J’habite à la campagne, et j’ai un potager et une basse-cour. C’est une activité que j’apprécie et du coup je produis plus que ce dont j’ai besoin. Donc régulièrement je vends le surplus, et notamment à ma voisine Christine, une femme d’une cinquantaine d’années. Elle est très impliquée dans la vie associative et il faut souvent prendre rendez-vous pour se croiser.Cela fait deux fois qu’elle me dit par SMS qu’elle n’est pas là mais que sa fille Lara est là et qu’elle est au courant de ma visite et que je peux lui déposer sans soucis le panier que j’ai préparé.La première fois Lara m’a reçu habillée d’un grand t-shirt/chemise de nuit, à peine coiffée comme si elle sortait du lit. Du haut de ses 18 ans j’imagine qu’elle est sortie la veille et que le réveil a eu lieu le plus tard possible, et je le comprends mais j’en profite pour me rincer l’œil. Je la connais depuis une quinzaine d’années, et je ne l’ai jamais vu comme la femme qu’elle est devenue. Elle mesure 1.55m tout au plus et cela contraste avec mon mètre quatre-vingt-quinze. Une petite brune au regard mutin, elle a un petit cul rebondi et des petits seins, qui sont aujourd’hui libres sous l’étoffe et j’en distingue aisément les tétons.Je me dis qu’il est temps qu’elle vieillisse et qu’il est temps qu’elle prenne conscience que la gent masculine pourrait avoir les idées mal placées...La seconde fois, je lui envoie un SMS pour ne pas être lourd le matin au réveil et ne pas la « surprendre » dans une tenue trop légère. Une demi-heure plus tard, j’ai un retour « je suis levée, tu passes quand tu veux ».cinq minutes après je sonne à sa porte, et elle vient ouvrir... Je surpris par sa tenue : Elle porte un boxer/minishort hyper-moulant, et un t-shirt très échancré sous lequel elle ne porte rien et c’est flagrant. Le plus surprenant c’est qu’elle est maquillée comme pour sortir en soirée et ses cheveux sont coiffés soigneusement. Elle s’est préparée avant de me répondre !! Elle me débarrasse de la cagette de victuailles, et me dis « Maman m’a dit qu’il y avait des sous dans le buffet, si tu as un instant je vais les chercher et je te paye »Elle se libère puis se tourne vers le buffet, et en gardant les jambes bien raides, elle se penche vers le tiroir le plus bas. J’ai ainsi une vue sur son petit cul très appétissant et son t-shirt se décollant de son corps je vois très bien ses petits qui paraissent très fermes. Les idées sombres me traversent l’esprit et mes intentions ne deviennent plus pures du tout... Je me surprends même à me pencher pour mieux admirer le spectacle. C’est à ce moment qu’elle se tourne et je me fais griller à la mater sans retenue. La gêne s’installe, gaulé comme un ado prépubère sur un site porno ! La honte !!Elle vient vers moi et me tend un billet de 10 euros. — 10€ c’est ça ?— Oui, oui merci Lara...— De rien les bons comptes font les bons amis ! Elle me sourit de telle façon que je ne puis avoir un doute : cette petite coquine m’allume outrageusement. Rouge comme une pivoine, je prends congé sans tarder.Elle ne manque quand même pas d’air, m’allumer ainsi... Un homme marié, son voisin, et qui l’a connue toute petite...Les semaines passent sans que je la recroise.Au hand j’entraîne une équipe de jeunes de 17 à 19 ans, des garçons sympas et qui commencent à prendre leur envol enfin surtout le week-end. Donc dans les vestiaires le mardi j’ai souvent les récits des frasques du week-end. Et c’est là que Gatien, la grande gueule du groupe m’interpelle : — Et ce week-end, j’ai vu où tu habitais !— Ah oui...— Oui on est passé prendre Lara ta voisine, et comme elle savait que tu nous entraînais elle nous a montré ta maison.— Ah vous connaissez Lara ?— Bah oui on est ensemble au Lycée... Elle est bonne hein ?— Je l’ai connue gamine et je pourrais être son père !
— Ça ne change rien elle est bonne !— Elle n’est pas moche en tout cas...— Et puis c’est une méchante salope !— Tu abuses !— Je te jure, elle aime grave la bite !— Ouais mais garde ça pour toi, par respect pour elle... Les autres n’ont pas à le savoir !— Tu parles Nico, Camille et Alex l’ont baisé aussi !— Carrément...— Bah oui et puis je te jure elle fait des trucs de malade, qu’aucune autre ne m’a fait avant...— Tu en as tant que ça ??!— Non mais tu vois des trucs que tu vois que dans les films de cul, une salope quoi !— Ce n’est pas parce qu’elle aime le cul que c’est une salope ! Je te souhaite de trouver une femme qui aime le cul pour faire ta vie...— Oui mais là il n’y a pas moyen, elle a déjà une chatte de vielle !— Comment ça... avec le poil qui se raréfie (lol) ?— Non elle a la chatte éclatée, carrément grosse même ta femme qui a eu trois gosses elle a une plus petite chatte je suis sûr !— Arrête Gatien ce n’est respectueux pour personne ce que tu dis !— Je te jure, elle a les lèvres qui pendent carrément, dégueu... Nous, ça nous a tous fait marrer. Ça doit faire des années qu’elle se met des trucs dedans !— T’es con...— Si un jour tu as l’occasion, tu verras...— Je suis marié !— Oui mais c’est ta voisine et c’est une grosse salope alors, on ne sait jamais !— Bon aller en salle cela t’évitera de dire des conneries ! Tout le monde sort des vestiaires et on n’en parle plus. Quel con, papa de trois filles j’avoue que cela ne rassure pas... Cela dit je ne peux m’empêcher de penser à tout ce que ce petit con m’a dit sur elle à chaque fois que je passe devant chez elle.Les jours les semaines passent, elle étudie sur Angers et du coup je ne l’ai pas vu depuis plusieurs semaines.Puis viennent les grandes vacances comme chaque semaine j’appelle Christine pour lui livrer son panier hebdomadaire. « Je ne suis pas là, mais Lara est à la maison avec des copines tu peux passer je te réglerai plus tard si cela ne te gêne pas, envoie-lui un SMS avant elle ne se sont pas couché très tôt... »Heureux de pouvoir la mater à nouveau, et à la fois je sens le danger de cette situation : je n’ai aucune envie de tromper ma femme...Vers 10h30 j’ai un retour : « passe »...Quelques minutes après je sonne à sa porte. J’entends glousser derrière la porte et un peu d’agitation : « entre c’est ouvert !»Je clenche et entre. La porte d’entrée donne directement sur le salon. Laura est assise en tailleur sur le canapé, et deux autres filles sont là qu’elle me présente : Vanessa une grande brune qui doit mesurer près d’un mètre quatre-vingts, un peu ronde avec un très joli visage encadré d’un joli carré plongeant avec une frange bien raide une très belle fille, elle me fait penser à Gianna Michaëls. La seconde c’est Suzie une jeune asiatique qui habite le village à côté, que je connais depuis très longtemps aussi. Elle a les cheveux longs, noirs et raides, elle n’est ni très jolie ni coquette mais c’est une très gentille gamine.Ce qui me frappe c’est que les trois demoiselles portent un t-shirt avec le logo de play-boy, le fameux lapin stylisé. Vanessa fait chauffer un mug au micro-ondes, Suzie est à côté de Lara sur le sofa.J’ai toutes les peines du monde à garder mes yeux ailleurs que sur le corps des jeunes femmes courtement vécues. Quand tout à coup je m’aperçois que je peux voir un petit peu le sexe de Lara. En tailleur le tissu, c’est décalé et une lèvre dépasse de son caleçon ample, et je ne vois plus que cela. On parle de banalité mais je suis clairement distrait et je commence à sentir mon sexe gonfler doucement. Penser à autre chose ! Penser à autre chose !Vanessa passe devant moi, et le mouvement de sa généreuse poitrine libre sous le t-shirt play-boy, finit de me faire bander.Je sais que cela ne se voit pas car j’ai un grand t-shirt, et un boxer bien serré sous un jogging très ample. Mais le trouble est bien présent. Vanessa se lève pour repasser de nouveau devant moi, elle agite ses seins de manière tellement appuyée que cela ne peut être que volontaire : cela ne fait aucun doute je suis tombé dans un piège à mâle, elles s’amusent à m’allumer !Quand Vanessa revient, elle s’exclame : — Attention Lara on voit ta chatte dans cette position ! Elle penche la tête, sans changer de position, avant d’acquiescer — Ah oui ! Mais elle ne bouge pas d’un iota ! Vanessa se colle derrière moi, ses seins sont écrasés contre mon dos. Son bras m’enlace et sa main va droit sur ma queue. J’ai un mouvement de recul, mais elle met un petit coup de bassin contre mes fesses. — Vu comment Monsieur bande, il a dû le remarquer, ce n’est pas très correct de ne rien avoir dit. Je suis comme un con, je suis médusé par l’assurance de ses gamines : une qui m’exhibe sa chatte sans retenue et la seconde qui empoigne ma bite alors que 10 minutes avant je ne l’avais jamais vu !Vanessa glisse sa main sous mon jogging et mon boxer et sort ma queue à la vue de ses deux copines. Mes couilles sont coincées sous l’élastique et ce n’est pas très confortable.Elle sert ma pine assez fort et me met des coups de reins derrière moi comme pour imiter un coït. C’est ce mouvement régulier qui fait qu’elle me branle au milieu de la pièce. Son autre main glisse sous mon t-shirt et elle malaxe mes pectoraux. Puis elle me pince le téton mais super-fort. J’ai un mouvement de recul. — Eh bien alors mon mignon, on est costaud comme pas permis, on arbore des pectoraux dignes des acteurs dans les films, on nous excite, nous les petites pucelles de campagnes et dès que cela se muscle un peu on fait sa mijaurée ! (Vanessa)— Je vais y aller, je ne suis pas sûr que ce soit une très bonne idée ! (Moi)— Tu rigoles ou quoi tu ne vas pas faire ton allumeuse, tu mates la chatte de ma copine, tu nous exposes ta belle bite bien raide et tu partirais maintenant. (Vanessa)— Reste un peu Benoix, ce sera notre petit secret... Et Puis Suzie n’avait jamais vu un sexe d’homme en vrai. On lui a promis hier soir que dès que possible on ferait les présentations et c’est tomber sur toi... On a regardé ton profil Facebook en t’attendant et on est tombées toutes d’accord. (Lara) La situation m’échappe complètement entre excitation, et stupeur... De plus le fait que Vanessa ait parlé de moi au féminin m’a surpris mais a fait monter mon excitation d’un cran, et je pense qu’avec ma bite en main elle l’a bien compris. — Allonge-toi sur la table de la salle ! (Vanessa)— Allez Benoix, on te tripote un peu et tu repars chez toi personne n’en saura rien ! (Lara)— Attendez les filles, je ne sais pas si c’est une bonne idée... (Suzie)— Mais si regarde un beau mec avec de l’expérience...(Lara)— Et puis je sens que l’on peut bien s’amuser ! Allez ! Sur la table... Vanessa me tire en arrière vers la table. Je la sens forte mais je ne résiste pas non plus. Je suis résilié entre penaud et content. Une fois allongé sur la table, la grande brune se met au niveau de ma tête et frotte son sexe sur le haut de mon crâne. Puis elle se penche, remonte mon t-shirt sur mon torse puis écrase mon visage avec ses gros seins pour pouvoir me lécher les tétons, elle les suce et les mord, je n’aime pas je suis un peu bloqué sous cette opulente poitrine. Pendant ce temps je sens que mes chaussures, mes chaussettes et le reste de mes vêtements me sont ôtés. Quand Vanessa se relève, elle enlève aussi mon t-shirt et je suis entièrement nue au milieu de ses trois jeunes femmes. Lara tient mon sexe à pleine main pour le montrer à Suzie qui est encore assise sur le canapé à quelques mètres. — Allez viens faire connaissance ! (L)— Non les filles je ne crois pas que cela m’intéresse... (S)— Allez, on s’est fait une promesse, tu n’as le droit de reculer (V) Vanessa me lâche les tétons et va chercher Suzie en la tirant par la main. Elle se lève avec une petite moue mais ne résiste pas non plus beaucoup.Et voilà les trois demoiselles autour de mon sexe et qui en parlent comme si je n’étais pas là !— Vas-y, prend le dans ta main (L)Vanessa amène la main de Suzie jusqu’à mon sexe, la place autour de ma tige bien dure.Elle n’ose pas bouger, du coup Lara l’aide à faire quelques allers-retours sur mon chibre archi tendu. — Alors ? Les sensations ? (V)— C’est chaud et c’est doux... (S)— Oui et en plus on a la chance de tomber sur une coquette qui tond son pubis et se rase les couilles. C’est encore mieux pour la caresse. (V) C’est la deuxième fois que Vanessa parle de moi au féminin, mais cette fois c’est en me regardant droit dans les yeux avec un petit clin d’œil complice.
— C’est une fois en bouche que c’est encore plus doux tu vas voir... (L)— Non ça, je ne veux pas ! (S)— Tu ne vas pas nous emmerder, hier tu chialais parce que personne ne voulait de toi, et maintenant que l’on t’offre une belle bite sur un plateau tu voudrais te débiner ? Aller branle le ! (V)— Oui va plus vite...(L)— Je ne veux pas lui faire mal ! (S)— Eh bien crache dessus (V)— Non c’est dégueulasse (S) C’est Vanessa qui crache la première sur ma queue, suivi de Lara et je sens immédiatement la différence, et je ne peux m’empêcher de lâcher un léger soupir. — Regarde comme il apprécie ta main douce sur sa bite lubrifiée. (V)— Tu aimes ? (L)— Oui... (moi)— Dis-lui « c’est bon Suzie » (L)— Oui c’est bon Suzie (moi)— Encourage-la mieux ! (V)— Oui c’est bon Suzie branle moi bien. (Moi) J’hallucine et en même je profite : je suis nu, à me faire tripoter par trois jeunes femmes, habillées certes mais c’est très excitant. Même lors de mes élucubrations masturbatoires je n’ai jamais pensé à ceci. Je suis fou d’excitation. Je saisis un sein de Vanessa d’une main : génial, il est gros, ferme, avec le téton bien dru. En même temps je pose ma main sur le cul Lara, une fesse courte, rebondie, ferme également... Tout ce que la jeunesse offre aux jeunes femmes : que du bonheur ! Je suis sorti de mon bonheur par une claque sur les couilles : — Enlève tes mains, personne ne t’a demandé de nous peloter ! (V)— Ouch ! Fais gaffe c’est sensible ces petites choses-là (L)— Tu veux le soulager ? Gobe-lui les couilles pendant que Suzie le branle. (L) Aussitôt je sens la bouche de Lara me gober une boule. Je ne sais pas exactement ce qu’elle fait avec sa bouche mais c’est très agréable. — Allez, Suzie, suce-le ! (V)— Non, c’est dégueulasse vous avez craché sur son sexe ! (S) Vanessa saisit sa copine par les cheveux pour lui approcher la tête de ma queue. Je ne vois pas son visage caché par sa chevelure mais je devine mon sexe collé sur sa bouche close. — Aller suce le ! Regarde comme il bande pour toi... (V) La bouche de la petite asiatique s’ouvre et je sens mon sexe happé par la chaleur humide de cette bouche. Vanessa attrape les cheveux noirs comme pour faire une queue-de-cheval, et ainsi je vois très bien le visage de Suzie aller et venir sur mon sexe tendu au possible. Elle relève brutalement sa tête. — Alors c’est comment ? (V)— C’est vraiment doux... (S)— Tu aimes ? (V) — Oui (S)— Aller applique toi, salive beaucoup pour que cela glisse bien. (V) Suzie ouvre la bouche, et Vanessa appuie sur sa tête comme une malade. De ce fait elle avale la quasi-totalité de ma queue. Elle a des hauts de cœur et moi je sens ses dents sur mon gland : pas agréable du tout. — Aller salope, bouffe-lui bien la queue ! Et toi Lara tu ne te lasses pas de lui bouffer les couilles ? (V)— Ah non j’adore lisses comme ça c’est top ! (L)-... je vais bientôt jouir... (moi)— Ta gueule ! Tu jouiras quand on te le demandera ! (V) Elle imprime un va-et-vient rapide avec la tête de sa copine sur ma queue, moins profond cette fois et c’est vraiment très agréable !Je grogne. — Lara vient branler ton voisin ! (V) Vanessa, toujours la main dans les cheveux de Suzie, la retire de ma bite bandée à faire mal, et place son visage à quelques centimètres de mon gland. — Lara, prend sa bite et caresse le visage de Suzie avec, moi je voudrais voir jusqu’à quel point Monsieur est épilé. (V) Lara s’exécute. Et je sens la main de la grande brune, qui mène la danse, me saisir les bourses à pleine main. J’ai les couilles trempées de la bave de ma suceuse. Sa main glisse entre mes cuisses. — J’en étais sûre ! Ce petit salaud à l’anus épilé... (V) Je sens son doigt me caresser le trou, y étaler la salive coulant dans mon sillon fessier. Puis d’un coup un doigt y entre sur toute la longueur. Surpris, je reste malgré tout décontracté pour ne pas avoir mal. — Eh bien je peux vous dire que ce monsieur n’est pas à son premier doigt dans le cul. Elle me fouille littéralement, tourne à l’intérieur. Puis en ajoute un deuxième. Je sens presque une brûlure me saisir le ventre à chaque fois qu’elle passe sur ma prostate. Il est sûr aussi que ce n’est pas la première fois qu’elle doigte un homme ! — Quand je te dis Lara tu le branles à fond sur la joue de notre petite pucelle. (V)— Non pas ça c’est crade ! (S) D’une main elle bloque le visage de sa proie et de l’autre elle m’encule littéralement de ses doigts. Elle grimace un peu, entre satisfaction et domination. Elle ne regarde que moi, elle me toise et me défie du menton. Je ne puis m’empêcher de lui adresser un petit sourire au moment ou le plaisir atteint un point de non-retour. — Vas-y Lara branle-le ce salaud ! (V) Ma petite voisine me branle avec vigueur en fixant le bout de mon gland. Suzie malgré sa réticence à la bouche fermée et je dirais même pincée pour ne pas avoir à avaler mon foutre. Vanessa elle me masse la prostate avec force et entrain. On dirait une metteuse en scène qui contemple son œuvre ! A ce moment précis, je suis presque amoureux d’elle ! Puis dans un râle je jouis, de longs jets fournis viennent s’abattre sur le visage de Suzie qui semble être en apnée. Lara recueille du bout de la langue quelques gouttes de foutre au contact de mon gland. C’est énorme !Suzie ne bouge pas et commence à pleurer. — Tu pleures heureuse ou malheureuse ? (V)— Je ne sais pas... (S) — Alors c’est que cela t’a plu je suis heureuse pour toi ! (V) Lara quant à elle ne dit rien, elle me gobe la queue et la nettoie avec une maîtrise de la pipe impressionnante ! Quelle salope !Vanessa libère Suzie qu’elle maintenait toujours ferment. Son visage est couvert de sperme jusque dans ses cheveux. Ses yeux laissent encore perler quelques larmes, mais elle sourit à ses copines. Lara à lâcher ma queue toujours raide et Vanessa a toujours deux doigts dans mon cul. — Benoix c’est ça ? (V)— Oui (moi)— Eh bien je te remercie pour ton aide, il était important que Suzie découvre un vrai sexe autre que sur des pornos, qu’elle en sente le goût et l’odeur. Le fait que tu sois soigné ne gâche rien au plaisir au contraire ! Si on peut faire quelque chose pour te remercier... (V) Elle me parle avec un sourire vicelard et toujours en me massant la prostate. — Eh bien je crois que je vais y aller. C’était très agréable mais je compte sur votre discrétion ! (Moi)— Bien sûr Benoix, tu as ma parole ! (L) Je me relève, descends de la table et me rhabille. Je me dirige vers la porte. Quand Vanessa se met en travers de mon chemin. Son visage est presque à hauteur du mien. Son regard que je n’avais pas vu si vert se plonge dans le mien ! — Toi tu es carrément à mon goût, grand, fort, soigné, ouvert d’esprit et pas seulement... tes tempes grisonnantes me font carrément me liquéfier. C’est toujours les meilleurs qui sont mariés ! (V)— Ou gay (L)... C’est pendant l’éclat de rire qui suit que je décide de quitter les lieux. J’ai adoré ce moment bien que je n’aie pas touché ces femmes, aucune ! Mais j’ai aussi honte, je fais la centaine de mètres qui me permet de rentrer chez moi... c’est la première fois que je trompe ma femme et je ne suis pas du tout à l’aise avec ça !Mais cette Vanessa quelle femme !
