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Une épouse presque fidèle

Chapitre 2

Erotique
UNE ÉPOUSE PRESQUE FIDÈLE

ÉBATS TORRIDES (1)

LIOUBOV
Un mouvement sur ma gauche : une femme. Jeune et belle. C’est elle ! Mon cœur bat à tout rompre… Vêtue d’un long manteau sombre, elle est arrivée par une entrée annexe. Elle ! Jessica ! Elle me sourit. Vite, l’iPhone… Record ! Elle voit que je la filme. Je lui fais signe de s’approcher d’une vitre latérale que je fais glisser. Elle me sourit toujours ; ses dents, bien régulières, sont éclatantes de blancheur. Et cette bouche aux lèvres pulpeuses… Dire que c’est là que je vais insérer ma vieille bite… Dieux du ciel ! Qu’elle est jeune et belle ! Ce n’est pas possible qu’elle veuille de moi. Elle va faire demi-tour lorsqu’elle m’aura mieux vu. Je surpasse mon appréhension et lui adresse la parole.
– Alors, tu es la petite chienne qui se fait appeler S (pseudo censuré) ?– Oui.– Désires-tu être admise dans ce temple de l’érotisme et de la perversion ?– Oui.– Tu es vraiment une petite chienne en chaleur ? – Oui.– Alors, commence par mettre ce collier de chienne !
Je lui tends le collier, qu’elle passe autour de son cou. Ceci fait, elle me rejoint à la portière du camping-car ; j’accroche la laisse au collier, et tire Jessica à l’intérieur. Là, elle commence à se déshabiller d’elle-même, sans que je le lui aie demandé, toujours en souriant. Bientôt, elle se retrouve en sous-vêtements noirs, très sexy. Je m’approche d’elle, lui pose un loup sur les yeux et lui ramène les mains derrière la tête pour lui passer les menottes. Elle se laisse faire, docile, soumise, sans protester. Comme elle est belle, ses bras relevés derrière la tête, ce qui fait ressortir sa poitrine ! Je reste quelques instants à l’admirer, offerte à mes désirs les plus pervers…
Je retire rapidement ma tenue d’intérieur, ne conservant que le catsuit – avec des ouvertures judicieusement disposées – à même la peau et me place derrière Jessica. Je perçois la tension qui l’habite… Ah, comme j’aimerais pouvoir la rassurer en lui disant « Ne crains rien, Jessica : ce n’est qu’un jeu. Avec moi, tu ne risques rien… » Mais ces paroles risqueraient de perturber l’atmosphère d’érotisme raffiné dans laquelle nous baignons. Afin de la détendre et de lui donner confiance, je lui caresse la nuque et le dos d’un léger massage dans lequel j’essaie de lui transmettre toute la douceur qui m’anime.

JESSICA

Lioubov se tient là devant moi, derrière le pare-brise du camping-car. Son sourire est caché derrière son iPhone. Je comprends immédiatement qu’il me filme. Je me rappelle ses mots « Je suis un dangereux pervers sexuel. Tu devrais te méfier de moi, jeune enfant... » Une inquiétude s’empare de moi. Personne ne sait que nous avons rendez-vous ; il pourrait facilement prendre ma vie…
Obéissant à son geste, je contourne le camping-car sans laisser paraître mes craintes, un sourire plaqué sur mes lèvres.
– Alors, tu es la petite chienne qui se fait appeler S (pseudo censuré) ? demande-t-il.
Sa question me surprend. Je m’étais habituée qu’il m’appelle « petite chienne » pendant nos échanges électroniques, mais je ne m’attendais pas à ce qu’il s’adresse à moi de cette façon.Un « Oui » timide franchit mes lèvres.
– Désires-tu être admise dans ce temple de l’érotisme et de la perversion ?
Je suis venue là pour ça. Je ne peux plus reculer.
– Oui.– Tu es vraiment une petite chienne en chaleur ? – Oui.– Alors, commence par mettre ce collier de chienne !
Je suis complètement intimidée. Je prends nerveusement l’objet dans mes mains avec la folle envie de m’enfuir.« Au moins, il te met dans le bain directement. Tu sais déjà ce qui va t’arriver ! » pensai-je nerveusement.Je l’attache maladroitement autour de mon cou tandis qu’il continue de me filmer ; puis il me fait signe de le rejoindre à la portière. Je suis tellement nerveuse que les quelques secondes d’attente avant qu’il l’ouvre me paraissent devenir des heures.
Il présente une laisse et l’accroche au collier. J’avais déjà eu envie d’être traitée ainsi ; mais là, je ne me sens pas du tout à l’aise. Je le suis tout de même lorsqu’il me tire à l’intérieur.Des jouets intimes de tout genre et des menottes s’étalent devant mes yeux. J’avais donné mon accord à Lioubov pour qu’il utilise quelques accessoires, mais leur nombre m’intimide un peu. Je regarde nerveusement la portière qui se referme devant moi. Je ne peux plus reculer.
Je décide alors de me mettre à l’aise, m’excusant de ma tenue vestimentaire très ordinaire. J’enlève mon manteau, mes talons et mes vêtements inutiles. Je me retrouve en mini-jupe qui recouvre à peine mes fesses, collants ouverts, string et débardeur qui se noue derrière le cou. Tout cela sous ses yeux attentifs et son iPhone qui ne manque rien de mon effeuillage. Je souris toute seule en me disant que j’aurais pu rendre cela un peu plus sensuel.
Lioubov pose son mobile et me présente un loup, mon objet fétiche. Je le laisse me le poser sur les yeux. Le noir m’envahit et mes inhibitions se lèvent lentement. Il prend délicatement mes mains pour les menotter derrière ma nuque, où il entreprend un léger massage très agréable. Ses mains douces et chaudes me mettent en confiance. L’envie de les sentir sur tout mon corps s’empare de moi.

LIOUBOV
Reprenant la laisse, je la tire en direction d’un fauteuil où je la fais s’asseoir. Ainsi, elle est à la hauteur de ma verge. Tiens, celle-là, je l’avais oubliée… Que devient-elle ? En fait, elle est en semi-érection, presque à l’horizontale. Je la saisis pour la passer délicatement sur les joues de Jessica, puis je lui en caresse légèrement les lèvres, qu’elle entrouvre. Mon excitation augmente encore lorsqu’elle laisse dépasser le bout de sa langue ; que c’est doux ! Mais elle tire un peu plus sa langue, ce qui me permet de déposer mon gros gland circoncis sur ce support chaud et humide… Je me repais de cette vision hautement érotique !
Mais Jessica ne me laisse pas beaucoup de temps pour admirer ce spectacle licencieux ; avançant la tête, elle me prend entre ses douces lèvres puis, après quelques allers-retours sur la surface soyeuse de mon gland, elle le fait pénétrer dans sa bouche. Oh, quelle volupté ! Ma verge finit de se déployer dans l’intimité chaude et humide de cette si belle femme… Des sensations extraordinaires m’envahissent lorsque Jessica commence à faire coulisser délicatement ses lèvres le long de ma hampe, s’interrompant parfois pour aller caresser mon scrotum de sa langue et même prendre mes testicules dans sa bouche brûlante. Comme ses mains sont entravées par des menottes, elle ne peut les utiliser pour maintenir mon membre, et ses yeux bandés ne lui sont d’aucune utilité. Alors, lorsqu’elle laisse ma verge sortir de sa bouche, elle est obligée de la chercher à tâtons avec ses lèvres sensuelles. Je laisse parfois échapper des « Oh… », des « Hmm… » et des « Ouiii… » et des « Oh oui ! » lorsque mon plaisir devient trop fort. Je sens que si elle continue comme ça, je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps…
– Ça va, chienne ; tu t’es assez amusée !
Je me retire – à regret – de sa bouche de suceuse experte et je l’entraîne, au bout de la laisse, vers le lit où je la fais s’allonger sur la couette, les jambes hors de la couche.

JESSICA
Je sens Lioubov tirer sur la laisse. Il me fait asseoir sur un siège. Je sens son gland ferme et d’une douceur incomparable se poser sur mes lèvres. Il ne les caresse pas avec lui, comme il m’avait dit par mail désirer le faire. Alors, j’en profite pour l’embrasser délicatement. Sa douceur sensuelle m’attire. Je le lèche doucement. Il se tend vers ma bouche. Je lèche lentement le contour de cette vigoureuse verge sur toute sa longueur. Je titille le frein de la pointe de la langue. J’ai envie de le mordiller et de le sucer, mais il m’échappe.
J’aspire son gland entre mes lèvres. Il est aussi délicieux que je l’avais imaginé. Je le suce avec gourmandise, aspirant doucement sa verge dans les profondeurs de ma bouche. Ma langue s’active savamment le long de sa hampe.
Lioubov me laisse faire en gémissant. Je suis à la fois soumise à ses désirs et maîtresse de son plaisir. Ne pas le voir, mais juste l’entendre est très excitant. Je m’applique encore mieux. Ma bouche fait de longs va-et-vient sur sa verge que j’absorbe entièrement. Elle est vraiment délicieuse !
Je lèche son scrotum qu’il a soigneusement épilé. Quel délice de le sentir frétiller sur ma langue ! Je prends ses bourses délicatement entre mes lèvres, chacune leur tour. Je les suce doucement. Lioubov gémit ; je continue. J’avais envie de les absorber ensemble entre mes lèvres pour les sucer et les lécher délicatement, mais je ne pouvais me libérer pour les maintenir contre ma bouche.
Je lèche toute la longueur de cette délicieuse verge et l’aspire profondément entre mes lèvres. Je la dévore entièrement, en faisant de longs et rapides va-et-vient.
– Ça va, chienne ; tu t’es assez amusée !
Quoi, déjà ? Mais je me régale, moi ! Je n’ai pas envie d’arrêter. Je suis tout de même mon Maître qui m’entraîne, en tirant sur la laisse, vers le lit où il m’allonge délicatement. Ma langue frétille toute seule dans ma bouche déjà en manque de son gland.

LIOUBOV
Jessica est là, devant moi, toujours entravée et aveuglée, la laisse en travers de la poitrine. Elle attend mon bon vouloir, soumise et confiante, prête à tout. Des collants sombres à motifs gainent ses jambes ; une mini-jupe ultra-courte laisse entrevoir le fin voile d’un string noir qui masque encore – mais si peu – l’objet de mes désirs : sa vulve ! L’iPhone, qui enregistre toujours, se rapproche pour zoomer sur cette vision de rêve. Ma main rabat la mini-jupe sur son ventre. À travers les mailles ajourées du string, je distingue nettement la fente – encore fermée – de Jessica. Son pubis est totalement épilé. Je lui caresse les cuisses, laissant parfois ma main glisser négligemment sur son sexe. Alors qu’un de mes doigts tente de se glisser sous le fin voile afin d’offrir à mon regard cette vulve qui m’obsède, elle reçoit un SMS sur son téléphone portable. Jessica se lève pour répondre. Je lui enlève les menottes et le bandeau qui l’aveuglait.
– Attends ; je reviens et je reprends la pose… dit-elle.– J’y compte bien !

JESSICA
Le lit est moelleux à souhait. Je suis là, offerte, les cuisses écartées et le corps tremblant d’envie. Je sens ses doigts qui m’effleurent légèrement. Ses mains caressent mes cuisses, et furtivement ma minette. Je la sens dégouliner d’envie et mon clito se tendre.
Mon portable sonne pour ma plus grande déception. Je m’excuse : cela ne se fait pas. C’est mon époux. Je suis obligée de répondre pour maintenir le faux-semblant. Le retour dans ma vie de tous les jours est rude. Je pousse un long soupir pour me détendre de nouveau et me replonger dans la volupté de l’instant précédent.
Je croise le regard tendre de Lioubov qui me sourit. J’ai l’impression de le voir pour la première fois, maintenant que la nervosité du premier échange m’a quittée. Ses lèvres pulpeuses attirent les miennes. J’ai envie de l’embrasser. Son corps mince est vêtu d’un catsuit en résille ; il est habillé sans l’être. Je trouve cela sexy. J’ai envie de tendre la main pour caresser sa peau.
Je suis surprise de voir ses cheveux si longs. Je lui trouvais plus de charme lorsqu’ils étaient libres, tombant sur ses épaules, sur les photos qu’il m’avait envoyées.
Je reviens vers lui, attendant ses ordres.

LIOUBOV
Lorsqu’elle revient, je détache la laisse et dégage ses seins ; ses aréoles roses sont assez développées, et ses tétons (de plus d’un centimètre) érigés témoignent de l’excitation que ressent Jessica. Elle reprend sa place sur le lit.
– Alors, tu me le montres, ce minou ?
Pour toute réponse, elle écarte ses cuisses et fait glisser son string sur le côté. Sa vulve apparaît ; ses « petites » lèvres sont d’une taille exceptionnelle… Elles sont déjà entrouvertes ; Jessica finit de les ouvrir avec ses doigts, les étirant au maximum, et les maintient plaquées contre ses cuisses à l’aide de ses majeurs. Ses index ne restent pas inactifs : elle s’en sert pour dégager un clitoris de belle taille qui bande déjà. Cette petite perverse exhibitionniste offre sa vulve écartelée et luisante de sécrétions à mon regard lourd de convoitise.
– Hmm, charmant… Je sens que je vais me régaler ! Comment aimes-tu te caresser ? Montre-moi.
Elle fait glisser son index le long de ses lèvres qui s’ouvrent encore plus, puis se caresse le clitoris en tournoyant autour de son organe érigé.
– Tu as de superbes lèvres… Aaaah… Elles sont magnifiques !
À présent, Jessica se branle le clitoris en me regardant droit dans les yeux en me souriant. Parfois, elle passe une langue humide sur ses lèvres gourmandes. Un filet de mouille s’écoule de son vagin et glisse le long de sa cuisse. Elle gémit.
– Tu vas jouir ?– Pas encore…– Et si j’y mets ma langue ?
Je ne peux plus résister à ce spectacle d’un érotisme insoutenable. Je n’ai plus qu’une envie : me jeter sur cette vulve pour la dévorer !

JESSICA
C’est avec surprise que je le regarde détacher délicatement la laisse et agrandir l’échancrure de mon décolleté pour libérer mes seins. Mes tétons sont dressés vers ses mains si douces, espérant une tendre caresse. Je reprends docilement ma place sur le lit.
– Alors, tu me le montres, ce minou ?
J’écarte un peu plus mes cuisses et la ficelle de mon string. J’ouvre bien grand ma minette, offrant mon intimité à l’objectif de sa caméra.
– Hmm, charmant… Je sens que je vais me régaler ! Comment aimes-tu te caresser ? Montre-moi.
Je commence à faire des cercles autour de mon clito déjà bien dur. J’imagine sa langue le lécher et le sucer. Lioubov se lèche les lèvres d’envie ; il m’excite… Je mouille abondamment sous mes doigts ! J’ai envie qu’il me goûte et de jouir sur sa langue. Mon désir est si fort que j’en gémis ; l’orgasme n’est pas très loin, mais je veux faire durer mon plaisir.
– Tu vas jouir ?– Pas encore…– Et si j’y mets ma langue ?
Oh, que oui ! Il se rapproche pour me filmer de plus près. J’espère qu’il voit comme je mouille pour lui.

LIOUBOV
Mes doigts s’approchent lentement de ses lèvres et les écartent délicatement pour ouvrir la corolle de cette fleur vénéneuse qui laisse échapper ses sucs entêtants. Des filets baveux s’étirent entre les replis que je sépare… Je ne peux retenir une exclamation admirative :
– Un vrai bijou !
De toute ma vie amoureuse, jamais je n’avais vu de vulve aussi extraordinairement belle que celle de Jessica. Et pourtant, j’en avais connues, des vulves ! Mais la sienne correspond exactement à mes préférences, à celles qui m’ont fait fantasmer depuis toujours : des lèvres d’une taille démesurée, d’un rose nacré à l’intérieur se transformant progressivement en un gris-mauve sur leur périphérie. Et tellement volumineuses, pesantes et gluantes que je les colle, étalées, sur ses cuisses ouvertes ; son sexe me fait penser à un majestueux papillon aux ailes déployées, prêt à prendre son envol.
Je n’en peux plus d’attendre. Je me précipite sur sa corolle qui palpite ; mais c’est avec la plus grande douceur que ma langue fait connaissance avec cette orchidée épanouie. Hmmm… Enfin ! Quelques subtils allers et retours sur toute sa longueur, puis sur ses lèvres déployées avant de les aspirer tendrement. Je suis comblé : ma bouche est entièrement remplie par cette masse de chairs palpitantes que j’enserre délicatement entre mes lèvres. Ma langue commence à suivre les contours de ces lèvres phénoménales avant de s’immiscer entre elles pour les lécher de l’intérieur tout en les tétant. J’entends Jessica haleter… Elle gémit lorsque ma langue vient papillonner autour de son clitoris en de subtiles caresses, puis l’aspire tendrement. À présent, je tète alternativement toute la partie supérieure de sa vulve, lèvres et clitoris ensemble, puis sa partie inférieure, périnée et entrée du vagin, dans lequel ma langue s’immisce de plus en plus profondément. Une pensée m’assaille : « Elle a dû prendre une douche ou se laver le sexe. Quel dommage… J’aurais préféré me régaler de son goût naturel, certainement plus prononcé que cette saveur aseptisée ! »
Mes caresses buccales se poursuivent longtemps, car c’est une pratique que j’adore, surtout lorsqu’il s’agit de câliner une vulve aussi exceptionnelle que celle de Jessica. Cependant, malgré toute l’habileté dont je me crois capable, je suis incapable de lui arracher le moindre orgasme. Elle m’avait pourtant dit qu’elle était capable de jouir en moins d’une minute… Aurais-je perdu toutes mes capacités ? Cela m’inquiète.

JESSICA
Lioubov approche doucement ses doigts de ma minette et l’écarte un peu plus. J’ouvre mon vagin pour qu’il le voie mouiller. J’ai envie de sentir ses doigts glisser profondément en moi. Un désir brûlant enflamme ses yeux. Sa langue si douce se pose délicatement sur l’ouverture de mon intimité et commence à lécher, puis sucer mes lèvres.
Humm, tant de douceur… c’est bon ! Je gémis en sentant sa langue caresser mon clito bien dur tandis que ses lèvres l’aspirent doucement. Il lèche soigneusement toute mon intimité, ne se concentrant pas uniquement sur mon clito. Je savoure ce doux plaisir, même si je devine que – de cette manière – je serai longue à jouir. Mais c’est une caresse tellement agréable que je veux bien qu’elle dure plusieurs heures.
Pour une fois que je ne suis pas soumise à un homme qui désire expédier mon orgasme le plus rapidement possible, comme s’il s’agissait d’une vulgaire corvée ; alors j’en profite !
Après quelques minutes, je n’ai toujours pas d’orgasme ; le désir et le plaisir sont pourtant toujours présents. J’ai envie de sentir ses doigts profondément en moi, pendant qu’il me lèche ; mais je refuse de demander quelque faveur que ce soit à mon Maître.

LIOUBOV
Je viens de procurer à Jessica de longues caresses buccales qui ne l’ont cependant pas amenée à l’orgasme. Je suppose que mes caresses ont quand même dû la mettre en condition pour recevoir ma verge. Serait-elle plus vaginale que clitoridienne, alors ? Ce n’est pourtant pas ce qu’elle m’avait dit…
Je me redresse et me penche sur elle pour amener mon sexe au contact du sien ; je prends ma verge en main pour guider mon gland turgescent le long de sa fissure, puis je le fais glisser de bas en haut et de haut en bas pendant quelques instants avant de le placer sur son clitoris que je caresse de ma douce extrémité en faisant varier la vitesse et la pression de mes attouchements. Je le place enfin à l’entrée de son vagin, où je le fais aller et venir doucement, mais de plus en plus profondément.
Quelle surprise lorsque je m’introduis en elle : le vagin de Jessica est aussi étroit et serré que celui d’une jeune fille ! Ses parois m’enserrent délicieusement… J’effectue quelques mouvements de va-et-vient en la pénétrant de plus en plus, mais je me retrouve bientôt au bout de mes possibilités : nos pubis se cognent. J’aimerais la pénétrer plus profondément ; mais que puis-je faire avec un sexe modeste, d’une quinzaine de centimètres ? Je me couche alors sur le dos, et demande à Jessica de venir me chevaucher : dans cette position, la pénétration est censée être plus profonde.
C’est elle qui mène la danse, montant et descendant le long de ma verge. Mes mains se saisissent de ses seins pour en étirer les tétons… Mais à un moment, ses mouvements se font trop amples, et mon sexe est éjecté du sien : je me dis qu’elle doit être habituée à des verges plus imposantes que la mienne, et que je ne saurai pas la satisfaire avec mon modeste membre. À partir de ce moment-là, doutant de mes capacités à lui procurer un orgasme, j’estime que ce n’est pas la peine de continuer et qu’il me faudra employer une technique différente pour l’amener au plaisir.
Je demande à Jessica de remonter de quelques dizaines de centimètres afin d’amener sa vulve à hauteur de mon visage, puis de s’abaisser légèrement. Dans cette position, son sexe vient se plaquer sur ma bouche. J’étouffe presque entre ses cuisses. Ses lèvres hypertrophiées se déploient sur mes joues… Je suis bien, là, dans les replis intimes de sa vulve qui palpite et dont les sécrétions intimes coulent sur mon visage et jusqu’au fond de ma gorge. J’aspire les chairs qui s’offrent à moi sans la moindre pudeur ; je me gorge de son délicieux nectar. C’est trop bon… Jamais je ne pourrais être plus heureux qu’en cet instant précis. Ah, comme ce serait doux de mourir étouffé et noyé par cette vulve dégoulinante…
« Ce serait encore meilleur en affinant mes sens au maximum… » pensai-je. Je laisse Jessica et me dirige à l’avant du camping-car pour y fumer le pétard d’afghan que je m’étais roulé pour cette occasion.

JESSICA
Lioubov se relève. J’imagine que sa langue est endolorie. J’espère avoir une nouvelle chance de jouir dans sa bouche un peu plus tard. Il prend son sexe dans sa main et se sert de son gland pour caresser ma minette. Je tends mon bassin vers lui, l’invitant à me pénétrer. Son gland glisse doucement dans l’entrée de mon vagin. C’est encore mieux que ses doigts !
Ses va-et-vient sont doux et de plus en plus profonds. Mon intimité l’aspire entièrement. Je comprime les parois de mon vagin afin de le serrer plus encore. Je le sens mieux s’agiter en moi. Je gémis de plaisir. J’ai envie qu’il m’écarte plus les cuisses pour me pénétrer plus profondément encore.
Lioubov me propose de le chevaucher : j’accepte avec grand plaisir. Je me positionne et le prends en moi. « J’aurais dû prendre le temps de me frotter sur sa verge avec délices » pensai-je subitement. Comme il entreprend de lents va-et-vient, je l’accompagne et commence à monter et descendre le long de sa verge. Son sexe est éjecté : je m’y suis évidemment mal prise. Je le réinsère délicatement en moi, et j’ondule doucement du bassin d’avant en arrière. Je sens sa verge caresser les profondeurs de mon vagin.
Je dénoue mon haut et offre mes seins à la caresse de ses mains douces et brûlantes.
Humm, c’est très bon ! Je l’embrasse tendrement. Lioubov me serre contre lui et rabat les draps sur moi. Je suis bien dans ses bras, contre la douce chaleur de sa peau. Il se retire lentement de moi et commence à caresser ma minette. S’il savait que j’adore ça ! Ses doigts explorent mon intimité ; je me laisse aller à ce plaisir, retenant mon orgasme ; j’ai envie qu’il me caresse longuement…
Lioubov me propose alors de le sucer. Je m’exécute et lèche délicatement sa verge endormie.
– Attends : après avoir fumé, ça sera meilleur !
Je le regarde, surprise. Cela ne m’aurait pas dérangée si je supportais la fumée, mais ce n’est pas le cas. Il m’abandonne pour aller fumer une drôle de cigarette à l’avant du camping-car.

LIOUBOV
Lorsque je rejoins Jessica sous la couette, j’ai envie de lui faire un gros câlin. J’éprouve une immense tendresse pour elle ; plus question de domination ni de rapports pervers. Le fait d’avoir fumé m’éclaircit les idées : plus question de jouer ce rôle de macho pervers et dominateur.
Désormais, je ne suis plus qu’un petit garçon désarmé qui prend soudainement conscience des sentiments qu’il avait jusque là refoulés… Cette belle femme, en plus de la désirer comme un fou, je l’aime. Oui : je l’aime ! Comment des sentiments aussi surannés peuvent-ils s’immiscer dans une relation qui ne se revendiquait que purement sexuelle ? Profondément troublé, je prends Jessica dans mes bras et la serre très fort contre moi, longtemps. Très longtemps. J’apprécie le contact de son corps contre le mien, qui m’apaise. Je suis bien. J’accède à un autre univers. Durant un moment incommensurable, nous échangeons une immense tendresse ; nos baisers deviennent… sincères.

JESSICA
Lioubov me rejoint sous la couette. Son lit est vraiment confortable ; je n’ai pas envie de le quitter. Je me blottis dans ses bras, contre sa douce peau de bébé. Nous nous câlinons. Ses lèvres se posent délicatement sur les miennes tandis que ma langue gourmande se fraie déjà un chemin entre elles. Nous échangeons un long et tendre baiser. Je soupire de contentement. Je me sens bien dans cette explosion de tendresse.
Ses lèvres quittent les miennes le temps de me faire des allusions à son âge et au fait qu’il pourrait être mon père, voire même mon grand-père. Je m’attendais à ce qu’il en profite pour me proposer un scénario incestueux, mais non. Sa main se glisse d’elle-même entre mes cuisses. Je m’imagine lui répliquer « Oh ! Papy, t’as pas le droit de me faire ça ! » Cette seule pensée me fait inonder ses doigts. Je le laisse me caresser longuement et je glisse ma main vers sa verge. Ma langue frétille déjà dans ma bouche ; son sexe endormi ne demande qu’à se réveiller entre mes lèvres gourmandes.

(à suivre)
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