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Lorenzo, mes vacances

Chapitre 1

La première fois

Hétéro
— Chier !
Je viens de perdre la dernière bille de la partie. Le bruit du flipper résonne dans le bar. De nombreux regards se tournent vers pour savoir si j’ai pu battre le record qu’un vacancier a inscrit sur le flipper il y a une semaine.
— Ca va Lorenzo, ce n’est pas si mal.
Marion me sourit. Comme toujours, je craque et lui réponds par un tendre baiser. Elle est jolie, depuis le début du lycée, nous sortons ensemble, cela fait trois ans maintenant. Elle est brune, de taille moyenne avec les yeux verts. Sa poitrine ronde de taille moyenne se dresse librement sous son t-shirt du syndicat d’initiative de la commune. La danse hip-hop fait partie de ses activités favorites ainsi que le tennis auquel je l’ai initiée en seconde.
— Oui c’est mon meilleur score, mais je ne suis pas encore arrivé à battre Devastator.— Ce sera pour la prochaine fois.
Pour ma part, je suis d’origine italienne par mon grand-père maternel. Ma peau qui bronze vite au soleil, mes cheveux noirs révèlent ces origines méditerranéennes. A peine plus grand que Marion, je fais un peu de tennis et de voile dès que je le peux.
En cette mi-juillet, il fait chaud dans notre petit village du Lauragais. Depuis plus de quinze jours, il n’est pas tombé une goutte d’eau. L’air chaud en provenance de l’Espagne dessèche tout sur son passage. Les prairies sont jaunies par la sécheresse qui dure. Même les vaches ne paissent plus dehors.
Nous nous installons à une table et commandons un coca. Yasmina, une bonne amie du lycée, qui travaille ici pour l’été, nous apporte nos verres.
— Alors Marc tu y es presque. Tu l’auras bientôt battu.— Oui, j’espère. Au fait, comment ça va avec Mehdi ? Ca fait longtemps qu’on ne l’a pas vu.— Il m’a largué il y a trois semaines par SMS car je ne voulais pas coucher avec lui. Tu y crois toi ?— C’est un con, je te l’avais dit. La seule chose qui l’intéresse c’est de mettre les nanas au lit. C’est ce qu’il a fait avec Léa l’an passé.— Je sais, Marion, tu m’avais prévenue. Pourtant j’avais espéré.
Yasmina retourne à son travail. Je ne peux m’empêcher de regarder ses fesses moulées dans son jean. Elle est d’origine nord-africaine. Sa beauté exotique m’a toujours attirée depuis qu’elle est arrivée avec ses parents au village il y a deux ans. Marion me surprend et me donne un coup de coude en rigolant.
— Elle te plaît hein ?— Tu sais bien que je n’aime que toi.
Marion me regarde, ses cheveux tirés en arrière par une sorte de chignon font ressortir son sourire et ses yeux. Pour terminer la conversation qui risque de me mettre mal à l’aise, je lui dépose un baiser furtif sur ses lèvres.
Nous terminons notre verre. Sur la place du village, nous regardons les boulistes jouer tout en mangeant un kebab. Alors que la nuit est de plus en plus sombre, nous décidons de rentrer chez nous.
J’accompagne Marion devant sa porte. Comme tous les soirs depuis le début des vacances, je l’embrasse. Ses mains se nouent autour de mon cou. Les miennes caressent ses fesses à travers sa jupe. Nos langues s’emmêlent dans un baiser langoureux. Nos corps sont si proches que sa poitrine s’écrase sur la mienne à travers nos vêtements. Au bout de quelque temps, nos bouches se séparent. Nous nous regardons les yeux pétillants.
— Tu veux rentrer ?
Je suis surpris, c’est la première fois qu’elle m’invite si tard.
— Si je ne dérange pas, oui.
Timidement, j’entre chez elle. Sa maison est une vieille maison de village dans une ruelle mal éclairée. Des toiles d’araignées sont visibles sur une vieille photo présentant ses parents à l’autel de l’église le jour de leur mariage. Aujourd’hui, Marion vit seule avec sa mère depuis maintenant dix ans que son père est parti sans laisser de nouvelles. La gendarmerie n’a jamais retrouvé la voiture de son père qui a disparu un soir d’hiver sans laisser la moindre trace. Depuis, sa mère vit seule et regarde la télé, un verre de rhum à la main comme tous les soirs depuis dix ans.
— C’est toi, Marion ?— Je suis avec Lorenzo.
Elle ne répond rien et n’a même pas tourné la tête pour nous voir. Je monte à l’étage avec mon amie. Elle ouvre la porte de sa chambre. Sur les murs, le poster du dernier rappeur à la mode. Notre baiser reprend, passionné. Soudain sa main se plaque contre mon sexe.
— Tu es sûre que tu veux ?— Oui Lorenzo, on est majeurs maintenant et bacheliers. On peut, je t’aime depuis si longtemps.
A cette réponse, mes caresses se font plus pressantes. Je la serre contre moi tandis qu’elle sort mon sexe de mon pantalon. Sa main si délicate me caresse. Il se redresse si fier devant cette fille sur laquelle j’ai rêvé secrètement depuis trois ans déjà. Je l’allonge sur le lit. Je continue à l’embrasser. Sa jupe s’ouvre sur sa culotte blanche. Elle la retire tandis que je descends mon jean et mon caleçon. Elle me tend un préservatif que je mets maladroitement sous ses yeux tendres. C’est la première fois que je le fais. Ma main tremble. Je me place sur elle, entre ses cuisses et délicatement entre dans son puits d’amour recouvert de poil sombre. Je m’appuie sur un coude tandis que l’autre main malaxe doucement sa poitrine à travers son t-shirt. Puis je commence mes va-et-vient, au début maladroit, j’avance et me recule doucement en elle. Elle ferme les yeux.
— Vas-y, fais de moi une femme.
Je m’enfonce en elle. Une résistance, un petit cri sec. Ça y est, elle est une femme et c’est moi qu’elle a choisi. Elle commence maintenant à onduler sous moi. Ses mouvements stimulent encore plus mon désir et je sens mon sexe continuer de grossir en elle. Ses bras s’enroulent dans mon dos. J’accélère. J’entends sa respiration accélérer, puis rapidement c’est la délivrance. Le caoutchouc se remplit de mon jus. Nous ne sommes plus puceaux, les vacances viennent de commencer. L’été sera chaud, je le sais.
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