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Le premier qui gicle a perdu !

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Elodie, cadre commerciale de son entreprise, peut être qualifiée de belle femme. Certes, elle ne pourrait pas se lancer dans une carrière de top-model, mais ses belles et longues jambes, sa poitrine pulpeuse et son joli minois plein de fraîcheur font de cette blondinette de 30 ans un physique très apprécié par ses collègues masculins… et un sujet de jalousie chez ses copines.
D’ailleurs, elle s’est parfois servie de sa plastique enjôleuse pour obtenir un contrat, sachant très bien qu’un décolleté, même assez sage, peut être utile pour écourter des négociations à son avantage. Néanmoins, Elodie s’était toujours refusé à avoir des relations sexuelles dans le cadre de son travail. Elle tenait à respecter le célèbre adage « no zob in job », non par timidité (au contraire, cette célibataire a un sérieux appétit sexuel et n’hésite pas à multiplier les conquêtes), mais pour éviter toute source d’ennui professionnel.
En se rendant à la fête de fin d’année de son entreprise un vendredi soir, elle ne se doutait pas qu’elle allait déroger à sa résolution. La soirée avait pourtant commencé fort normalement : petit discours du PDG, cocktail dînatoire dans les locaux de la société, rien qui aurait pu exciter sa libido. Mais tout a basculé lorsqu’une partie du personnel a décidé de finir cette fête dans une discothèque. Là-bas, la danse, la chaleur, les corps rapprochés ont commencé à émoustiller sérieusement Elodie. Vers 2 heures du matin, alors que la plupart des employés étaient déjà partis, Elodie devait se rendre à l’évidence : elle avait une grosse envie de baiser ! Au cours de la soirée, Yannick et Aurélien, deux employés du service comptabilité, ont essayé de se rapprocher de la belle Elodie. Ces deux collègues de travail sont amis, ce qui est surprenant car ils ont des caractères très différents. Autant Aurélien est timide, réservé, autant Yannick est sûr de lui, voire assez bourrin. Comprenant que tous les deux étaient complètement sous le charme, elle décida de passer à l’action. Au départ, elle s’est demandé lequel aurait le droit à ses charmes et puis rapidement elle a trouvé beaucoup plus excitant de se taper les deux copains. Elle a commencé par se trémousser langoureusement, par se déhancher pour faire bouger ses deux magnifiques seins. Yannick et Aurélien n’en perdaient pas une miette. Puis, elle est devenue beaucoup plus tactile, n’hésitant pas à se frotter à eux. Tour à tour, elle se mit à danser de dos, en plaçant ses fesses contre leur entrejambe. Elle sentit avec plaisir chez les 2 garçons, une grosse barre bien dure se caler dans sa raie. Aurélien était très gêné et cherchait à se reculer pour cacher sa belle érection. Au contraire, Yannick mettait fièrement son bassin en avant pour montrer à Elodie combien sa bite était longue et raide. Elodie appréciait énormément l’effet qu’elle provoquait chez eux et sa chatte devenait de plus en plus humide…
N’y tenant plus, elle demanda alors aux deux amis s’ils pouvaient la ramener, prétextant avoir trop bu pour prendre sa voiture. Une fois devant chez elle, elle les invita à « boire un dernier verre ». Les deux copains ne se firent pas prier. Dans son appartement, ils se mirent à l’aise, Elodie constata avec plaisir que leurs pantalons présentaient toujours une bosse imposante. Alors Elodie dit d’une voix mi-ingénue, mi-salope : « C’est moi qui vous mets dans cet état, les gars ? Hmmmmm, vos paquets sont bien durs. » Sans hésiter, elle mit ses mains directement sur leur queue. « Oh ouiiiii, bien durs comme j’aime ! Vos queues sont trop serrées, vous allez prendre mal… Je vais vous libérer ! » Zip ! D’un coup, elle baissa les braguettes des deux amis, plongea ses mains dans les caleçons et sortit d’un air triomphant les deux bites raides. « Vous n’êtes pas mieux comme ça ? » dit-elle avec un air de salope, en les regardant droit dans les yeux.
« Elles sont belles vos queues ! Je peux jouer avec ? » Elodie se mit à les branler doucement. Elle admirait ces deux belles bites, maintenant ultra-raides comme du bois. Elles faisaient chacune pas loin d’une vingtaine de centimètre et elles étaient bien larges. Cette sensation d’avoir de la bite plein les mains rendait folle Elodie. Sa petite culotte était trempée, elle aurait presque pu avoir un orgasme rien qu’en les branlant, tellement la situation l’excitait.
Puis, alors qu’elle se demandait lequel aurait le privilège de pénétrer sa chatte en premier, elle eut une idée, une idée de cochonne, une de ces idées qui lui avaient valu le titre de « reine des salopes du campus » par ses copines à l’Université. Elle hésita un moment. Pouvait-elle vraiment leur faire subir ça ? Et puis, elle se lança trouvant son idée trop excitante pour y renoncer. Elle les regarda à nouveau droit dans les yeux, passa sa langue sur ses lèvres et leur dit : « Mes chéris, nous allons faire un petit jeu. Je vais vous branler jusqu’à ce que vous éjaculiez. Mais attention ! Vous devrez vous retenir. Le premier qui gicle a perdu et devra se contenter de cette branlette, sans plus me toucher de la nuit. Le gagnant, lui, aura le droit de m’enculer ! »
« Il est pas sympa, ce petit jeu que je viens d’inventer ? » Les deux hommes étaient interloqués. Aurélien bafouillait « Mais… mais…mais… ». Yannick, lui, reprit vite son assurance habituelle : « Oh oui ! C’est un jeu de bonne petite pute ! Tu veux de la bite ? On va t’en donner ! » Elodie, de toute manière, ne leur demandait pas leur avis. Elle se mit à accélérer le mouvement de ses mains. Elle les branlait à fond, des couilles jusqu’au gland, en serrant fort leurs tiges si dures. Elle ne pouvait s’empêcher d’afficher un grand sourire, appréciant chaque centimètre de bite qui glissait entre ses doigts. Encore plus excitée par son jeu, elle avait l’impression qu’un torrent de mouille s’échappait de sa chatte. « Hmmmmmmm ! Elles sont belles et grosses, vos bites ! Et vos couilles ont l’air bien pleines. Je suis une bonne manieuse de queue, hein ? Vous allez bien jouir… mais n’oubliez pas de vous retenir ! Seul le plus résistant pourra me baiser, avec une bonne sodo en plus ! Mon petit cul est un morceau de choix. Vous comprenez, je ne peux accepter de me faire enculer que par des bites très endurantes, n’est-ce pas ? »
« Petite salope ! » hurla Yannick. Elodie regardait leur visage. On pouvait y lire leur plaisir, mais aussi l’effort qu’ils faisaient pour ne pas jouir. Il faut dire qu’Elodie les avait bien chauffés dans la discothèque. En plus, ses mains étaient douces et expertes, Elodie aurait été bien incapable de compter le nombre de pines qu’elle avait déjà eu la joie de caresser. « Hmmm ! Bonne résistance… je suis tombé sur des bons baiseurs, mais je ne veux que le meilleur ! Voyons si vous pouvez résister à ça… » Tout en continuant à les branler, elle plaça son visage à un centimètre de chaque sexe et se mit à souffler délicatement sur le bout de leur gland. Les deux garçons gémirent. Puis Elodie s’approcha encore et donna un coup de langue le long de la bite de Yannick. Celui-ci cria : « Sale chienne ! Tu vas me faire jouir ! » Elodie éclata de rire : « Mais c’est le but, mon grand ! Maintenant à ton tour, Aurélien ! » Elle posa sa langue sur le gland d’Aurélien. A peine eut-elle le temps d’esquisser une caresse, elle sentit la bite d’Aurélien palpiter fortement. Elodie connaissait bien ce moment qu’elle aimait tant. Elle ouvrit vite la bouche et un flot de sperme se répandit contre son palais. Aurélien poussa un cri, il envoya 5 à 6 grosses giclées de sperme. Il ne semblait plus pouvoir s’arrêter. Mais Elodie n’en perdit pas une goutte. Elle lécha ce qui restait sur son gland, déglutit, puis ouvrit la bouche en regardant Aurélien droit dans les yeux. « Hmmmmm c’était trop bon ! Du bon jus de couilles, ma boisson préférée ! J’avais bien dit que j’avais envie d’un dernier verre ! » « Merci, Elodie, j’ai vraiment aimé ce moment. » dit Aurélien d’un air mi-heureux, mi-penaud.
Yannick comprit alors qu’il était le gagnant du pari. Il arbora un sourire triomphant : « J’ai gagné ! J’ai gagné ! C’est moi qui vais t’enculer, petite pute ! » Il saisit vivement la tête d’Elodie d’une main, la tourna vers sa bite qu’il empoigna de son autre main. Il branla sa pine à tout rompre, tout près d’Elodie et, en hurlant, envoya sa purée sur le visage de la jeune femme : « Tiens ! Prends tout ! Grosse cochonne ! Depuis le temps que je rêve de spermer ta face ! Salope ! Salope ! » Lui aussi eut une énorme éjaculation, Elodie avait le visage maculé d’un sperme bien épais. Loin de la déranger, Elodie passa un doigt sur sa joue et le suça. « Hmmmmm ! Encore de la bonne semence ! J’aime quand un homme me refait le maquillage ! »
Elle les fit passer au salon, ils avaient toujours la bite à l’air, trop éberlués par ce qu’ils venaient de vivre pour penser à se rhabiller. Elle leur servit un verre, Elodie se contentait elle d’avaler le reste de sperme sur son visage. Se tournant vers Yannick, elle lui lança : «Il va falloir que tu t’occupes de mon cul, j’espère que tu récupères vite. Je vais prendre une douche rapide. Tiens, regarde ça pour te remettre en forme ! » Elle alluma la télé, mit un DVD dans le lecteur et partit dans la salle de bain. Sur l’écran, on y voyait un couple en train de baiser, le plan était fixe, sans mis en scène ; ce n’était pas un film X, mais une vraie sextape. Le couple se tourna, c’était Elodie en train de s’envoyer en l’air avec un inconnu ! Ils purent découvrir (même s’ils s’en doutaient depuis cette soirée) qu’Elodie était une femme très expérimentée en terme de sexe. Le couple alternait toutes les positions. Puis, l’homme sortit la bite de la chatte d’Elodie et l’encula d’un coup sec ! « C’est ce que je vais bientôt lui faire à cette traînée ! Désolé, Aurélien ! Mais j’ai trop envie de me la faire, je ne te laisse pas ma place. » dit Yannick, la main sur sa bite qui recommençait à durcir. « Je vois que tu reviens en forme ! » dit Elodie, sortie de la salle de bain. Elle se présenta complètement nue aux deux garçons. Elle leur avait tellement vite sauté sur la queue en rentrant dans l’appartement qu’elle était restée habillée jusqu’à présent. Là, ils pouvaient admirer ses gros nichons lourds, ses belles jambes et son petit cul ! Elle s’assit sur le canapé, une jambe allongée, la chatte grande ouverte. Elle y mit un doigt, puis deux le plus naturellement du monde. Tout aussi tranquillement, elle se caressa les seins. « Tu sais, Yannick, si tu n’as plus envie, on arrête ! Pas de problème ! » « Ah non ! J’ai trop envie de te baiser, d’ailleurs regarde mon sexe ! » Entre le film et l’exhibition d’Elodie, sa bite pointait fièrement vers le plafond, dure comme jamais.
« Parfait ! Viens me sauter dans mon lit ! » Elle attrapa Yannick par sa queue bandée et l’emmena dans sa chambre. « Bon, ben… Je vais vous laisser… » dit Aurélien d’une voix timide. Elodie le regarda d’un air sévère : « Qui t’a donné l’autorisation de partir ? Tu as perdu, tu ne pourras plus me toucher, mais je veux que tu restes, tu vas me regarder me faire baiser par ton copain ! Ca m’excite que l’on m’observe ! Assis-toi sur ce fauteuil et ne bouge pas ! » Aurélien n’osa rien répliquer et obéit. Elodie s’allongea sur le lit et lança un regard vicieux à Yannick : « Allez, grand gagnant ! Viens me sodomiser ! Je suis sûre que tu as rarement enfoncé ta bite dans un cul pareil. » « Oui », répliqua Yannick, « mais je vais d’abord te pénétrer la chatte » et sur ce, il planta son pieu dans le vagin de la jeune femme.
Au bout de quelques va-et-vient, Elodie se mit à crier : « Ouiiiiiii ! Enfin ! Une bonne bite dans la chatte ! Ahhhhhhh c’est bonnnnn ! Défonce-moi bien ! Hmmmmm ! Bien profond, comme ça ! Ne me ménage pas ! Bourre-moi comme tu baiserais une pute ! » Yannick se donnait à fond. Il avait toujours rêvé rencontrer une salope pareille, une femme qu’il pourrait sauter sans retenue : pas de « est-ce que tu la sens ? », pas de « ça va, je ne te fais pas mal ? ». Juste une grosse partie de baise ! Il la pénétra longuement et dans plusieurs positions. Il était en train de la prendre depuis plusieurs minutes en levrette quand elle lui dit : « Allonge-toi maintenant ! Je vais me mettre au-dessus de toi, comme ça ton copain verra mieux le spectacle ! Ca va Aurélien ? Ca bande dur ? »
Aurélien rougit. Au début, il n’avait pas osé regarder le couple faire l’amour. Il se sentait à la fois gêné et humilié par la jeune femme. Puis peu à peu, en entendant les soupirs de jouissance du couple, il avait regardé et sa queue s’était mise à durcir peu à peu, même s’il aurait voulu s’en empêcher. Au moment où elle s’adressa à lui, sa bite avait retrouvé toute sa vigueur. Juchée sur la bite de Yannick, juste avant de se laisser tomber sur ce pieu bien droit, elle lui sourit, narquoise : « Oui, je vois que ça bande dur ! Tu sais, tu n’as plus le droit de me toucher, mais si tu veux te masturber, je te le permets ! » Et d’un coup, elle s’assoit jusqu’aux couilles de Yannick !
« Oh ouiiiiii c’est trop bon ! Ahhhhhhhh qu’elle est bonne ta pine !!! » Elodie était ravie. Yannick ayant déjà éjaculé une fois dans la soirée, il allait pouvoir la baiser très longtemps. Elle fermait les yeux de plaisir pour mieux apprécier ce membre viril qui la ramonait. Quand elle les rouvrit, elle vit que le visage d’Aurélien se décomposait de plus en plus, dévasté par l’excitation, l’envie et la honte. Loin de l’émouvoir, cela excita Elodie qui décida d’en rajouter. « Ca te plaît, Aurélien ? Tu aimes ça voir une femme se faire prendre par une vraie bite ? » Aurélien était atterré et ne répondit pas un mot. « Oui, ça te plaît, gros cochon, de mater ton copain me fourrer la chatte ! Et tu vas voir, mater ton copain me fourrer le fion, ça sera encore meilleur ! » A ces mots, elle se releva, saisit la bite pleine de mouille de Yannick et la pointa en direction de son petit trou.
« Prêt à m’enculer, Yannick ? Ton sexe va bientôt pénétrer un anus de reine ! » En regardant Aurélien droit dans les yeux, elle s’empala sur la bite de Yannick centimètre par centimètre, le visage déformé par la douleur et le plaisir. Enfin arrivée aux couilles, elle hurla : « Putain, c’est bon ! Arghhhh ! Ta bite est trop grosse pour mon petit trou, mais j’aime ça ! Vas-y ! Encule-moi, fais-moi rebondir sur ton énorme braquemart ! » Bien qu’allongé, Yannick donnait de grands coups de bassin et Elodie chevauchait sa bite à toute vitesse.
La voix d’Elodie devenait plus rauque. « Ouiii ! Encule-moi, salaud ! Encule-moi à fond ! Hmmmmmmmm ! Ouiiiiii ! Tu vois Aurélien ce que tu as raté à cause de ta bite qui gicle trop vite ? » Aurélien blêmissait encore plus ! Elodie aurait voulu cesser de le torturer, mais sa gêne augmentait encore plus son plaisir. « Aurélien, tu ne voulais quand même pas que je donne mon cul à un éjaculateur précoce comme toi ! Yannick, lui, a une bite grosse, dure, longue, endurante, pas une petite nouille qui envoie la sauce à la moindre léchouille ! »
Aurélien était outré, il aurait voulu l’insulter, la gifler, hurler, mais il était paralysé par la honte. Elodie crut que le garçon allait tourner de l’œil. Aurélien s’affaissa, puis se releva dans un état second et fit la dernière chose qu’il aurait aimé faire : il mit la main sur sa bite et se masturba ! En voyant ce geste, Elodie sentit l’orgasme monté en elle. « Oui, branle-toi Aurélien ! Ta queue n’est bonne qu’à ça ! Yannick a une vraie queue d’homme, virile, puissante. Et putain, je la sens passer ! Toi, ta bite n’a rien à faire dans un cul de femme ! »
Des vagues de plaisir de plus en plus fortes se succédaient en elle. Elle allait jouir d’un immense orgasme. Yannick, excité par les paroles d’Elodie, lui défonçait l’anus, prêt à éjaculer à chaque instant.
Tout en étant pilonné par Yannick, Elodie écarta en grand sa chatte. « Je suis trop gentille de te laisser te masturber sur nous. Regarde bien ma chatte ! Tu n’y auras jamais droit ! Tu vois combien de temps Yannick arrive à me baiser ! Toi, avec ta bite de puceau, tu m’aurais inondé la chatte dès que ton gland serait rentré ! » A ces mots, Aurélien éjacula, une longue traînée de sperme sortit de son sexe et claqua sur le sol de la chambre. En voyant cette ultime humiliation qu’elle avait provoquée, Elodie se sentit partir dans un orgasme intense, comme elle n’en avait jamais connu. « Oh oui ! Je jouis ! Défonce-moi le cul, Yannick ! Ouiiiiiiiiiii ! » Yannick sentit Elodie se contracter très fort. Ce fut le coup de grâce. Il éjacula dans les intestins d’Elodie. Elle sentit un geyser lui remplir le cul et s’écroula sans force sur Yannick.
Les trois restèrent un très long moment, abattus, immobiles, sans dire un mot, Aurélien avachi sur le fauteuil, le couple sur le lit. Aucun n’avait jamais ressenti une telle jouissance de leur vie.
Au bout d’une demi-heure, les deux hommes se levèrent sans un bruit, s’habillèrent et partirent. Aurélien courbait le dos, marchait en regardant ces chaussures. Au moment de passer le pas de la porte, Elodie le retint par le bras et lui susurra à l’oreille : « Tu sais Aurélien, je ne suis pas une mauvaise fille. Viens chez moi demain soir, je te promets 24 heures de baise non-stop juste toi et moi. » Un sourire éclaira le visage du jeune homme.
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