Ce texte est inspiré du témoignage de Karim, un lecteur de ce site qui a bien voulu que je raconte son histoire. France - mai 2019. Je viens de rentrer du travail. Comme tous les soirs, je me connecte à Facebook pour écrire mes états d’âme sur mon mur. C’est aussi le moyen pour moi de garder contact avec ma famille et mes amis restés au bled en Tunisie. Ce jour-là, j’ai l’heureuse surprise de découvrir sur “messenger” un message d’Inès, la cousine de ma femme. Elle vit en Tunisie. C’était une belle journée déjà chaude, là-bas, et elle m’a envoyé une photo d’elle en maillot sur la plage. C’est vrai qu’elle me chauffe depuis mon mariage avec Leila. — Karim, dommage que tu ne sois pas là.— Tu es très jolie dans ce maillot. C’est vrai que ce maillot moule parfaitement ses formes, et elle prend un malin plaisir à mettre son décolleté bien en vue sur cette photo. A quarante-deux ans, deux de plus que moi, elle a toujours un corps de rêve avec ses cheveux noirs, sa peau claire, sa poitrine généreuse et ses fesses rebondies à souhait. Ce même soir, mon épouse m’annonce qu’elle a préparé nos vacances d’été dans sa famille à Sousse. — x - x - x - x - Tunisie - juillet 2019. Cela fait deux jours que nous avons traversé la mer Méditerranée. Avec Leila, nous avons retrouvé Inès pour la journée. Célibataire endurcie, Inès aime profiter de chaque occasion pour chauffer un homme qu’elle veut mettre dans son lit. Et aujourd’hui, Inès ne manque pas une occasion pour être proche de moi dès que sa cousine a le dos tourné. Avec son legging et son débardeur, je dois avouer qu’elle est très attirante. Il est midi, quand nous trouvons un petit snack au bord de la plage pour nous restaurer. Une petite table ronde avec au centre un grand parasol pour nous protéger du soleil, trois chaises autour. Je m’installe donc entre ces deux femmes. Le serveur nous apporte le plateau-repas que nous avons commandé. Sous la table, je sens la jambe de la cousine contre la mienne. Elle me regarde avec des yeux malicieux. Je la dévisage. Ses gros seins déforment son débardeur. Ils m’hypnotisent un peu. La présence de mon épouse m’empêche d’en profiter comme ils le méritent. Sa façon de manger, de lécher sa cuillère, dès que ma femme regarde la plage, sont une invitation au vice. Mon sexe prend toute la place qu’il peut dans mon caleçon. Heureusement le repas se termine après un thé à la menthe et Leila nous invite à marcher sur la plage le temps de la digestion. Après cette promenade, nous posons des serviettes sur le sable. Les deux cousines partent se changer dans une cabine et reviennent en rigolant. Elles s’allongent dans leur maillot de bain une pièce à côté de mois. Les deux filles discutent, elles sont très complices. Je ne peux m’empêcher d’observer les courbes de Inès. Mon sexe reprend de la vigueur. Je pars me baigner. — Attends-moi ! C’est Inès qui m’interpelle. Elle me suit dans l’eau transparente. De petits alevins nagent entre nos pieds. Le sable fin est doux. Pourtant mon esprit revient sur Inès. Cette fille m’obsède. Si je n’étais pas marié, je la prendrais sauvagement, là maintenant, sur la plage, et tant pis si des intégristes nous voient. Le crime est trop tentant. J’essaie de nager seul, mais Inès me rejoint continuellement. Finalement nous chahutons ensemble. Parfois mes mains se font baladeuses sur ses fesses, sa poitrine. Elle ne dit rien, rigole. De son côté, elle n’hésite pas non plus à mettre la main au paquet quand elle peut. Malheureusement ce jeu se termine avec l’arrivée de ma femme.
Le soir, dans la maison de famille, Leila a organisé une petite fête avec sa famille et ses amis. Ses parents ont préparé un couscous au poisson. A la fin du repas, des petites cousines de mon épouse vont au milieu de la pièce et se lancent dans une danse traditionnelle. Tout le monde est impressionné et applaudit les jeunes filles qui laissent maintenant la place aux adultes. Mon beau frère prend alors la main sur la chaîne hi-fi et transforme le séjour en piste de danse digne des meilleures boîtes de nuit du côté à l’aide des grands tubes des cinq dernières années. Les filles se déhanchent, les garçons les regardent. Les plus téméraires d’entre nous se joignent aux filles, quand ce ne sont pas elles qui viennent nous chercher. D’ailleurs la cousine est là devant moi et m’invite à danser avec elle. Même sans contact physique, je sens la chaleur de son corps fait pour l’amour. Je suis subjugué. Elle m’hypnotise. Ses trémoussements sont une invitation à l’adultère. La danse terminée, je m’écarte pour ne pas pécher. Je parle avec des amis de Leila, essayant de me tenir le plus éloigné possible d’Inès. Qu’Allah ait pitié de moi ! La soirée avance. La fatigue commence à se faire sentir. Les premiers invités rentrent chez eux. Aux horloges, minuit a déjà sonné depuis longtemps. Il se fait tard. Inès demande à mon épouse de la ramener chez elle. Malheureusement tous les invités ne sont pas partis. Leila me demande donc de ramener sa cousine à son appartement. Après cette journée de fous qu’on a passée ensemble, je m’incline. Je n’ai pas le courage de répondre à mon épouse. Je prends les clés de la Mercedes. Ines monte à côté de moi. Ce soir il fait chaud, et ce n’est pas que l’été qui fait monter la température. Dans son débardeur et son legging, Inès est particulièrement attirante. Tout chez elle invite à l’amour. Mon sexe est prêt à durcir. Il n’est pas facile pour moi de me concentrer sur la route. Un feu, on s’arrête. Je regarde le galbe de ses seins. Elle a la tête vers moi. Elle sait ce que je regarde et ne me dit rien. Au contraire, elle me sourit. La voiture redémarre. Nous longeons la plage. J’espère y trouver un peu de fraîcheur avec la mer et en plus cela me permet de faire un détour et par conséquent de rester un peu plus longtemps avec Inès. Une ligne droite la voiture accélère. Soudain une main se pose sur mon entrejambe. Je freine. — Qu’est-ce que tu fais Inès ? Inès retire sa main, légèrement effrayée. Il faut dire que quand je me mets en colère, je peux devenir très violent et elle le sait. — Euh, excuse-moi. Je ne réponds pas. Je prends sa main et la pose à nouveau sur ma verge. Elle comprend immédiatement que je suis prêt à me laisser tenter. Sa main s’active sur la bosse de mon pantalon. Soigneusement, elle ouvre la braguette et en extirpe mon sexe qui gonfle sous sa main douce. C’est avec délicatesse qu’elle fait grossir mon dard. On sent qu’elle a de l’expérience dans le domaine. Je commence à haleter. — Suce-moi Inès. Elle ne se le fait pas dire de fois. Elle se contorsionne dans la voiture pendant que je descends mon short. Une main sur le siège, l’autre sur la portière, elle approche sa bouche de mon menhir. Ses longs cheveux caressent mes bourses pendant que sa tête fait des va-et-vient sur ma verge. C’est vraiment bon. Nous sommes stationnés sur un parking, à l’extérieur, le ciel étoilé fait briller la mer. Un cadre de rêve, pour cette fellation. Sa langue titille mon gland, ses lèvres glissent continuellement sur le corps de ma verge. Je sens mon plaisir monter. Dans la nuit, je sens son corps si proche du mien. Ses seins lourds qui s’appuient sur mes cuisses, quelle sensation divine ! Je pose mes mains sur sa tête pour enfoncer ma queue toujours plus loin dans sa bouche. Elles gobent tout sans rechigner. C’est vraiment une habituée et qui plus est, très douée pour cette activité. Elle va, elle vient, j’ai de plus en plus de mal à me retenir. Je sens mes muscles qui veulent se contracter. — Je viens, vas-y ! Je ne me retiens plus et libère enfin ma sauce crémeuse dans sa bouche. Inès a un peu de mal à avaler la quantité de sperme qu’elle reçoit. Je me rhabille, la regarde une dernière fois. Un filet blanchâtre coule de la commissure des lèvres à son menton. Je redémarre la voiture pour déposer Inès devant sa porte. — Merci mon chou.— Avec plaisir. Elle me tourne le dos et disparaît par la porte de l’immeuble. Seul le temps pourra me dire si cette aventure fut celle d’une journée ou le début d’une nouvelle relation.
