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Blind Test

Chapitre unique

Hétéro
Il existe des produits qui, dissociés, semblent stables, et même inoffensifs. Mais s’il vous arrive de les mélanger, le résultat peut alors être explosif.

Il en est de même pour les humains et c’est l’histoire qui va vous être contée...

Lui
Je sortais de la salle de sport. Cette séance m’avait fait un bien fou. Cela faisait déjà deux ans que je m’y étais mis et je voyais carrément la différence avec avant : bien évidemment, j’avais gagné en muscle, mais je me sentais également mieux dans ma peau.
Comme beaucoup de soirs, avant de rentrer chez moi, je passai au pub de Tom. Je connaissais Tom depuis que j’avais pris mon appartement ici, ça faisait bien cinq ans. Les jours où le moral n’était pas au rendez-vous, il m’arrivait de m’épancher sur le pauvre Tom, qui m’écoutait patiemment. Et quand on est célibataire depuis un peu trop longtemps, les occasions sont nombreuses.

Elle
Mes copines m’avaient emmené dans ce bar, histoire de me faire sortir un peu. C’est vrai que je ne sortais pas beaucoup. Depuis que j’étais arrivé en France, il y a quatre ans, je ne m’étais pas fait beaucoup d’amis. À part Clara et Louise, je ne connaissais quasiment personne.
Mais elles avaient raison, ça faisait du bien de sortir. Je les écoutais raconter leurs anecdotes plus rocambolesques les unes que les autres. J’entendais toutes ces voix, tous ces sons de verres, de chaises, tout ce brouhaha qui rendait l’ambiance si chaleureuse.

Lui
Je rentrai dans le pub et saluai Tom qui était en train de servir des clientes. Je m’installai au bar. Tom arriva et me servit un de ses cocktails maison, sans alcool bien sûr. J’avais arrêté de boire depuis que je m’étais mis au sport. Et même si parfois cela me manquait, je trouvais que ça me réussissait plutôt bien.
— Alors Tom, comment ça va ? T’as du monde ce soir, dis donc !
— Ça va, ça va... Oui, pas mal de boulot en effet.
Un client l’appelait déjà et il repartit.
Ce n’est pas ce soir qu’on allait beaucoup discuter... Sirotant mon cocktail, je parcourais des yeux la salle : un groupe de jeunes, déjà bien imbibés, un couple, un homme seul et trois filles... plutôt mignonnes.

Elle
Je faisais tranquillement descendre ma pinte et sentais déjà l’effet de l’alcool sur mon corps : ce n’est pas que j’avais la tête qui tournait, mais ça m’avait détendue. J’étais bien.
— Et toi Léna ? Qu’est-ce que tu as à raconter ?— Bein... pas grand-chose...
C’était un peu la même réponse que je faisais à chaque fois. Je m’en rendais compte et cela me désespérait.
— Même pas un petit copain ? Ou un coup d’un soir ?— Rhooo, les filles ! Mais non. Vous savez que je ne suis pas comme ça.
À la manière qu’elles avaient de me poser la question, je sentais bien qu’elles s’inquiétaient de me voir toujours seule. Mais c’était comme ça, c’était la vie... Elles savaient que ce n’était pas simple, pour moi, de trouver quelqu’un.Nous avons encore discuté un certain temps, puis Clara mit sa main sur la mienne et me dit :
— Bon, c’est pas le tout les filles, mais demain y en a qui bossent ! Je vais y aller.— Oh, moi aussi ! dit Louise. Tu veux qu’on te ramène, Léna ?— Non, c’est gentil les filles. Mais je vais rester un peu ici.— T’es sûre ?! reprirent en chœur les deux copines.— Oui oui, ne vous inquiétez pas. Je prendrai un taxi.— OK, mais tu nous appelles si tu as un problème. Promis ?!— Ouuuui, promis.
Je savais qu’elles n’étaient pas à l’aise à l’idée de me laisser là, toute seule. Mais j’étais adulte, mince !

Lui
L’agitation dans le pub s’était un peu calmée et Tom était revenu me parler un peu. Il me racontait comment son affaire tournait et moi, je lui racontais comment j’étais toujours et encore seul... mais que c’était un choix, bien entendu.Mais il n’était pas dupe, il sentait bien qu’il me manquait quelque chose dans la vie... quelqu’un...Puis, comme sur le ton du challenge, il me dit :
— Tiens, regarde la jolie blonde là-bas ? Va lui parler.— Pfff... Je vais juste passer pour un gros lourd.— Mais non, ses copines sont parties, regarde ! Et elle est restée... Pourquoi d’après toi ?— Je sais pas moi... Pour boire !— Mais bien sûr... toute seule ! T’es con ou tu le fais exprès ?— Mouai... Tu crois ?
Il n’avait pas tort. Ce n’était pas comme ça que je rencontrerais du monde. Et puis comme on dit : “qui ne tente rien n’a rien”. Je me levai et marchai dans sa direction.

Elle
J’avais fini ma bière et étais partie dans mes rêveries. Les sons autour de moi s’étaient adoucis. Du monde devait déjà commencer à partir. Et moi, j’étais ici... toute seule. Mais qu’est-ce que je foutais encore là moi ? J’attendais quoi au juste ? Je décidai de me lever... Mais c’est là que j’entendis une voix.
— Bonjour, mademoiselle, excusez-moi de vous déranger, mais... vous êtes seule ?— Heu... oui, mais heu...— Désolé, je n’ai pas l’habitude de faire ces choses-là... Puis-je m’asseoir à votre table ?— Heu... oui, pourquoi pas.
Je ne savais pas pourquoi j’avais accepté. Ce n’était vraiment pas mon genre. Et puis je voulais partir. Mais la voix de cet homme avait quelque chose de sincère. C’est comme si ma bouche avait décidé pour moi, sachant que sinon j’aurais trouvé un subterfuge pour éviter la rencontre. Mais maintenant le processus était enclenché, je ne pouvais plus reculer.

Lui
La fille avait accepté, malgré ma maladresse et malgré mon approche pour le moins directe. Mais elle ne me regardait pas, enfin... pas réellement. Peut-être regrettait-elle déjà d’avoir accepté. Elle avait bien tourné la tête dans ma direction, mais ses yeux regardaient ailleurs... derrière moi. Je me retournai, mais ne vis rien de significatif. Elle me snobait ou quoi ? Bon, à présent qu’elle avait accepté mon offre, il ne me restait plus qu’à m’asseoir. Mais là encore, son regard ne se posa pas sur moi. Était-elle gênée ? Mais soudain, je compris...
Elle
Il avait hésité, je le sentais. C’est naturel, tout le monde hésite la première fois. Il a dû me trouver bizarre. Mais bon, j’avais l’habitude. Ce n’était pas grave, il allait me sortir une excuse bidon et allait repartir. J’avais l’habitude...

Lui
Je l’avais vue, posée à côté d’elle : une canne blanche. Je regardais ses yeux et comprenais maintenant ce regard lointain.
— Heu... vous êtes...— Non-voyante, oui !
Je ne savais pas quoi dire. Je me sentais un peu con... un peu con de trouver ça gênant d’ailleurs. C’était quoi le problème en vérité ? En fait, il n’y avait pas de problème. Cette pensée m’apaisa et me libéra soudain de tous malaises. Je la regardais juste, comme ça... telle qu’elle était... et je la trouvais sublime. Ces longs cheveux blonds légèrement ondulés couraient sur ses épaules comme des rayons de soleil qui se seraient perdus dans ce pub.
Son visage fin et harmonieux m’hypnotisait, à dire vrai. Ses oreilles, sa bouche, son nez, ses yeux étaient d’une beauté... Je sentis quelque chose que jamais, je n’avais ressenti avant. Mais impossible de mettre un nom dessus. Maintenant, plus rien n’avait d’importance autour de moi. Je voulais juste en apprendre plus sur elle. Je ne savais pas pourquoi, mais je me sentais juste bien avec elle... et le lui dis :
— Je suis ravi que vous ayez accepté. Ça doit vous sembler bizarre, mais... être à cette table avec vous... comment dire... ça fait longtemps qu’une chose aussi agréable ne m’était pas arrivée.

Elle
Ça y est, le gars le savait. Il l’avait vue. Mais il était toujours là. Pas d’excuse bidon pour s’échapper. À la place, il m’avait livré son ressenti de la manière la plus simple et sincère. Sans enrobage, sans fioritures. Sa voix grave m’avait touchée, car ce qu’il venait de dire était exactement ce que je ressentais à l’instant présent. Je ne saurais l’expliquer, mais je ne voulais pas qu’il parte, je voulais en savoir plus sur lui.
Le reste coula de source : nous nous racontâmes nos vies, nos projets, nos désirs...Je lui racontais comment, malgré mon handicap, j’étais passionnée d’équitation et que je montais à cheval depuis toute petite. Lui me parlait de ses expériences professionnelles, et d’autres, un peu plus... personnelles.
Plus d’une heure était passée et j’avais l’impression que nous nous connaissions depuis toujours. Cette impression était si grisante et si vertigineuse à la fois. Plus nous parlions et plus nos esprits entraient en résonance l’un l’autre. Sa voix si familière et réconfortante à la fois me livrait sa pensée brute, en toute transparence.
Avec l’expérience, j’avais pris l’habitude de cerner les gens par leurs intonations et leurs hésitations. Mais sa voix à lui ne traduisait que douceur, chaleur et sincérité. Je me laissai envoûter.

Lui
Cela faisait maintenant deux heures que nous parlions sans interruption. Nous avions tant de choses à nous raconter, comme pour rattraper tout ce temps passé... tout ce temps sans nous connaître. Je regardais ses mains, fines et délicates, s’agiter au gré de ses paroles, comme pour donner plus de vie à ces récits. Je ne savais absolument pas ce qui était en train de se passer, mais en l’espace d’une soirée, cette relation naissante prenait déjà une tournure différente.
Je sentais mes yeux s’attarder de plus en plus sur sa peau... le haut de ses seins qui pigeonnaient légèrement dans son chemisier blanc... ses jambes lisses que j’apercevais derrière la petite table ronde qui nous séparait. Mon esprit vagabondait sur son cou sensuel, sur lequel j’imaginais ma bouche ou sur ses fines lèvres roses dont j’essayais de deviner le goût. Il était si facile de la regarder ainsi, autant que je le voulais, sans qu’elle ne s’en rende compte. Je savais que ce n’était pas loyal, mais c’était plus fort que moi.
Bientôt, pris dans mes pensées, ma main s’approcha de la sienne posée sur la table... J’interrompis mon geste, à quelques centimètres de sa peau. Je ne sais pas ce qui m’était passé par la tête. Cet instant ne dura que quelques secondes... Je retirai ma main.

Elle
Tandis que sa voix grave me berçait et m’enveloppait de bienveillance, je pouvais sentir émerger certains nouveaux sentiments. Cela me troublait. En plus d’être douce, sa voix semblait maintenant dégager un charme certain, un charme enivrant. Je m’en rendais compte, il se passait quelque chose de plus...
Puis, je la ressentis : cette légère chaleur sur le dessus de ma main. C’était infime, mais je la sentais. C’était sûr, il avait approché sa main très près. Mais à ma grande surprise, au lieu d’être offusquée, c’est une onde qui traversa mon corps. Comme si mon corps avait réagi à l’encontre de ce que mon cerveau aurait dû lui dicter dans une telle situation. Sans équivoque, c’était une onde de désir. J’étais troublée. Je ne pouvais nier ce que cet homme déclenchait en moi, et mon corps me le fit vite comprendre en lieu et place de mon entrejambe.

Lui
Pendant une fraction de seconde, j’eus cru qu’elle savait ce que je venais de faire. Cette idée me terrorisa. Mais une autre partie de moi aurait voulu qu’elle le sache... qu’elle sache le désir qui montait en moi. Son teint semblait avoir quelque peu rosé et elle avait marqué une pause. Elle se mordillait légèrement la lèvre inférieure. Chaque partie de son corps, que je regardais, était d’une sensualité insoutenable. Je commençais à me sentir à l’étroit dans mon pantalon.

Elle
Il avait retiré sa main. La chaleur avait disparu. Peut-être s’était-il rendu compte que son geste n’était pas approprié. Mais pour moi, cela signifiait qu’il ressentait quelque chose lui aussi. Cette chaleur me manquait déjà. Et s’il partageait les mêmes émotions que moi ? Et si nous repartions chacun de notre côté, à la fin de cette soirée, sans même savoir ce que l’autre ressentait ? Cette idée m’effraya. C’est alors que j’eus envie de savoir à quoi il ressemblait.
— Puis-je toucher ton visage ?

Lui
Sa demande me déstabilisa un instant. Elle avait avancé ses mains vers mon visage, dans l’attente d’une réponse positive. Mais que pouvais-je lui répondre de toute façon ? Dans tous les cas, mon irrésistible désir de sentir la douceur de ses doigts déclencha automatiquement la réponse :
— Oui, bien sûr.

Elle
Je lui avais lancé ma demande d’un coup, sans réfléchir, et il l’avait accepté. J’étais surprise de sa réponse si rapide, mais qu’aurait-il bien pu répondre d’autre ? J’avançai alors mes mains qui entrèrent en contact avec sa peau. Mes doigts le parcouraient, le scrutaient, le scannaient... Une mâchoire carrée, une barbe naissante... ses joues, son nez, ses yeux, sa bouche... sa bouche... oh, sa bouche.
Mince, je m’y étais attardé plus que je n’aurais voulu. Il a dû trouver ça bizarre. Mais je le sentais, mes doigts en voulaient plus maintenant. Je m’imaginais déjà caresser son cou, son torse, son corps tout entier... j’étais excitée. Ma culotte était désormais bien trempée.

Lui
Ses doigts, qui couraient sur mon visage, étaient d’une douceur... d’une sensualité qui activait parfaitement mon imagination. Je voyais déjà ses doigts descendre plus bas sur mon corps. Elle s’était arrêtée sur ma bouche qu’elle ne quittait plus. Les images qui me venaient en tête terminèrent de tendre mon sexe en une érection plus que complète.
À cet instant, je n’avais qu’une seule envie : attraper son visage, l’embrasser et lui faire l’amour ici et maintenant. Mais tout cela n’était que pur fantasme et je le savais. Comment pourrait-on en arriver là, dès une première rencontre ? C’était impossible, inenvisageable... il fallait que je me calme.

Elle
Je le sentais à travers sa peau, à travers ses lèvres : il ressentait la même chose que moi, c’était sûr. Mais je sentais aussi qu’il était en train de se mettre des barrières mentalement, afin de refouler ses pulsions. Je le sentais à sa posture figée, à son souffle contenu. Il ne ferait jamais le premier pas. Je le sentais... je le savais. Alors, je fis une chose dont jamais je ne me serais cru capable...
— Viens, sortons d’ici !

Lui
Elle venait de m’attraper le bras d’une main et sa canne de l’autre. Nous nous levâmes et sortîmes dans un élan commun, comme guidés par la même pulsion. Elle venait de faire ce que je n’avais pas osé faire. Et c’est en sortant du pub, après quelques pas dans la ruelle mal éclairée, que j’en eus la confirmation : elle me plaqua contre le premier mur venu, lâcha sa canne, plaça ses deux mains derrière ma tête et m’embrassa.
Sa bouche s’était soudée à la mienne et déjà, nos langues se mélangeaient. Je goûtais enfin ses lèvres : elles étaient sucrées et semblables à une drogue dont je ne pouvais déjà plus me passer. Je passai une main derrière sa tête, mes doigts s’entremêlant dans sa chevelure et lui rendis son baiser.

Elle
Je ne sais pas ce qui m’avait pris. Cela ne me ressemblait pas. J’avais l’impression que ce n’était pas moi, mais une de ces filles entreprenantes et sûres d’elle qu’on ne rencontre que dans les livres. Je ne pouvais plus me décoller de lui. Tandis que nos langues s’emmêlaient frénétiquement, je sentais le parfum de sa peau m’enivrer. Telle une réaction en chaîne que rien ne peut arrêter, mes gestes n’étaient plus guidés que par mes pulsions. Je voulais le sentir au bout de mes doigts.
Sans aucun contrôle de ma part, j’enfilai mes phalanges entre les boutons de sa chemise et tirai d’un grand coup sec. Les boutons sautèrent et la chemise se déchira. Je plaquai alors mes mains sur son torse. Je palpais son corps, comme on explore un nouveau territoire. Je pouvais sentir ses pectoraux, ses abdominaux... Mes doigts glissaient sur ses muscles... Sa peau, sous mes doigts, m’excitait maintenant au plus haut point. Je mouillais tellement...

Lui
Ses mains sur moi avaient déclenché des ondes de plaisir. Ses prises d’initiative dévoilaient sans équivoque son désir. Cela fit alors sauter les verrous qui m’empêchaient d’aller plus loin. J’entrepris fébrilement de déboutonner son chemisier, puis une fois ouvert, fis glisser mes mains jusqu’à ses seins. Je les avais en main et pouvais sentir leur rondeur sous la dentelle du soutien-gorge. Nous nous touchions, si proche... comme si nos corps fusionnaient.Mais les pas des passants qui se faisaient entendre à quelques mètres de nous me firent comprendre que ce n’était peut-être pas le meilleur endroit pour faire ça. J’attrapai sa canne, la pris par la main et l’emmenai un peu plus loin dans la ruelle. La première porte ouverte fit l’affaire. Nous nous y engouffrâmes.

Elle
Il m’avait tirée jusqu’à cet endroit silencieux, mais dont les bruits renvoyaient un écho prononcé. Sans doute un lieu assez vide. C’était certainement une bonne chose. Une légère odeur de poussière flottait dans l’air. Malgré ce changement soudain, mon désir n’avait pas faibli, bien au contraire. Il m’en fallait plus. Je voulais le sentir au bout de mes doigts, mais au bout de ma bouche aussi... dans ma bouche.
Ne lui laissant pas le temps de réagir, je posai mes mains et ma bouche sur son torse et commençai une série de baisers. Descendant lentement, j’arrivai maintenant à son ventre. Le contact de ses muscles sur ma bouche acheva de me convaincre de continuer. Je m’agenouillai alors, déboutonnai son pantalon et le rabattis avec son caleçon jusqu’à ses chevilles.
J’approchai alors mon visage, qui entra en contact avec sa verge en érection. Son désir pour moi, que je sentais ainsi dressé contre mon nez et ma bouche, m’excita encore plus. J’attrapai alors son sexe d’une main et de l’autre ses testicules. Je posai ma bouche à la base de sa verge et remontai mes baisers jusqu’à son gland. Je n’avais jamais fait ça auparavant, mais à l’instant présent, l’idée de le goûter ainsi était irrésistible...

Lui
Quand elle avait commencé à me baiser le torse en descendant de la sorte, je n’y avais pas crû. Mais elle avait maintenant mon sexe dans la bouche et la sensation était intense. Je sentais à présent la douce chaleur de sa bouche autour de ma queue. Sa langue, il y a encore quelques minutes dans ma bouche, s’enroulait autour de mon sexe.
Dans la lumière tamisée qui filtrait à travers les vitres crasseuses, je pouvais voir ses lèvres glisser de haut en bas le long de mon pénis. À chaque fois que mon membre s’enfonçait dans sa bouche, des ondes de plaisir me parcouraient. Puis quand elle le ressortait, je pouvais le voir enduit de sa salive, luire, à la lumière du lampadaire entrant péniblement à travers les vitres sales.
Tandis que le ballet de sa bouche sur mon sexe me provoquait maintenant des spasmes, je me rendais compte du lieu où nous nous trouvions. C’était un entrepôt désaffecté, dont la plupart des meubles et objets étaient soit rouillés, soit couverts d’une couche imposante de poussière. Je regardais les jambes nues de Léna sur le sol poussiéreux et son visage fin, s’empalant sur ma bite avec régularité. Le bruit de succion résonnait dans ce décor apocalyptique. Le contraste m’excitait comme un fou...

Elle
Son sexe, qui entrait et sortait de ma bouche, me comblait à un point que je n’aurais pu imaginer. Tandis que ma langue s’enroulait et se déroulait au gré des va-et-vient, je devinais son plaisir, aux spasmes de sa queue. Je pouvais sentir les frissons qui traversaient son corps, quand ma langue passait sur son gland. Je ressentais tout : la texture, l’odeur, le goût.
La sensation de pouvoir sur son corps m’excitait tellement, que je n’avais pas résisté à l’envie de passer une main dans ma culotte. De mes doigts dégoulinant de mouille, je frottais mon clitoris déjà gonflé comme jamais, tandis que je me délectais de son sexe chaud. Il ne m’aurait pas fallu longtemps pour atteindre l’orgasme.

Lui
Soudain, sentant que le plaisir arriverait bientôt à son apogée, je m’écartai, faisant ressortir mon sexe, encore relié à sa bouche par un filet de bave. L’excitation était trop grande et je ne voulais pas que tout s’arrête si vite. Il me fallait faire une pause. De plus, le désir de la goûter à mon tour était devenu une obsession.
Je la soulevai par la taille pour la placer sur un vieil établi qui se trouvait à proximité. De la poussière fut soufflée sous forme de nuage avant de retomber au sol. Quelques boulons rouillés qui s’y trouvaient, roulèrent et tombèrent au sol. Le bruit résonna dans le hangar vide. Je retirai alors délicatement sa jupe et sa culotte, et les fis glisser le long de ses jambes interminables. Une fois les morceaux de tissus enlevés, sa vulve s’offrait à moi.
J’écartai ses jambes et avançai mon visage comme soumis à une force d’attraction phénoménale. Mes lèvres touchèrent alors son sexe humide. Ma langue, impatiente, jouait déjà avec son clitoris, durci par le désir. Je léchais maintenant son sexe sans pouvoir m’arrêter tant l’excitation était forte. Mes mains, posées sur l’intérieur de ses cuisses, exposaient ce fruit à ma bouche affamée.
Je la dévorais avec passion. Ma langue entrait dans son vagin et en ressortait tel un tentacule à la recherche de nourriture. Je sentais son corps résonner à mes assauts. Son goût et son odeur m’emplissaient tout entier. Le souffle court, elle finit par lâcher des râles de plaisir.
— Haaaa... Ho Oui... ouiii... c’est bon...
Depuis le début de nos ébats, seul le bruit du frottement de nos vêtements et de nos peaux l’une contre l’autre s’était fait entendre. Mais elle venait de lâcher le premier gémissement d’une longue série...

Elle
Sa langue entrait et sortait de mon vagin en de grands mouvements langoureux. Je la sentais frotter contre mon clitoris, contre mes lèvres puis contre les parois intérieures. Cette danse faisait monter en moi une sensation inimaginable...
— Ohhh Oui... Ohhh Oui... Encore...
Je voulus attraper mes seins pour plus de plaisir, mais me ravisai rapidement, tellement la sensation était forte. J’agrippai alors les bords du support sur lequel j’étais allongée, comme pour mieux résister à l’épreuve que subissait mon corps.
Puis, il plaça sa main droite sur mon ventre et de son pouce excita mon pauvre clitoris sans défense. La torture était d’un plaisir extrême. Il entrait toujours plus profond avec sa langue. Mon intimité, ainsi explorée, sécrétait une quantité impressionnante de liquide, que je sentais couler entre mes cuisses et ses joues.
Le désir de me représenter la scène me fit lui attraper le visage. Du bout de mes doigts, je pouvais sentir ses joues humides de mon jus, son nez fourré dans ma chatte et sa bouche, collée à ma vulve, me léchant sans retenue. Tandis que j’avais encore son goût dans ma bouche, lui avait ma chatte dans la sienne. Cette vision acheva cette séance de douce torture dans une jouissance infinie.
— Ha... Ho oui... Je viens ! Je viens... HA... HAAAAA !
Je partis dans un long orgasme. Glissant mes doigts dans ses cheveux, je les refermai alors pour en attraper une poignée et plaquer son visage un peu plus en moi, si cela était encore possible.

Lui
Elle gicla dans ma bouche. Je ressentais les spasmes du bout de ma langue. Ma cavité buccale se remplissait à grands coups de jets puissants. Je laissai le liquide s’écouler le long de mes lèvres et de ses cuisses frémissantes. L’excitation était à son comble. N’arrivant pas à m’arrêter, je continuais de la lécher tout en stimulant son clitoris. Plus elle se cambrait, plus j’entrais en elle, et plus j’étais excité.
Sa main, qui me maintenait fermement en elle, manquait parfois de m’étouffer. Mais le plaisir n’en était que décuplé. Puis, haletant, elle me lâcha les cheveux et posa une main sur son sexe pour m’en priver l’accès. C’en était trop pour elle. Je la sentais à bout de souffle.

Elle
Cet orgasme monstrueux m’avait vidée de toute énergie... enfin, me semblait-il. Car c’était sous-estimer le feu du désir, qui lui, ne s’était pas du tout éteint. Maintenant, je voulais son sexe en moi. Reprenant mon souffle quelques instants, comme le calme avant la tempête, je sentais les pulsions refaire surface. Je me levai, le poussai pour qu’il tombe par terre, dos au sol, et le chevauchai.
J’arrachai le reste de vêtement qu’il lui restait, retirai mon chemisier et dégrafai mon soutien-gorge. De mes mains, je caressais son corps nu. Ses épaules, son torse, ses fesses, ses cuisses... Le contact avec sa peau ne tarda pas à provoquer des choses en moi. Malgré mon orgasme, je me sentais mouiller comme jamais.
Alors n’y tenant plus, j’attrapai fermement son pénis d’une main, et le guidai dans ma chatte. Lentement, je m’empalais sur ce membre de chair. Je pouvais sentir l’excitation de mon amant. Chaque spasme de sa queue ne faisait que m’exciter encore plus. Arrivé en butée, assise sur ses couilles, je restais là un moment. Je savourais l’instant...
Son sexe, qui s’agitait à l’intérieur de moi, me faisait penser à un petit animal pris dans un piège. Ainsi, je le sentais bouger dans sa cage de chair. Mes mains posées sur son torse, mes ongles plantés dans sa peau, j’avais attrapé ma proie. J’étais devenue une prédatrice... j’avais le contrôle...

Lui
Allongé sur le sol, je la voyais me chevaucher. Tel un cavalier sur sa monture, les oscillations de son bassin n’avaient de cesse. Ses mains posées sur mes pectoraux, elle montait et descendait autour de ma queue.
Puis, de ses deux mains, elle attrapa mes tétons et les pinça fermement. La douleur, mais le plaisir également, fut intense. Elle les maintenait ainsi, comme elle tiendrait les rênes de son cheval. Elle les tordait de temps à autre, d’un côté ou de l’autre, comme pour donner des ordres à son destrier. Ses yeux, dans le vague, fixant droit devant elle, ajoutaient à la scène un côté dominateur.
Le mélange des sensations, mes tétons malmenés et ma bite entrant et sortant, devinrent vite trop pour moi... j’allais exploser. Mes jambes s’étaient mises à gesticuler, et la poussière soulevée par mes pieds, glissant sur le sol, faisait penser à celle suivant un cheval au galop.
— Haaaa... Ho oui... Non... moins vite... Haaa...
J’étais au bord de l’explosion, quand elle lâcha mes pauvres tétons meurtris et attrapa sa canne pour me la placer entre les dents.
— Chuuuuut ! me fit-elle.
D’une main, elle prenait appui sur mon torse tandis que de l’autre, elle tenait sa canne en travers de ma bouche, tel un mors dans la gueule d’un cheval. Je ne pouvais plus parler, tout juste émettre quelques sons.
— Hmmmmmm !
Le fait d’être son jouet, son animal, m’excitait plus que je n’aurais cru. Elle me chevaucha encore quelques instants comme ça, usant et abusant de sa position de dominatrice. Je sentais ma salive sortir sans retenue de ma bouche, ainsi ouverte de force, et couler sur mes joues.
Son corps nu, éclairé des quelques lumières jaunâtres environnantes, ondulait au-dessus de moi, sur fond de poutres d’aciers. Des salves de plaisir m’assaillaient au rythme de ses hanches. Ses seins fermes et rebondis pointaient fièrement vers l’avant.
Puis soudain, elle retira sa canne de ma bouche et plaça le pommeau entre mon sexe et le sien. Mon pénis qui continuait inlassablement de coulisser en elle luisait de ses sécrétions. Je compris alors qu’elle lubrifiait un gode improvisé, quand elle me lança, un sourire en coin :
— il manque une queue à mon cheval... non ?

Elle
Le dominer me procurait un plaisir que je n’aurais jamais imaginé. Je le surplombais et sentais son sexe entrer en moi. C’est moi qui avais le contrôle et qui décidais de la profondeur et de la vitesse. Jamais de ma vie, je n’avais ressenti ce besoin de domination.
Son sexe remplissait mon vagin, mais mon désir s’orientait maintenant vers un tout autre orifice. J’avais arrêté les va-et-vient pour me concentrer, et plaçai alors le pommeau à l’entrée de mon anus. Je n’avais jamais été attiré par la sodomie, mais ici et maintenant, avec lui, cela me semblait être une évidence... Je voulais être comblé par là aussi.
J’appuyai alors légèrement et la canne entra sans difficulté. Tandis que je l’enfonçais, une sensation inconnue jusqu’alors me traversa toute entière. Je la sentais glisser sans fin en moi, tandis que mes doigts allaient toujours plus loin, chercher quelques centimètres de plus.
Du bout de mes doigts, je pouvais sentir son membre de chair planté dans ma chatte et ma canne enfilée dans mon anus. Mes doigts n’arrêtaient pas de passer de l’un à l’autre comme pour prendre réellement conscience de la situation. Il y a encore quelques heures, j’aurais hésité à embrasser un garçon, et me voilà pénétrée de la sorte de toutes parts.
Je m’étais penchée sur lui à cause de la longueur de la canne qui m’interdisait maintenant de me relever. Ma poitrine, ainsi exposée, était devenue une proie facile. Tandis que la canne avait atteint le fond de mon rectum, je sentis deux mains agripper mes seins. Il avait profité de la situation pour s’en emparer.
Il les avait bien en main et pressait à présent mes tétons, déclenchant en moi des vagues de plaisir. Je voulus me relever pour m’extraire de cette douce torture, mais une douleur au fond de mon cul m’en dissuada immédiatement. La longue canne qui touchait le sol m’empêchait de me relever. J’étais passé en quelques secondes de la dominatrice à la soumise. Cette pensée me perturba un instant, mais je compris très vite que mon corps pouvait aussi bien prendre du plaisir dans la soumission.
Il malaxait maintenant mes seins à loisir. Ma poitrine était à son entière disposition. Il avait commencé à mordiller et sucer mes tétons, sans que je puisse faire quoi que ce soit. Ainsi penché sur lui, il avait pris le relais et faisait entrer et sortir sa queue à sa guise. Je ne contrôlais plus rien et cela m’excitait au plus haut point.
Je sentais son pénis me transpercer, tandis que la canne, logée dans mon cul, me fixait tel un tuteur. À chaque fois que sa queue me pénétrait, je pouvais sentir son frottement avec la canne, uniquement séparée par ma fine paroi de chair. Cette double pénétration était en train de me rendre folle. J’étais à sa merci, telle une brochette qu’il consommait à l’envi. Je m’abandonnai à ses caresses...

Lui
J’avais retourné la situation et pouvais maintenant profiter à loisir de son corps. Ses seins emplissaient mes mains. Tantôt les mordillant, tantôt les pressant, ils étaient tout à moi. Ses tétons avaient durci, comme la pierre, sous mes doigts. Sa poitrine, ainsi penchée sur moi, luisait par la sueur qui perlait désormais sur sa peau. L’éclairage faiblard de quelques néons la rendait d’une blancheur presque fantomatique.
Tandis que je jouais avec ses seins, je poursuivais les va-et-vient de mon sexe dans le sien. Tel un piston, ma bite entrait et sortait avec une facilité déconcertante, tellement sa chatte était dilatée. Cet usinage intensif arracha bientôt des râles à Léna.
— Ohhh, oui... Je la sens... je la sens si bien... si loin... Ho Ouiiii...
Au plus profond d’elle, je pouvais sentir la canne de l’autre côté de sa chair. J’imaginais ce qu’elle pouvait ressentir, ce qui m’excitait d’autant plus et me poussait à aller toujours plus profond.
Le plaisir était si fort... l’image de cette fille nue au milieu de ce hangar sordide... les sons lancinants et plaintifs qui sortaient de sa bouche... cela me rendait fou. J’étais au bord de l’orgasme... quand elle reprit le dessus.
Elle venait de retirer violemment mes mains de ses seins, les avait plaquées au sol et les maintenait ainsi avec les siennes. Elle se trouvait, de ce fait, encore plus penchée sur moi. Ses seins touchaient maintenant mon torse et son visage n’était plus qu’à quelques centimètres du mien. De tout son corps, elle me plaquait, nos deux sexes encastrés, m’interdisant tout mouvement. Son regard vide semblait regarder mon âme.
Elle approcha ses lèvres des miennes. Je pouvais sentir son souffle... court et saccadé. Puis, elle m’embrassa. Ainsi, bloqué dans le piège le plus sexy du monde, maintenu de toutes parts, ne pouvant plus bouger, il ne me restait plus qu’à subir, avec délice, son baiser forcé. Elle avait entré sa langue dans ma bouche et avait plaqué ses lèvres sur les miennes. Elle me léchait de l’intérieur... me suçait la langue. Tandis que nos salives se mélangeaient, je savourais chaque instant, comme si l’éternité ne suffirait pas à rassasier nos appétits mutuels.

Elle
Nous nous embrassions avec passion, sa queue tout au fond de moi. Je la sentais... chaude. Je la bloquais ainsi de tout mon poids, l’empêchant de ressortir, et pouvais sentir ses spasmes de plaisir dans tout mon vagin. La canne, qui me sodomisait maintenant depuis un bon moment, avait bien dilaté mon cul. Je pouvais la sentir pressée contre son pénis qui se trouvait dans mon autre intimité.
Mes deux orifices ainsi écartelés me produisaient un plaisir long et intense. Ce n’était pas un orgasme à proprement parler... mais autre chose... de fort et délicieux. Sa bouche dans la mienne, j’aurais pu rester ainsi pendant des heures. Mais j’avais d’autres plans...

Lui
Elle mit soudain un doigt sur mes lèvres, comme pour me faire taire, ou me faire comprendre qu’elle allait me dire quelque chose d’important. Nos corps, suants, s’étaient arrêtés de bouger. Le calme avait repris possession des lieux. Puis, elle ouvrit la bouche.
— Je veux que tu entres dans mon monde... que tu vois ce que je vois... que tu ressentes ce que je ressens...
D’une main, elle balaya le sol. Quand sa main tomba sur son chemisier qui jonchait le sol, elle l’attrapa et le roula sur lui-même. Elle me caressa le front, comme on le ferait avec un animal pour le rassurer. Puis, elle me banda les yeux avec, en faisant un nœud derrière ma tête. Je perdis alors un sens. Je compris ce qu’elle avait voulu dire...
Dépourvu de vision, je sentais mes autres sens commencer à s’activer plus qu’à l’accoutumée. Les bruits, les odeurs, le toucher, tout me semblait plus vivant, plus précis.Je ne pouvais plus voir ce qui se passait autour de moi, mais entendis gratter la canne sur le béton brut du sol, puis tomber par terre.
Elle attrapa alors mon sexe d’une main. Je sentais ses doigts, si doux, si sensuels entourant ma queue. Elle semblait la guider... J’avais une vague idée de ce qui allait m’arriver, mais n’en eus la confirmation que quand je sentis un contact au bout de mon gland.
Un anneau de chair l’entourait avec fermeté, mais l’orifice était bien trop serré pour être sa chatte... Je me trouvais à l’entrée de son anus. Cette simple idée me crispa entièrement, comme si mon corps redoutait ce qui allait lui arriver et s’il allait pouvoir y résister bien longtemps.
Je ne pouvais voir, mais mon sens du toucher me transmettait des sensations d’une intensité décuplée. Je m’en rendis vite compte quand elle commença lentement à s’empaler sur mon membre.
Bien que dilaté, son anus offrait encore une certaine résistance. Pendant que mon sexe, lubrifié de cyprine, entrait centimètre par centimètre, je sentais les ondes d’un plaisir incontrôlable s’approcher inexorablement. Ses mains sur mes genoux me bloquaient, tel un animal à qui on faisait une injection.
Elle s’était retournée pour exécuter son ultime torture. Comme pour retenir l’inévitable, mes mains se plaquèrent par réflexe sur ses fesses. Mais rien n’y faisait, la machine était lancée et son travail inéluctable.
Puis, elle fit une pause... un petit moment de répit que j’utilisai pour reprendre mon souffle.

Elle
J’avais stoppé la progression. Sa queue qui semblait ne jamais s’arrêter de grossir commençait à me déchirer l’anus. Je n’avais pourtant qu’une seule envie à ce moment-là : m’empaler d’un coup sec et lui faire cracher son foutre. Mais malgré ce désir pressant, je décidai d’une autre solution... plus raisonnable.
Je plaçai ma main au niveau de mon orifice écartelé. Entre mes doigts, je pouvais sentir sa queue enserrée dans mon cul. Il me semblait même sentir les battements de son cœur à travers sa verge emplie de sang. Je m’appliquai alors à récupérer, puis à étaler, ma mouille qui s’était répandue jusque sur ses couilles. Ce lubrifiant naturel m’aiderait à aller au bout de ce que j’avais en tête...

Lui
Je sentais ses doigts fouiller mes bourses, puis remonter jusqu’à l’intersection de mon chibre et de son anus. Ce contact me faisait pleinement prendre conscience de la chose. Et bien que ne voyant rien, j’avais l’impression de profiter de l’instant de manière exacerbée.
Puis quand elle eut décidé que c’était assez, elle reprit la descente aux enfers... ou au paradis, je ne savais plus. Mon gland, décalotté à l’intérieur, frottait contre les parois de son rectum. J’avais l’impression de pouvoir exploser à n’importe quel moment. Mais mon désir d’aller toujours plus loin dans l’histoire me faisait tenir bon.
Il arriva un moment où ses fesses touchèrent mes cuisses. J’étais tout entier en elle. La pression se faisait forte et mon jus ne demandait qu’une seule chose : sortir ! Mais d’une main, elle s’empara de mes couilles et les serra fortement. La douleur altéra alors mon envie de jouir. Cela ne durerait peut-être pas longtemps, mais repoussait indéniablement l’échéance.
Tenant toujours fermement mes couilles, elle entreprit de remonter le long de ma queue. Dans ce sens, bien que délicieux, le mouvement était bien plus supportable. Mais arrivée à mi-hauteur, une seconde descente s’engagea, plus rapide celle-là. J’avais compris qu’il me faudrait un self-control à toute épreuve, si je voulais arriver au bout. S’ensuivirent des va-et-vient de plus en plus rapides et de plus en plus fluides.
Elle avait reposé ses mains sur mes genoux et glissait maintenant librement et sans à-coups sur ma queue glissante. La sensation était tellement douce et intense à la fois.Je savourais l’instant comme on savoure un bon champagne dont on voudrait que la coupe ne se vide jamais.
Puis, elle s’arrêta. Je la sentais trembler... elle était fatiguée. Les spasmes de son anus compressaient ma bite par intermittence. Elle n’en pouvait plus, mais en voulait encore. Je pris alors le relais...

Elle
Épuisée, je m’étais arrêtée. Sa bite, toujours au fond de moi, m’emplissait de toute sa largeur. Je voulais qu’il vienne... qu’il jouisse en moi. Mais je n’en pouvais plus.C’est là qu’il me proposa :
— Vas-y, penche-toi. Laisse-toi faire et profite à ton tour.
Une main dans le dos, il m’avait fait me mettre à quatre pattes. Sa queue était ressortie, mais je sentais bien que mon cul était toujours béant. Aveugle, ses mains me parcouraient pour se repérer. Ses doigts entrèrent dans mon trou, comme pour vérifier son emplacement. Il m’attrapa les hanches, puis dans un mouvement ample et délicieux, il m’enfila sans effort.
Son membre venait de me pénétrer de tout son long quasiment sans friction. Mon cul distendu l’avait accueilli sans rechigner. Il commençait alors des mouvements d’allée et venue avec la régularité d’un pendule. Je pouvais ainsi profiter du plaisir de la caresse sans la fatigue.
Puis, avant que j’en eus l’occasion, il plaça sa main sur mon sexe. Il entra alors son majeur et son annulaire dans mon vagin, tandis qu’avec son index, il commençait à jouer avec mon bouton, toujours raidi de plaisir. La sensation de cette colonne de chair qui me labourait le cul, pendant que ses doigts me caressaient de l’intérieur, faisait son effet.
— Oh Oui... putain que c’est bon ! Continue comme ça, c’est trop bon !
Le doigt qui triturait mon clitoris était en train de me rendre folle...
— Putain... je vais jouir...

Lui
Je la sentais sur le point de décoller. Pour ma part, j’étais à un tel niveau d’excitation, que je pouvais venir sur commande. Je sus que la fin était proche quand je sentis son anus tenter de se refermer sur ma queue. J’étais comme pris dans un étau. Elle jouit !
— Oh oui... Oh OUI... OUUIII !
L’instant d’après, je lâchai tout. Nos orgasmes étaient comme synchronisés à la seconde près.
— Oh oui, putain... je viens aussi !
J’enfonçai alors ma bite jusqu’à la garde. Gardant la position, mes couilles qui avaient conservé leur contenu si longtemps ouvrirent les vannes. Je pouvais sentir les jets de sperme traverser mon pénis pour aller remplir l’intérieur de son rectum. Je n’avais pas arrêté de la branler et pouvais maintenant sentir la cyprine couler à flots entre mes doigts. Ma main, prise de frénésie, ne pouvait s’arrêter. Je caressais, encore et encore, son sexe et ce clitoris qui n’en pouvait plus. Je sentais son corps tout entier trembler sous l’effet de l’orgasme...

Elle
Cet orgasme était le plus long que je n’ai jamais connu. Mon corps était en transe et mon clitoris en feu. Puis, il se pencha et attrapa un de mes seins avec sa deuxième main. Son visage à présent posé sur mon dos, il avait fini par arrêter de jouer avec mon sexe, ce qui m’allait très bien. Il avait juste laissé ses doigts en contact avec mon clitoris, pour prolonger mon plaisir.
Je sentais le sperme qui giclait en moi et remplissait maintenant l’entièreté de ma cavité rectale. Les derniers jets la firent d’ailleurs déborder. Le liquide chaud coulait le long de mes cuisses, tandis que les spasmes de toutes parts s’estompaient. Nous restions là, lovés l’un dans l’autre, haletant, épuisés par nos ébats.
Après quelques instants, il se retira. Ce fut alors une flaque de sperme qui se forma entre mes genoux. Le liquide qui sortait de mon cul, béant, semblait ne jamais s’arrêter de couler.
Puis il se plaça en face de moi. Je m’assis. Il passa une main derrière ma nuque et m’embrassa.
Nous restâmes un certain temps, là, à nous embrasser... nous toucher... nous caresser, sans dire un mot. L’instant était précieux et nous le savions. Nous venions de vivre une expérience que peu de gens atteignent. Nous étions enfin rassasiés de plaisir, d’amour... Nous étions heureux.

Lui
Elle descendit de la voiture et monta les quelques marches qui menaient à la porte d’entrée de son immeuble. Elle marqua une pause, puis ouvrit la porte qui se referma lentement derrière elle. Cela ne faisait que quelques minutes, mais le manque se faisait déjà ressentir. Un manque qui vous tiraille les tripes, comme un junkie privé de sa drogue. Les heures allaient être longues avant de la revoir...

Elle
Je m’étais arrêtée au pas de ma porte. Un instant, je crus ne jamais pouvoir entrer. Je n’avais qu’une seule envie : me retourner et me jeter dans ses bras. Mais je savais que si je faisais ça, le moment n’en serait que plus difficile. J’ouvris donc la porte et m’engouffrai dans le hall d’entrée. Le temps allait être bien long jusqu’à notre prochaine rencontre...

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Voilà ce qui se passe quand deux êtres parfaitement faits l’un pour l’autre se rencontrent. Appelez ça comme vous voulez : un coup de foudre, des âmes sœurs, une symbiose... Le fait est que si rare soit un tel événement, la réaction qui s’en dégage est extraordinaire. La passion les dévore, les deux êtres fusionnent alors en un tout, qu’il est difficile de cerner pour la plupart d’entre nous.
Ce tout porte un nom : c’est ce qu’on appelle l’amour... l’amour pur, brut, cru, absolu... L’Amour avec un grand A.
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