouger ou parler selon ma volonté, ou au contraire m’effacer et la laisser agir comme elle l’entend. Avec bien sur toutes les variantes intermédiaires, un peu comme si j’agissais sur un équaliseur.

Je décide pour le moment de garder ces découvertes pour moi, et de laisser cette fille agir à sa guise. En effet, je ne sais pas qui elle est, ni même où je suis. Quand j’en saurais davantage, je pourrais prendre plus d’initiatives.

Je reste donc bien sagement dans un recoin de son corps et me contente de l’observer pendant qu’elle se lave puis s’habille. J’en profite pour la scruter en détail. En fait elle n’est pas simplement jolie, elle est carrément canon.

— Tu veux de l’aide pour me mater les fesses comme tu le fais?

Et merde! Comment a t’elle su que je la reluquais ainsi?  Mais oui que je suis con c’est évident, on a les mêmes yeux!

— Je ne fais rien de mal, tu as un très joli corps.

— Ah ouais, et bien c’est pas une raison pour le squatter.

J’évite de déclencher les hostilités et reste dans mon coin pendant qu’elle prend son petit déjeuner.  Ce faisant, j’apprends encore des choses intéressantes. Pas que cette jeune fille aime les tartines grillées, ça vous vous en foutez, mais son nom par exemple. Il est inscrit sur les cahiers de cours qu’elle range dans son sac : Morgane Sechet, 1 ère année de Deug scientifique, université de Caen...."Quelle coïncidence, moi aussi. Pourtant je ne l’ai jamais vu. Mais bon en fait ce n’est pas vraiment étonnant, on doit être près de 400.

Morgane, moi, enfin plutôt nous prenons le bus pour aller en cours. Durant tout le trajet, je réfléchis en silence à la question qu’elle m’a posée : qu’est ce que j’ai bien pu faire pour en arriver là?Une fois arrivé, je m’adresse de nouveau à elle, toujours par la pensée, d’esprit à esprit.

— Non, je ne vois toujours pas comment ni pourquoi je me suis retrouvé dans ton corps.  

Alors que je viens à peine de prononcer cette phrase, une idée traverse mon esprit.

— Ah moins que, mais non, ce n’est pas possible. C’est complétement débile.

— Qu’est ce qui est complétement débile? Vas-y accouche, on ne sais jamais.

— Cette nuit, j’ai rêvé que j’étais devenue une fille.

— Tu as rêvé que tu étais devenue une fille! Et ça t’arrive souvent?

— Bah heu, oui. En fait j’ai toujours rêvé d’être une fille.

— Bon sang, c’est pas possible. Non seulement un type pénètre dans mon corps, mais en plus c’est une tapette!

— Non, je ne suis pas une tapette!

— T’es quoi alors?

— Une fille née avec un corps de garçon.

— C’est bien ce que je dis, t’es une tapette.

— Puisque je te...

— Bon on s’en fout! Maintenant ça suffit, tu dégages de mon corps!

— Mais je ne peux pas.

— Comment-ca tu ne peux pas? Tu as réussi à entrer, tu dois bien pouvoir ressortir. Je n’ai envie de supporter la présence d’un sale PD dans mon corps.

— Je ne suis pas un PD, et quand bien même ce serait la cas, cela n’aurait rien de sale. Arrête de m’insulter constamment s’il te plait.

— Je fais ce que je veux, c’est mon corps, espèce de Pd, tapette, tantouse, petite fiotte....

— Arrête de m’insulter.

— Pourquoi ça t’énerve, si tu n’aimes pas entendre la vérité, tu n’as qu’à retourner dans ton corps : petite tapette, PD, salope, suceuse....

— STOP!

— Ca y est, tu en as marre de m’entendre, tu va enfin retourner dans ton corps?

— Non, j’ai une autre idée. Tu vois les trois mecs assis la bas. Tu les trouves comment?

— Bof.

— Et bien eux j’ai l’impression qu’il te trouvent pas mal. Ils n’arrêtent pas de te mater.

— Et alors?

— Et alors, je suis sur qu’ils seraient ravis que je leur propose une petite pipe à chacun.

— Mais ca va pas la tête, tu ne vas pas faire ça!

— Et pourquoi pas? Sucer des queues, c’est bien ce que font les PDs, n’est ce pas? Tu vas voir, dans quelques jours, tu auras une réputation de salope dans toute la fac!"

— Je t’empêcherai de faire une chose pareille!

— Ah oui et comment?

"SPLASCH"

— AILLE, mais t’es con, pourquoi tu m’a mis une gifle?

— T’as qu’a m’en empêcher.

" BAFF"

— Mais arrête je te dis.

— Tu as compris ou tu en veux une autre? Comme tu peux le voir, c’est moi qui contrôle ton corps, tes bras, tes jambes, ta bouche, ta......langue.    

Je sens que l’esprit de Morgane tente désespérément de reprendre la maitrise de son corps, mais c’est peine perdue. Tout en m’approchant lentement de la bande, je m’amuse à la torturer un peu.

— Hum, je sens déjà le gout de leur queue dans TA bouche. Et le pire, c’est que tu va être aux première loge pour assister au spectacle.  

— Non s’il te plait, ne fais pas ça!

— Je vais me gêner tiens. Non seulement je vais les SUCER, mais ensuite je vais aussi me faire SAUTER! Ca apprendra à être un peu plus aimable!

— Je t’en pris, ne fait pas ça, je..., je suis vierge.

— Plus pour longtemps.

Morgane éclate en sanglot dans ma tête

— Je t’en supplie, j’ai un petit copain.

Je n’ai jamais pu supporter de voir une fille pleurer. Ma colère retombe comme elle était venue. 

Morgane  se tient blottie comme un oiseau meurtri dans un coin caché de son corps. Je voudrais la serrer dans mes bras pour la réconforter, mais comment m’y prendre. J’essaie de le faire en pensée, et bizarrement ca marche.  

Je pose son esprit contre mon cœur et la presse contre moi.

— Ne pleure pas. J’ai dis ça sur le coup de la colère, je ne le pensais pas vraiment. Ne t’inquiète pas, je ne vais pas te faire une réputation de salope, ni t’enlever ta virginité.

— Merci.

— D’ailleurs, c’est vrai que tu es vierge?

— Oui.

— Mais tu as quel âge?

— 19 ans.

— 19 ans !

— Qu’est ce qu’il y a, tu trouves ça anormal qu’une fille soit encore vierge à 19 ans?

— Non, non, pas du tout. C’est juste que si j’avais eu la chance d’être une fille, il y a longtemps que je n’aurais plus été vierge à ton âge.  

Chut, ne dis rien, je sais moi je suis une salope.

— Mais je n’ai rien dit.

— Non, mais tu le penses tellement fort. Enfin bon, passons. Dis-moi, à défaut de coucher avec les garçons, tu leurs fais des petites gâteries au moins?

— Des gâteries?

— Non, c’est pas vrai! Tu ne sais même pas ce que c’est. Je ne te demande pas si tu a déjà branlé la queue d’un mec, je connais la réponse. C’est pas étonnant que tu sois encore vierge, en fait c’est parce qu’aucun mec n’a eu envie de coucher avec toi.

— NON pas du tout, si je suis vierge, c’est parce que je me réserve pour mon futur époux.

"Ah ah ah"

— Mais on n’est plus au 19eme siècle! C’est bien ma veine ça, je suis arrivé dans le corps d’une fille, mais c’est celui d’une nonne. Je vais avoir du boulot

— Du boulot, quel boulot?

— Oh laisse tomber. Bon, parle moi un peu de ton petit copain? Il s’appelle comment?

— Steven.  

— Tiens, c’est marrant ça.

— Qu’est ce qui est marrant?

— On as le même nom tout les deux, à part que moi tout le monde m’appelle "Stewy".

— Oui c’est marrant en effet, mais bon des Stevens il y a un paquet à la fac. En tout cas lui c’est pas une tarlouze.

— Qu’est ce que tu en sais?

— Il est grand, beau, musclé, viril.....

— Ok je vois, c’est Ken, le copain de Barbie. Mais tu sais, le physique ne fait pas le moine. Tu crois que je suis comment moi?

— Tu veux dire en garçon. Et bien Je t’imagine petit, gringalet, efféminé.

— Une petite fiotte quoi! Et bien détrompe toi, je mesure 1,88 m, je suis musclé, très bien monté. Sans me vanter, je suis un très beau mec et les filles sont folles de moi.

Et oui ma petite, ça t’en bouche un coin n’est ce pas?

Elle ne me répond pas.

— Bon, Steven et toi, ça fait longtemps que vous êtes ensembles?

— Bah euh on est pas vraiment ensembles, enfin pas encore. Je suis amoureuse de lui, mais il ne le sait pas.  

"Ah ah ah". 

— Je l’aurais parié. Je suis même sur que tu ne l’a jamais embrassé, ni lui ni aucun autre mec.

— Non en effet, Je n’ai même jamais osé lui adresser la parole.

Morgane éclate de nouveau en sanglot.

— Oh non, tu ne vas pas recommencer à pleurer. Si ce gars ne s’est pas rendu compte qu’il était aimé par une aussi jolie fille que toi, c’est que c’est un sacré crétin!

— Je t’interdis de dire du mal de lui!

— Oh oh. C’est que mademoiselle est réellement amoureuse. Ok ok, j’ai compris, je ne dirai plus rien.

Après quelques secondes de silence.

— Morgane, Tu veux que je t’aide à séduire Steven?

Ses yeux s’illuminent.

— Tu es sérieux?

-  Bah oui.  

— Pourquoi ferais-tu ça ?

— Toi tu seras heureuse, et quand à moi, j’éprouverai le plaisirs d’être dans la peau d’une fille, de me faire belle, de jouer à la séductrice.....enfin bref, d’assouvir mes fantasmes de tantouse comme tu dis.

— Fais gaffe, si tu essaie de me piquer mon mec, je t’arrache les yeux!

— Tu n’as rien à craindre, c’est ton corps qu’il va voir, qu’il va toucher. Pas le mien.

Ces paroles la rassurent.

— D’accord, mais comment pourrais-tu m’aider à le séduire?

— Tout d’abord en faisant de toi une vraie femme, sexy et sensuelle. Ensuite, je te rappelle que je suis un garçon. Je sais donc ce qui leur plait, en particulier leurs fantasmes, les petites faiblesses qu’ils n’avouent jamais par vantardise. Je pourrais te les indiquer et je suis sur que Steven tombera amoureux de toi.

— Tu penses vraiment que ça marchera?  

— J’en suis certain. Dans peu de temps il sera raide dingue de toi.

— Excuse-moi, Stewy. Je t’avais mal jugé. Tu es quelqu’un de bien en fin de compte, même si sans vouloir te vexer, tu m’as quand même l’air d’être une sacrée petite salope.

"Ah ah ah "

— Ca ne me vexe pas tu tout, surtout quand c’est une jolie fille comme toi que me le dis.

— Stewy. C’est vrai que je suis jolie?

— Franchement tu pourrais être une fille canon. Dommage que tu ressembles à un garçon manqué.

— Je ressemble à qui je veux. C’est MON corps!

— Oui oui je sais. Je disais juste ça comme ça.

Après un nouveau silence.

— En fait tu es un comme un diamant brut, tu as besoin d’être taillée pour révéler tout ton éclat.

Je sens Morgane rougir. Son bonheur irradie dans tout son corps et pénètre mon esprit. Je suis sincèrement heureux pour elle.

Elle me regarde au plus profond de mon âme et dit :

— Stewy. S’il te plait, fais-moi briller de mille feux!
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