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Willow, soumise atypique

Chapitre 1

Retour au pays

Erotique
Chypre. Mercredi 5 juin 2019 :
Dans le ciel de cette soirée aux accents estivaux, le soleil orangé, tel une pièce de monnaie cuivrée, s’apprête à entrer dans le juke-box méditerranéen afin de déclencher la douce musique de la nuit étoilée. Le crépuscule, ici, à une teinte toute particulière. Le ciel époustouflant rosit comme par l’effort qu’il semble fournir pour retenir l’astre souverain. Mais ce dernier ne veut rien savoir et il s’enfonce dans un autre azur, plus silencieux, plus reposant.
Ouais bon, le soleil se couche quoi… on va pas y passer la nuit (c’est le cas d’le dire). C’est beau… Oui, c’est beau mais bon, j’ai surtout envie de rentrer au pays maintenant et de profiter de ma perm ! Ah oui, je suis militaire, troufion, guerrière… appelez ça comme vous voulez. Je reviens de 3 mois d’OPEX, au Mali. Et comme toujours après ces opérations nous avons droit à trois jours dans un coin tranquille pour décompresser, disent-ils, avant de rentrer chez nous. Cette fois c’est "Escale à Chypre" ; j’aurais préféré "Elle se cale sur Chibre" personnellement mais bon, pas le choix. Allez Willow, c’est ton dernier soir après tu rentres au bercail. Ce ne sera pas trop tôt.
Ah oui, vous avez buggé sur mon prénom, c’est normal, ça le fait à tout le monde. Pour faire court ma mère était sûre qu’elle aurait un garçon et elle voulait absolument l’appeler William en hommage à son grand-père qu’elle adorait. Quand elle a appris que ce serait une fille, elle a pensé à Willie mais ça ne plaisait pas du tout à mon père. C’est ainsi que ma mère a eu un éclair, elle a repensé à ce film sorti cinq avant ma naissance (en 1988 donc) "Willow". Mon père a adoré (oui, lui aussi il est chelou parfois !) et voilà comment j’ai hérité de mon prénom. Quand j’avais quatre ans une série est apparue avec une blondasse qui tabassait des vampires (et baisait avec certains) et sa meilleure amie s’appelait Willow. Ça m’a permis d’avoir une référence pendant mon enfance.
Enfin voilà vous savez pourquoi ce drôle de prénom. En plus de ce patronyme spécial, je suis rouquine, d’un roux foncé pas carotte, les cheveux mi-longs et ondulés. J’ai les yeux gris bleu. Je mesure 1m72 et j’ai un corps plutôt agréable à regarder : musclé - notamment mes cuisses, mon ventre et mon cul - et gracieux à la fois, je fais un petit 38 et un beau 85C. Et je suis tireur d’élite, sniper. Ne faites pas ces gros yeux, oui il y a des femmes snipers et j’en suis une. Ça surprend souvent mais en fait c’est juste un boulot, mon boulot. Je travaille avec beaucoup de mecs cela dit et pas que des malins mais la plupart sont quand même très sympas et puis je ne me laisse pas vraiment faire faut dire… Mon binôme Arthur adore me faire chier et il m’affuble de nouveaux surnoms à chaque fois qu’il en trouve un qui le fait marrer : "Snipepette" parce que je suis très féminine en civil ; "Amère woman sniper" rapport au film d’Eastwood et à mon caractère de merde ; "Tireuse des litres" parce qu’il s’amuse du fait que j’ai, selon lui, toujours envie de pisser… Bref, c’est un boute-en-train et il est un peu comme mon grand frère ici. Après le repas, je suis partie faire un tour toute seule au bord de la mer. Et c’est là que vous êtes arrivés, au moment où je regardais ce joli coucher de soleil…
Je décide de m’asseoir, histoire de profiter du spectacle et du bon air du soir Chypriote. Je m’assieds lourdement mais sans avoir la bonne idée de regarder où ! La douleur qui s’ensuit me l’apprend. Aïïïïïe ! Je suis en plein sur une racine de caroubier ! Putain que ça fait mal ! Ça m’a coupé la respiration. Je me relève et je frotte énergiquement ma fesse puis après avoir vérifié le sol cette fois, je me rassois. Une fois bien installée, cette petite douleur aux fesses me fait sourire… Je suis masochiste pensez-vous, et y a de ça oui, c’est sûr (si vous saviez ce qui va suivre…). Mais là, c’est différent, en fait cette petite souffrance me rappelle ma toute première sodo. Un sacré souvenir. Vous voulez savoir ? Bon allez je vous raconte ! En plus ça vous en dira un peu plus sur moi.
C’était il y a quelques années, avant que je m’engage. Je passais une soirée avec un ami et une jeune et belle femme. Nous venions de nous éclater dans un savoureux plan à trois quand je décidai d’aller prendre une douche pendant que les deux autres étaient encore motivés pour jouer un peu. Je me douchais sous l’eau bien chaude, savourant le répit que je m’accordais. Soudain, j’ai entendu la porte de la douche s’ouvrir ; c’était mon ami. Il commença à m’embrasser avec fougue. Vu la dureté de sa queue, que je sentais contre ma cuisse, je devinai qu’il n’était pas venu juste pour se doucher. Il s’est mis à me caresser puis à cajoler mon clito, jouant de ses doigts sur mon petit bouton et avec mes lèvres. J’adorais sa façon de s’occuper de moi de cette façon, d’aller droit au but, sans perdre de temps. Sa deuxième main flattant mon cul, puis, peu à peu, ses doigts glissèrent le long de mon sillon interfessier jusqu’à atteindre mon anus. Un de ses doigts s’enfonça doucement dans mon petit trou… Rapidement rejoint par un deuxième. Il préparait visiblement mon cul pour l’étape suivante. Il savait que personne ne m’avait jamais prise par là alors il faisait ce qu’il fallait pour faciliter la suite. J’ai aimé qu’il agisse sans me demander vraiment. Il a fait, j’ai laissé faire. Nous étions sur la même longueur d’ondes. Quand il a senti que mon anus était suffisamment préparé, il m’a retournée et je me suis appuyé sur la paroi de la douche. Je le sentis alors approcher sa bite contre mon cul.
Son gland turgescent vint se coller à mon anus. Et il se mit à pousser. Mes chairs s’écartèrent docilement, et mon cher amant put enfoncer sa queue en moi avec une certaine aisance. Oh, bien sûr ça forçait - c’était ma première sodo les amis, n’oubliez pas - mais malgré une certaine résistance et une douleur notable mais pas insupportable, il me pénétra de toute sa longueur. Et voilà, je me faisais enculer pour la première fois, dans une douche par un mec qui savait s’y pendre. Entre la chaleur de l’eau qui coulait encore et celle de nos ébats, je me sentais comme dans un cocon sodomite ; avec cette buée en plus, ça me donnait l’impression de me faire enculer dans les nuages. Nous continuâmes le rapport anal de cette façon, lui coulissant dans mon fondement, et son doigt cajolant mon clito, moi les mains appuyées sur la paroi carrelée de la douche, les corps trempés d’eau et de sueur. Je crois que c’est un peu là que j’ai commencé à kiffer le mélange douleur/plaisir en fait. Pour une première fois, j’ai été comblée (dans les deux sens du terme oui). Enfin, la fin fut moins sympa quand même : l’enfoiré se retira d’un coup et il se branla pour se faire jouir, et même pas sur mes fesses en plus ! Il ne prit même pas le soin ni le temps de m’offrir un orgasme en contrepartie du don de la virginité de mon cul. Ma grand-mère aurait dit de lui que c’était un goujat, moi je vous le dis plus nettement : c’était un connard ! Et voilà…
Un papillon se pose sur mon épaule, me tirant de ce souvenir pour me ramener à la réalité du présent. J’ai le regard qui se perd dans l’horizon et je suis en train de mouiller… C’est frustrant parce que je ne baiserai pas ce soir.
De quoi ? Ah, Arthur et moi ?
Non, non je ne baiserai pas avec Arthur. Il est beau gosse bien sûr et tout mais c’est une sorte de grand frère pour moi et en plus c’est mon binôme donc non, c’est impossible. Je ne me pose même pas la question à vrai dire. Et je pense que lui non plus. On est hyper soudé juste mais rien d’ambigu. Mais allez, justement, puisqu’on parle de lui, je vais le rejoindre maintenant que j’ai fini ma balade. Ça fait du bien de s’esseuler un peu par moments… L’armée c’est une grande famille et comme toutes les grandes familles, parfois c’est vraiment nécessaire de s’en détacher ! Surtout quand on revient de mission…
Je rejoins Arthur au bar de l’hôtel, il prend une bière et moi un diabolo pêche (et oui, je ne bois jamais d’alcool, ça vous la coupe hein ?) puis une fois servis nous discutons du retour de mission justement. Ce n’est pas la première fois que nous revenons d’une OPEX mais nous sommes encore jeunes alors on ne peut pas dire que nous soyons totalement habitués non plus. Arthur me demande :
— Alors, ça va aller pour toi le retour ?
— Je sais pas… Là, de suite, ça a l’air d’aller, mais tu sais comment c’est : une fois à l’appart, seule, dans le silence et sans action, j’ai des trucs qui me reviennent parfois. Le plus dur c’est vraiment à ce moment-là ! Mais je préfère encore ça que revivre à la caserne ! — Oui je sais bien. Moi, j’ai mes colocs, ça me change les idées au moins même si c’est pas toujours suffisant et si parfois, j’aurais plus envie d’être seul. La psy de la base est pas mal je trouve. — Ouep pas mal mais sans plus. Je préfère consulter à l’extérieur quand même. Et oui, dans tous les cas, c’est compliqué le retour souvent. Je vais aller voir ma famille un peu moi. La dernière fois, toute seule, j’ai galéré…— Du côté de Bordeaux ? — Oui, chez mes parents quoi, à Lacanau. — Tu as raison, je crois que c’est mieux oui. Tu feras la bise à tes parents de ma part. Tu sais que tu peux m’appeler si besoin en tout cas. — Ouep, je sais. Et pareil dans l’autre sens. Par contre, ça veut dire qu’à peine arrivée je vais devoir sauter dans le train. Et puis ça pose un autre problème… — Ah bon ? Lequel ? — Ben je vais pas ramener un mec pour me baiser chez mes parents quoi !! — Tu penses à ça en ce moment toi ? En plein retour de mission ? — Bien sûr, une bonne dépense d’énergie physique, bien sauvage, ça permet de de lâcher prise, de laisser sortir des trucs ! D’extérioriser. Et voilà, c’est une séance psy et pour par un rond !! T’as pas envie toi peut-être ? Tu aurais dû voir ta tête d’affamé quand la serveuse est venue apporter les commandes.
Arthur rougit et moi, je me marre. Je lui tape sur la main et je lui dis :
— C’est fou que ça te gêne à chaque fois qu’on parle de ça ! Je te connais bien en plus ; je connais même quelques histoires te concernant et je sais que tu es un vrai coquin !! Presqu’autant que moi… — Oui mais tu sais que j’aime pas parler de ça avec toi, juste comme ça, en face à face. Et puis, là, c’est pas vraiment le sujet en plus. On parlait du retour et de ce que ça implique. — Oh la la ! Que tu es sérieux ! En plus y a un rapport avec notre retour justement ! — Je suis sérieux parce que toi et moi, nous avons déjà connu des moments difficiles et d’autres encore plus que nous. — Je le sais bien oui mais, tu sais, en rire un peu et le prendre avec légèreté ne changera pas grand chose. Te prends pas la tête ! Si on se sent mal, on sait qu’on peut compter l’un sur l’autre ; on est plutôt bien entourés cette fois et il y a aussi des professionnels si besoin. On va espérer que ça se passe bien et en attendant on va profiter de notre dernière soirée avant le départ ! — Bon, ok, tu n’as pas tort ! Les autres doivent faire une partie de poker. On les rejoint ? — Oui, moi je vais y aller. Et toi, soit tu viens, soit tu rejoins la jolie serveuse… — Mais quelle peste, tu es pas possible ! Bon allez, bouge-toi ! Je vais te montrer ce que c’est un vrai joueur de poker !
*****************
Le lendemain nous sommes dans l’avion qui nous ramène au pays. Enfin. Nous discutons de nouveau avec Arthur. Cette fois-ci j’essaye d’orienter la conversation sur nos relations respectives, relations de couple je veux dire ou sexuelles juste. (je suis une petite curieuse) Mais, comme toujours mon cher binôme reste très évasif sur sa vie sexuelle ; le peu que j’en connais c’est ce qu’il a pu en dire dans certaines soirées un peu alcoolisées avec les camarades. Je ne sais pas vraiment ce qui le gêne au final mais bon, tant pis, je respecte sa discrétion et puis ça me permet de le taquiner un peu au passage. Et c’est d’ailleurs une de mes activités préférées dans la vie. Mais nous changeons tout de même sujet et nous décidons de nous regarder un film sur son ordi. Le vol se déroule dans le calme, chacun d’entre nous est à la fois content de rentrer et pris par une certaine appréhension, plus palpable chez certains que chez d’autres.
Vers 12h30 nous atterrissons et après avoir réglé les détails protocolaires du retour et les papouilles qu’on échange les uns les autres, je file chez moi préparer ma valoche. J’ai mon train à 17h46 donc ça va, j’ai le temps de m’arrêter pour me prendre une petite douceur chez mon pâtissier préféré. Ça peut vous paraître anodin mais c’est hyper important pour moi ! Y a beaucoup de lieux communs et d’idées reçues sur l’armée mais la bouffe dégueulasse, c’est une réalité !! Alors quand je rentre de mission, je file chez le pâtissier pour me faire un petit plaisir. Ça me permet de lier mon retour à un vrai plaisir en plus. Je rentre enfin et le programme est simple : valises / pâtisserie / douche / train.
La préparation de mes bagages est plutôt expéditive, déjà parce qu’il doit faire beau dans les jours à venir, donc pas besoin de prendre grand chose mais aussi parce que j’ai toujours des affaires chez mes parents. Et hop ! Ça, c’est fait ! Je m’installe donc sur mon canapé, ma pâtisserie dans mon assiette à dessert, ma petite cuillère et ma serviette. (ben ouais c’est mon rituel quoi !) À peine ai-je engloutis la première bouchée qu’un nouveau souvenir me revient en tête :
Dans une soirée un peu spéciale, un plan à quatre (deux filles, deux mecs) et dans un délire nous avions décidé d’attacher la nana sur le lit, nue bien sûr. Ensuite, j’avais disposé sur son corps des fraises et de la chantilly. Je faisais comme des petits dessins. Et puis nous avions dégusté tout ça sur elle, à même son corps, et sans nos mains. Nous nous étions régalés !
Le truc étonnant, c’est que pendant que je finis de déguster mon gâteau, me souvenant de cette anecdote, je me rêve à sa place à elle et dans une situation plus chaude encore. Je m’imagine attachée aux barreaux du lit mais avec des liens qui emprisonneraient aussi mon corps. Les cordes s’enrouleraient autour de mes cuisses, de mon ventre, de mes bras et même autour de mes seins comme j’ai déjà vu dans certaines photos de bondage. Et, pour le coup mes partenaires (que des mecs) viendraient me déposer de la nourriture et me manger sur le corps également… Peut-être même me laisser quelques marques de morsures au passage. Je pense de plus en plus ce genre de rapports un peu violents depuis quelques temps… depuis toujours en réalité. Je me surprends presque à me lécher les doigts de manière suggestive pour en récupérer les dernières traces de sucre. Je sens aussi que je suis en train de mouiller…
Et je cède rapidement à mon envie de me toucher, de toute façon je dois prendre une douche juste à après. Je vire mes vêtements, je m’allonge sur le canapé et je commence à me caresser. Je trouve que j’ai plutôt une jolie poitrine et je ne peux m’empêcher de me malaxer le sein pendant que je commence à me frotter le clito. Deux envies me traversent l’esprit et je me lance sans l’ombre d’une hésitation : d’abord, je saisis mon téton et le tord jusqu’à m’en faire gémir de douleur. C’est hyper excitant ! Et puis, j’attrape la petite cuillère sur la table basse, je la nettoie avec ma bouche, puis je viens la coller entre mes lèvres vaginales, tout pile sur mon clito. La morsure de la fraîcheur de l’acier sur cette organe brûlant me fait frissonner mais j’adore. Ainsi, c’est en continuant à me frotter avec ma cuillère tout en me pinçant fortement les seins, que je me touche jusqu’à jouir avec un plaisir bien plus intense que les autres fois où je m’auto satisfait sexuellement.
La douche s’avère un peu plus longue que prévue parce que j’ai beaucoup sué en me tripotant. Mais c’est foutrement agréable. Là aussi, retrouver une vraie douche, et du temps pour se préparer et se pomponner c’est un vrai bonheur et ça acte vraiment mon retour. Je peux me permettre d’être ultra féminine si j’en ai envie et ça tombe bien parce que j’en ai très envie. Je traite lmes cheveux avec un produit qui les arrange et les sublime, mes jolies anglaises rougeoyantes retombent sur mes épaules. Je porte une belle robe bleue (qui fait ressortir mes yeux) à dos nu qui se noue sur la nuque, sans soutien-gorge donc. La robe n’est ni trop courte, ni trop longue et le décolleté est marqué sans être du tout vulgaire. J’ajoute un petit tanga blanc en dessous et une jolie paire d’escarpins à mes pieds pour finir le tableau. Canon !
Il est 17h31 quand j’arrive à la gare, traînant ma valise à roulettes. Je passe prendre mon billet à la borne automatique sous le regard grivois et peu discret de certains mecs. Je me rends sur le quai (pas le 9 ¾ non ! On n’est pas dans Harry Potter là !) et mon train ne tarde pas à arriver… Je m’installe tranquillement et j’attends le départ. Lacanau, me voilà.
À suivre…
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